Selon une étude réalisée en octobre et novembre derniers, la pratique du vélo est de plus en plus courante, encouragée notamment grâce aux deux-roues en libre-service dans les grandes agglomérations. Alors chers conducteurs, pensez à contrôler régulièrement vos rétroviseurs et votre angle mort, et amis cyclistes, faites-vous voir en portant l’équipement adapté et en respectant le code de la route !
Alors que la NASA continue à traquer de très près un astéroïde de 45 mètres de diamètre qui frôlera la Terre vendredi soir, une pluie de météorites a provoqué, vendredi, de violentes explosions dans les basses couches de l'atmosphère au-dessus de l'Oural et de régions du centre de la Russie. Lire aussi : L'astéroïde 2012-DA 14, si proche de la Terre... "Un météorite s'est désintégré au-dessus de l'Oural, brûlant partiellement dans les couches basses de l'atmosphère. Des fragments du météorite ont atteint la Terre et sont tombés dans des zones peu habitées de la région de Tcheliabinsk", a indiqué l'antenne locale du ministère russe des situations d'urgence dans un communiqué. Selon la même source, l'onde de choc a soufflé les vitres "des étages supérieurs des immeubles". Les météorités ont fait près d'un millier de blessés, selon le gouverneur de la région de Tcheliabinsk, Mikhaïl Iourevitch, cité par l'agence publique Ria Novosti. La plupart ont été touchées par des éclats de verre. L'administration de la ville de Tcheliabinsk, citée par Interfax, a pour sa part fait état de nombreux blessés, sans donner de chiffres. "A 11 heures (6 heures à Paris), nous avons de nombreux appels pour des traumatismes, des coupures et des contusions", ont indiqué les autorités locales citées par Interfax. L'onde de choc a soufflé les vitres du bureau d'Itar-Tass dans le centre de Tcheliabinsk, a indiqué l'agence. Un mur s'est effondré dans une usine de Tcheliabinsk, selon un employé cité par Interfax, qui fait état de trois ou quatre blessés sans gravité. Le ministère des situations d'urgence a indiqué avoir mobilisé 20 000 hommes, placés en état d'alerte, et trois avions ou hélicoptères pour inspecter les territoires. Le ministère a appelé la population à ne pas céder à la panique. A environ 200 km plus au sud-est, à Ekaterinbourg, des témoins ont vu dans le ciel la trace d'un objet en train de chuter.
Le pire cauchemar des arachnophobes est devenu réalité. La semaine dernière, à Santo Antonio da Platina, une petite ville du sud du Brésil, des centaines d'araignées se sont amusées à tisser leur toile au-dessus des habitants. Pendant plusieurs heures, elles se sont promenées le long des fils qu'elles avaient étendus entre des poteaux électriques, recouvrant le ciel d'un nuage tacheté de noir.
Une vision d'horreur qu'un témoin a pris soin de filmer. Sa vidéo, postée le 7 février sur Youtube, a déjà fait le tour du monde et fasciné les médias brésiliens.
Loin de vouloir effrayer les habitants de cette commune subtropicale, ces araignées, qu'une biologiste brésilienne a identifié comme des Anelosimus Eximius, cherchaient simplement à dresser un piège imparables aux insectes dont elles souhaitaient se nourrir. Très sociables, elles ont l'habitude de chasser à plusieurs l'après-midi pour s'adonner ensemble à un joyeux festin. Dans d'autres lieux, elles auraient tissé leur toile entre les arbres, il fallait faire avec les moyens du bord...
Gaspillage alimentaire : un tiers de la nourriture est gaspillée ou perdue tous les ans dans le monde
Les consommateurs et les détaillants de denrées alimentaires peuvent, par de simples gestes, réduire considérablement les 1,3 milliard de tonnes de nourriture perdues ou gaspillées chaque année et contribuer ainsi à bâtir un avenir durable, selon une nouvelle campagne mondiale pour la réduction du gaspillage alimentaire lancée par le Programme des Nations Unies pour l'envir...onnement (PNUE), la FAO et leurs partenaires.
La campagne Think.Eat.Save (Réduisez votre empreinte) vient appuyer l'initiativeSave Food (gérée par la FAO et Messe Düsseldorf) qui vise à réduire les pertes et le gaspillage alimentaires le long de la chaîne de production et de consommation alimentaires. Elle s'inscrit aussi dans la logique des initiatives Faim Zéro du Secrétaire général des Nations Unies.
La nouvelle campagne cible spécifiquement les aliments gaspillés par les consommateurs, les détaillants et le secteur hôtelier et de la restauration. Elle mobilise l'expertise d'un certain nombre d'organisations, notamment WRAP (Waste and Services Action Programme) et Feeding the 5000 ainsi que d'autres partenaires, sans oublier les gouvernements nationaux qui bénéficient d'une expérience notable en matière de ciblage et de modification des pratiques entraînant du gaspillage.
Think.Eat.Save. vise à accélérer la lutte contre le gaspillage tout en offrant un portail pour une vision globale et le partage d'informations sur les nombreuses initiatives actuellement en cours à travers le monde.
Au niveau mondial, un tiers de la nourriture produite - soit en valeur environ 1 milliard de dollars - est perdue ou gaspillée dans les systèmes de production et de consommation alimentaires, selon les données recueillies par la FAO. Les pertes se produisent surtout dans les phases de production - récolte, transformation et distribution - alors que les gaspillages se produisent généralement au niveau du détaillant et du consommateur à l'autre bout de la chaîne d'approvisionnement alimentaire.
Selon la FAO, environ 95 pour cent des pertes et du gaspillage d'aliments dans les pays en développement sont des pertes involontaires qui surviennent aux premiers stades de la chaîne d'approvisionnement alimentaire. Ces pertes sont dues à des contraintes financières et de gestion et à des limitations dans les techniques de récolte, ainsi qu'à des défaillances au niveau du stockage et des installations de refroidissement là où les conditions climatiques sont difficiles. Elles sont dues également à des problèmes d'infrastructures, d'emballage et de commercialisation.
Cependant, dans le monde développé, la situation n'est pas idyllique. Lors de la fabrication des produits alimentaires et de la vente au détail, de grandes quantités de nourriture sont gaspillées en raison de pratiques inefficaces, de normes de qualité qui mettent exagérément l'accent sur l'aspect, d'erreurs sur les étiquettes de péremption et des comportements de consommateurs prompts à jeter la nourriture comestible suite à des achats non justifiés. A signaler aussi, parmi les causes de gaspillage, le stockage inapproprié et les repas disproportionnés.
Un gaspillage économique considérable dans les pays développés
Le volume des aliments gaspillés par habitant est compris entre 95 et 115 kg par an en Europe et en Amérique du Nord/Océanie, alors qu'en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud et du Sud-Est, ce chiffre se situe entre 6 et 11 kg.
Selon WRAP, au Royaume-Uni une famille moyenne pourrait économiser 680 livres sterling par an (780 euros) et le secteur hôtelier et de la restauration, 724 millions de livres sterling (837 millions d'euros) si le problème du gaspillage était réglé.
« Au Royaume-Uni, nous avons montré comment la lutte contre le gaspillage alimentaire, au travers du dialogue avec les consommateurs et l'établissement de conventions collectives avec les détaillants et les marques, pouvait réduire les pressions environnementales et soutenir la croissance économique », souligne Liz Goodwin, présidente du conseil d'administration de WRAP.
« La croissance démographique en cours va accentuer la pression sur les ressources. Aussi sommes-nous heureux d'être les partenaires du PNUE et de la FAO dans cette campagne qui s'annonce sous de bonnes augures pour régler le problème du gaspillage alimentaire à l'échelle mondiale », ajoute-t-elle.
L'action de l'Union européenne
Comme dans d'autres parties du monde, l'Union européenne se penche sur la question du gaspillage alimentaire, et la Commission européenne pèse de tout son poids en faveur de cette nouvelle campagne.
« Dans l'UE, nous nous sommes fixé comme objectif d'ici à 2020 la réduction de moitié du gaspillage alimentaire et l'élimination de l'enfouissement. La Commission a l'intention de présenter, l'année prochaine, des idées sur la durabilité du système alimentaire en mettant l'accent sur le problème du gaspillage alimentaire », indique M. Janez Poto?nik, Commissaire européen chargé de l'environnement.
« Moins de déchets alimentaires conduirait à une utilisation des terres plus efficace, une meilleure gestion des ressources en eau, une utilisation plus durable du phosphore, et cela aurait des répercussions positives sur le changement climatique. Notre travail s'inscrit parfaitement dans le cadre de cette initiative », affirme M. Poto?nik.
Un gaspillage absurde
« Dans un monde de sept milliards d'individus qui devraient passer à neuf milliards en 2050, le gaspillage de la nourriture n'a aucun sens économique, environnemental ou éthique », affirme M. Achim Steiner, Sous-Secrétaire général et Directeur exécutif du PNUE.
« Outre les répercussions sur les coûts, il faut savoir que la terre, l'eau, les engrais et le travail requis pour faire pousser les aliments sont également gaspillés, sans compter les émissions de gaz à effet de serre produites à la fois par la décomposition des aliments dans les sites d'enfouissement et par le transport de la nourriture, qui est finalement jetée », fait valoir M. Steiner. « Pour faire émerger une vision d'un monde véritablement durable, nous devons transformer la façon dont nous produisons et consommons nos ressources naturelles. »
De son côté, M. José Graziano da Silva, Directeur général de la FAO, souligne : « Ensemble, nous pouvons inverser cette tendance inacceptable et améliorer des vies. Dans les régions industrialisées, près de la moitié des aliments gaspillés, soit environ 300 millions de tonnes par an, sont le fait des producteurs, des détaillants et des consommateurs qui jettent la nourriture alors qu'elle est encore propre à la consommation. Ceci dépasse la production alimentaire nette totale de l'Afrique subsaharienne, et suffirait à nourrir les quelque 870 millions d'affamés que compte la planète. »
Et M. Graziano da Silva d'ajouter : « Si nous pouvons aider les producteurs à réduire les pertes grâce à de meilleures méthodes de récolte, de transformation, de stockage, de transport et de commercialisation, et allier cela à des changements profonds et durables des habitudes alimentaires, alors nous verrons un monde plus sain et libéré de la faim. »
« Aucun autre domaine n'est aussi emblématique quant aux opportunités qui permettraient l'avènement d'un monde beaucoup plus économe en ressources et plus durable. Et aucune autre question ne saurait mieux que celle-ci fédérer le Nord et le Sud, les consommateurs et les producteurs, partout dans le monde, autour d'une cause commune », affirme M. Steiner.
Le gaspillage alimentaire affecte la durabilité même de nos sociétés
Le système alimentaire mondial a de profondes répercussions sur l'environnement et le fait de produire plus de nourriture que ce qui est consommé ne fait qu'exacerber les pressions dont voici quelques exemples : plus de 20 % de toutes les terres cultivées, 30 % des forêts et 10 % des prairies sont en cours de dégradation ; au plan mondial, 9 % des ressources en eau douce sont exploitées, dont 70 % par l'agriculture irriguée ; l'agriculture et les changements dans l'utilisation des terres, notamment la déforestation, contribuent pour plus de 30 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre ; globalement, le système agro-alimentaire représente près de 30 % de la consommation finale d'énergie disponible ; la surpêche et la mauvaise gestion des pêcheries contribuent à la diminution du nombre de poissons : aujourd'hui, 30 % des stocks de poissons marins sont surexploités. Pour que la campagne atteigne son gigantesque potentiel, tout le monde doit s'impliquer : les familles, les supermarchés, les chaînes hôtelières, les écoles, les clubs sportifs et sociaux, les chefs d'entreprises, les maires, les dirigeants nationaux et mondiaux...
Un Australien de 25 ans du nom de William Kennewell a perdu toutes ses dents et se voit obligé de porter un dentier. La cause ? Une consommation effrénée de Coca-Cola : de six à huit litres par jour pendant trois ans ! C’est ce que rapporte le site australien Adelaide Now.
Les Australiens ont décidément une attitude passionnée et violente avec leCoca-Cola, ce célèbre soda gazeux apparu en 1886, et dont un milliard et demi de ...bouteilles se vendent chaque jour dans le monde. On se souvient qu’en février 2010 Natasha Harris, une Australienne de 30 ans, est décédée prématurément d’une crise cardiaque après avoir bu huit à dix litres de Coca-Cola par jour. Une overdose ? « Probable » selon le rapport médical, qui statuait que c’est la consommation excessive de cette boisson qui aurait « vraisemblablement » entraîné sa mort.
Aujourd’hui, si l’on en croit le site Adelaide Now, c’est un Australien du nom deWilliam Kennewell, âgé de seulement 25 ans et habitant de Salisbury, qui connaît de sérieux déboires à cause du Coca-Cola. La boisson ne lui a certes pas été fatale, mais il se voit déjà obligé de porter un dentier. Et ce en raison d’une consommation de Coca de six à huit litres par jour et pendant trois ans… qui lui a donc coûté ses dents. L’intéressé s’explique : « J’ai commencé parceque je n’aimais pas beaucoup l’eau. Et travaillant dans l’industrie hôtelière, j’avais toujours du Coca sous la main ». William avait certes été averti par son dentiste des graves conséquences que cette habitude hors normes pouvait engendrer, mais il n’en a pas tenu compte. A présent, il le regrette vivement : « On m’a dit qu’une personne normale possédait 32 dents, mais il ne m’en restait déjà plus que 13 et on a dû me les retirer. Et ce n’est pas tout : Mes dents étaient dans un état de décomposition si avancée que cela m’a provoqué un empoisonnement sanguin. Mais ma santé s’est améliorée avec la prothèse ». Selon une étude effectuée par le Centre de recherche australien sur la santé buccale, 56% des 16 800 Australiens de 5 à 16 ans boivent au moins une boisson sucrée (soda ou jus de fruit) par jour.
Le gouvernement se débarrasse des déchets radioactifs en les mettant dans votre argenterie
Le Département de l'Énergie veut introduire des déchets métalliques radioactifs dans des produits de consommation. Le consensus scientifique prédominant veut que la moindre dose de radiation - même petite - peut causer un cancer et d'autres graves effets de santé.
Les normes de sécurité actuelles sont basées sur la ridicule supposition que toute personne exposée est un homme en bonne santé dans la vingtaine - et que les particules radioactives injectées dans le corps ne causent pas plus de dommages que des radiations atteignant l'extérieur du corps.
Dans le monde réel pourtant, même de faibles doses de radiations peuvent engendrer un cancer. De plus, des petites particules de radiations - nommées « émetteurs internes » - qui pénètrent dans le corps sont bien plus dangereuses que les expositions globales aux radiations. Et les radiations affectent bien plus les jeunes enfants que les adultes ayant fini leur croissance.
Mais le Département de l'Énergie - agence responsable de la conception, des tests et de la production de toutes les armes nucléaires américaines, favorise l'énergie nucléaire comme l'une de ses fonctions primordiales, elle qui a dissimulé des accidents nucléaires pendant des décennies, et s'est servie de lignées mutantes de cellules humaines pour encourager des arguments magiques , antiscientifiques - propose d'autoriser les radiations à entrer dans votre argenterie.
Counterpunch note :
Même le Wall Street Journal heureux d'une déréglementation a semblé choqué : « Le Département de l' Énergie propose d'autoriser la vente de tonnes de morceaux de métal provenant de sites nucléaires du gouvernement - une tentative pour réduire les déchets, considérée par les critiques comme pouvant aboutir à des boucles de ceinture, des implants chirurgicaux et autres produits de consommation empoisonnés aux radiations. »
Après avoir échoué dans les années 80 et 90 à débarrasser les usines à bombes nucléaires et les laboratoires nationaux de leurs millions de tonnes de déchets contaminés irradiéset de leur nickel, le Département de l'Énergie tente de nouveau sa chance. Sa toute dernière proposition est d'avancer sans même un seul Relevé d'Impact Environnemental. Ces Relevés compliqués nécessitent des séances publiques, vous imaginez donc la réticence du Département de l'Énergie à se retrouver face au public pour l'ajout d'un supplément de radiations aux doses que nous accumulons déjà. Le député Markey écrit : La proposition du Département de l'Énergie d'autoriser 14 000 tonnes de ses déchets métalliques radioactifs pour recyclage dans des produits de consommation a été remise en question aujourd'hui par le membre du Congrès républicain Ed Markey en raison d'inquiétudes sur la santé publique. Dans une lettre envoyée au directeur du Département de l'Énergie, Steven Chu, Markey a exprimé ses « sérieuses inquiétudes » sur la possibilité que ces métaux deviennent des bijoux, de la coutellerie ou autres produits de consommation qui pourraient dépasser les doses de radiations admissibles pour la santé sans que le consommateur ne soit au courant. Le Département de l'Énergie a fait cette proposition pour abroger son précédent moratoire sur le recyclage des déchets métalliques radioactifs de décembre 2012.
La proposition fait suite à l'incident de 2012 impliquant les magasins américains Bed, Bath & Beyond qui ont rappelé des possesseurs de tissus fabriqués en Inde contaminés au radio-isotope cobalt-60. Ces produits ont été commercialisés dans 200 magasins de 20 états. En réponse à cet incident, un porte-paroles de la Commission de Régulation Nucléaire a conseillé au public de renvoyer les produits même si la dose de contamination n'était pas considérée comme un risque pour la santé. Ce n'est pas la première fois que c'est arrivé.
Comme l'a rapporté le Progressive en 1998, des déchets métalliques radioactifs se sont retrouvés dans pas mal de choses depuis l'argenterie jusqu'à des poêles à frire et des boucles de ceinture : Le Département de l'Énergie a un problème : que faire des millions de tonnes de matériaux radioactifs. Le Département de l'Énergie a donc imaginé un plan ingénieuxpour se débarrasser de ses encombrantes tonnes de nickel, cuivre, acier et aluminium. Il veut autoriser les ferrailleurs à récupérer le métal, à tenter d'en enlever la radioactivité et à vendre le métal à des fonderies, qui le vendraient à leur tour à des usines qui pourraient l'utiliser pour des articles de la vie de tous les jours : pots, poêles, fourchettes, cuillères, même vos lunettes.
Vous ne le savez peut-être pas, mais le gouvernement autorise déjà des sociétés sous licences spéciales à acheter, recycler et vendre du métal radioactif : 7500 tonnes en 1996, selon les estimations d'un industriel. Mais la quantité de ce recyclage pourrait augmenter considérablement si le Département de l'Énergie, la Commission de Régulation Nucléaire et l'industrie en pleine expansion du traitement des métaux radioactifs parviennent à leurs fins. Ils poussent vers une nouvelle norme laxiste qui en finirait avec les autorisations spéciales et autoriserait des sociétés à acheter et revendre des millions de tonnes de métal faiblement radioactif. *** La norme recherchée par les sociétés pourrait causer aux alentour de 100 000 décès par cancer aux États-Unis, selon la propre estimation de la CRN. Deux ans plus tard, le député Markey a interdit avec succès la plupart des déchets radioactifs...mais aujourd'hui le Département de l'Énergie essaie d'y revenir. Les déchets radioactifs sont un problème mondial. Comme le rapportaitBloomberg l'année dernière : « Le risque majeur auquel fait face notre industrie ce sont les radiations » disait Paul de Bruin, directeur de la sécurité radioactive en parlant de Jewometaal Stainless Processing, l'un des plus importants chantier mondial d'acier inoxydable. « Vous pouvez parler autant que vous voulez de sécurité, mais j'ai découvert de l'uranium de qualité militaire dans les déchets. Comment parler de sécurité ? »
Plus de 120 cargaisons de biens contaminés, dont de la coutellerie, des boucles et des outils de travail, comme des marteaux et des tournevis, ont vu leur entrée refusée aux US entre 2003 et 2008 après que les douanes et le département de la sécurité intérieure aient accru aux frontières leur surveillance pour les radiations.
Le département a refusé de fournir des chiffres à jour ou faire des commentaires sur la manière dont les boîtes en métal de chez Bed, Bath & Beyond, contaminées par du cobalt-60 qui sert dans les instruments médicaux pour diagnostiquer et traiter le cancer, a pu échapper à la détection. ***
« Le public n'est pas conscient de vivre dans un monde radioactif », selon Ross Bartley, directeur technique pour le recyclage de bureau, qui disait que la contamination avait fait baisser les prix de vente. « Ces boîtes sont problématiques parce qu'elles sont radioactives et elle devraient se trouver dans des sites d'élimination.
Des scanners médicaux abandonnés, des appareils de transformation des aliments et du matériel minier contenant des métaux radioactifs comme le césium-137 et le cobalt-60 sont récupérés par des ramasseurs de déchets, vendus à des recycleurs et fondus dans les fonderies, dit l'AIEA (Agence Internationale de l'Énergie Atomique).
Des déchets dangereux proviennent d'hôpitaux et de bases militaires à l'abandon, ainsi que d'agences du gouvernement qui ont disparu, selon l'Agence de Protection de l'Environnement US. Une étude de 2005 portant sur plus de 6000 taïwanais qui ont vécu entre 1983 et 2005 dans des appartements construits avec des armatures d'acier radioactives ont montré une augmentation significative statistiquement de leucémie et de cancers du sein. ***
L'Inde et la Chine ont été en 2008 les principales sources de biens radioactifs convoyés aux US, selon le département de la sécurité intérieure. Bartley, un métallurgiste qui traque la contamination radioactive depuis le début des années 90, a dit qu'il n'existe aucune preuve que la situation se soit améliorée. ***
Deux ans après qu'un ouvrier indien travaillant dans les déchets métalliques soit mort par exposition aux radiations, le deuxième pays le plus peuplé au monde n'a pas tiré la sonnette d'alarme, a dit en décembre le ministère des transports. ***
« La même chose pourrait se reproduite demain, » disait Deepak Jain, 65 ans, qui possède le chantier où est mort l'ouvrier. « Nous n'avons aucune protection. Le gouvernement a fait de belles promesses, mais n'en a tenu aucune. » Nous sommes vraiment bombardés de tous les côtés par de faibles doses de radiations : - les tests nucléaires de surface ont créé pour la première fois des niveaux de fond de césium et d'iode radioactifs ; - des pays déversent dans l'océan plein de trucs radioactifs, depuis des restes de fusions nucléaires jusqu'à des sous-marins radioactifs ; - et l'air aussi est radioactif ; - au Japon, les céréales radioactives sont mélangées à des aliments non irradiés ; - États-Unis ont apparemment signé un pacte avec le Japon avec l'accord que les US continueront à acheter des produits de la mer japonais, malgré le fait que ces aliments ne soient pas testés ; - une majorité de notre alimentation est aujourd'hui intentionnellement irradiée.
(Le gouvernement a même traité les gens de cobayes.)
ps: ça ce passe au USA mais quand on sais que nous les pennons comme modèle alors ça ne saurai tarder ici !
Lasagnes Findus "au cheval": une partie de la viande pourrait être de… l'âne
Et si, finalement, la viande se trouvant dans ces fameuses lasagnes Findus (mais aussi dans bien d’autres produits) était de… l’âne ? C’est le nouveau rebondissement avancé, ce lundi, par un quotidien anglais…
Selon The Independent, une partie de la viande de cheval vendue dans les rayons surgelés des supermarchés en France, en Grande-Bretagne et en Suède, pourrait en fait se révéler être de la vi...ande d'âne. Les lasagnes Findus, pointées du doigt depuis plusieurs jours, seraient évidemment concernées. Mais également de nombreux autres produits...
La raison : une loi interdit la circulation de chevaux et d’ânes sur les routes roumaines. Du coup, les Roumains tentent de s’en débarasser. Et la revendraient frauduleusement sur le marché européen...
Pour le moment, la présence d’âne est une hypothèse, qui doit encore se vérifier.
Pour rappel, aucune mesure visant à retirer du marché des plats préparés ou surgelés à base de viande hachée n’est d’actualité en Belgique, a indiqué dimanche l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca). Des produits de ce type ont été retirés des rayons de plusieurs distributeurs en France, au Royaume-Uni et en Suède après que de la viande de cheval a été retrouvée dans des lasagnes. Lundi, le SPF Economie entamera néanmoins une enquête pour le marché belge.
Findus porte plainte
Le groupe de surgelés Findus Nordic va, en tout cas, porter plainte contre la société française Comigel et ses fournisseurs pour fraude et non-respect des dispositions contractuelles dans le scandale de la contamination à la viande de cheval de lasagnes au boeuf, a annoncé dimanche son PDG.
«Nos juristes travaillent d’arrache-pied aux poursuites judiciaires que nous allons engager», a déclaré à l’AFP le PDG de Findus Nordic, Jari Latvanen, soulignant que Comigel n’avait pas respecté son contrat.
«Un tel comportement de la part d’un fournisseur est inacceptable», a-t-il martelé. «Dans le contrat il est écrit que la viande des lasagnes est de la viande de boeuf originaire d’Allemagne, d’Autriche ou de France».
Findus a demandé à tous ses fournisseurs des certificats sur les aliments utilisés dans les produits qu’il commercialise et Comigel est le seul à avoir fait état d’irrégularités chez un de ses fournisseurs, a poursuivi M. Latvanen.
«Findus prend ses responsabilités mais les autres acteurs doivent aussi le faire et agir d’après leurs principes», a-t-il rappelé.
Selon lui, le système a bien fonctionné car il a permis de dévoiler la fraude. «Aucune loi ne peut empêcher quelqu’un de frauder intentionnellement, d’utiliser de la viande de cheval et de falsifier des documents», a-t-il conclu.
L'acteur activiste a été arrêté dans l'université de Wisconsin où il protestait au côté de la PeTA contre des expérimentations scientifiques faites sur des chats. La PeTA a d'ailleurs mis en ligne la vidéo de son action pendant une conférence, où avec un acolyte, il a interpellé l'assistance sur les expérimentations faites sur les chats. "A l'Université du Wisconsin, jusqu'à 30 chats par an se font forer le crâne" sous couvert d'expériences scientifiques, a-t-il dénoncé lors de son intrusion dans l'université américaine. Sur son site, la PeTA a souligné la cruauté de ce genre d'expériences que l'association juge d'ailleurs vaines. "Ils sont assourdis, affamés pendant des jours jusqu'à ce qu'on les décapite", s'est insurgé l'acteur américain, avant de poursuivre : "Ce n'est pas de la science. C'est de la torture. Et c'est criminel."
Arrêté, James Cromwell...a été placé en détention provisoire, avant d'être relâché, révèle The Hollywood Reporter. Selon le porte-parole de la PeTA Jeremy Beckham, le comédien a été escorté menottes aux poignets après son intrusion dans l'université de Wisconsin. Le directeur de cette dernière s'est fendu d'un communiqué pour souligner l'action de la PeTA, jugée "très basse" Il a affirmé que l'association avait "détourné et attaqué cette recherche sous tous les angles possibles". Des affirmations que le directeur a contrecarrées en citant l'enquête menée par l'USDA qui régule l'utilisation des animaux dans la recherche scientifique.
Quand la réalité rejoint la fiction, le dernier rôle majeur de James Cromwell était celui d'un terrible scientifique nazi, Arthur Arden, dans la série American Horror Story. De plus, celui qui avait été nommé à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Babe sera à l'affiche de Do No Harm, nouvelle série où il campera le chirurgien mentor d'un confrère devant affronter un alter ego qui tente de prendre le pas sur lui.
Un couple de Challandais vient de créer l’association Resto animo, une banque alimentaire pour animaux. Objectif : aider les maîtres en précarité financière à garder chiens et chats avec eux. « Notre action est à la fois une aide alimentaire à l’animal et une aide sociale au maître », résume Jean-Marc Courtier. En France, sur les 60 000 abandons annuels, 30 % sont causés par le manque de ressources : « A Challans, le refuge de l’Arche de Noé est submergé de chiens et de chats. Si Resto animo peut contribuer à faire baisser de 30 % ces abandons, on aura réussi notre pari » Déjà une chaîne de soutien s’est formée en quelques semaines. Un box d’urgence a été trouvé à Camping dogs, route de Machecoul. Le Super U de Challans est d’accord pour fournir des croquettes en limite de date de péremption. Un contact « avancé » est en cours avec le centre Leclerc. La clinique vétérinaire Clemenceau a été approchée pour des soins vétérinaires à des tarifs « associations ». Resto animo a noué des contacts avec le Secours populaire, les Restos du cœur et le Secours catholique pour recueillir et canaliser les demandes. L’asso a déjà défini sa stratégie : « Les aliments seront vendus à des prix très inférieurs au marché avec un tarif dégressif en fonction des revenus des bénéficiaires », explique Marie Courtier. Le paquet de croquettes pourrait ainsi varier de 0,50 € à 5 €
DERNIERS ARTICLES : le manque A ma petite maman Aujourd'hui cela fait un mois que tu as rejoint les étoiles, le manque de toi est de plus en plus dur ,je sait que tu ne souffre plus mais ce manque est profiter Je vais pouvoir bien profiter d’un doux soleil, des premières baies pour pouvoir très vite quitter mon doux abri de la forêt. bonne fete Malgré que tu ne sois plus là je viens te souhaiter une bonne fête des mamans, tu as partagé avec moi mes premiers jours et je t’ai accompagnée durant tes derniers Jours Merveilleux Merveilleux petit bout Je t'♥ime MAMAN Maman 3 mois aujourd'hui que tu n'est plus a mes cotés Tu aimais la vie et pourtant elle n'a pas toujours été si simple. Croqueuse de vie, d'envies et de projets, tu avan