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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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actualités

voile

Publié à 10:28 par fandeloup Tags : internet
voile

Woluwe-Saint-Lambert: la haute école d'infirmiers De Vinci-ISEI ne tolérera plus le foulard à la rentrée prochaine

Dès la rentrée prochaine, le port du foulard jusqu’ici toléré sera interdit sur le site de l’ISEI, l’Institut Supérieur d’Enseignement Infirmier.

Une réglementation qui rebute plusieurs jeunes filles de confession musulmane. Certaines finissent même par renoncer à poursuivre ce cursus.

Suite à cette modification, certaines jeunes filles renoncent à poursuivre des études en soins infirmiers. Edu Suite à cette modification, certaines jeunes filles renoncent à poursuivre des études en soins infirmiers.

L’interdiction du port de signes religieux dans les établissements supérieurs décourage quelques fois de jeunes filles à poursuivre ces études.

Sur internet, nous comptons par dizaines des témoignages de demoiselles de confession musulmane voulant s’inscrire dans une haute école en soins infirmiers qui finissent par abandonner l’idée, car ne pouvant pas porter le foulard comme elles le désirent.

« J’étais aux portes ouvertes de l’ISEI à Bruxelles pensant que le voile serait accepté. Une sœur m’a dit qu’ils acceptaient les bonnets. Mais l’année prochaine les couvre-chefs aussi ne seront pas acceptés, du coup je suis trop déçue ! » peut-on lire sur un forum.

En effet, dès la rentrée 2015-2016, le port de signes convictionnels sera interdit, après avoir été toléré plusieurs années.

« Ce changement au niveau du règlement d’ordre intérieur s’est fait à la suite de la fusion de l’ISEI avec l’institut Parnasse l’an dernier. Le port du foulard était déjà prohibé au sein de cet établissement, l’ISEI s’est donc simplement aligné pour une meilleure harmonie », informe Anne Melery, directrice du site de l’ISEI à Woluwe-Saint-Lambert.

l’exécution en public d’une femme

Publié à 09:30 par fandeloup Tags : monde femme belle fille islam
l’exécution en public d’une femme

Voilà comment on décapite une femme en Arabie saoudite

Des images, tournées discrètement en Arabie saoudite, montrent l’exécution en public d’une femme dans une rue de la Mecque, ou peut-être un parking.

C’était lundi dernier. Laila Bent Abdel Mouttalib Bassim, citoyenne birmane, vivait en Arabie saoudite. La justice du roi Abdallah l’a jugée coupable d’avoir sexuellement abusé de sa belle-fille de sept ans et de l’avoir tuée.

Dans la vidéo, on voit plusieurs policiers tenter de la maintenir à terre en pleine rue pour que le bourreau lui tranche la tête. Elle clame son innocence et hurle à l’injustice jusqu’à la fin.

« Je n’ai pas tué, je n’ai pas tué, haram », hurle-t-elle. « C’est une injustice, je n’ai pas tué », répète-t-elle à plusieurs reprises. Puis, le bourreau, habillé en blanc comme à l’accoutumée dans ce pays, la frappe deux fois au cou avec son sabre.

On entend un cri strident et les hurlements de la femme cessent dès le premier coup. Puis, le bourreau se retourne et lui donne le dernier coup de grâce.

On entend le fracassement du sabre sur le sol. La tête est sectionnée. La besogne finie, il nettoie son sabre. Au-delà du crime commis par cette femme , fallait-il l’exécuter de cette manière et en public ?

Après le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo par deux fanatiques islamistes, cette exécution va ternir encore plus dans le monde l’image de islam et de ses suiveurs.

affaissement de terrain

Publié à 15:15 par fandeloup Tags : écran homme
affaissement de terrain

New York : affaissement de terrain spectaculaire à Brooklyn Mardi, au carrefour de la 5e avenue et de la 64e rue à Brooklyn, le trou est plus profond qu'un homme .

Mardi, au carrefour de la 5e avenue et de la 64e rue à Brooklyn, le trou est plus profond qu'un homme.

A New York, les habitants du quartier de Sunset Park à Brooklyn se sont réveillés mardi avec un spectacle inhabituel : un trou béant avait avalé une partie de la chaussée.

Cette doline - énorme trou causé par l'effondrement du sol - est apparue un peu après 7 heures du matin, à une intersection. Elle a avalé plus de la moitié de la rue sur quelques mètres.

Le trou est plus profond qu'un homme au carrefour de la 5e avenue et de la 64e rue à Brooklyn, et des canalisations ont été arrachées. Personne n'a été blessé.

prématuré

Publié à 13:05 par fandeloup Tags : vie monde chez article mort enfant bébé
prématuré

Ce bébé grand prématuré fait à peine la taille de votre main. Vous n'allez pas y croire !

Les médecins annoncent qu'elle ne va pas survivre mais un miracle se produit !

La petite Amillia née à un peu moins de cinq mois de grossesse, par césarienne.

Après l'opération, les médecins annoncent qu'elle ne va pas survivre. La petite fait 24 centimètres, pèse 283 grammes. À ce stade de développement, elle aurait quasiment pu être avortée. Cependant, un miracle se produit. Contre tout espoir aujourd'hui, elle fait le bonheur de ses parents...

Amillia est née à l'âge de 21 semaines. Elle vient au monde suite à une insémination artificielle : ses parents Eddie et Sonja Taylor n'arrivent pas à avoir un bébé par les moyens conventionnels. La grossesse se passe bien jusqu'à ce que Sonja soit victime d'une inflammation de l'utérus. La césarienne est nécessaire pour lui sauver la vie !

Normalement, les médecins ne tentent pas de ranimer un bébé prématuré en dessous de 24 semaines, les probabilité de survie étant trop basses.

La mère d'Amillia leur ment, en prétendant que la petite a bien l'âge minimum alors qu'elle n'a que 21 mois ! Les médecins sont très pessimistes, ils ne pensent pas qu'Amillia va survivre. Les premières heures après la naissance sont cruciales, mais par miracle, Amilia y survit !

L'enfant a du mal à respirer, elle a des problèmes cardiaques et de circulation sanguine. Pendant six semaines entières, sa mère n'a pas le droit de la tenir ! Mais la petite tient le coup ! Ses parents la baptisent Amillia, qui signifie résilience en latin.

L'enfant rentre finalement chez elle, mais a encore besoin d'une aide respiratoire.... Au bout d'un mois à la maison elle sourit pour la première fois.

Au bout de 13 mois, Amillia va très bien. Elle prononce même son premier mot : « Dadda » ! Sa mère se met à en plaisanter « Je la trouve même un peu dodue ! » Amillia survit alors qu'elle semble condamnée, elle grandit sans séquelles. Aujourd'hui, elle doit avoir neuf ans !

Cette enfant est un exemple de persévérance et de ténacité. Elle a vaincu la mort ! Bravo !

Vous avez aimé cet article? Cetet vidéo va vous plaire : Les premiers jours d'un bébé prématuré né à 5 mois et demi, impressionnant...

irm

Publié à 10:33 par fandeloup
irm

Amiens : un garçon de 13 ans perd son pouce, brûlé jusqu'à l'os, lors d'une IRM

Un oublié sur un pouce a provoqué une très grave blessure à un garçon qui passait une IRM au CHU d'Amiens. Un examen médical qui laisse des séquelles irréversibles.

«Le Courrier picard» rapporte qu'un garçon de 13 ans a eu un pouce brûlé jusqu'à l'os en passant une IRM (imagerie par résonance magnétique), lundi, au CHU (centre hospitalier universitaire) d'Amiens, dans la Somme.

La cause de ce grave dysfonctionnement est un capteur oublié sur le pouce détruit par l'examen. Lors de l'IRM, qui consiste à faire tourner un aimant autour de l'intégralité du corps afin de créer un champ magnétique, ce capteur, sans doute oublié suite à un examen préalable, a littéralement fondu.

La mère de Florian déplore non seulement que le capteur ait été oublié, mais aussi que l'équipe en charge de l'IRM n'ait rien remarqué lors de l'examen, et aussi qu'on ne l'ait pas prévenue. Son fils, atteint de trisomie, attend dorénavant une greffe et est placé sous perfusion d'antidouleurs.

Fanny, sa mère, avait pourtant alerté sur la présence du capteur avant l'examen. Elle regrette de ne pas l'avoir enlevé. Les infirmières en charge des soins de Florian assurent n'avoir jamais vu un tel incident.

L'anesthésiste, le médecin et les deux opérateurs qui ont réalisé l'IRM ont, eux, dit être désolés. Une plainte doit être déposée ce mercredi. L'hôpital a fait savoir à la mère de Florian qu'elle doit elle-même contacter le médiateur médical.

On lui a aussi fait savoir qu'elle n'aurait pas dû contacter la presse, ce qu'elle pourrait «regretter».

Hiroshima

Publié à 09:28 par fandeloup Tags : vie monde homme chez enfants
Hiroshima

Hiroshima, Tchernobyl, Fukushima: Les effets des radiations sur la santé, une bombe à retardement

 

Un homme observe les ruines de la ville d'Hiroshima après l'explosion de la bombe atomique, De notre envoyé spécial à Nagasaki, Le 6 août 1945, à 8h15, un B-29 américain largue une bombe atomique au-dessus de la ville d’Hiroshima. Plus de 80 % des habitants dans un rayon d’un kilomètre autour du point d’explosion de « Little Boy » sont tués sur le coup.

Quelque 70.000 personnes meurent instantanément, un bilan qui atteindra 140.000 victimes dans les mois suivants. Trois jours plus tard, le 9 août, les Etats-Unis lancent une nouvelle attaque sur la ville de Nagasaki, à 400km d’Hiroshima, où une deuxième bombe tue 70.000 personnes.

Le Japon entre commémoration de la paix et renforcement de son armée Au-delà de l’horreur des chiffres, les conséquences humaines sont extrêmement lourdes.

Une vie de souffrances physiques et psychologiques attend les 450.000 survivants, les « hibakusha » (« exposés à la bombe »), chez qui la force et la chaleur de l’explosion, ainsi que les radiations, provoquent d’innombrables symptômes : perte des cheveux, cicatrices chéloïdiennes, leucémie et cancers, notamment.

Les risques de cancers continuent d’augmenter chez les hibakusha « Soixante-dix ans après la bombe, les risques de cancers continuent d’augmenter chez les hibakusha », explique Noboru Takamura, professeur à l’Institut des maladies de la bombe atomique, fondé en 1962 au sein de l’université de Nagasaki.

« Les risques de leucémie ont disparu après environ dix ans, mais on observe ces dernières années des maladies de la moelle osseuse nommées MDS », pour syndromes myélodysplasiques.

Le risque de cancers multiples a aussi fortement augmenté au cours des trente dernières années, notamment chez ceux qui se trouvaient à moins d’1,5 km du centre de l’explosion. Le Dôme de la bombe atomique, à Hiroshima, a résisté à l'explosion de la bombe, presque à la verticale du bâtiment, le 6 août 1945.

Créé à l’origine pour étudier les conséquences à long terme sur la santé des hibakusha de Nagasaki, l’Institut a également dépêché des équipes à Tchernobyl quelques années après la catastrophe nucléaire de 1986, quand l’Union soviétique a autorisé l’accès aux chercheurs étrangers.

Les scientifiques ont notamment étudié les conséquences de l’exposition aux radiations, externe par les nuages radioactifs et l’environnement, mais aussi interne, par la consommation d’eau et de nourriture contaminées.

« La relation entre radiations et cancer est difficile à établir » L’accident de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi en mars 2011 a réveillé de douloureux souvenirs au Japon. Les chercheurs de l’Institut se sont rendus sur place pour fournir une assistance médicale et une information sur les risques aux habitants des environs.

« Les résidents de Fukushima n’avaient aucune connaissance sur les radiations à l’époque », note Noboru Takamura, qui souligne l’importance de la communication sur les risques. Alors que le suivi des survivants de la bombe atomique a permis de réaliser une étude sur une longue durée, l’une des plus longues au monde, le chercheur juge que dans le cas de Fukushima, « la relation entre radiations et cancer est difficile à établir » :

« Il n’y a pas de preuve de changement sur les humains pour un niveau d’exposition en dessous de 100 millisieverts », indique-t-il. Les doutes sur les risques persistent chez les habitants de Fukushima L’Institut des maladies de la bombe atomique a établi une antenne à Kawauchi, à une trentaine de kilomètres de la centrale accidentée. Le gouvernement a autorisé le retour des habitants dans le village, car « les radiations étaient plus faibles qu’aux alentours à cause de la direction des vents au moment de l’explosion », précise Noboru Takamura.

Japon : Retour des habitants dans certaines zones évacuées autour de Fukushima

Il note cependant que les doutes sur les risques persistent chez les villageois, dont plus de la moitié se disent inquiets des risques des radiations pour la santé des enfants. Mi-juillet, l’organisation écologiste Greenpeace a appelé le gouvernement japonais à reporter la levée d’ordres d’évacuation qui rendrait possible le retour des habitants autour de Fukushima, estimant, d’après des mesures effectuées sur le terrain, que la zone évacuée n’est toujours pas habitable du point de vue sanitaire.

Des enfants de 8 et 9 ans menottés à l'école

Publié à 07:32 par fandeloup Tags : enfants fille
Des enfants de 8 et 9 ans menottés à l'école

Des enfants de 8 et 9 ans menottés à l'école

L'Union américaine pour les libertés civiles a déposé une poursuite fédérale hier contre le chef du département de police de Kenton County, au Kentucky, et son shérif adjoint, qui s'est servi de menottes pour discipliner deux enfants à leurs écoles.

Le garçon de huit ans et la fille de neuf ans sont atteints de trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité, rapportent plusieurs médias américains.

Un des incidents s'est passé en novembre dernier et a été filmé par un employé de l'école.

Le policier Kevin Sumner travaille comme agent de la paix dans les écoles du district de Covington.

Les poignets de l'enfant sont tellement menus que le policier place les menottes sur ses biceps, dans son dos, alors que le garçon pleure et gémit de douleur.

Les deux enfants avaient été indisciplinés en classe. La poursuite est intentée aux noms des familles et vise à forcer le département de police à changer ses tactiques envers les enfants turbulents, particulièrement ceux qui souffrent de troubles de comportement.

tristesse

Publié à 17:39 par fandeloup Tags : vie enfant
tristesse

Paris : un enfant de 5 ans écrasé, le conducteur en fuite

L’enfant était accompagné de ses parents.

 Un drame — qui a coûté la vie à un enfant de 5 ans — s’est déroulé en début d’après-midi, ce mardi à Paris, au niveau du 129, boulevard de Ménilmontant (XIe).

L'enfant, de nationalité roumaine, a été mortellement percuté par une fourgonnette alors qu’il traversait sur un passage piéton pour rejoindre sa mère et sa tante déjà de l’autre côté du boulevard.

Malgré l’intervention rapide des pompiers, la victime, très grièvement blessée à la tête, n’a pas survécu à ses blessures.

Les circonstances de l’accident pour lequel une enquête a été ouverte restent encore confuses.

Selon un témoignage rapporté par « Libération », l’enfant aurait été renversé alors qu’il tentait de fuir la police qui intervenait sur le marché clandestin où ses parents se rendaient.

Une version formellement démentie par la préfecture de police de Paris, qui précise qu’aucune opération n’était en cours au moment du drame

Les deux occupants du véhicule en cause ont abandonné leur fourgonnette avant de prendre la fuite à pied. Hier soir, ils étaient toujours activement recherchés.

vengeance

Publié à 17:22 par fandeloup Tags : mort vie
vengeance

Une célèbre chasseuse de braconniers a juré de venger la mort de Cecil le lion

Une ex-marine américaine très célèbre qui s’est convertie en « chasseuse de braconniers » a annoncé ce matin qu’elle allait personnellement « traquer » les braconniers responsables de la mort de Cecil le lion.

Kinessa Johnson originaire de Yelm, dans l’état de Washington, travaille pour l’association de formation de gardes forestiers Veterans Empowered to Protect African Wildlife (VETPAW), pour capturer et détenir des assassins de la vie sauvage.

L’organisation a été fondée par un ex-marine et est constituée d’anciens soldats qui se sont engagés après les attaques du 11 septembre.

« Mes intentions sont de ne jamais blesser qui que ce soit; Et je ne prends aucun plaisir à blesser ou même à tuer des braconniers, mais, d’un point de vue pratique, c’est la seule façon d’enrayer le braconnage, » dit-elle à des journalistes locaux.

Johnson qui travaille pour l’organisation VETPAW a juré de « traquer » les assassins de Cecil le lion. La vétérante de l’Afghanistan et spécialiste dans les opérations de renseignement a dit que le meurtre de Cecil l’a lourdement affectée.

« J’avais rencontré Cecil le lion plusieurs fois durant ces dernières années tandis que je formais les gardes du parc national de Hwange à des tactiques d’anti-braconnage. Cecil était comme un membre de ma famille, donc cette fois-ci, c’est définitivement personnel, » a t-elle expliquée, visiblement outrée par toute cette affaire.

La vétérante qui a abattu 27 braconniers a admis que la traque de Walter Palmer sera plus difficile que prévue.

« Aussi longtemps qu’il se planquera aux USA, on ne pourra rien faire, mais le braconnage est puni de la peine de mort au Zimbabwe qui lui dépend énormément de son industrie du tourisme. Si nous arrivons à obtenir un mandat d’arrêt international et que nous obtenons la coopération des autorités américaines pour extrader cet assassin, vous pouvez être sûr et certain que Cecil sera vengé, » a t-elle reconnu.

Walter Palmer, un dentiste de 55 ans du Minnesota a été identifié par les forces de l’ordre Zimbabwéennes comme étant celui qui a tué et dépecé Cecil le lion. Le meurtre des espèces menacées d’extinction est puni de la peine de mort au Zimbabwe depuis 2009.

portables dans les blocs opératoires

Publié à 15:32 par fandeloup Tags : mode image vie monde enfants france société photos femme 2010 jeux
portables dans les blocs opératoires

L'inquiétante omniprésence des portables dans les blocs opératoires

Le smartphone est omniprésent en chirurgie et pas toujours pour des raisons professionnelles. C'est l'inquiétante conclusion d'une enquête du site médical Medscape.

Les hôpitaux ont fait la guerre aux patients pour qu’ils éteignent leurs portables, mais ils n’ont pas vu venir l’intrusion des téléphones du personnel dans les salles d’opération.

Des anesthésistes qui envoient des textos en surveillant d'un oeil la péridurale, des infirmières qui jouent à Candy Crush au-dessus du champ opératoire et même des chirurgiens qui répondent aux appels de femme et enfants avant d'empoigner le bistouri...

Autrefois sanctuarisées, silencieuses et rythmées par le bip régulier des machines, les salles d'opération sont aujourd'hui pleines des vibrations, des sonneries et des jingles de jeux.

Les téléphones, de vrais nids à microbes .. des téléphones portables du personnel médical. Intrus devenu aussi indispensable que dévorant, le smartphone commence à poser de sérieuses questions à l'hôpital, comme le révèle l'enquête relayée par le site d'information de la communauté médicale Medscape France.

« Alors que les centres hospitaliers ont longtemps exigé de leurs patients la bascule en mode avion, ils n'ont pas vu venir l'addiction au portable de leurs propres salariés », explique la docteur Catherine Desmoulin, du site Medscape.

« Les smartphones ont leur utilité, y compris médicale, mais en salle de réanimation ou d'opération, ça pose quand même de sacrés problèmes d'hygiène, de distraction et de droit à l'image des patients aussi, car les étudiants s'envoient à la pelle des photos d'opération... »

Adopter une ligne de conduite Pour l'instant, ce sont surtout les Etats-Unis qui s'en alarment, à la suite de dérives ubuesques. Mais de plus en plus de praticiens français se disent qu'il faut adopter une ligne de conduite pour éviter d'en arriver là.

Là ? Au Texas, une patiente de 61 ans opérée pour un problème cardiaque est décédée parce que l'anesthésiste chargée de la surveiller avait le nez dans ses mails.

Et un autre patient, resté partiellement paralysé après une intervention chirurgicale, a pu prouver que son neurochirurgien avait passé au moins dix coups de fil personnels pendant l'intervention. Sans aller jusqu'au cas de cette Jordanienne qui s'est retrouvée avec un portable vibrant dans l'abdomen après une césarienne...

« On n'a encore jamais eu de pépin... mais tout le monde a le portable au bloc et tout le monde l'utilise », confirme le professeur Fabrice Lécuru, qui dirige le service de chirurgie cancérologique, gynécologique et du sein à l'Hôpital européen Georges-Pompidou, à Paris, et qui prend toujours le soin d'éteindre le sien... « Ça commence à devenir un problème.

On ne peut pas correctement faire deux choses en même temps ! On interdit aux gens d'avoir le portable au volant et c'est autorisé en opérant... ! » Non seulement les chefs de clinique sont selon lui constamment appelés sur leurs portables internes à l'hôpital — sans qu'il y ait urgence —, mais beaucoup de portables personnels sont activés « pour des trucs qui n'ont rien à voir avec la médecine.

Ça ne téléphone pas à haute voix, évidemment, mais ça pianote à tout-va ». Le panneau avec le téléphone barré qui posait un interdit clair à l'entrée de la salle d'opération a disparu depuis longtemps. Pourtant, la circulaire de 1995 qui interdit l'usage du portable dans les hôpitaux est toujours en vigueur, même si elle a été assouplie en Ile-de-France par l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris en 2010, quand il est devenu évident que les mobiles ne perturbaient pas les machines.

Alors, faut-il sévir, rappeler et réactiver les zones « mobile free » ? « Les smartphones nous sont utiles », tempère la docteur Ségolène Arzalier-Daret, dans une enquête réalisée pour la Société française d'anesthésie et de réanimation (Sfar).

« La profusion d'applications destinées aux professionnels nous encourage à les utiliser : outils d'aide à la décision, calculs de scores, convertisseurs, dictionnaire de médicaments...

Mais une mise à jour des règles encadrant leur usage est sans doute nécessaire. Une procédure plus adaptée à notre vie actuelle sera sans doute mieux respectée ! »