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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Une jeune maman tuée par son fils de deux ans
Une femme de 26 ans est morte hier, sur une route du Milwaukee (Etats-Unis). Alors qu’elle conduisait tranquillement, elle a reçu une balle tirée par son fils de deux ans, depuis l'arrière du véhicule.
Moins de deux mois après la mort d’une femme tuée par son enfant de 4 ans en Floride, un drame similaire vient de se reproduire aux États-Unis.
Une jeune maman de trois enfants a été tuée par son fils de deux ans. Le drame s’est produit sur une route du Milwaukee. « La mère conduisait son véhicule et son enfant était assis à l'arrière, attaché dans son siège-auto. Le petit garçon a réussi à attraper une arme chargée qui se trouvait à ses côtés sur la banquette et a tiré. La balle a touché Patrice Price qui est morte sur les lieux du drame », indique une source proche de l’enquête.
Jacques, esclave pendant trente ans
Le terrain sur lequel résidait «Jacques», l'homme qui travaillait sans salaire pour la famille André.
Le terrain sur lequel résidait «Jacques», l'homme qui travaillait sans salaire pour la famille André. Dans les Cévennes, une familled’agriculteurs faisait travailler gratuitement un homme, allant jusqu’à lui ponctionner ses prestations sociales. Le mari a été condamné à dix-huit mois de prison avec sursis.
Jacques, esclave pendant trente ans
Un matelas en mousse moisie. Un toit en tôle. Des murs et un sol en planches. Une ampoule au plafond. Et un tas graisseux de haillons pour seule garde-robe. C’est dans ce taudis de 3 mètres sur 3, sans eau ni chauffage, que Jacques passait ses nuits. Il avait 42 ans quand il s’est pour la première fois couché sur ce grabat humide ; il y a dormi jusqu’à ses 71 ans, sans draps, sans rien, avec pour seul compagnon un vieux réveille-matin, détail sordide, quand on sait que Jacques vivait ici, sur le terrain de la famille André, pour travailler chaque jour de l’année, du matin au soir.
Il ne s’agissait donc pas de traînailler au lit… Quand il est parti d’ici, après trente ans de labeur, le dos de Jacques formait presque une équerre. Son compte en banque, lui, affichait une platitude totale : 1,48 euro d’économies. Le reste avait disparu dans la poche du couple André.
A Saint-Florent-sur-Auzonnet, le village cévenol dans lequel cette histoire d’esclavage moderne s’est écrite durant toutes ces années, personne n’a réalisé que Jacques, un brave gars simple et sans malice, était exploité par Gérard André.
«Ils étaient tout le temps ensemble, on les voyait passer sur le tracteur… Alors moi, je croyais qu’ils étaient frères», confesse un paroissien à la sortie de l’église. Près de lui, une femme confie :
«Ces gens, les André, ils ne parlent pas, ils sont un peu sauvages. Et chez eux, avec tout ce débarras devant leur maison, c’est vraiment rustique…» Une autre intervient :
«C’est vrai que ce monsieur, là, l’exploité, on ne le voyait jamais dans le village ni au marché.»
Même son de cloche dans le quartier : «On le voyait toujours travailler, cet homme, peuchère ! Mais il ne parlait pas, ne se plaignait jamais. Il était habitué comme ça, sûrement, racontent Claude et Marie-Thé, qui résident près du couple André. On savait qu’il travaillait pour ces gens-là, mais on ne savait pas qu’il était si mal logé…»
«Le terrain, une décharge» Dans ce village du Gard, un homme rongé par la culpabilité ne se pardonne pas d’avoir mal évalué la situation de Jacques : Paul-Michel Gaultier, élégant et érudit généalogiste de 49 ans, possède une vaste bâtisse dont les jardins jouxtent la propriété des André. «Ma mère a acheté cette bastide en 1994, raconte-t-il.
Nous avons vite vu que nos voisins, qui se présentaient comme ex ploitants forestiers, vivaient en autarcie, dans une grande précarité. Leur famille compte cinq enfants. Leur maison est un taudis, le terrain est une décharge. Cet environnement soulève le cœur ou génère la pitié mais, dans le milieu rural, il n’y a pas de quoi se formaliser outre mesure.
Je me disais que c’étaient là de pauvres gens…» Dès leur installation, les Gaultier aperçoivent Jacques guidant chèvres et moutons sur leurs terres. «Tous les soirs, il arrivait dans un nuage de mouches, vêtu de haillons. On l’appelait le pastre. Cette image digne de Giono me touchait, se souvient Paul-Michel Gaultier. Puis, nous avons constaté que cet homme était tout le temps occupé. Il prenait soin des lapins ou la volaille, faisait fonction de factotum, de berger, de valet de ferme, de jardinier, d’ouvrier forestier ou de livreur de bois.
Au fil du temps, ma mère, inspectrice du travail, s’est émue de son sort. Elle a interrogé l’assistante sociale de secteur qui lui a clairement fait comprendre qu’il valait mieux regarder ailleurs.» Cette assistante sociale aurait argué qu’elle connaissait la situation, que les André s’occupaient bien de Jacques et que sans leur aide, ce malheureux serait en foyer ou sous un pont. Les Gaultier continuent à exercer une discrète surveillance mais constatent que Jacques ne se plaint jamais.
La tranquille exploitation de cet homme va s’interrompre en mars 2014 : pour la seconde fois, Jacques est hospitalisé, il souffre d’un œdème pulmonaire. Paul-Michel Gaultier va lui rendre visite. Jacques lui confie alors ce curieux secret : «Il ne faut pas que je dise que je vis dans la petite maison en bois.»
Intrigué, le voisin décide d’aller voir cette maison en l’absence des André. «En découvrant ce taudis, j’ai compris que j’avais fait une grave erreur d’appréciation sur mes voisins : je n’avais pas affaire à la famille Groseille mais aux Thénardier. J’ai vomi en rentrant chez moi.» Entre-temps, à l’hôpital, Jacques est interrogé sur sa situation administrative.
Ne parvenant à obtenir aucune réponse claire, notamment sur ses revenus, une autre assistante sociale, celle de l’hôpital, commence à suspecter un vrai problème concernant ce patient squelettique qui a englouti trois plateaux-repas dès son arrivée. Un signalement est transmis au procureur.
L’enquête va révéler que le RSA et la petite pension d’invalidité de Jacques sont retirés chaque mois, en liquide, par les André. «Pendant trente ans, ils ont utilisé leur procuration pour ponctionner tous les revenus de Jacques, soit environ 850 euros par mois, tout en laissant un euro pour ne pas clôturer le compte, détaille Lionel Marzials, avocat de la victime.
Pendant toutes ces années, Jacques n’a touché aucun salaire, et n’a pas fait un seul acte d’achat. Tous ses courriers administratifs ainsi que ses papiers d’identité étaient détenus par le couple André.» Le «Maquignon» et le «bélier» Face aux gendarmes, Gérard André, 76 ans, ne se démonte pas. Non, la cabane n’est pas insalubre. D’ailleurs, il s’agit «d’une dépendance». De toute manière, c’est «mieux que sous un pont».
L’hygiène ?
Jacques n’avait qu’à faire ses besoins dans le jardin, «naturellement», «comme dans l’ancien temps». Le travail ? Oui, Jacques accomplissait «des petits travaux qui lui plaisaient». Et surtout, le père André répète en boucle que Jacques a pu, grâce à lui, bénéficier d’une «vraie vie de famille».
Poursuivi pour «abus frauduleux de l’ignorance ou de la faiblesse d’une personne vulnérable», Gérard André a comparu devant le tribunal correctionnel d’Alès le 11 mars. Il a été condamné à 5 000 euros pour préjudice moral et à 185 000 euros de dommages et intérêts, «une somme que nous avons estimée a minima et qui a été validée sans discuter par les juges», se félicite Me Marzials.
Qui ajoute que le procureur avait requis neuf mois de prison avec sursis, mais que les juges ont finalement doublé cette peine. Pourtant, l’avocat conserve un goût amer après cette affaire : «Plusieurs personnes à Alès m’ont dit avoir eu connaissance de cas similaires, comme si la situation de Jacques était finalement assez courante dans nos campagnes cévenoles…
Et qu’elle pouvait être plus ou moins acceptée.» Aujourd’hui âgé de 72 ans, Jacques va bien. Paul-Michel Gaultier, devenu officiellement son curateur, veille jalousement sur son repos (1) : «Il commence tout juste à comprendre qu’il est une victime. Jusqu’à présent, il pensait que tout était de sa faute et qu’avec ses cinq enfants, "monsieur André" avait beaucoup de bouches à nourrir.»
Pour lui redonner un peu de dignité, Paul-Michel Gaultier a tenté de retracer la vie de Jacques : né à Aix-en-Provence, séparé de sa mère deux jours après sa naissance, ce gosse de l’Assistance publique ignore jusqu’au nom de ses parents. Il aurait été employé en maçonnerie, puis comme garçon de ferme en Ardèche.
«C’est un maquignon qui a amené Jacques à André, raconte le curateur. Ce maquignon était venu avec son commis pour se débarrasser d’un bélier. Le père André a gardé le bélier mais aussi le commis, c’est-à-dire Jacques.»
Dans la maison de retraite où il réside désormais, Jacques s’occupe des jardinières, distribue le courrier aux pensionnaires, met le couvert. Car s’il est une chose qu’on ne lui a pas apprise, c’est à ne rien faire.
Un garçon de 10 ans se noie dans son lit. Et cela peut arriver à n’importe qui.
Johnny Jackson est un garçon plein de vie de 10 ans. Un jour, il va nager, pour la première fois, seul avec un copain. Après une bonne baignade, sa mère vient le chercher et ils rentrent à la maison. Sa mère, Cassandra, lui demande alors comment s'est passée sa journée.
Johnny est épuisé d'avoir crapahuté dans l'eau toute la journée, mais il semble véritablement heureux . Une fois rentré à la maison, il prend un bain et change ses vêtements. La journée touche à sa fin. Johnny a besoin d'une bonne nuit de sommeil. Et oui, courir, nager et jouer toute la journée est épuisant ! Rien ne semble sortir de l’ordinaire pour sa mère.
Mais, en allant voir son fils endormi, Cassandra fait face au pire cauchemar d’une mère : la figure de Johnny est couverte d'une mousse blanchâtre et le garçon de 10 ans ne bouge plus. La maman le secoue et le supplie de se réveiller, mais c’est trop tard. Son petit Johnny, le soleil de sa vie, est mort.
Plus tard, l'autopsie révèle la cause de la mort de Johnny et c'est la stupeur et l'incompréhension pour Cassandra : Johnny est mort noyé. Ce n’est qu’à cet instant qu’elle découvre ce qui a tué son fils : la noyade sèche.
“Je n’en avais jamais entendu parlé. Je ne pensais pas que quelque chose de semblable pouvait exister”, dit Cassandra.
Malheureusement, beaucoup de parents ne sont pas informés de ce danger mortel qui peut guetter les enfants des heures après avoir nagé. Voici ce qu'il se passe lors d'une noyade sèche : adultes comme enfants sont victimes d’un laryngospasme. C’est le réflexe protecteur qui empêche l’eau de pénétrer dans les poumons. Mais, cela coupe la respiration.
L’arrêt de la respiration peut entrainer une crise de panique et peut même causer une perte de conscience. Pendant l’inconscience, les muscles se relâchent et la personne recommence à respirer normalement. Mais dans 10% des cas, les voies respiratoires restent bouchées.
L’inhalation d’une petite quantité d’eau peut potentiellement devenir un danger mortel. Les enfants paraissent normaux, peuvent parler, courir et répondre. Mais cette petite quantité d’eau peut mener à une inflammation des poumons, à l’apparition d'œdèmes, ou à une disruption de l’échange de gaz.
Aprés une courte période, parfois quelques heures, la carence en oxygène peut être mortelle. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ce type de noyade, car leurs poumons sont petits, ce qui veut dire qu’il ne faut pas beaucoup d’eau pour faire des dégâts considérables sur leur système respiratoire.
Afin de prévenir ce type de noyade, il faut prêter attention aux symptômes suivants : Si certains de ces symptômes apparaissent chez un adulte ou un enfant suite à une baignade, emmenez-les directement aux urgences. C’est la seule chance que vous avez de sauver leur vie ! En matière de prévention, ne laissez jamais vos enfants se baigner sans surveillance.
Même une petite quantité d’eau peut mettre leur vie en danger. D’où l’importance d’être aussi vigilant ! Avec l'été chaud qui s'annonce, aller à la piscine est une nécessité, c’est pourquoi il est important que les gens soient informés de ce type de danger insidieux. Partagez donc cette information avec vos proches.
Après un accident de mobylette, cette femme a quelque chose en elle. Mais elle ordonne aux docteurs de ne pas le lui retirer.
En septembre 2012, Gemma Holmes, une travailleuse sociale de 26 ans, fait un tour de mobylette dans Hilperton (Angleterre) lorsque soudain elle rentre violemment dans une voiture à l'arrêt.
Le choc la propulse en avant, elle percute un lampadaire en plein vol et vient lourdement s'écraser sur le sol. Souffrant de multiples blessures graves, Gemma est transportée par hélicoptère vers un hôpital où elle subit une intervention chirurgicale du dos. Les médecins sont sceptiques quant à sa survie.
Gemma a, entre autres, une énorme commotion cérébrale et le dos cassé. Contre toute attente, Gemma émerge de son coma au bout de trois mois. C'est à ce moment-là qu'elle apprend qu'elle est enceinte de quatre mois.
À cause de son traumatisme crânien, Gemma souffre d'amnésie et n'a aucun souvenir d'être enceinte, de l'identité du père, ni même de ce qu'il s'est passé ces trois dernières années !
Sa mère, Julie, a appris que sa fille était enceinte une semaine après l'accident, mais elle ne l'a dit à personne au cas où Gemma ne s'en sorte pas. Gemma se retrouve désormais face à un dilemme de taille : garder l'enfant ou avoir recours à un avortement.
Si Gemma décide de garder l'enfant, elle ne pourrait pas avoir de péridurale et son corps ne supporterait pas les douleurs des contractions à cause de son dos cassé. "On m'a dit que je pouvais avorter si je le voulais, mais vu que mon bébé était là, dans mon ventre, je ne pouvais pas le faire.
Ça aurait été trop difficile - je n'arrivais pas à m'occuper de moi et il m'était impossible de marcher, mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'il y avait une raison à l'arrivée de cet enfant." Bien qu'elle ne se souvienne pas d'une quelconque relation, Gemma décide de garder l'enfant.
"Je me suis dit que si le bébé avait survécu à la violence de l'accident, c'est qu'il devait venir au monde." Le 2 mai 2013, deux semaines avant le terme, les médecins ont déclenché l'accouchement afin que la pression soit moins intense sur son dos. Gemma a donné naissance, par césarienne, a un petit garçon en parfaite santé. Elle espérait avoir un garçon et avait déjà choisi un prénom pour son adorable bébé : Rueben.
Gemma a dû subir d'autres opérations, mais elle a quand même pu allaiter et s'occuper du petit Rueben Miracle William Holmes. Tous deux se portent aujourd'hui très bien et mènent une vie heureuse. Le père de Rueben a également été retrouvé et ce dernier souhaite vivement s'impliquer dans la vie de son enfant.
Néanmoins, Gemma et son ex-compagnon ont décidé de ne pas se remettre ensemble. C'est complètement fou ! Après un accident d'une telle violence, non pas une, mais deux personnes ont survécu et ont surmonté les obstacles que la vie a mis sur leur chemin.
Partagez cette histoire touchante avec une personne qui aurait besoin d'un peu d'espoir aujourd'hui.
Haute-Saône : 30 ans de prison requis contre une mère qui a noyé ses deux enfants
Une peine de 30 ans de réclusion criminelle a été requise mardi à Vesoul à l'encontre d'Aurore Baumgartner, une mère de 28 ans accusée d'avoir noyé ses deux enfants en 2013 à Ronchamp (Haute-Saône).
Le verdict est attendu ce mardi après-midi à l'issue de deux jours de procès devant la cour d'assises de Haute-Saône. Aurore Baumgartner a reconnu avoir noyé l'un après l'autre Mélina, sa fille de 2 ans, et Elyas, son fils de 9 mois, en leur maintenant la tête sous l'eau dans une baignoire, le 15 mai 2013 à Ronchamp. «Pourquoi j'ai tué mes enfants ?
Pour faire souffrir leur père», a-t-elle déclaré sans détour devant la cour, le visage fermé. Aurore Baumgartner avait elle-même prévenu les gendarmes Pourtant décrite comme une «bonne mère, elle n'a à aucun moment évoqué de souvenir avec ses enfants lors de l'audience.
La jeune femme maigre à la longue natte brune entretenait une relation tumultueuse avec le père de ses enfants, avec lequel elle n'a jamais vécu en concubinage et qui n'avait reconnu que son fils. Elle a décidé de tuer ses enfants lorsqu'elle a découvert qu'il menait une double vie avec une autre femme à Paris, où cet ancien militaire s'était installé.
Aurore Baumgartner avait elle-même prévenu les gendarmes après son geste fatal. Quelques heures avant de passer à l'acte, elle avait envoyé un SMS au père des petits pour lui dire qu'il ne les reverrait jamais.
«Elle a basculé à un point où ce ne sont plus des enfants, ce sont des objets. Ils lui appartiennent, elle va les tuer pour en priver leur père», a dit l'avocat général Gabi Bouyssou, requérant 30 ans de réclusion criminelle et 7 ans de suivi sociojudiciaire. «
C'est l'acte le plus égoïste qui soit», a-t-il ajouté.
Un oncle leur laisse un vieux garage en héritage. Ce qu’ils ont trouvé à l’intérieur est incroyable!
Quand le Dr Harold Carr est décédé à 89 ans à Newcastle, Tyne il a laissé ses biens à sa famille, y compris un vieux garage poussiéreux. Il a toujours été un excentrique, et même si sa famille savait qu’il avait plusieurs voitures, ils n’avaient aucune idée de quel type il s’agissait.
« Il y avait des rumeurs qu’il avait une Bugatti, mais personne ne savait avec certitude, et personne ne savait ce qu’il valait, » a dit son neveu à The Mirror.
Lorsque le neveu et la nièce du docteur ont commencé à faire le ménage du garage, ils ont été surpris. Les rumeurs étaient vraies. Mais cela n’était pas tout.
Leur oncle, qui était connu par sa discrétion, avait une Bugatti, mais ce n’était pas une voiture de sport ordinaire. C’était une pièce historique: une Bugatti Type 57S Atalante.
La valeur estimée? 6 millions de livres, soit environ 7,7 millions d’euros. Bien que tous les Bugattis soient classés parmi les meilleures voitures au monde, ce modèle était encore plus spécial car il s’agissait d’une édition limitée.
La voiture était l’une des 43 voitures de ce modèle qui ont été produites, et a été construite le 5 mai 1937. La voiture a eu de nombreux propriétaires avant le Dr Carr en 1955, mais le plus notable était Francis Curzon, pilote automobile. La Bugatti était cachée dans le garage de l’oncle depuis 1960, quand son immatriculation a expirée.
Les 50 prochaines années ne semblaient pas, en partie en raison de Carr est devenu de plus en plus excentrique au fil des ans, et en partie à cause de sa forte volonté de garder secrètes leurs collections au public.
Quand elle a été retrouvée en 2009, dans un garage à côté d’une Aston Martin, ils ont également trouvé de notes d’offres d’achat des collectionneurs. Apparemment Carr n’était pas intéressé.
La voiture a finalement été vendue aux enchères pour une somme de 4 millions de dollars. L’argent a été divisé parmi ses héritiers, qui n’avaient jamais pensé qu’ils allaient devenir riches en nettoyant le vieux garage de son oncle.
Imaginez trouver quelque chose de si précieux dans le vieux garage d’un proche; c’était une belle surprise! S’il vous plaît, partagez avec vos amis si vous avez été fasciné par cette découverte!
Les 4 hommes posent sur la plage avant la guerre. 50 ans plus tard quand ils prennent cette photo , les larmes leur montent aux yeux.
En 1966, Bob Falk, Dennis Puelo, Tom Hanks (non, pas l’acteur) et Bob DeVenezia sont basés à San Diego, en Floride, dans une base militaire navale américaine.
Un jour ensoleillé de mai, ils prennent cette photo sur la plage. Ils sont alors tous âgés de 19 à 21 ans. C’est l’unique photo où les quatre compères, qui partageaient tout dans l’armée, sont réunis.
Quelques temps après le cliché, ils sont tous envoyés au Vietnam pour se battre dans une guerre qui a traumatisé l’Amérique. Là-bas, leurs chemins se séparent.
Sans le savoir, ils vivent les mêmes horreurs à des kilomètres les uns des autres. La guerre les détruit tellement qu’ils ne se revoient plus. Ni au Vietnam, ni à leur retour aux États-Unis. Ils veulent effacer tout ce qui leur rappelle ce traumatisme, y compris les amis de l’époque.
Et cela dure depuis 50 ans. Jusqu’à ce qu’un jour, alors qu’il feuillette un album, Tom tombe sur cette vieille photo . Il décide ainsi de réunir le quatuor pour reprendre le même cliché, cinq décennies plus tard! Les vétérans reprennent la même pose, habillés de la même façon qu’il y a 50 ans (Bob Falk a même dû faire six magasins différents avant de retrouver le fameux t-shirt rayé).
Voici le résultat : Cela n’a pas été facile de tous les réunir mais aucun d’eux ne le regrette. “Mission accomplie” crient-ils en rentrant de la plage. “Cette journée a été l’un plus beaux jours de ma vie”, affirme même Tom Hanks.
Après 50 ans, les quatre amis ont les cheveux gris, le visage ridé et le ventre pas aussi bien dessiné que dans leur jeunesse. Mais ils se sont enfin retrouvés après des années de silence et ont pu partager tous les souvenirs qu’ils ont en commun et rattraper le temps perdu !
Lorsque cette jeune fille est morte, son père a planté 111 arbres.
Mais il n’aurait jamais imaginé que cela aurait changé à ce point son village. En Inde, le petit village de Piplantri (dans l'État du Rajasthan) est à l'origine d'un incroyable projet qui a débuté il y a 6 ans déjà.
Lorsque le maire du village, Shyam Sundar Paliwal, perd tragiquement sa fille, il décide de planter 111 arbres pour lui rendre hommage.
Mais cette idée en a inspiré une autre : et si les villageois plantaient 111 arbres pour célébrer la naissance de chaque petite fille ?
Dans un pays où les femmes semblent avoir de moins en moins de droits et où de nombreuses filles sont tuées à la naissance, ce projet est un acte incroyable en faveur des femmes.
De plus, il permet de resserrer les liens familiaux, car tous les membres de la famille plantent les arbres et doivent s'en occuper ensemble au fil des années.
Plus de 40 000 arbres ont déjà été plantés ce qui a transformé le village en un véritable oasis vert. De plus, ce projet a eu de nombreux autres résultats inattendus. Les arbres plantés sont souvent fruitiers.
Ainsi, pour les protéger des animaux , les villageois ont planté de l'aloé vera tout autour, mais ces plantes représentent des avantages économiques extraordinaires. Piplantri a connu un redressement économique avec la récolte et la commercialisation de l'aloe vera : le village est enfin indépendant sur le plan économique.
Voici une idée avec un but à la fois beau et rentable !
Un hommage à sa fille décédée, un cadeau pour la naissance des petites filles, une bonne action pour l'environnement et un coup de pouce pour l'économie locale : un projet positif sur tous les points !
Orne : une ado recluse dans son lit et privée de soins, ses parents mis en examen C’est une vision d’horreur qui a saisi les premiers secours.
En pénétrant, vendredi en fin de matinée, dans la chambre d’une adolescente de 17 ans, domiciliée chez ses parents dans la commune de Flers (Orne), pompiers et urgentistes ont été estomaqués par l’étendue des blessures de la victime.
Allongée inconsciente dans son lit souillé d’excréments, cette jeune fille, souffrant d’un léger handicap mental, a été secourue dans un état particulièrement grave.
Présentant des signes de malnutrition, une plaie béante au niveau d’une cheville et couverte d’escarres au niveau du bassin, l’adolescente a été rapidement évacuée, alors que son pronostic vital était engagé, vers le centre hospitalier de Caen (Calvados).
Hier soir, elle était toujours plongée dans le coma. Aussitôt informé de la découverte de cette adolescente, le parquet a requis le placement en garde à vue de ses parents, âgés de 45 et 47 ans.
Entendus pendant deux jours par les enquêteurs de l’antenne de la police judiciaire de Caen, mari et femme ont finalement été mis en examen pour non-assistance à personne en danger par un juge d’instruction d’Argentan (Orne), avant d’être placés sous contrôle judiciaire.
Selon les premières investigations, les parents auraient expliqué que leur fille avait effectué plusieurs séjours en hôpital psychiatrique, liés à son handicap.
Le père, sans emploi, et la mère, ouvrière, auraient ensuite soutenu que leur fille refusait de se rendre aux toilettes et restait allongée dans son lit au milieu de ses excréments.
« Ses jambes étaient atrophiées, confie une source judiciaire. Il y avait des vers et des larves dans son lit. Je n’ai jamais vu une chose aussi horrible sur une personne vivante ! »
C’est sa mère qui a donné l’alerte, vendredi, après avoir retrouvé l’adolescente inanimée dans son lit. « Il semblerait que ses parents lui donnaient de quoi manger, mais elle avait du mal à s’alimenter seule, poursuit la même source. Ils ont fini par expliquer qu’ils avaient été dépassés par cette situation… »
À l’hôpital, cet infirmier voit la vieille dame seule et souffrante et lui fait ÇA!
Son geste touche le pays entier. Partagez sur Facebook En général, les infirmiers qui travaillent dans les hôpitaux sont tellement débordés qu’ils ne peuvent pas passer autant de temps qu’ils le souhaiteraient avec leurs patients.
Pourtant cet infirmier brésilien est devenu le héros de tout le pays. Son histoire a été racontée sur Facebook par Ingrid Velame, une jeune femme qui habite dans la ville de Salvador, au sud du Brésil.
“Aujourd’hui, je suis venue passer la journée à l’hôpital pour rendre visite à une amie. À un moment, la dame de 86 ans, qui était hospitalisée dans la même chambre que mon amie, a ressenti une douleur sévère causée par les eschares qu’elle avait à force de passer trop de temps allongée dans la même position.
Il lui fallait un matelas spécial pour soulager la douleur. Au même moment, un brancardier qui emmenait un patient faire un examen, a vu dans quel état se trouvait la dame et lui a obtenu un matelas spécial. Il l’a aussi pris sur ses genoux et lui a même chanté une petite chanson pour la calmer pendant que l’infirmière changeait le matelas.
Son attitude et son geste plein d’humanité m’ont touchée. Pour qu’il y ait plus d’êtres humains comme lui.” Ce brancardier avait sans doute une multitude de choses à faire lorsqu’il est entré dans cette chambre. Mais il a quand même pris le temps de consoler la dame âgée jusqu’à ce qu’elle se sente mieux. Aujourd’hui, tout le Brésil applaudit son geste humain et le considère comme un héros des temps modernes.