La lettre au père Noël il faut y penser , ça approche ..

Sur la pointe des pieds elle regarde les nuages, elle est là à épier chaque heure le passage du merveilleux traîneau. Elle ne sait pas c’est sûr qu’il est encore trop tôt, Elle a mis ses chaussures sous le joli sapin, avec l’immense espoir de voir un beau matin, tout près du grand miroir la poupée de ses rêves, celle qui lui plaisait tant. Il n’y aura pas de grève ca n’est pas le moment, le père Noël sait bien que ce soir de l’année c’est Jésus qui revient et que pour le fêter Il doit distribuer aux enfants impatients, les cadeaux désirés depuis tellement longtemps.

Noël arrive dans les chaumières, les fenêtres sont décorées, dans les yeux scintille une lumière, qui nous incite à espérer, revenons à cette innocence qui blottie au fond de nos cœurs fait la joie de notre existence, Laissons pénétrer la douceur dans nos maisons, chantons ensemble pour que la paix soit sur le monde, pour que les hommes se rassemblent, pour que l’amour chasse l’immonde. Noël arrive, Jésus va naître dans la plus grande pauvreté, pendant que brillent nos fenêtres, Ddautres sont dans la nudité.

Une rencontre ne se réduit pas à une première approche furtive. Elle est toujours plus profonde que nos jugements hâtifs.

L’âme heureuse, par l’irradiation de l’amour, propage le bonheur autour d’elle.

Faire ses lacets,c’est quelque chose. Tous les enfants s’y sont heurtés. Des lacets noirs,ou blancs,ou roses, un jour ils y sont confrontés. On tire à gauche,on tire à droite. Il y aura toujours un côté qui entre leurs mains maladroites n’aura pas la taille espérée parce que trop court ou trop long... La boucle reste un grand mystère, il faudra du temps dans les cervelles car les colères ne serviront qu’à emmêler ces affreux lacets de chaussures, tout cela est bien compliqué, c’est même pour certains une torture.

L’épaule d’une mère a ce creux délicieux, de douce et tendre chair comme un coussin moelleux

Une petite promenade entre filles

Entre ciel et terre, la marelle

Un sourire à offrir est prompt à revenir a soi sans se retenir sourire pour ne pas mourir