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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
LA CICATRICE la marque d’amour.
Un garçon avait une cicatrice sur son visage, ses collègues de classes ne voulaient plus lui parler ou à s'asseoir avec le jeune homme
Alors ses collègues se réunirent avec le professeur et suggérèrent que ce garçon de la cicatrice ne vienne plus à l'école, l'enseignant a porté la suggestion au conseil de l'administration du collège.
La direction écouta et pris la décision suivante: Elle parlerait à l'enfant de manière qu’il soit le dernier à entrer dans la salle de classe, et le premier à sortir ; De cette façon aucun étudiant ne verra le visage de l'enfant, à moins qu'il regarde en arrière.
Le professeur a pensé que l’idée était géniale. La décision a été présentée à l'enfant, et il a facilement accepté la décision du collège, à une condition: Qu’il dise en face de ses collègues de la classe, le pourquoi de ces cicatrices.
Bien entendu, le garçon est allé devant la salle de classe et a commencé à raconter :
Je comprends la réaction de la classe; En réalité, J’ai une cicatrice très laide, voici comment est ce que je l'ai eu:
- Ma mère était très pauvre et pour nous aider à survivre, ma mère lavait nos vêtements chez le voisin; J’avais environ 7-8 ans ...
“Il se produit un grand silence dans la salle. Tous deviennent attentifs.“
En dehors de moi, il y avait mes 3 petits enfants, l'un de 4 ans, un autre de 2 ans et une petite sœur de quelques jours de naissance. Un grand Silence est total dans la salle. .. C'est là qu’à ce moment là, notre maison faite en bois, a pris feu. Ma mère courut dans la chambre pour prendre mon frère de 2 ans, et tenant moi et mon frère par la main Il y avait beaucoup de fumée, les murs en bois prirent feu et chauffèrent extrêmement ... Ma mère m'a mis assis sur le plancher et me dit de rester avec les enfants jusqu'à ce qu'elle revienne, parce qu’elle a dû rentrer pour sauver ma petite sœur qui était encore à l'intérieur de la maison en flamme. Les gens qui étaient là sont entrés pour aller chercher ma sœur ne sachant pas dans quelle chambre/lieu elle se retrouverait. J’ai vu ma mère pleurer,
- «Ma fille est là-dedans!" J'ai vu ma mère en face du désespoir, l'horreur et elle a crié, Et puis ! Ces personnes ont quitté ma mère pour aller chercher ma sœur ... Alors, j'ai pris une décision. J'ai pris mon frère de 2 ans, je l'ai mis au cou de mon petit frère de 4 ans et lui a dit de ne pas bouger de là jusqu'à ce que je revienne. Il y avait beaucoup de fumée, Le mur été très chaud. Et grâce à Dieu! J’ai pu sauver ma petite sœur. Je savais ou elle était dans la pièce. Quand je suis arrivé, à l’endroit où elle a été, j’ai vu quelque chose de tombé, Je me suis jeté sur elle pour la protéger, et cette chose chaude s'appuya sur mon visage ... La classe était calme et attentive à l'enfant embarrassé…
Puis le garçon reprit: Vous pouvez trouver vilaine cette cicatrice, Mais il y a quelqu'un à la maison qui me trouve beau et tous les jours quand je rentre à la maison, elle, ma sœur m’embrasse car il sait que c’est « une marque d’amour ».
Plusieurs étudiants ont pleuré, ne sachant que dire ni que faire, mais le garçon est allé au fond de la classe s’assoir.
Vous qui lisez cette histoire, je dirais que le monde est plein de cicatrice
Je ne parle pas de cicatrices - cicatrice visibles, mais invisibles, nous sommes toujours prêts à créer des cicatrices aux gens, que ce soit avec des mots ou par nos actions.
50 POLICIERS POUR LEUR BARRER LE PASSAGE !
Hier soir, environ 150 Munduruku ont essayé d'entrer dans le palais présidentiel pour remettre à la présidente Dilma Rousseff une lettre de revendications, mais ont été arrêtés par des agents de sécurité qui ont utilisé la violence pour leur interdire l'entrée. Au moins 50 policiers, de la police fédérale et militaire ont violemment repoussé le groupe hors du palais présidentiel. Les Indiens sont restés 3 heures à l'entrée, pour protester contre la violation de leurs droits dans la construction des barrages hydroélectriques en Amazonie. «Nous voulons maintenant savoir si le gouvernement garantira ou non notre droit de veto. C'est ce qui compte pour nous ». Le groupe exige l'arrêt de la construction des barrages de Belo Monte et Teles Pires et la suspension d'études hydroélectriques du complexe hydroélectrique de Tapajós. photo: REUTERS / Lunae Brill
Unissons-nous; rejoignez-nous:
https://www.facebook.com/paroles.indiennes
**PETITION OFFICIELLE FORCA E CORAGEM: STOP AUX MASSACRES DES PEUPLES D'AMAZONIE
http://www.avaaz.org/fr/petition/STOP_AUX_MASSACRES_DES_PEUPLES_INDIGENES_DAMAZONIE_petition_officielle_Forca_e_Coragem/ ...
**PETITION OFFICIELLE EUROPÉENNE: STOP A L'EXPULSION DU PEUPLE GUARANI-KAIOWA DE SES TERRES:
http://www.petitions24.net/forca-e-coragem-petition-contre-expulsion-peuple-d-amazonie
**POUR LA DÉFORESTATION ZÉRO:
http://ligadasflorestas.com.br/
** NON AU BARRAGE DE BELO MONTE:
http://www.avaaz.org/fr/petition/Petition_Mondiale_contre_le_barrage_de_Belo_Monte_en_Amazonie/?cAUFybb
** NON A TOUT PERMIS D’EXPLOITATION AURIFERE DANS UN PERIMETRE DE 10 KMS AUTOUR DU VILLAGE DE SAÜL. ( Guyane ):
http://www.mesopinions.com/petition/politique/permis-exploitation-aurifere-perimetre-10-kms/9481
** SAUVONS LES DERNIERS AMÉRINDIENS WAYANA ET TEKO DE GUYANE FRANÇAISE:
http://www.avaaz.org/fr/petition/Sauver_les_derniers_Amindiens_Wayana_et_Teko_de_Guyane_francaise/?choBcdb
** PETITION D'Envol Vert "LE CUIR TANNE LA FORET"
http://www.change.org/LeCuirTanneLaForet?utm_source=share_petition&utm_medium=url_share&utm_campaign=url_share_before_sign
Ce que vous voyez ci-contre existe réellement. Il s’appelle Ata, l’humanoïde d’Atacama.
Il a tout de l’extraterrestre de SF : il a un gros crâne surmonté d’une crête et ne mesure que… 15 cm.
Il a été découvert il y a une dizaine d’année dans le désert d’Atacama au Chili. Et son ADN vient d’être analysé. Et voici ce qu’il en est ressorti : Tout est parti d’un projet Kickstarter, où un scientifique et un réalisateur souhaitaient produire un documentaire révélant la vérité sur la présence ou non d’extraterrestre.
Intitulé Sirius, ce documentaire a pour point d’orgue l’analyse ADN d’Ata, le squelette le plus troublant jamais découvert sur Terre. L’ADN d’Ata a été analysé par des chercheurs de l’Université de Stanford en Californie.
Et leurs résultats sont formels.
Ata n’est pas un extraterrestre. Il est humain. Son ADN est composé de 23 chromosomes et ils ont toutes les spécificités normales de l’homme. Son ADN est plus proche de nous que de celui des chimpanzés. Et les chercheurs vont plus loin, Ata est de sexe masculin, et il avait pour mère une indigène du Chili.
Contrairement à ce qui avait été dit, Ata n’est pas un fœtus fossilisé. Et c’est là que ça devient dingue : quand il est mort, Ata devait avoir entre 6 et 9 ans ! Pour les chercheurs, Ata est né, a respiré, a mangé et s’est développé.
Ça ne fait aucun doute. Plus intrigant encore, si Ata mesure 15 cm après 6 ans de vie, quelle taille faisait-il à la naissance ? Les recherches doivent être approfondies pour tenter de comprendre quel type de mutation a subi Ata.
Il va falloir encore attendre plusieurs mois avant de pouvoir réellement lever le mystère sur l’humanoïde d’Atacama. En attendant, vous pouvez regarder le documentaire Sirius qui devrait sortir un jour au cinéma en France ou sur vos sites de streaming préférés.
[Sirius ; Sciences-mag]
Une enseignante italienne a été arrêtée jeudi par les carabiniers (gendarmes italiens, ndlr) à San Costantino Calabro, une localité du sud de l'Italie, en Calabre.
Elle maltraitait des enfants à la maternelle. Une information relayée par les médias italiens.
Ines Romano, 62 ans, a été filmée, à l'aide de caméras vidéo placées par les forces de l'ordre.
On la voit en train de faire de la peintureou du découpage avec les enfants, quand tout à coup elle en gifle un, en bouscule un autre et leur donne des coups de pied.
C'est suite à la plainte d'un parent d'élève il y a trois mois que l'enquête a pu démarrer.
Les carabiniers ont alors placé des caméras pour surveiller l'intérieur de l'école. Grâce à ces vidéos, les mauvais traitements ont pu être prouvés, donnant ainsi le feu vert à la justice qui a ordonné jeudi la détention à domicile de l'enseignante.
VIDEO. Une enseignante italienne prise en flagrant délit de maltraitance D'autres histoires similaires Cette affaire intervient deux jours après une histoire semblable à Barletta, dans les Pouilles, en Italie, où une autre enseignante a été arrêtée après avoir été filmée, elle aussi, en train de maltraiter des enfants de trois et quatre ans. A Rome, c'est une enseignante et la directrice d'une maternelle qui ont été arrêtées il y a 15 jours. La première pour de mauvais traitements physiques et psychiques envers les enfants, la seconde pour avoir couvert ces faits.
LeParisien.fr
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Qu'implique la production d'oeufs pour les poules et les poussins ? Les oeufs décodés : un tableau pour comprendre.
Une info à diffuser ! Du fait du succès de ce tableau, L214 l'a fait réaliser en magnet.
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Dans le paisible village de Mercurol, dans la Drôme, on nage dans le sordide ces derniers temps.
Un homme suspecté d'avoir «violé» des juments au cours des derniers mois, et qui devait en répondre devant la justice à l'automne prochain, a récidivé cette semaine, révèle le Dauphiné Libéré.
Confondu par un système de vidéoprotection mis au point par les éleveurs suspicieux, il a été interpellé et placé en garde-à-vue ce mercredi.
Le 15 mai dernier, le quotidien local révélait déjà qu'un habitant du village voisin avait été interpellé par les gendarmes, et reconnu avoir violé deux juments dans un champ situé sur la commune de Mercurol.
Ce sont les éleveurs eux-mêmes, après avoir découvert des éléments suspects, qui avaient installé une caméra à proximité et avaient ainsi pu apporter à la gendarmerie les séquences vidéos pour le moins obscènes. Reconnu et confondu par la gendarmerie, l’homme devait ainsi répondre dans quelques mois des faits de sévices de nature sexuelle sur animaux apprivoisés devant la justice à l’automne prochain, un délit passible de 2 ans d’emprisonnement et de 30000€ d’amendes.
Mais les éleveurs n'étaient pas au bout de leur peine. Lundi soir dernier, l'un d'eux, qui avait ré-enclenché la caméra infrarouge à cause d'un «mauvais pressentiment», s'est en effet rendu compte que le matériel utilisé par le violeur (tabouret, sangles...), resté sur place depuis la dernière fois, avait disparu. Soupçonnant le suspect d'être de nouveau passé par là, l'homme excédé a donc décidé de visionner les dernières séquences filmées par son dispositif, et découvert de nouvelles scènes scabreuses, avec cette-fois ci trois juments.
Les clichés ont été de nouveau apportés à la gendarmerie, qui a procédé ce mercredi à son arrestation.
LeParisien.fr
Le corps d'un homme solitaire de 64 ans, décédé de mort naturelle depuis deux semaines, a été retrouvé en partie mangé par ses chiens à son domicile en Haute-Loire. Décrit comme un "solitaire marginal, vivant volets fermés et ne fréquentant personne" dans la petite commune de Vazeilles-Limandre, près du Puy-en-Velay, le sexagénaire a été retrouvé dimanche matin dans sa cuisine, a déclaré le maire Yves Tafin, confirmant une information du site de La Montagne. Alerté par un voisin ne le voyant plus sortir ses deux chiens "on a frappé à sa porte et comme il ne répondait pas, on a appelé les gendarmes et les pompiers, qui ont cassé une vitre", a-t-il expliqué. "Le corps avait été un peu attaqué à la tête, aux pieds et aux jambes", a-t-il ajouté. Les deux chiens ont été maîtrisés par un vétérinaire et ont été euthanasiés. Pourquoi euthanasier les chiens c'est juste une question de survie, c'est déja arrivé a des humains de le faire aussi
Les secouristes sont parvenus à l'extraire d'un conduit d'évacuation des eaux usées large de 10 centimètres... Plus d'une heure pour le secourir. Un nourrisson de deux jours a été secouru in extremis et a miraculeusement survécu samedi à Jinhua, dans la province chinoise du Zhejiang. Il aurait été jeté dans les toilettes d'un appartement dont on avait tiré la chasse.
Ce sont des habitants de l'immeuble qui ont entendu des cris de bébé provenant de la conduite d'évacuation des eaux usées. Après plus d’une heure, les secouristes sont finalement parvenus à extraire le nouveau-né, qui est resté environ deux heures coincé dans un conduit de 10 centimètres, selon la police locale citée lundi par le portail officiel hangzhou.com.cn. Une enquête ouverte Le bébé de 2,3 kg, qui était toujours relié au placenta lorsqu'il a été découvert, souffrait de nombreuses coupures au visage et son rythme cardiaque était très bas.
Il a ensuite été conduit à l'hôpital, où il a été placé en couveuse, dans un état stable. Une enquête a été ouverte pour retrouver ses parents et découvrir qui a pu s'en débarrasser ainsi. Les parents pourraient être accusés d'assassinat dans ce pays où la politique de l'enfant unique expose les parents d'enfants non réglementaires à des amendes. >>
Regardez la vidéo du sauvetage du nourrisson (attention, certaines images peuvent choquer):
Soupçonné d'avoir incendié un abattoir à Pontarlier (Doubs) pour libérer des cochons, un homme sensible à la cause animale a été interpellé et placé en garde à vue dimanche, a-t-on appris lundi de source judiciaire.
Cet ouvrier de 25 ans, en état d'ébriété au moment des faits, est soupçonné d'avoir mis le feu au local administratif de l'abattoir après avoir volé une centaine d'euros, a indiqué à l'AFP le parquet de Besançon.
Les bureaux ont été entièrement détruits par les flammes et les fumées ont endommagé une partie de l'abattoir, rendant impropre à la consommation certaines carcasses déjà abattues et stockées sur place. Le préjudice pourrait se révéler "considérable", a précisé une source policière. Le jeune homme aurait par ailleurs ordonné à un livreur de libérer les cochons qu'il transportait et l'aurait menacé avec un couteau, mais la victime a réussi à s'échapper pour donner l'alerte, a ajouté la même source. D'après les déclarations de l'incendiaire présumé, il aurait agit pour soutenir la cause animale et se serait inspiré du Front de libération des animaux , ou Animal Liberation Front (ALF).
L'agresseur a été interpellé sur place par les policiers du commissariat de Pontarlier et placé en garde à vue. Il sera présenté mardi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Besançon.
En Occident, nos petites filles de huit ans se déguisent joyeusement en princesse, en Afghanistan, elles revêtent tristement la longue robe de l’esclavage, le jour de leur mariage… forcé.
Voici l’histoire poignante d’une petite fille afghane, âgée de huit ans, victime d’une tradition barbare justifiée par l’exemple du prophète de l’islam, postée sur FB par Mustafa Kazemi, journaliste afghan, correspondant de guerre.
Le nom de la fillette est inconnu. Le journaliste fut informé par sa source, amie d’un proche du « mari » bourreau, de la tragédie silencieuse, vécue par cette petite mariée de huit ans.
Un médecin travaillant dans l’ hôpital principal de la ville de Zaranj, qui souhaitait rester anonyme, confirma avoir été au courant de « l’incident » mais qu’il était trop tard pour intervenir, la région où se produisit ce drame étant trop éloignée de la ville.
Certains passages pourraient heurter la sensibilité, mettre mal à l’aise des lectrices et des lecteurs, car ils décrivent crûment les relations sexuelles infligées à la mariée-enfant par son « mari » bourreau.
En acceptant de publier ce récit, Jean-Patrick a permis de rendre hommage à cette petite inconnue, dont le fragile souffle de vie lui fut enlevé par un homme brutal, un de ces nombreux désaxés du sexe, qui, pour assouvir ses désirs pervers, en toute impunité, à l’abri du coran, a suivi l’exemple de son prophète en épousant une enfant de huit ans.
Je remercie Jean-Patrick pour cela, car il fut au début réticent. Selon la tradition religieuse, en vigueur dans certaines régions afghanes, la fillette, originaire de Khashrood, province de Nimruz, fut vendue en mariage à un mollah âgé de 50 ans, déjà marié et père de nombreux enfants.
Son petit corps ne put supporter l’assaut sexuel brutal de son « mari » bourreau et la petite se vida de son sang, sans que ce dernier n’intervienne pour la sauver.
Cet enfant n’avait pas plus de valeur à ses yeux qu’un pauvre animal qui succombe sous le poids de sa charge. Cette petite fille ne fêtera jamais ses neuf ans, car elle ne survécut pas à sa « nuit de noce ».
Elle fut brutalement, sauvagement, assassinée par son « mari » dans l’accomplissement de son « devoir » conjugal. L’enfant était l’une des filles d’un homme dans la trentaine. Pour une raison inconnue, il donna sa fillette en mariage au mollah de son village contre une importante somme d’argent.
Les deux familles s’accordèrent sur le prix de vente de l’enfant, à payer par le futur mari à la famille de la « fiancée » et fixèrent la date du mariage, lors d’une réunion tribale, puis elles organisèrent la fête de mariage, le mariage et le Nekah ( processus religieux au cours duquel une femme est officiellement mariée à un homme) et la fillette devint la deuxième femme du mollah de 50 ans.
La mariée avait seulement 8 ans et ne connaissait rien au sexe, au mariage, à l’amour charnel, à la virginité, elle n’était encore qu’une enfant, et même les adolescentes, dans cette région du pays, ne reçoivent aucune une éducation sur une vie sexuelle saine. La fête était terminée et le soleil se couchait, il était temps pour le mollah, non pas de faire l’amour, car cela impliquerait d’éprouver un sentiment, mais d’avoir des relations sexuelles avec sa femme-enfant, d’assouvir ses désirs pervers.
Il ôta les vêtements de la petite mariée, se déshabilla et s’approcha de sa nouvelle femme, âgée rappelons-le de huit ans, pour accomplir son « devoir » d’époux.
Ce mollah, au physique imposant, était lourd et avait un gros pénis. Il se jeta sur l’enfant et commença à pénétrer le vagin de la petite fille. Après plusieurs essais infructueux, le mollah se sentit frustré. Il ne voyait pas et ne voulait pas voir que l’enfant, qui allait bientôt mourir, sous ses assauts furieux, était très frêle et toute menue et que l’orifice de son vagin était trop étroit.
Seul l’assouvissement de son désir malsain avait de l’importance. Le mollah prit alors le couteau, qu’il portait toujours avec lui dans sa poche, et déchira le vagin de l’enfant du clitoris vers le haut et vers le bas jusqu’à l’anus, afin d’agrandir suffisamment le vagin pour lui permettre de le pénétrer.
La pauvre petite commença à saigner, à un très mauvais moment pour son « mari » mais l’infecte mollah était beaucoup trop frustré de ne pouvoir la pénétrer pour se soucier des conséquences de son acte barbare, du saignement de l’enfant ou des blessures qu’il lui avait infligées.
La fillette avait son foulard enfoncé dans sa bouche, elle pleurait terrorisée, seule face à ce monstre, elle ne pouvait pas crier, car il ne fallait pas éveiller l’attention des personnes à l’extérieur de la chambre.
Selon la coutume, en vigueur dans certaines régions afghanes, le marié doit montrer le morceau de tissu, avec lequel il a essuyé le sang de l’hymen de sa femme, comme preuve de sa virginité. Le mollah, en rien rebuté par l’atrocité de son acte, entra son pénis dans le vagin de la petite fille, qui saignait déjà abondamment, suite aux blessures et eut des relations sexuelles bestiales avec la petite, sur le lit couvert du sang de l’enfant, puis, il se leva et se nettoya.
L’enfant continuait à saigner, mais personne n’était là pour l’aider. Le mollah ne pouvait pas demander de l’aide, car cela aurait été considéré comme une honte pour lui et la famille de la petite mariée.
Cette dernière savourait tranquillement une tasse de thé dans la pièce voisine. La petite mariée de huit ans continua à saigner et entra dans un choc traumatique à cause des hémorragies internes provoquées par la violence des relations sexuelles forcées ».
Elle se vida de son sang et le lendemain matin, au lever du soleil, l’âme de la fillette, dont le petit corps fut profané et souillé par un pédophile de la pire espèce, avait rejoint les étoiles dans la voûte céleste.
Le mollah déclara qu’ elle était pâle et avait ses yeux grand ouverts quand elle exhala son dernier souffle. Elle gisait dans son sang, sur un drap rougi par le sang séché. Elle était livide, car elle était exsangue .
Ses yeux étaient ouverts, car elle avait tremblé en mourant et ses mains étaient en position de prière, comme si elle récitait la prière de sa propre mort.
Le mollah appela la personne, qui, par la suite, informera le journaliste de ce crime horrible, et lui demanda de nettoyer la chambre et de trouver une raison pour expliquer la mort de sa « femme » aux amis et membres de la famille.
Comme cette personne était un ami personnel du mollah, un proche, il fit ce qu’il lui demanda et se débarrassa des draps ensanglantés. Puis ils enveloppèrent le petit corps martyrisé dans un drap blanc et informèrent la famille et les autres invités de la mort de la « mariée ».
Ce matin là, la famille de l’enfant pleura tristement sa mort, sans demander une quelconque explication sur la cause du décès, ils prirent le corps de la fillette pour le laver selon le rituel religieux musulman.
Le mollah, étant un homme d’une grande influence dans le village, les femmes qui lavèrent le corps de la petite fille n’osèrent pas demander une explication quant aux blessures autour du vagin de l’enfant.
Vers 10 heures du matin, le corps de la petite mariée et morte de 8 ans fut emmené au cimetière et enterrée. Sa vie sur terre était terminée et pour le mollah, la page était tournée.
Il y avait d’autres petites filles à acheter pour satisfaire ses fantasmes sexuels. L’ami proche du mollah, au courant du calvaire vécu par l’enfant, fut révolté et décida de raconter l’histoire à un ami, qui informa le journaliste.
C’est ainsi, que le récit de la terrible nuit de noce de la petite mariée de 8 ans parvint à votre connaissance. Le mollah aurait quand même déclaré avoir eu « mauvaise conscience » à propos de ce qui s’était passé. Il fut donc pardonné. Après tout, il ne s’agissait que du viol d’une petite fille innocente, un être sans importance, un objet sexuel … facilement remplaçable.
Le jour suivant la publication du récit par Kazemi sur son mur Facebook, les législateurs pro-charia afghans bloquèrent une proposition de loi sur « l’élimination de la violence contre les femmes » qui aurait permis de pénaliser le mariage avec des fillettes de 8-9 ans et de relever l’âge légal du mariage à 16 ans.
Pour ces législateurs, cette proposition de loi sur le droit des femmes était anti-islamique. Dès lors, il était inutile d’en discuter. D’autres petites filles de 8 ans continueront à subir des mariages forcés avec des hommes beaucoup plus âgés, à souffrir et à disparaître dans l’indifférence générale.
La promotion de la pédophilie et du viol via des fatwas, conformes à la charia, autorisant le mariage des fillettes à partir de 8 ans, malgré l’opposition de certains musulmans éclairés, continue à progresser dans le monde islamique, car l’interdire serait porter atteinte à l’islam et à son prophète.
Invalider le mariage avec des fillettes reviendrait de facto à invalider le mariage du prophète avec Aïcha, la mère des croyants, qui s’était mariée avec lui à l’âge de 6 ans, sans son consentement. Dans l’esprit de ces dégénérés, ces législateurs de la charia, les mariages avec des petites filles ne constituent en rien une atteinte aux droits fondamentaux des enfants, puisque dans l’islam, les femmes et les petites filles n’ont aucun droit, seulement le devoir de se soumettre aux hommes, même si cela doit leur coûter la vie.
En Afghanistan, les provinces rurales sont régulièrement le théâtre d’atrocités, comme le cas de cette femme accusée d’avoir fui son domicile conjugal et dont l’exécution publique a été filmée, l’année dernière, dans un petit village de la région de Parwan.
Il y a aussi le cas de Bibi Aisha, dont le nez et les oreilles ont été coupés par son mari – un Taliban – dans la province d’Uruzgan, et qui a fait la une de l’hebdomadaire américain « The Time » avec pour titre : « Ce qui arrivera si nous quittons l’Afghanistan ».
Le magazine a été vertement critiqué pour cette couverture. Rien de surprenant. Il ne faut pas calomnier les Talibans, ces pieux serviteurs d’Allah. Selon un rapport de Human Rights Watch, basé sur les statistiques fournies par le Ministère de l’Intérieur afghan, 600 femmes, victimes d’abus sexuels et de violence domestique, ont été accusées de « crimes moraux », pour avoir essayé d’échapper à leurs bourreaux et condamnées à la prison.
Et la communauté internationale, USA inclus, qui avait jusqu’alors fait pression pour améliorer le sort des femmes afghanes, est désormais plus intéressée par les discussions avec les Talibans, engagées en catimini, afin de préparer progressivement leur retour au pouvoir, comme force politique, dans un futur gouvernement de coalition, que sur le sort des femmes et des fillettes afghanes. Combien de soldats américains et alliés ont perdu la vie dans ce pays, en combattant les Talibans, pour y apporter la démocratie ?
Ils sont morts pour rien, car les Talibans reprendront le pouvoir, continueront à faire régner la terreur par l’application stricte de la charia, source de bonheur pour l’humanité, selon certains illuminés coraniques, et les premières victimes seront encore et toujours les femmes et les petites filles afghanes, et cette fois-ci, ce sera avec le consentement tacite de l’Occident, pourtant grands défenseurs des Droits de l’Homme.
Mais les intérêts politiques semblent être guidés par des raisons obscures, qui nous sont incompréhensibles pour leur manque total de logique. Les sacrifiés sont toujours les gens du peuple, rarement ceux qui décident, à l’abri dans leurs bureaux cossus. Pour paraphraser Pascal, je pourrais écrire :
« La politique a ses raisons que la raison ignore » RIP petite fille afghane inconnue, petite mariée d’un jour, dont la pureté et l’innocence de ton enfance ne trouvèrent aucune grâce auprès de ton « mari » bourreau.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz
info Source : «Afghanistan: 8-year-old bride of mullah bleeds to death on her wedding night » Jihad Watch