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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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cannabis dans l'enceinte du collège

Publié à 11:45 par fandeloup Tags : photo
cannabis dans l'enceinte du collège

Marseille : une culture de cannabis dans l'enceinte du collège 

Voilà bien une «matière» qui ne figurait pas au programme scolaire...

La principale d'un collège, situé dans le IIIe arrondissement de Marseille (Bouches-du-Rhône), a alerté la police, ce vendredi 16 octobre, après avoir fait une stupéfiante découverte dans l'enceinte même de son établissement.

Vérifiant la fermeture des portes de son collège, en cette veille de vacances scolaires, la responsable des lieux a trouvé dans un local technique une dizaine de plants d'herbe de cannabis.

«Tout le matériel nécessaire à l'exploitation de cette mini-culture de cannabis a également été découvert, confie une source proche de l'affaire. Ces plants et le matériel inhérent ont été évidemment saisis».

L'apprenti-botaniste n'a pas été identifié et les investigations se poursuivent.



Le salaire du patron en hausse de 211% !

Publié à 18:37 par fandeloup Tags : annonce texte
Le salaire du patron en hausse de 211% !

PSA : Le salaire du patron en hausse de 211% !

Comme Renault il y a quelques jours, PSA vient de révéler le salaire 2014 de son patron, Carlos Tavares.

Et comme pour Renault, cela provoque quelques remous...

PSA Peugeot Citroën révèle le salaire de Carlos Tavares, le président de son directoire !

Dans le document de référence qui vient d’être mis en ligne, le groupe français annonce en effet lui avoir versé 2.750.936 euros brut l'année dernière.

Dans le détail, le patron du constructeur a touché 1.131.394 euros de salaire fixe ainsi qu’une part variable de 1.615.919 euros pour avoir satisfait à "la totalité de ses objectifs", précise le texte.

"Une augmentation de rémunération de 211%" Une part variable qui a du mal à passer auprès des syndicats et notamment de la CGT qui dénonce une "décision proprement scandaleuse" prise par le conseil de surveillance "avec l'accord du représentant de l'État, Louis Gallois".

"Alors que le seul PDG a eu une augmentation de rémunération de 211% en un an, pour les salariés la dernière augmentation de salaire (43 euros bruts par mois) remonte à mars 2012 !", s'est insurgé le syndicat.

Fin mars, c’est le salaire d’un autre patron de l’industrie automobile française qui avait beaucoup fait parler : celui de Carlos Ghosn, le président de Renault, rémunéré 7,2 millions en 2014... contre 2,67 millions en 2013.



honteux

Publié à 17:50 par fandeloup Tags : pouvoir société nuit
honteux

Calais – Chauffeur routier roué de coups par des migrants

FranceRoutes, site d’information pour les passionnés du camion, relate l’agression d’un chauffeur routier par des migrants à Calais :

Selon nos informations, un conducteur routier de XPO TND Nord de Calais a été agressé dans la nuit du 6 octobre dernier.

Marc Lenza est tombé dans un  véritable get-apens alors qu’il quittait l’agence. Tout s’est déroulé vers 1h45 sur le trajet entre la société de transport et le port de Calais.

Des migrants ont jetées des barrières sur la chaussée afin d’obliger le conducteur à stopper son camion. Profitant de cet arrêt, plusieurs migrants sont montés dans la remorque.

Alors que Marc Lenza débarrassait la chaussée sur l’avant de son camion pour pouvoir repartir, voyant que les portes de la remorque étaient ouvertes, il est allé pour les fermer tout en demandant aux migrants de descendre.

Et là, plusieurs de ces individus l’ont roué de coups. Heureusement Marc a pu à se sortir de cette agression « gratuite », aidé par les klaxons d’un conducteur de bus Hollandais qui se trouvait non loin.

Marc Lenza a du se réfugier dans sa cabine de camion, et démarra en trombe pour rentrer à l’agence complètement abasourdi de cette agression musclé qui aurait pu tourner au drame.

« J’ai cru que c’était ma dernière heure » a-t-il confié à ses responsables. Le conducteur est choqué mais n’est pas blessé bien qu’il ait reçu des coups.



honteux

Publié à 17:12 par fandeloup Tags : société mort divers fille
honteux

Le fait divers du jour : sa fille de 12 ans meurt happée par un train, on lui envoie la facture des dégâts

BELGIQUE – La maman d'une adolescente tuée l'année dernière sur le quai d'une gare a reçu une facture de 19.000 euros pour les dommages causés à la Société nationale des chemins de fer belge, rapporte la presse du pays.

Choquée par la démarche, elle laisse éclater sa colère. Charlotte avait été tuée l'an dernier près avoir été happée par un train alors qu'elle prenait des selfies avec une amie.

Charlotte avait été tuée l'an dernier près avoir été happée par un train alors qu'elle prenait des selfies avec une amie. Il y a bientôt un an, en novembre 2014, la petite Charlotte était tuée après avoir été happée par un train alors qu'elle se prenait en selfie avec une amie sur le quai de la gare.

Pour sa mère, la douleur laisse aujourd'hui place à la colère : la Société des chemins de fer belge (SNCB) lui a envoyé une facture de 19.000 euros pour rembourser les dégâts causés par l'accident, assure le quotidien populaire flamand Het Laatste Nieuws, relayé par le site sudinfo.be.

"Ces gens n’ont-ils pas d’enfant ?"

Carla, la maman de Charlotte, ne devra pas débourser cette somme elle-même puisqu'elle bénéficie d'une assurance familiale. Mais elle se dit profondément choquée par la démarche et le fait qu'on lui présente ainsi le chiffrage des dommages engendrés par la mort tragique de sa fille.

"Quand vous recevez cette lettre, vous tombez de haut. Comment est-ce possible ? Ces gens n’ont-ils pas d’enfant ?

Sont-ils des monstres ?", s'interroge-t-elle auprès de Het Laatste Nieuws. Le quotidien souligne que la SNCB, qui n'a pas répondu aux demandes d'explication de la maman de Charlotte, se retrouve sous le feu des critiques pour sa gestion des accidents mortels.



la barbarie d'un adolescent violeur

Publié à 09:44 par fandeloup Tags : image homme chez enfants france femme mort divers internet nuit fille bande éléments
la barbarie d'un adolescent violeur

Assises de l'Essonne : la barbarie d'un adolescent violeur récidiviste

Le jeune homme comparaît pour le viol d'une femme de 18 ans en 2014 à Evry, commis avec trois complices âgés de 13 ans à 15 ans. La victime avait enduré des sévices d'une violence inouïe. Evry (Essonne), hier.

Les quatre individus avaient torturé et violé une jeune fille de 18 ans dans ce parc au milieu de la nuit, le 30 mars 2014. Evry (Essonne), hier. Les quatre individus avaient torturé et violé une jeune fille de 18 ans dans ce parc au milieu de la nuit, le 30 mars 2014.

Un avocat du barreau de l'Essonne n'hésite pas à qualifier ce dossier comme « le plus sensible traité par le parquet d'Evry (Essonne) depuis vingt ans ». Le 30 mars 2014, une jeune femme de 18 ans était violée et torturée à la sortie de la gare d'Evry-Courcouronnes, par quatre adolescents de 13 à 17 ans, dont trois frères d'origine turque.

A compter de ce matin et jusqu'à mercredi, le plus âgé d'entre eux, présenté comme le meneur, est jugé à huis clos par la cour d'assises des mineurs à Evry pour viols en récidive, actes de tortures et barbarie. Le jeune homme a déjà été condamné à quatre ans de prison, dont deux avec sursis, pour des faits de vol avec violences et de viol sur un garçon de 13 ans commis le 6 mai 2012.

Il était sorti de prison le 9 septembre 2013. Il encourt cette fois vingt ans de réclusion criminelle en tant que mineur à moins que l'excuse de minorité lui soit retirée au vu de la gravité des faits. L'accusé risquerait alors la perpétuité.

Ses trois jeunes complices, âgés de 13 et 15 ans, ont, eux, déjà été jugés par le tribunal des enfants en avril dernier où ils ont écopé de cinq, six et sept ans de prison. Ils avaient menacé de mort leur victime pour qu'elle ne les dénonce pas

Ce matin du 30 mars 2014, à Evry, vers 5 heures, deux automobilistes découvrent une jeune femme de 18 ans, le visage tuméfié et en état de choc, errant dans la rue. Elle leur explique avoir été violée par quatre inconnus. Raccompagnée chez ses parents, la victime est prise en charge par les secours puis auditionnée par les policiers.

Le récit du calvaire qu'elle a vécu est insoutenable. Cette nuit-là, la jeune femme est rentrée d'une soirée à Paris en RER et descendue à la station Evry-Courcouronnes. Il est alors aux environs de 1 heure du matin.

En sortant de la gare, elle croise quatre individus coiffés d'une capuche. Le plus grand enfile une cagoule et exige qu'elle lui remette son téléphone portable. Ses acolytes sortent une bombe lacrymogène, un tournevis et un brise-vitre.

L'accusé commence à la fouiller, s'empare de ses bijoux et s'adonne à des attouchements sexuels. Puis ils entraînent la jeune femme derrière un talus, la déshabillent tout en la frappant, et la violent. Alors qu'un passant approche, les agresseurs la contraignent à se rhabiller sommairement.

L'accusé la prend par l'épaule et l'emmène dans le parc des Coquibus. Il abuse à nouveau d'elle tout en fumant des cigarettes. Les trois autres la frappent à coups de bâton.

Ses tortionnaires la violent encore à plusieurs reprises, la torturent, l'humilient, en s'adonnant à des actes indicibles durant deux heures. Avant d'abandonner leur victime dans la nuit, ils la rouent encore de coups de pied et de poing au visage et sur tout le corps avec la volonté de la voir saigner.

Puis la menacent de mort, elle et sa famille, si elle les dénonce. Les quatre auteurs de ces atrocités, domiciliés à Evry et Courcouronnes, avaient été rapidement identifiés et interpellés grâce aux bandes de vidéosurveillance de la gare.

L'aîné de la bande avait affirmé devant les enquêteurs avoir seulement voulu voler le portable de la victime avant de reconnaître avoir perdu le contrôle de lui-même, comme s'il « avait quelqu'un en lui ».

Des motivations racistes ?

Durant l'instruction, les mis en cause avaient avancé des motivations racistes. Lors de sa garde à vue, le plus âgé avait ainsi lancé : « Quand je sortirai, je niquerai la France . » Un autre avait demandé ses origines à la victime. Et un troisième déclaré s'en être pris à cette jeune fille parce qu'elle était française et qu'il n'aime pas les Françaises.

Des éléments que les autorités policière et judiciaire locales avaient refusé de confirmer à l'époque. L'information avait été relayée sur internet et les réseaux sociaux, accusant les médias et les politiques de cacher la vérité sur un fait divers tragique survenu dans la ville du Premier ministre, Manuel Valls.

« J'ai été amené à gérer les choses avec le maire de Courcouronnes (Stéphane Beaudet, Les Républicains). Il y avait eu des consignes de diète médiatique, à la demande des parents. Ce n'était pas pour l'image de la ville », assure Francis Chouat (PS), le maire d'Evry. Au final, la dimension raciste n'a pas été retenue.

« Les juges ont choisi de retenir les qualifications les plus graves de viols et d'actes de tortures et barbarie, qui font encourir la peine la plus forte. Y ajouter l'injure raciale ne change rien à la peine encourue, confie une source proche du dossier. Mais ces propos ont été évoqués et seront abordés lors du procès. »



condamné pour avoir frappé sa femme handicapée

Publié à 01:33 par fandeloup Tags : homme enfants femme travail
condamné pour avoir frappé sa femme handicapée

Le Mée : condamné pour avoir frappé sa femme handicapée avec du pain congelé

Un homme de 52 ans a été condamné à 5 mois d’emprisonnement avec sursis pour violence aggravée envers sa femme malvoyante et malentendante souffrant d’une pathologie évolutive. Elle était trop laxiste avec les enfants, son apparence n’était pas suffisamment soignée, il n’y avait pas assez à manger à la maison…

D’après Alain V., toutes les excuses étaient bonnes pour envoyer « une volée » à sa femme, malvoyante et malentendante, lui jeter un bibelot à la figure ou la taper à l’arrière de la tête.

De mauvais traitements pour lesquels cet homme de 52 ans a été condamné à 5 mois d’emprisonnement avec sursis pour violences aggravées par le tribunal correctionnel de Melun, ce lundi.

Le 5 mai dernier, c’est pour une baguette de pain qu’une dispute éclate entre le couple, séparé depuis, vivant au Mée-sur-Seine. Énervé car elle lui avait interdit d’en manger avant l’heure du repas, Alain V. jette le pain encore congelé au visage de son épouse.

Il lui fracture le nez, entraînant trois jours d’incapacité totale de travail. L’homme bougeait aussi souvent les meubles dans la maison. « C’est mon péché mignon, j’aime bien le changement », explique froidement l’éboueur de la ville de Paris.

« Ces changements étaient certainement faits pour désorienter son épouse handicapée à 80 % », avance quant à lui Cédric Le Grand, représentant du ministère public.

« Cette femme a subi des violences physiques, morales mais aussi humiliantes », plaide avec vigueur l’avocat de Simone. Des faits que les deux enfants du couple disent avoir vus « depuis toujours ». « Alain V. a fait preuve d’autorité et d’éducation auprès de ses enfants parce que sa femme laissait trop faire.

On a l’impression qu’ils tentent de l’évincer car ils sont bien tranquilles sans lui », défend son avocate.

Alain V. devra également verser 900 € à son ex-femme pour son préjudice moral.



sauvetage

Publié à 18:29 par fandeloup Tags : heureux chien vie amis animaux chiens
sauvetage

Le sauvetage de plus de 100 chiens destinés à la consommation en Corée

Si dans notre pays les chiens présents dans les fermes ont pour mission de tenir compagnie à leur maître ou de rassembler le bétail, quelques milliers de kilomètres plus loin, des fermes sont dédiées à l’élevage de chiens. Cependant, cet élevage n’est pas celui qu’on connaît…

Là-bas, nos chers toutous, que nous considérons comme nos meilleurs amis, passent leurs vies enfermés dans des cages, ils ne voient jamais le jour, mettent bas entre des barreaux et ne connaîtrons jamais le plaisir de courir dans l’herbe. Ces chiens là seront tués et finiront dans les assiettes.

Voilà la triste réalité dans certaines régions de Corée, Chine, Thaïlande, du Vietnam ou encore des Philippines…Humane Society International of United States fait partie de ces associations qui luttent contre la consommation de viande.

Chaque fois qu’ils le peuvent, les bénévoles sauvent la vie de ces pauvre bêtes destinées à l’abattoir et leur offre un rêve américain en les envoyant aux USA.

Dans la vidéo diffusée dernièrement par l’association, Kelly O’Meara nous présente, non sans émotion, la vie de ces animaux mais aussi leur heureux sauvetage.

En effet, lors de la dernière intervention en Corée du Sud, 103 chiens ont quitté ces cages pour rejoindre le sol américain et la ferme a été définitivement fermée. Si cette opération est un bon début, il reste cependant des milliers de chiens à sauver des assiettes…



la sécheresse fait sortir des eaux une église

Publié à 17:38 par fandeloup
la sécheresse fait sortir des eaux une église

Mexique : la sécheresse fait sortir des eaux une église du XVIe siècle

En 2002, le niveau de l'eau était si bas qu'il était possible de marcher à l'intérieur des ruines.

En 2002, le niveau de l'eau était si bas qu'il était possible de marcher à l'intérieur des ruines. BFM TV Elle était sous les eaux depuis 1966. Une église coloniale du XVIe siècle a ressurgi de la rivière Grijalva, au Mexique, alors que la région est frappée par une sécheresse cette année, relate le Daily Mail. Les chaleurs ont fait baisser le niveau du réservoir Nezahualcoyotl de 25 mètres, alimenté par la Grijalva, dévoilant les ruines de cette église abandonnée en à cause des grands fléaux de 1773 à 1776, ont expliqué les autorités mexicaines.



tristesse

Publié à 16:20 par fandeloup Tags : front de gauche homme chez enfants photo coeur travail mort annonce ange
tristesse

C'est avec une immense tristesse que nous apprenons ce soir, le décès du petit Luca, 7 ans. Un petit garçon qui était comme les autres de son âge et qui rentrait simplement de l'école. Ce soir nous avons de la peine, beaucoup de peine. Nous présentons toutes nos condoléances à la famille et nous sommes de tout coeur avec elle .. Repose en paix petit ange

Le petit Lucas, 7 ans, poignardé en pleine rue à Joeuf est mort

La famille du petit Lucas, dimanche 18 octobre 2015, lors d'une marche silencieuse à Joeuf (Meurthe-et-Moselle).

L’écolier qui s’est fait poignardé par l’un de ses voisins, un déséquilibré qui s’est rendu, est décédé lundi des suites de ses blessures après plusieurs jours de coma.

La ville de Joeuf (Meurthe-et-Moselle) où s’est déroulé le drame est plongé dans l’effroi. Lucas est décédé. La mauvaise nouvelle est tombée peu avant 20H ce lundi. Le procureur de la République de Nancy, compétent en matière criminelle et qui est chargé du dossier depuis la semaine dernière, a confirmé lundi soir le décès de l’écolier de 7 ans poignardé à sept reprises en pleine rue à Joeuf par un voisin.

«Lucas est mort à 18H40 au CHU de Brabois», a précisé le procureur de la République de Nancy, ajoutant qu'un juge d'instruction avait été saisi et qu'une autopsie serait pratiquée mardi.

Dimanche, entre 2 et 3 000 personnes s’étaient massées dans les rues de la ville pour soutenir l’enfant et sa famille.

Poignardé jeudi en rentrant de l’école à 50 mètres de son domicile, le petit Lucas avait été transporté par hélicoptère vers l’hôpital des enfants de Nancy où il a été rapidement plongé dans un coma artificiel.

L'agresseur n'a jamais expliqué son geste L’agresseur présumé avait pris la fuite avant de se rendre et se constituer prisonnier au commissariat de Briey.

Le procureur de la République avait dévoilé vendredi que l’homme souffrait de «troubles psychologiques» mais reste pénalement responsable de ses actes.

Le suspect, «condamné en 2013 pour des faits de violence à l'occasion d'un épisode d'alcoolisation», mais dont «le dossier à l'époque n'avait pas révélé de dangerosité particulière», est soupçonné d'avoir porté sept coups de couteau au thorax et à l'abdomen du petit Lucas.

L'affaire avait été transférée au procureur de Nancy et le suspect déféré vendredi en début d'après-midi. Il avait été mis en examen pour «tentative d'homicide aggravé par la circonstance que les faits ont été commis sur mineur de 15 ans» et placé sous mandat de dépôt.

Le suspect âgé d’une trentaine d’années est resté muet et n’a pas expliqué son geste. Il a été depuis placé en détention provisoire. Le maire va aider la famille "autant que possible"

Pour le maire (Front de gauche) de Joeuf, cette nouvelle est "terrible". Selon M. Corzani, la ville de Joeuf qui est traumatisée par cette sauvage agression va "aider autant que possible" la famille du petits Lucas.

Alors qu'il demandait ce lundi matin que la justice fasse son travail, regrette que l'état de santé du petit garçon se soit dégradée. "L'état de santé de Lucas était stable mais cela restait incertain" a-t-il déploré après l'annonce du procureur.

L'élu local de la commune de 6 700 habitants située au nord de la Meurthe-et-Moselle à une trentaine de kilomètres à l'ouest de Metz affirmait ce matin avant l'annonce du décès "attendre les prochains jours avec espoir et anxiété".

La famille sera reçue mardi par le maire de la commune. Le petit Lucas "revenait de l'école ou d'une activité, et le bonhomme l'a attrapé", avait raconté aux journalistes un riverain de 90 ans, témoin direct de la scène.

"J'ai vu qu'il le battait au niveau de la poitrine, j'ai vu qu'il avait un grand couteau, un couteau de boucher", a poursuivi ce témoin, qui réside dans la même rue que l'enfant et n'a pas souhaité donner son nom. "J'ai entendu du bruit. Le petit, il criait, criait tant qu'il pouvait!" a ajouté le vieil homme, qui ne connaissait ni l'enfant ni son agresseur.

L'homme "à genoux, donnait des coups de couteau (...) s'acharnait avec le couteau (...) C'est impensable une chose pareille", a encore dit le témoin, qui sortait de chez lui lorsque les faits se sont produits.

Immédiatement après l'agression, qui a eu lieu à quelques mètres de la maison où réside l'enfant, il a été mis en déroute par un policier qui l'a désarmé avec sa matraque télescopique. Il a ensuite pris la fuite avant de se rendre au commissariat de police de Briey, où il avait été placé en garde à vue.

Une marche silencieuse avec près de 3 000 soutiens Dimanche, avant l'annonce du décès de l'enfant, des milliers d'habitants de Joeuf et des environs se sont mobilisés dans les rues pour soutenir la famille.

L'espoir était vif parmi les participants. Le cortège, silencieux, a marché une demi-heure, sous un ciel gris et par un temps froid, jusqu'au lieu du drame avec en tête le grand frère de Lucas, Paolo, qui portait une photo du jeune garçon.

"Toute mon énergie, je la mets pour mon frère. Je suis sûr qu'il va se réveiller lundi", avait-il dit. Dans la foule, une maman, venue avec ses deux enfants dont un dans la même école que Lucas, a expliqué, en larmes, que son fils avait insisté pour venir et apporter un petit mot pour la victime, disant que c'était "un super héros".

Au premier rang du cortège se trouvaient des proches de la famille et les grands-parents de Lucas. A l'arrivée dans l'impasse où le petit garçon s'est fait poignarder à sept reprises, la grand-mère a une nouvelle fois remercié les personnes présentes et a brandi le doudou de son petit-fils, un coussin avec un mouton dessus.

Le grand-père, effondré, a espéré que son petit-fils se réveillerait "sans séquelle". Devant la presse, la grand-mère avait demandé "à son coeur (Lucas, NDLR)" de "se battre". "Bas-toi mon coeur, tu aura la force" avait lancé sa grand-mère, très émue.



boîtes qu'elle lui a cachées pendant 40 ans

Publié à 15:37 par fandeloup Tags : amour femme
boîtes qu'elle lui a cachées pendant 40 ans

Son mari a découvert ses boîtes qu'elle lui a cachées pendant 40 ans, il n'en revenait pas

 Bill et Kris Bresnan se sont rencontrés il y a 41 ans et depuis lors, ils vivent le parfait amour. Ils ne se souviennent même pas s'être grandement disputé un jour, il leur arrive d'avoir des divergences, certes, mais, rien qui ne peut se régler par une discussion des plus douces. Bill n'en a pas cru ses yeux quand il a vu que ces 25 boîtes que sa femme gardait soigneusement, renfermaient les lettres qu'il lui écrivait, au total 10 000 lettres aujourd'hui. Kris avait droit à une lettre chaque jour qui décrivait ce bel amour qui les maintenait lié.



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