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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L'été se termine a peine, mais il n'est pas trop tôt pour penser au printemps prochain.
Car le printemps, pour les refuges espagnols, est synonyme du retour des moustiques et de la leishmaniose...
Et plus particulièrement au refuge de Mn, sévèrement touché par cette maladie.
Nous relançons donc cette opération afin de commencer à récolter un maximum de produits vétérinaires pour aider les bénévoles à lutter contre cette maladie.
Collier Scalibor, Pipettes anti moustiques, médicaments etc, chaque don est précieux et peut empêcher un loulou d'être contaminé par cette maladie, ce qui réduit gravement ses chances d'être adopté. Merci à tous!
Pour toute question contactez Terre des Lévriers:
Céline: Cbabaisse@hotmail.fr
Patricia: texouille@gmail.com
Evelyne: pomavea@gmail.com
Perrine: perrinemallet46@gmail.com
Christine: christine.lipinski.tdl@gmail.com
La Suisse, invente le permis pour chien !
En Suisse, le gouvernement oblige désormais les propriétaires de chiens à passer un permis d'aptitude.
En Suisse, depuis quelques semaines, les nouveaux propriétaires de chiens doivent avoir en leur possession un "permis pour chien".
L'obtention de cette licence est possible après avoir suivi 4 heures de leçons théoriques et 4 heures de cours pratiques.
C'est dans une optique de protection des animaux que le gouvernement suisse a jugé utile de rendre les propriétaires canins plus responsables.
La non-violence, sous forme active consiste en une bienveillance envers tout ce qui existe. C'est l'amour pur
Sur le flot de mes souvenirs dansent les poussières d'étoiles d'une terre sans bagage. Où l'avenir est à jamais le naufrage de ses âmes qui se pâme au large voguant sur chaque voyage, à l'horizon du paysagevqui vient versées ses larmes en hommage à l'amour des sages, à la vie et son innocence.
Le souvenir c'est la présence dans l'absence, c'est la parole dans le silence, le retour sans fin d'un bonheur passé, auquel le cœur donne l'immortalité.
On dit souffrir comme un chien, et aussitôt c’est entendu. On ne peut pas dire plus, mais on n’a pas dit moins qu’il ne fallait. On a voulu dire que là, quelque part, la souffrance est impartageable. On l’a mise sur le dos de l’animal, qui sait ne pas le dire, quand c’est trop et qu’il s’arrête de gémir. On n’a sans doute rien voulu dire encore du chien, mais on l’a mise au lieu de sa solitude la souffrance, quand il n’est plus qu’un chien, un chien de plus, celui qui égale tous les autres dans la horde, là où il n’y a pas d’ensemble mais seulement un chien de plus, un infini de plus dans la souffrance, un autre, le même avec des yeux noirs, des yeux marron, des yeux bleu clair qui pourraient faire penser au ciel s’il n’y avait pas dans la solitude du chien plus d’infini que nulle part ailleurs.
On dit souffrir comme un chien, on ne dit pas souffrir comme un Dieu.
On dit pourtant à chaque fois l’infini et le cri quand il s’est effacé.
On ne dit pas l’inexprimable mais le silence en absence d’expression.
On ne dit pas l’inoubliable, mais ce qui a lieu ailleurs que dans le temps, quand il y en a trop, trop pour être dit, et assez pour qu’il passe comme un feu.
On la met dans la tête du chien la souffrance, dans sa mémoire nulle, vacante.
On voudrait la mettre là, quelque part où elle s’oublie, mais on ne sait pas ce que le chien oublie. Il faut suffisamment de misère pour qu’on donne à l’animal le droit de désigner la souffrance humaine. L’animal ne lui rend pas ses droits à la souffrance. Elle n’en a pas.
On dit comme un chien parce qu’il est nu comme elle. C’est sans droit, c’est dans la rue et c’est aussi la ville.
On ne dit pas souffrir comme un porc, mais peu s’en faut qu’on entende des hommes hurler comme des porcs.
On dit comme un chien parce qu’il y en a plus qu’on ne croit dans les rues. Les chiens, ils sont aussi la ville, ce que ne sont pas les porcs. On dit comme un chien parce que dans la ville, ils sont son absence de frontière.
On dit qu’avec la souffrance on est dehors comme le chien, et qu’elle ne s’arrête pas là où elle a commencé. Avec le chien, on migre, on ne voyage pas, on ne part pas, on habite la souffrance et c’est ce qu’on veut dire du chien, que c’est son monde, que ça peut le devenir et qu’on peut y rentrer aussi. Entre l’homme et l’animal, l’analogie est là, nulle part, dans la rue. Elle n’est pas dans nos maisons. Elle n’est pas dans la nature. Elle excède nos lieux d’habitation, comme la souffrance rend vaines les frontières. Pourtant, on doit faire l’animal à l’image de l’homme.
On ne peut faire l’homme à l’image de l’animal. Une fois,un chien qui s’était fait mordre par un sanglier,avait la gueule fendue en deux mais il était venu jusqu’à sa maison. Les maitres s’était mis sur le pas de la porte, ils avaient déjà du mal à voir, mais ils avait dû quand même aller voir avant de se mettre les mains sur le visage. Et quand il ont compris que c’était trop, parce qu’il avait dû le comprendre lui le chien ou le sentir, il est parti se cacher, mourir, et ça a été son territoire le silence. Il s’est tapi lentement, il n’a plus appelé, plus lancé de regard, il n’a pas poussé de cri non plus, c’est juste avant qu’il avait gémi, quand il était venu vers nous, vers la maison.
Ce silence-là, du chien, je crois qu’on ne le connaît pas. Il avait eu deux solitudes, celle avec laquelle il était venu, et celle avec laquelle il était reparti. Il avait eu deux solitudes, mais dans la seconde, il avait semblé savoir où aller, et à quel moment. Je ne sais rien de la seconde, mais si l’homme savait mourir, on ne dirait pas qu’il souffre comme un chien.
Un chien c'est une tendresse sur quatre pattes, Un cœur qui bat que pour nous. C'est un regard bouleversant. C'est le pardon permanent de l'offense, le don de soi sans condition. C'est une présence attentive, un cerveau qui comprend, un instinct qui prévoit,une perception qui devine. C'est l'humble soumission dans la contrainte. Une tendresse, c'est la banque du cœur qui ne fait pas faillite. C'est l'assurance discrète d'une présence. La certitude d'une totale participation dans la joie comme dans la peine. Le chien c'est ce qui nous reste, quand tout nous abandonne. C'est la confiance qui ne peut condamner, simplement parce qu'elle aime. Le chien c'est un immense amour.
Nous ne devrions pas craindre la différence, le plus à craindre c'est l'indifférence...
Compare la vie à la lumière du jour qui fuit dans la nuit... Et quand la lune fait rejaillir la lumière, c’est un rêve qui surgi