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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
LE BÉBÉ EST EN BONNE SANTÉ ET LA CHIENNE ADOPTÉE !
Excellentes nouvelles ! Souvenez de cette chienne errante qui avait trouvé un nouveau né jeté dans une décharge au Brésil. Elle l'avait apporté au village pour qu'il soit sauvé. Le bébé est désormais soigné et adopté. La chienne errante est désormais choyée par une famille aimante !
Ils sauvent deux enfants de 12 et 4 ans de la noyade
Les deux enfants ont eu beaucoup de chance : un petit garçon de 4 ans est tombé dans la Somme, dimanche après-midi à Amiens, alors qu'il faisait de la trottinette. Sa tante, une adolescente de 12 ans serait à son tour tombée dans l'eau alors qu'elle tentait de lui porter secours. Elle a réussi à s'accrocher à des branches et à rester proche du bord de la rivière jusqu'à ce qu'un couple lui porte secours.
Le chien refuse de quitter son jeune maître… La raison va vous fondre le cœur!
James, un petit garçon de 9 ans originaire de la Nouvelle-Zélande, aime passer du temps avec sa famille et profiter de chaque instant de sa vie.
Malheureusement, cela n’est pas toujours possible, car il souffre d’autisme. James ne peut pas parler et ne supporte pas d’être touché. Pour lui, le monde peut être un endroit très effrayant. Dans le moments difficiles, il peut compter sur le soutien de ses parents mais surtout, sur celui de son chien d’assistance, Mahe. Mahe fait partie de la famille depuis 2 ans et demi.
Et depuis son arrivée, il ne le quitte jamais! James a récemment subi une IRM pour diagnostiquer ses crises, et Mahe a été autorisé à l’accompagner. James, comme tous les enfants de son âge, aime jouer et s’amuser.
Même s’il est atteint d’autisme, sa famille essaie de lui montrer que cela ne doit pas l’empêcher de s’amuser. Pour l’aider, ses parents ont décidé de lui donner un chien d’assistance.
Mahe est comme un ange gardien. Il empêche James de prendre des risques inconsidérés, et de se faire du mal. James aime son chien tellement qu’il a décidé de recueillir de l’argent pour aider les gens qui ne peuvent pas payer pour avoir leur propre chien d’assistance. Les liens qui unissent James et Mahe sont très forts.
« Il y a tellement de magie entre un enfant autiste et un chien, les chiens calment vraiment les enfants » explique Wendy Isaacs, qui travaille pour l’organisation qui a formé Mahe. « Les enfants vont maintenir un regard sur un chien qu’ils n’offrent pas forcément à leur propre parent ou à leurs frères et sœurs. »
Pour passer une IRM, James a été mis sous anesthésie générale. Mahe se tient tout de petit garçon endormi, sans bouger. Il est dévoué à son maître.
Selon sa mère, Michelle Isaac, le chien semblait très préoccupé. « Mahe a été aussi important pour James dans les moments difficiles et stressants que dans ceux de joie, de découverte et de jeu. Il a vraiment changé quelque chose dans la manière d’être de James, et ce au cours de toutes les sorties diverses et variées que nous pouvons faire tous ensemble, » elle ajoute.
S’il vous plaît, partagez cette belle histoire si vous croyez que les chiens d’assistance sont absolument incroyables!
Paris se prépare à la crue du siècle
Dans les studios de la radio francilienne, l’animateur Laurent Petitguillaume et le journaliste Samuel Aslanoff enregistrent des flashs info simulant une crue majeure de la Seine. 19-21, avenue du Général-Mangin (XVIe), ce lundi.
Dans les studios de la radio francilienne, l’animateur Laurent Petitguillaume et le journaliste Samuel Aslanoff enregistrent des flashs info simulant une crue majeure de la Seine. « 7,60 m enregistrés ce matin au pont d’Austerlitz : la crue de la Seine se poursuit inexorablement. Les alentours de l’hôpital Georges-Pompidou (XVe) à Paris ont désormais les pieds dans l’eau comme de très nombreuses communes d’Ile-de-France. »
Dans les studios de France Bleu 107.1, ce lundi après-midi, le rédacteur en chef Samuel Aslanoff enchaîne les journaux… et les mauvaises nouvelles. Ça y est : la crue centennale* de la Seine tant redoutée est là. Et la station, «radio de crise majeure » attitrée, a basculé en édition spéciale.
Certes, il ne s’agit, pour l’instant, que de simulations qui seront diffusées du 7 au 18 mars dans le cadre du grand exercice Sequana 2016 (lire ci-dessous), organisé par la préfecture de police. Mais ces faux flashs info, bluffant de réalisme, font froid dans le dos.
La crue de la Seine en 1910. Ici, rue de Lyon (XIIe) (DR.) A mesure que l’eau du fleuve grimpe (50 cm chaque jour), les conséquences s’aggravent dans la région : péniches à la dérive, maisons de retraites et écoles fermées, hôpitaux et usines d’incinération perturbés, tous les réseaux touchés. Via France Bleu, la préfecture de police invite les Franciliens à sortir leurs voitures des souterrains pour les garer dans les bois de Vincennes (XIIe) et de Boulogne (XVIe).
«Vous êtes nombreux à nous signaler des queues devant les distributeurs de billets et les stations-service ainsi que des milliers de rats qui fuient les caves inondées », souligne le journaliste. Clés 30 Mds€. Ce que pourraient coûter les dommages directs d’une crue centennale en Ile-de-France. La croissance économique française serait, en outre, fragilisée et perdrait deux points de PIB. 5 millions. Le nombre de Franciliens (sur 12 millions au total) qui pourraient être sinistrés en cas de crue majeure de la Seine. 830 000 d’entre eux se retrouveraient en zone inondable. 400 000.
Le nombre d’emplois qui pourraient être directement affectés par la crue. 500 km2. La superficie du territoire francilien qui se retrouverait sous les eaux. Le vendredi 11 mars, à la veille du pic de crue, le scénario de crise atteint son paroxysme.
La circulation est très difficile dans toute l’Ile-de-France malgré la gratuité des transports. Et certaines communes du Val-de-Marne sont presque entièrement sous l’eau. Plus aucun train ne peut partir des gares d’Austerlitz (XIIIe), de Lyon (XIIe) et de Bercy (XIIe). Idem pour les TGV à la gare de l’Est.
«150 000 personnes sont par ailleurs privées de courant, 800 000 toujours privées de téléphone fixe et 500 000 personnes n’ont pas de chauffage », égrène Samuel Aslanoff. En régie, Bruno Lenormant délégué à la Défense chez Radio France, insiste sur l’importance de délivrer une information «vérifiée et certifiée » lors des crises où les rumeurs ont tendance à se propager. «Ce type d’exercice a aussi vocation à sensibiliser le grand public à un risque d’inondation auquel personne ne croit, insiste-t-il.
Il y a pourtant dix fois plus de chance de connaître une crue centennale que de subir un incendie dans un établissement recevant du public. » Ironie du sort, le rôle de Bruno Lenormant est aussi de planifier le déménagement de Radio France en cas de crue, ses locaux étant situés sur le front de Seine. Lorsque le fleuve sortira de son lit, les flashes de France Bleu 107.1 devraient donc être émis… depuis la province.
*Crue qui a une chance sur cent de survenir chaque année. La dernière remonte à 1910. Un exercice d’une ampleur inédite Se préparer au mieux lorsque la Seine viendra chatouiller le menton du Zouave du pont de l’Alma.
Du 7 au 18 mars, la préfecture de police de Paris organise, avec le soutien de l’Union européenne, EU Sequana 2016, présenté comme le «premier exercice européen de simulation de crue de la Seine ». Une opération hors normes de gestion de crise qui mobilisera, sur cinq départements, 900 sauveteurs (dont certains viendront d’Italie, d’Espagne, de Belgique et de République tchèque), 150 policiers, 60 véhicules, 4 hélicoptères.
Des manœuvres (évacuation d’une maison de retraite, opération de dépollution, sauvetage d’une péniche…) auront lieu les 12 et 13 mars à Valenton (Val-de-Marne), à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), à Beynes et à Limay (Yvelines) et sur le bassin de la Villette (XIXe). Sequana mobilisera surtout 87 institutions et entreprises (Assistance publique-Hôpitaux de Paris, Banque de France, EDF, SNCF, Orange, Veolia…), qui se sont engagées à «jouer » un scénario de crise.
La RATP va ainsi emmurer des stations de métro pour les protéger de l’eau et les académies de Paris et Versailles testeront notamment leur capacité à assurer la continuité du service public. Le 13 mars, un site d’information grand public sera aménagé sur le Champ-de-Mars (VIIe, face à l’Ecole militaire) de 13 heures à 19 heures. On y trouvera notamment un film en 3D de simulation d’inondation, des ateliers et des jeux pour tester sa vulnérabilité à la crue.
Le corps momifié d’un navigateur allemand retrouvé dans son bateau un an après sa mort
Personne n’avait de ses nouvelles depuis un an. Le corps momifié de Manfred Fritz Bajorat, un navigateur allemand de 59 ans, a été retrouvé ce week-end dans son yacht abandonné au large de la côte sud des Philippines, rapporte le "Mail online" ce lundi.
Ce sont deux pêcheurs locaux qui ont fait la macabre découverte. Dans la cabine du navire, inondée par les eaux, se trouvaient des albums photos , des vêtements et des boites de nourritures. Et surtout le cadavre en bon état de conservation de Manfred Fritz Bajorat, installé à une table à proximité de la station de radio, comme s’il avait voulu appeler à l’aide au moment de mourir. Impossible de déterminer, pour le moment, si l’intéressé est décédé à la suite de causes naturelles.
La police tente désormais de retracer les derniers mois de sa vie et une autopsie est en cours. Un des amis du défunt a en tout cas confié au journal "Bild" qu’il n’avait pas eu de ses nouvelles depuis qu’il lui avait parlé, voilà un an, à l’occasion de son anniversaire .
Baisse des allocations familiales : malgré nos 6.200 euros par mois, notre vie va changer Les familles nombreuses et aisées seront les plus touchées par la modulation des allocations familiales, selon une information relayée par "Les Echos". Cette baisse va-t-elle avoir un réel impact sur le quotidien de ces foyers ? Valérie, mère de trois enfants, va voir ses allocations – 295,05 euros par mois – diminuer. Elle nous explique ce que cette modulation va changer pour sa famille.
Professeur des écoles, je suis aussi mère de trois enfants, âgés de 11, 13 et 15 ans.
Mon salaire s’élève à 1.800 euros net par mois, tandis que mon mari, qui est militaire, gagne 4.400 euros.
Avec nos 6.200 euros mensuels, on pourrait croire que notre quotidien est facile. Pourtant, les allocations familiales que nous percevons chaque mois nous sont indispensables.
La modulation de ce montant telle qu’elle est prévue par le gouvernement, va avoir un réel impact sur notre quotidien et cela m’atterre.
Un impact sur la vie de tous les jours Nous percevons 295,05 euros d’allocations familiales par mois, ainsi qu’une majoration de 64,67 euros pour notre aîné, qui a plus de 14 ans.
Cette somme totale de 359,72 euros, nous l’utilisons pour les besoins de nos enfants, que ce soit le matériel scolaire, l’habillement ou encore les activités sportives.
Avec la modulation des allocations familiales, nous allons perdre la moitié de ce montant. Ça peut sembler dérisoire, mais cela va avoir un impact énorme sur notre vie de tous les jours. Nos impôts ne font qu’augmenter : nous payons 500 euros de plus par an, soit 40 euros par mois, et nos salaires ne sont pas revalorisés.
En tant que professeur des écoles, je n'ai pas été augmentée depuis 10 ans ! Ce n'est pas facile tous les jours : notre loyer parisien s'élève à 2.000 euros par mois et nous aidons également ma mère, qui est en maison de retraite.
Pourtant, avec nos 6.200 euros par mois, nous sommes censés avoir un pouvoir d’achat supérieur à la moyenne nationale. Ce n’est pas le cas : nous ne pouvons même pas changer de voiture , alors que la nôtre a déjà 13 ans. Faire attention à toutes les dépenses Nous faisons déjà attention à nos dépenses, car nous sommes dans le rouge de façon chronique.
Qu’est-ce que ce sera quand nos allocations familiales vont diminuer ?
Sur le plan matériel, nous serons obligés de faire attention à tout : nous irons moins faire le marché, nous privilégierons les marques discount et nous éviterons les dépenses qui ne sont pas indispensables, comme les vêtements. Il en sera de même pour les loisirs : plutôt que de louer une maison pour les vacances, nos enfants iront chez leurs grands-parents.
Ils ne pourront pas non plus choisir n’importe quelle activité extrascolaire. Il faut savoir qu’une année d’équitation coûte environ 900 euros ! Ce n’est pas possible pour nous, alors nous choisirons des associations qui proposent des activités à moindres frais. Nous ne pourrons plus nous permettre d’inscrire nos enfants dans des clubs de sport privés !
Une baisse insidieuse La modulation des allocations familiales ne nous fera peut-être pas changer de mode de vie de façon radicale, mais si l’on met bout à bout les sommes que l’on ne percevra plus chaque mois, on voit bien que c’est énorme !
Cette baisse va être insidieuse, car cela nous obligera à rogner légèrement sur tout ce qui constitue notre quotidien. Ce n’est pas encourageant et on finit par se sentir étranglé. C’est donc un sentiment d’injustice qui prédomine : bien que l’on travaille tous les deux, notre pouvoir d’achat est en constante baisse. Et le gouvernement ne fait rien pour nous aider.
Ne plus taxer les classes moyennes La modulation des allocations familiales va dans la lignée de la politique d’austérité qui a été mise en place. Le problème, c’est que l’on s’attaque toujours aux classes moyennes.
Pourquoi ne pas taxer les plus gros salaires ?
Ces baisses sont trop lourdes pour nos épaules et c’est regrettable. Malheureusement, je ne serais pas surprise si nos allocations familiales baissaient encore : les politiques sont bien loin des réalités. Pour prendre des décisions adaptées, il faudrait qu’ils viennent sur le terrain et qu’ils constatent par eux-mêmes que le quotidien des classes moyennes n’est pas toujours évident.
Une Cité du Vin à Bordeaux dans un magnifique bâtiment à l'architecture originale de 55 mètres de haut. Mettre en scène les "civilisations du vin" et pas seulement du Bordeaux. Un magnifique projet qui ouvrira dans 3 mois. Cette Cité par son envergure risque de devenir "L'endroit" à voir et à visiter pour tout connaître sur le vin et son histoire dans le monde Entier. Beaune & Dijon vont devoir rivaliser avec de beaux projets ambitieux qui ont vraiment de la gueule ! Espérons que nous ferons au moins aussi bien qu'eux avec notre Cité de la Gastronomie et du Vin à Dijon, et la cité des vins de Bourgogne à Beaune...! Quand des projets quasi similaires à thématiques assez proches émergent quasi simultanément.. Ce sont très souvent les plus ambitieux qui deviennent "L'incontournable" !! Bon... Allez... Soyons optimistes
La Cité du vin de Bordeaux, musée grand cru
Tout en courbes et reflets or, la Cité du vin a été conçue par l’architecte Anouk Legendre. La Cité du vin de Bordeaux se dresse à l’entrée des Bassins à flot de la Garonne, fermant la longue ligne des façades XVIIIe des quais.
C’est un ouvrage impressionnant, haut de 55 mètres, tout en rondeur, sans couture, couvert d’écailles de verre et de plaques d’aluminium couleur or qui se reflètent dans le fleuve. Anouk Legendre, l’architecte du cabinet parisien X-TU qui l’a conçu, avance que l’idée de cette forme arrondie, liquide, lui est venue en voyant les Bordelais faire sans cesse tourner le vin dans leur verre avant de le boire, pour l’aérer.
A l’intérieur, beaucoup reste à faire. Mais le 11 février, au vernissage de l’exposition « Bacchanales modernes ! », Alain Juppé a officiellement annoncé la date d’ouverture de la Cité du vin : le 1er juin. Après avoir remercié le Musée des beaux-arts pour avoir mis à l’honneur l’esprit de Bacchus, le dieu du vin, il a conclu d’un ton guilleret devant une grande statue de ménade nue :
« Et comme l’ivresse est joyeuse, je terminerai en poussant le cri de guerre des Bacchantes, Evohé ! Evohé ! [gloire à Dionysos !] » Si le maire de Bordeaux affiche un bel enthousiasme, c’est que les espoirs placés dans la Cité du vin sont à la mesure de l’édifice : colossaux. Dirigé par la Fondation pour la culture et les civilisations du vin, le lieu s’est donné une mission ambitieuse :
Moscou : une nounou décapite un enfant de 4 ans et brandit la tête dans la rue
RUSSIE - Une nounou a été arrêtée lundi à Moscou après avoir décapité une enfant de 4 ans qu'elle était censée garder et avoir incendié l'appartement familial. Elle aurait crié "Allahou Akbar" devant une station de métro, la tête de l'enfant à la main. Une scène insoutenable filmée par des passants.
La femme a été arrêtée à la sortie d'une station de métro.
Les images diffusées par les médias russes sont insoutenables. Une nounou a été arrêtée lundi à Moscou, après avoir décapité un enfant de 4 ans qu'elle était censée garder.
La femme a également incendié l'appartement familial, ont annoncé les médias russes et le comité d'enquête. "Le corps d'un enfant âgé de 3-4 ans, portant des traces de mort violente", a été découvert lundi dans un appartement dans le nord-ouest de Moscou, a indiqué le comité d'enquête de la capitale russe dans un communiqué.
"Le corps était décapité. Selon de premières informations, la nounou avait emporté la tête avec elle", a déclaré une source au sein des forces de l'ordre, citée par l'agence officielle Tass.
"La nounou, originaire d'un pays d'Asie centrale, née en 1977, a tué l'enfant (...) avant d'incendier l'appartement et de s'enfuir", précise le communiqué du comité d'enquête. Selon la chaîne de télévision populaire Lifenews, la nounou gardait la petite Nastya depuis un an et n'avait jamais eu de problème avec les parents.
Toujours selon la chaîne, la femme venait d'apprendre que son mari la trompait. La tête dans son sac à main Gultchekhra Bobokoulova a été arrêtée près de la station de métro Oktyabrskoye Pole, tenant la tête de la fillette par les cheveux, affirme cette chaîne connue pour ses liens avec les services de sécurité russes.
Elle l'aurait transportée dans son sac à main. Selon l'agence Interfax, la nounou, originaire d'Ouzbékistan, ex-république soviétique d'Asie centrale à majorité musulmane, aurait agi sous l'emprise de stupéfiants.
Lors des faits, elle portait un jilbab noir, tenue islamique qui couvre la tête et le corps des femmes, comme le montre la vidéo diffusée par les médias locaux.
Selon des témoins cités par des médias russes, la nounou a crié "Allahou Akbar!" et "Je suis une terroriste" au moment de son arrestation. L'agence Tass raporte que la nounou a menacé de faire exploser une bombe : "Elle criait qu'elle allait tuer tout le monde, faire exploser tout le monde", a raconté un témoin à la chaîne Dojd. Mais aucune trace d'explosifs n'a été trouvée sur elle.
La femme, qui faisait preuve d'"une conduite clairement inadéquate", a été arrêtée et subira "un examen psychiatrique", a ajouté le comité d'enquête. La mère de la victime a été hospitalisée en état de choc.
Drancy : après avoir tué son fils, la mère l’a mis dans la machine à laver
Drancy, samedi. La famille vivait dans ce quartier pavillonaire tranquille. Les voisins, qui n’ont jamais remarqué le moindre signe de violence, sont effondrés après le drame.
Une étape supplémentaire dans l’insoutenable a été franchie avec le récit de l’infanticide du petit Haroun, 22 mois, à Drancy. La mère, meurtrière présumée, 28 ans, a reconnu les faits pendant ses 48 heures de garde à vue.
Interrogée dans les locaux de la sûreté départementale depuis mardi dernier, elle avait confirmé les déclarations de son mari. Le petit garçon de 22 mois avait été frappé violemment et projeté au sol. Elle a expliqué l’avoir «boxé ».
Elle a mis le corps inanimé dans le tambour et enclenché un programme
Après s’être déchaînée sur son enfant, elle a révélé un scénario encore plus atroce. Alors que l’enfant ne bouge plus, elle entreprend cet acte insensé. Voulant faire disparaître les traces des violences, elle introduit le petit corps dévêtu dans le tambour du lave-linge puis elle enclenche un programme. Elle sort l’enfant de la machine puis le rhabille et le dépose, inerte, dans son lit. Lorsqu’elle réalise que l’irréparable a été commis, elle appelle son mari au téléphone.
Celui-ci découvrira son bébé couvert d’hématomes, ne bougeant plus. Le père prend le chemin des urgences de l’hôpital privé du Blanc-Mesnil. L’équipe médicale ne peut que constater le décès de l’enfant. L’autopsie révélera que la petite victime était déjà morte quand sa mère l’a jeté dans le lave-linge. La mère aurait frappé son enfant «par rage»
Le médecin a écarté l’hypothèse d’une crise de démence. La mère a dit qu’elle avait frappé son enfant «par rage ». Avant de se déchaîner sur Haroun, elle aurait expliqué qu’elle était rentrée d’un rendez-vous médical «de mauvais poil ». Seule à la maison, elle s’est défoulée sur le petit. Cette famille présentée comme «socialement carencée », n’était pourtant pas suivie par les services sociaux.
Lors de son audition, «elle pleurait surtout sur son sort », indique-t-on de sources proches de l’enquête. Une femme «sympathique, rigolote» selon une voisine
Dans le voisinage de la famille meurtrie, une rue pavillonnaire très tranquille, on tombe des nues. «Je ne comprends pas ce qui s’est passé. C’est une femme sympathique, rigolote, qui ne présentait pas le moindre signe d’agressivité », raconte, effondrée, sa voisine, elle aussi mère au foyer. « J’allais de temps en temps chez elle, mes enfants jouaient avec le sien, et parfois c’est elle qui venait à la maison. Elle était aux petits soins avec son fils, comme une maman tout à fait normale… »
Un autre couple de voisins confirme : «Elle était aimable, et avec son mari, ils étaient discrets. Notre fenêtre donne sur leur jardin, on n’a jamais entendu aucun cri, aucune dispute ! »
Le père avait éloigné le fils aîné du foyer pour le protéger
Autre point troublant : le couple avait un autre enfant de 5 ans mais il ne vivait plus sous leur toit. Ce jeune garçon se trouverait actuellement en Algérie. Il y a deux ans, le père avait pris l’initiative de l’éloigner du foyer familial, déjà à l’époque, pour le protéger des violences sa mère. Aucun signalement n’avait été fait à ce moment.
Vendredi, la mère infanticide a été écrouée. Le père a été remis en liberté, aucune charge n’a été retenue à son encontre. Une information judiciaire a été ouverte.
Des nouvelles aides encore méconnues du public
Depuis janvier, un avantage fiscal et plusieurs prêts sont venus s’ajouter aux primes à la rénovationen Wallonie. Bien qu’ils aient fait peu de bruit, ces incitants gagnent à être connus… Les aides à la rénovation et à la construction existent. Mais il leur faut encore du temps pour être assimilées
© Velux Les aides à la rénovation et à la construction existent. Mais il leur faut encore du temps pour être assimilées.
Trois prêts et une mesure fiscale sont venus s’ajouter en début d’année aux primes à la rénovation, mais ces nouveaux incitants sont passés quasiment inaperçus dans les médias comme au sein du grand public. Avant une analyse de leurs forces et faiblesses, un petit tour de leurs caractéristiques s’impose donc…
L’Accesspack est un prêt hypothécaire destiné à aider les familles à revenus moyens ou modestes lors de la construction ou l’achat d’une première habitation en Wallonie. Le taux ainsi que le montant de l’emprunt sont fixés en fonction des rentrées du ménage et du nombre d’enfants à charge.
Les sommes prêtées peuvent ainsi atteindre un maximum de 225.500 euros à rembourser sur trente ans. Le Rénopack et l’Ecopack sont des prêts à tempéraments 0 % pour le financement de travaux de rénovation. Le premier concerne des réalisations telles que le remplacement du système électrique et des châssis, de la toiture, de la charpente… alors que l’Ecopack est orienté vers les travaux économiseurs d’énergie (isolation, réalisation d’un audit énergétique, installation d’un chauffe-eau solaire ou d’une pompe à chaleur…).
Ces emprunts préfinancent les primes énergie que le propriétaire peut obtenir et couvrent des sommes de 1.000 à 30.000 euros à rembourser sur 15 ans maximum. Les Rénopack et Ecopack sont accessibles aux ménages avec un revenu inférieur à 93.000 euros/an et concernent des logements ayant plus de dix ans. Le chèque-habitat remplace le bonus logement et consiste donc en une réduction d’impôts sur le crédit hypothécaire. Il est réservé aux ménages gagnant maximum 81.000 euros/an.
L’avantage fiscal est calculé sur la base du nombre d’enfants et des revenus. Il ne peut pas durer plus de vingt ans et les dix dernières années, la réduction d’impôts est réduite de 50 %. Que penser de ces nouveaux dispositifs ?
« Les autorités ont alloué un budget plus important aux prêts à taux zéro et autres packs afin de compenser partiellement la baisse de l’enveloppe qui était attribuée aux primes, souligne Francis Carnoy, directeur général de la Confédération Construction wallonne.Ces nouvelles mesures permettent globalement d’aider plus de monde tout en ayant un impact financier moins important pour la Région. L’un dans l’autre, les primes et les prêts sont de bons incitants. »
On peut néanmoins pointer quelques faiblesses dans le système, comme les tranches de revenus qui varient selon les aides et ne facilitent pas la compréhension du public, ou encore le fait que, contrairement à son prédécesseur, le bonus logement, le chèque-habitat ne couvre pas les rénovations.
Du côté des points forts, ce dernier offrira un avantage fiscal plus élevé que ne le procurait le bonus logement pour les revenus les plus modestes, mais la Confédération Construction wallonne se demande si les banques suivront en accordant des crédits hypothécaires à ce type de ménage. « Nous soutenons les mesures prises par les autorités, mais nous désirons qu’elles aillent plus loin, précise Francis Carnoy.
Nous souhaiterions par exemple qu’on privilégie davantage l’extension du parc immobilier car c’est une nécessité et parce que l’acquisition ou la construction de logements neufs sont génératrices d’activité économique et d’emploi.
La rénovation du bâti existant est également un gros défi à relever, et pour cela nous estimons qu’on devrait davantage utiliser la fiscalité comme levier. On pourrait, par exemple, offrir des droits de succession réduits à condition que le montant économisé soit utilisé pour des rénovations du bien. » D’autres idées sont également sur la table, comme l’intervention d’un tiers investisseur. Reste à voir si elles seront un jour adoptées par les autorités…