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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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Peine de mort

Publié à 08:31 par fandeloup Tags : mort argent vie
Peine de mort

Peine de mort: trois fois plus cher pour l'État que la prison à vie

Sur la peine de mort, Pierre-Hugues Boisvenu s'est dit contre, mais a avancé que la chose devrait être reconsidérée pour certains cas, quand il n'y a aucune possibilité de réadaptation.

(Québec)

Les prisonniers condamnés à la peine de mort coûtent trois fois plus cher à l'État que ceux incarcérés à vie, révèlent plusieurs études américaines, dont la dernière a été publiée en juin en Californie, où 714 détenus attendent dans les couloirs de la mort.

«On a l'impression que ce serait beaucoup plus économique de tout simplement exécuter les détenus, mais la réalité est tout autre», affirme d'entrée de jeu l'avocate et professeure à l'École de droit de Loyola à Los Angeles Paula Mitchell.

La coauteure de la recherche très médiatisée portant sur les coûts associés à la peine capitale dans l'État américain qui compte le plus grand nombre de prisonniers en attente du châtiment ultime soutient que plusieurs des 34 États américains qui ont recours à cette pratique évaluent présentement ses coûts-bénéfices pour voir s'ils ne dépensent pas eux aussi leur argent «inutilement».

Selon Mme Mitchell, les interminables procès des criminels condamnés à mort, leur représentation légale ainsi leur incarcération qui requiert des normes de sécurité très élevées représentent des dépenses faramineuses et inutiles pour les États.

Ainsi, l'étude coécrite par le juge Arthur L. Alarcon révèle que les condamnés à mort en Californie coûtent 184 millions $US de plus au gouvernement que ceux qui sont incarcérés à vie sans possibilité de libération.

Par année, le gouvernement californien dépenserait annuellement environ 150 000 $US par détenu qui attend que l'on mette fin à ses jours contrairement à 50 000 $US pour les prisonniers qui termineront leur vie derrière les barreaux.

«On peut faire beaucoup de choses avec 100 000 $, comme investir dans des programmes sociaux», suggère la professeure.

Selon Richard Dieter, le directeur du Death Penalty Info Center, un organisme américain basé à Washington, l'étude californienne n'est pas la première à révéler qu'aux États-Unis, il est trois fois plus dispendieux de garder des détenus dans les couloirs de la mort que de les incarcérer à vie

. Une recherche similaire publiée en 2009 au Maryland serait notamment arrivée aux mêmes conclusions.

«Un cas de condamné à mort coûte 3 millions $, alors qu'un cas d'individu emprisonné à perpétuité s'élève à 1 million $», soutient le professeur en droit spécialisé sur la peine de mort.

Depuis la réintroduction de la peine de mort en Californie en 1978, seulement 13 des 92 prisonniers condamnés à mort décédés ont été exécutés par l'État alors que 54 sont morts de causes naturelles, 18 se sont suicidés et six autres sont décédés pour des raisons indéterminées ou à la suite de violences entre détenus.

Mais au cours de cette période, le gouvernement californien a dépensé 4 milliards $US pour soutenir son système permettant les mises à mort ou 308 millions $US pour chacun des 13 individus exécutés.

Fausse perception «C'est vraiment une fausse perception de croire que mettre à mort des prisonniers coûte moins cher que les incarcérer à vie sans possibilité de libération qui est la solution privilégiée pour les crimes les plus haineux», soutient Mme Mitchell.

«Parce que c'est la sentence ultime, les individus condamnés à mort ont droit à un nombre de procédures et de protections qui n'existent pas pour ceux qui seront emprisonnés à perpétuité», explique la juriste.

Par exemple, ces criminels sont représentés par deux avocats plutôt qu'un seul. Les enquêteurs qui travaillent sur leur procès sont plus nombreux et la sélection du jury est excessivement longue et coûteuse, ajoute l'avocate.

«De plus, il ne faut pas oublier que bien souvent, ils interjetteront appel, ce qui allonge le temps passé en prison», soutient Paula Mitchell. Selon cette dernière, entre le moment où un criminel est arrêté est son exécution, il peut s'écouler jusqu'à 30 ans.

«Il y a des détenus octogénaires», illustre celle qui croit qu'avant de songer à rétablir la peine de mort au Canada, le gouvernement devrait se pencher sur les évaluations économiques réalisées à ce sujet.

prison

Publié à 07:26 par fandeloup Tags : éléments bonne sport
prison

La prison de Nîmes : 1,33 m² par détenu.

Le dossier au Conseil d’Etat Les juges de Nîmes ne devraient envoyer que des grands maigres en prison, pour qu’ils soient moins serrés. Les détenus sont trois, voire quatre, dans des cellules de 9 m² ; à trois, si l’on retranche la surface au sol des meubles et des sanitaires, il reste 1,33 m² par personne : l’équivalent d’une serviette de bains, et sortir son mouchoir, c’est cogner son voisin.

Or les détenus sont nombreux à fumer, les fenêtres ne s’ouvrent que de 10 cm, et on reste au moins vingt heures par jour en cellule, dans le bruit, l’odeur et la bonne humeur qu’on imagine

. L’Observatoire international des prisons (OIP) a porté ces conditions de détention en référé, mercredi 29 juillet, devant le Conseil d’Etat.

La maison d’arrêt de Nîmes, mise en service en 1974, compte 192 places et abritait 393 personnes au 1er mai, soit un taux d’occupation de 205 % - on a déjà atteint une fois les 240 %.

Tous les soirs, on installe en prison plus de 50 matelas par terre ou sur des armoires couchées sur le sol

Du coup, « il n’est pas possible de séparer les personnes prévenues des personnes condamnées, reconnaissait dès 2012 le Contrôleur général des lieux de privation de liberté, les primo délinquants des personnes faisant partie du grand banditisme, les fumeurs des non-fumeurs ».

La violence augmente en conséquence, et comme l’admettait en 2013 dans Libération, Stéphanie Touret, la directrice adjointe de la maison d’arrêt, « le temps de sport est insuffisant pour tous et le prof est bien seul.

Bref, l’oisiveté augmente : faute d’activités en nombre suffisant, les détenus passent plus de temps en promenade ou en cellule, ce qui provoque plus de conflit.

Ce n’est pas dans la cour de promenade que le détenu travaille à sa réinsertion »touret.

Mais c’est là que se règlent discrètement les comptes, et des détenus n’osent plus sortir - « certains disent ne pas voir quitté leur cellule depuis plusieurs semaines », relevait le Contrôleur des prisons en 2012, pour ne plus recevoir « des bouteilles remplies d’eau de Javel, d’eau ou d’urine, des pierres et des morceaux de béton ».

Contexte explosif

La direction reconnaît depuis des années que le contexte est « explosif », pourtant le budget de la maison d’arrêt a baissé de 13 % entre 2011 et 2012, puis de 5,65 % de 2012 à 2013. Du coup, les seuls travaux possibles ont été de faire parvenir en 2013 l’eau chaude jusqu’aux cellules du quartier des hommes.

L’OIP a ainsi bâti un solide dossier, défendu par Nicolas Ferran, le juriste de l’association, et Me Patrice Spinosi, avocat au Conseil.

Le tribunal administratif de Nîmes a lui considéré, le 17 juillet, qu’il n’y avait pas de quoi en faire un plat et a rejeté la longue liste de « mesures d’urgence » exigée par l’association.

En appel et devant le Conseil d’Etat, mercredi, l’OIP est venu rappeler ces « atteintes graves et manifestement illégales aux droits fondamentaux » devant le juge des référés, Mattias Guyomar - le conseiller d’Etat avait forcé le ministère en décembre 2012 à engager des travaux à la prison des Baumettes à Marseille.

L’administration, passablement mal à l’aise, a tenté de répliquer dans un flou remarquable et le juge lui a donné vingt-quatre pour rassembler quelques éléments de réponse objectifs. Décision jeudi en fin de journée.

un policier blanc abat un homme noir

Publié à 18:52 par fandeloup Tags : écran homme chez enfants mort voiture
un policier blanc abat un homme noir

Etats-Unis : un policier blanc abat un homme noir lors d'un contrôle routier à Cincinnati

Le policier a été inculpé pour meurtre. L'analyse des images de la caméra du policier a révélé qu'il n'était pas en danger lorsqu'il a tiré sur le conducteur du véhicule.

Une vidéo accable à nouveau la police américaine. Un officier blanc a été inculpé du meurtre "insensé" d'un homme noir, abattu lors d'un contrôle routier à Cincinnati (Ohio), a indiqué le procureur chargé du dossier, mercredi 29 juillet.

Le policier a plaidé "non coupable". Ray Tensing, âgé de 25 ans, est accusé d'avoir tué, le 19 juillet, Sam DuBose, 43 ans et père de 10 enfants. Dans un premier temps, le policier avait déclaré aux enquêteurs avoir tiré parce qu'il avait été entraîné par la voiture de la victime quand elle a pris la fuite.

Mais l'analyse des images de la caméra du policier a révélé qu'en réalité, il n'avait jamais été en danger. Une vidéo compromettante La vidéo montre ainsi Ray Tensing s'approcher du véhicule de Sam DuBose.

Alors qu'il lui réclame ses papiers, Sam DuBose demande pourquoi on l'arrête et explique avoir oublié son permis de conduire chez lui. Ce dernier essaye alors de démarrer la voiture et, en une fraction de seconde, un pistolet apparaît dans le champ de la caméra.

Le coup de feu part. Les images sautent pendant la course du policier derrière la voiture qui va finir sa course sur le bas-côté. Attention : le contenu de la vidéo peut choquer Un geste "tellement insensé"

Le policier n'avait "pas affaire à quelqu'un qui était recherché pour meurtre, il avait affaire à quelqu'un qui avait une plaque d'immatriculation manquante", a déclaré à la presse Joseph Deters, procureur du comté de Hamilton. "Vous ne pourriez pas croire la rapidité avec laquelle il a dégainé son arme et lui a tiré dans la tête. Peut-être une seconde.

C'est incroyable. Et tellement insensé, a relevé le procureur, avant de diffuser la vidéo. Je pense qu'il a perdu son calme parce que Sam DuBose refusait de sortir de son véhicule."

Plusieurs bavures policières en un an Une manifestation, encadrée par des policiers, a été organisée mercredi soir à Cincinnati. Par précaution, l'université de la ville avait fermé son campus et installé des barricades aux entrées, craignant d'éventuels débordements.

De graves émeutes avaient secoué la ville en 2001 après la mort d'un jeune homme noir non armé, tué par un policier blanc. Plusieurs bavures policières impliquant des policiers blancs ont ravivé depuis un an les tensions raciales aux Etats-Unis et relancé le débat sur la violence policière.

En particulier, parce que la plupart des policiers mis en cause n'ont pas été poursuivis.

Cette maman a accouché en quelques minutes

Publié à 17:43 par fandeloup Tags : vie monde dieu femmes enfant voiture bébé
Cette maman a accouché en quelques minutes

Cette maman a accouché en quelques minutes dans sa voiture et la vidéo est IMPRESSIONNANTE

Cette vidéo a fait le tour du web ces derniers jours. Une maman a mis au monde son bébé alors qu'elle était encore dans la voiture qui la menait à l'hôpital.

Le papa qui conduisait, a filmé la scène avec sa Gopro. Une vidéo impressionnante qui nous prouve que la vie nous réserve de sacrée surprises. Pour de nombreuses femmes, l'accouchement est bien souvent interminable.

Mais Lesia, une jeune maman texane, ne peut clairement pas en dire autant. Dans une vidéo qui a été vue plus de 15 millions de fois, on découvre son accouchement ultra rapide.

Alors que son mari l'accompagne à l'hôpital, la jeune maman s'est retrouvée dans une situation pour le moins inattendue. Après 45 minutes de trajet, les contractions sont de plus en plus fortes et de plus en plus rapprochées.

Si la maman tente de garder son calme, elle a de plus en plus de mal à gérer la douleur. Car bébé, lui ne veut pas attendre. Il est prêt à sortir d'une minute à l'autre. Quelques minutes, plus tard, il pointe le bout de son nez. La mère enlève son pantalon et accouche seule dans la voiture à côté de son mari : "Ca fait si mal, mon dieu, le bébé sort, c'est un garçon" hurle-t-elle.

Sans aide médicale ni péridurale, elle met au monde son enfant alors que le père conduit toujours. Une scène quasi surréaliste mais bien réelle qui s'est déroulée aux Etats-Unis, le 13 juillet dernier. Le bébé va d'ailleurs très bien et se prénomme Josiah.

En tout cas, il pourra se vanter d'avoir filer une grosse frayeur à ses parents et d'avoir impressionné le monde entier.

honteux

Publié à 15:49 par fandeloup Tags : histoire mode
honteux

On a refusé à une Française une aide alimentaire pour un dépassement de plafond de 17 centimes

Ceci est une information exclusive, nous avons eu le privilège de recueillir le témoignage du Président de l’association SOS SANS ABRIS, Monsieur Claude Huet nous faisans part d’une histoire assez sordide des pouvoirs publics refusant une aide alimentaire à une personne française de 50 ans, pour un simple dépassement le plafond autorisé de seulement 17 centimes, ou quand on donne une réponse négative à une demande de secours d’urgence de 150€ à un autre de 47 ans dont les revenus sont inférieur à 400€, c’est à se demander si aujourd’hui si le Gouvernement se préoccupe réellement des français qui sont aujourd’hui à la rue ou dans une souffrance économique morbide et indigne.

A l’heure ou nous accueillons des centaines de milliers de migrants qui sont plus là pour des raisons économiques que pour des raisons humanitaires et que nous leurs offrons des logements après les avoir fraîchement expulser de leurs campements , des aides en pagailles qui parfois sont rejetées comme parfois des vêtements offerts car ils ne sont pas à leurs goûts, c’est sans équivoque que nous demandons si le mot patriotisme n’est pas un peu bafoué et la devise de notre Nation que nous aimons voir arborer aux abords des Mairies, Préfectures etc… le célèbre LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE ne serait pas en désuétude avec la mauvaise conformité du « mieux vivre ensemble » voulue par le Gouvernement de Manuel Valls.

Il est dit par le Président de cette association « Au nom de quoi, de qui et pourquoi condamne t’ont nos compatriotes à de telles punitions ? » tout simplement qu’aujourd’hui ou dans deux ans le fameux Président de la République qui se sent apparemment d’attaque pour combler un second mandat a plus besoin de francisé de nouveaux arrivants qui iront sans problème gonfler le nombre de ses voix que des patriotes qui sont aujourd’hui, à la rue, qui n’arrive plus à manger convenablement, qui sont aujourd’hui dans un abandon de l’état ou ils sont nés.

A ce stade, la seule solution est de déployer toute cette quintessence du « ras le bol » patriotique à la mode « mai 68? afin que les millions de français qui en ont marre de ce « jemenfoutisme » proclamé par le Gouvernement afin qu’il y ait véritablement des solutions, ce que font les agriculteurs qui en ont marre, doit se faire plus massivement. Mais ça, encore faut-il que ça soit fait !

Témoignage du responsable de l’association

Jean-Pierre Pernaut s'emporte

Publié à 15:02 par fandeloup Tags : monde mer femme
Jean-Pierre Pernaut s'emporte

Jean-Pierre Pernaut s'emporte contre la privatisation de la plage de Vallauris

RAS-LE-BOL - Le présentateur du JT de TF1 est en colère. Il reproche à l'administration française de faire un peu trop de "zèle" avec les vacanciers, au regard des avantages accordés au roi d'Arabie Saoudite à Vallauris-Golfe Juan.

Son compte, qui relaie nombre de publications de sites complotistes, a été suspendu. Jean-Pierre Pernaut n'est pas d'humeur. Le journaliste, actuellement en vacances, est en colère après l'Etat français, considérant que le traitement réservé aux touristes et vacanciers est difficile en comparaison à celui réservé au roi d'Arabie Saoudite qui, actuellement en vacances à Vallauris-Golfe Juan, a réussi à faire privatiser une plage publique, le temps de son séjour.

Une privatisation qui n'est pas du goût de tout le monde, tant la logistique et le dispositif de sécurité mis en place sont lourds.

Et parmi les personnes qui goûtent peu à ce passe-droit accordé au roi Salmane, Jean-Pierre Pernaut, présentateur du JT de TF1.

Ce dernier a poussé une "gueulante" 2.0 sur sa page Facebook. "Filer un grand coup de balai dans toutes ces règles à la c.." "C'est ballot ! J'aurais dû penser à faire privatiser ma plage le temps des vacances... Mais là où je suis, l'Administration fait le contraire. Elle emmerde les plagistes (et les vacanciers) en multipliant les contrôles, en mesurant la distance des matelas de la mer, la largeur des espaces qui ont été réduits cette année. 6000 emplois perdus cet été sur le littoral..." dénonce le journaliste.

Conduire sans permis

Publié à 14:08 par fandeloup
Conduire sans permis

Conduire sans permis pourrait bientôt ne plus être un délit

Cette réforme vise à rendre les sanctions plus rapides et systématiques, selon le ministère de la Justice. .

Rouler sans permis de conduire pourrait ne plus vous amener à la barre du tribunal.

Un projet de loi que doit présenter Christiane Taubira vendredi en Conseil des ministres prévoit de transformer ce délit en une simple contravention, révèle La Croix jeudi 30 juillet.

Le projet de loi sur "la justice du XXIe siècle" prévoit entre autres que le défaut de permis de conduire (ainsi que le défaut d'assurance) fera l'objet d'une amende forfaitaire de 500 euros, minorée à 400 euros en cas de paiement dans les quinze jours, et majorée à 750 euros au-delà de 45 jours.

Actuellement, il s'agit d'un délit puni au maximum d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. Peine aggravé pour les récidivistes

Pourquoi cette évolution ?

L'exposé des motifs du projet de loi explique que la sanction sera "plus rapide et plus systématique", la Chancellerie mettant en avant une "répression automatique" qui évitera les longues procédures devant les tribunaux.

Pour éviter d'être taxé de laxisme, le ministère assure que les 500 euros d'amende prévus sont plus élevés que la moyenne des amendes prononcées par la justice.

Cependant, le projet de loi promet davantage de fermeté pour les récidivistes. "Lorsque les faits seront commis de façon renouvelée, ou commis en même temps que d’autres infractions, ils continueront de constituer des délits", prévoit le projet de loi, avec une peine maximale de deux ans de prison, soit le double de la peine actuelle.

la «mamie éventreuse»

Publié à 11:57 par fandeloup Tags : écran femme vie chez cadre actrice
la «mamie éventreuse»

Russie : la «mamie éventreuse» avoue plusieurs meurtres dans son journal intime

Soupçonnée d’avoir démembré l’une de ses connaissances, une retraitée de Saint-Pétersbourg

La tueuse en série Tatiana Samsonova est surnommé par les médias ma «Mamie éventreuse».

Très vite surnommée par les tabloïds, «Granny the Ripper» -en français «Mamie éventreuse» -

Tamara Samsonova, 68 ans, a été arrêtée cette semaine car suspecte dans le meurtre d'une personne âgée de 79 ans. Elle est soupçonnée de l'avoir empoisonnée, d'avoir découpé son corps et de l’avoir dispersé près d’un étang de de Saint-Petersboug.

Le torse décapité, un bras et une jambe ont été découverts par la police. Mais son journal intime révèle des détails bien plus effrayants sur son passé...

Selon le Moscow Times, c'est grâce à des caméras de surveillance, situées non loin du lieu de la découverte des membres de la victime, que Tamara Samsonova a été identifiée.

Trois jours avant la découverte du corps, elle a été filmée par des caméras de vidéosurveillance entrant dans ce qui semble être un hall d'immeuble dans un accoutrement digne de la fameuse série «Dexter». Capuche sur la tête, la sexagénaire est aperçue un sac plastique à la main.

La suspecte filmée transportant ce qui pourrait être les membres de sa victime Très vite, la police retrouve la mamie et l’interroge. Lors d’une fouille dans son appartement, les enquêteurs découvrent un petit carnet dans lequel elle confesse non pas un mais plus d'une dizaine de crimes.

Le tout agrémenté de détails macabres. Les récits sont écrits en russe, anglais et allemand, rapporte le Daily Mail. «Un journal intime a été trouvé. La femme y décrit des meurtres qui ont eu lieu il y a plus de dix ans.

La police étudie toutes les affaires non-résolues depuis 20 ans», raconte une source policière. Si la police n’a aucune preuve véritable que la «Babuchka Yaga» -d'après un personnage terrifiant des contes russes- soit l’auteur des meurtres décrits dans le journal intime, certains détails tendent à le confirmer.

Scie, couteau et sang dans l'appartement En effet, selon les médias russes, un meurtre aurait eu lieu en 2000 dans l’appartement de Samsonova. En 2003 également, elle se serait disputé avec son colocataire et l’aurait également tué. C’est chez elle qu’elle aurait découpé les corps.

La police a retrouvé dans l’appartement une scie, un couteau et découvert des traces de sang dans la salle de bain, précise le Daily Mail. Par ailleurs, en 2005, la mamie macabre avait déclaré la disparition de son mari.

Le corps de ce dernier n'a jamais été retrouvé. Enquête sur au moins 14 meurtres Depuis le début de sa détention, Tamara Samsonova aurait raconté plusieurs histoires dont certains détails s’opposeraient. Elle aurait par exemple expliqué à la police qu’elle était une actrice puis qu’elle était diplômée de l’Académie de Vaganova, héritière de la prestigieuse Ecole impériale du ballet russe.

Elle a ensuite changé sa version et raconté qu’elle avait travaillé toute sa vie comme employée dans l’un des hôtels les plus prestigieux de Saint-Petersbourg. Dans le cadre de l’enquête, Tamara Samsonova fait l’objet d’une expertise psychiatrique, rapporte les médias russes. L’investigation concerne désormais 14 meurtres.

Garçon brûlé au 2e degré

Publié à 09:51 par fandeloup Tags : enfants jeux
Garçon brûlé au 2e degré

Un garçon d'un an devrait savoir aujourd'hui s'il subira des greffes de peau aux pieds, après avoir été brûlé grièvement lundi, en s'amusant dans des jeux d'eau à Georgetown, en banlieue de Toronto.

L'enfant a marché sur des panneaux de métal au sol, à quelques mètres de l'aire de jeu. Ces plaques recouvrent les valves du système d'eau des jets, comme c'est souvent le cas pour nombre de municipalités.

Or, le métal, exposé au soleil, était brûlant, raconte sa mère, Jill Pelvin. L'enfant a aussi été brûlé à la main droite. Il a été transporté d'urgence à l'Hôpital pour enfants de Toronto, où les docteurs lui ont prescrit de la morphine pour apaiser sa douleur.

Il devait rencontrer à nouveau des spécialistes, aujourd'hui, pour la suite de son traitement. Les autorités municipales ont installé une clôture autour des portes de métal, à la suite des événements. L'avertissement « Danger » est apposé sur les plaques, ce qui n'est souvent pas le cas dans des aires de jeux d'eau semblables à Toronto, par exemple.

Néanmoins, Mme Pelvin envisage de poursuivre sa municipalité pour négligence.

Une porte-parole municipale indique qu'une enquête est en cours.

L'affaire Maddie McCann

Publié à 15:29 par fandeloup Tags : mort fille enfant rose homme
L'affaire Maddie McCann

L'affaire Maddie McCann rebondit en Australie

Un corps retrouvé dans une valise en Australie pourrait être celui de Maddie, disparue en 2007 à l’âge de 3 ans.

Et si la solution de l'affaire Maddie McCann, cette petite Britannique disparue en 2007 à l'âge de 3 ans, alors qu'elle était en vacances avec ses parents dans le sud du Portugal, se trouvait en Australie ?

Une hypothèse hautement improbable, mais à laquelle Scotland Yard, qui enquête en vain dans ce dossier depuis des années, a décidé de s'accrocher.

Début juillet, un motard circulant dans le Sud australien, près d'Adélaïde, tombe sur une valise abandonnée en bord de route. A l'intérieur, une macabre découverte : un cadavre décomposé, vraisemblablement celui d'un enfant.

Dans la valise, une robe noire de petite danseuse, des chaussons roses, des shorts, un tee-shirt de Dora l'exploratrice, un pantalon rose.

Aussitôt avisées, les autorités australiennes pratiquent des premières analyses qui concluent que le cadavre est celui d'une fillette aux cheveux clairs, certainement âgée entre 2 et 4 ans au moment de sa mort, qui remonterait à 2007.

Ce qui correspond en tout point au dossier McCann. Informés de cette découverte, les enquêteurs britanniques ont aussitôt demandé des informations à leurs homologues australiens, tandis que les médias anglais sont en effervescence.

Mais en Australie, l'affaire agace au plus haut point. « Il n'y a absolument aucune preuve qu'il s'agisse de Madeleine McCann, a martelé le commissaire Grant Stevens. Affirmer une telle chose à ce stade serait de la pure spéculation pour attirer l'attention. »

Tout dépend désormais du bon vouloir des autorités australiennes pour réaliser des analyses génétiques plus poussées. Ce rebondissement spectaculaire de l'autre côté du globe n'est pas le premier dans ce dossier qui passionne les Britanniques.

En 2007, les parents de la petite Maddie avaient d'abord été soupçonnés d'avoir fait disparaître leur fillette, mis en examen par la justice portugaise, puis relaxés. A plusieurs reprises, des témoins ont été persuadés d'avoir aperçu la petite fille en Nouvelle-Zélande, à Chypre...

Des pédophiles britanniques ont été soupçonnés. En 2013, les enquêteurs londoniens ont diffusé le portrait-robot d'un homme aperçu à plusieurs reprises près de l'appartement que louaient les McCann au Portugal, certains indiquant qu'à un moment il portait un jeune enfant dans ses bras.

Un portrait vieilli de la fillette est même diffusé. Sans plus de résultats. En décembre dernier, Scotland Yard avait même interrogé un pédophile britannique incarcéré à Malte.

Roderick MacDonald, 77 ans, était dans le sud du Portugal quand Maddie a disparu. Quelques années auparavant, il avait été condamné pour une agression sur une fillette de 8 ans, en Australie.