aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Un complément alimentaire donné aux vaches contre le réchauffement climatique
C'est en digérant que les vaches émettent des gaz à effet de serre.
Elles n'ont rien demandé, mais sont souvent accusées de participer au réchauffement climatique. Il faut dire que nos vaches, en se nourrissant puis en digérant, produisent environ 44% des émissions mondiales de méthane résultant des activités humaines (selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture), à travers leurs rots et pets.
Des scientifiques ont trouvé une solution pour limiter ces émissions de gaz à effet de serre : un complément alimentaire donné aux vaches laitières a permis de diminuer de 30% les émissions de méthane. Les vaches éructent pour survivre
La fermentation dans la panse des bovins, des moutons et des chèvres (une des quatre cavités de leur estomac) produit du méthane qui résulte de l'action de micro-organismes dans la digestion. Pour survivre, ces animaux doivent éructer ces gaz.
C'est ainsi que les vaches laitières émettent de 450 à 550 grammes de méthane par jour. Or, les scientifiques ont récemment découvert qu'une substance baptisée 3-nitrooxypropanol (3-NOP) développée par la firme néerlandaise DSM Nutritional Products était capable de bloquer une enzyme nécessaire à la formation du méthane dans la panse.
Donnée en complément alimentaire aux vaches, cette substance n'affecte pas leur digestion. Aucun risque pour leur santé Cette recherche menée pendant trois mois dans des étables de la Penn State University (Pennsylvanie, est des Etats-Unis) avec 48 vaches de race Hosltein, a également montré que ce nouvel inhibiteur de méthane avait permis un gain de poids 80% supérieur aux animaux du groupe de contrôle.
Ce gain de masse corporelle s'explique par le carbone qui n'a pas été utilisé dans la formation de méthane que l'organisme a mis à profit pour produire plus de tissus. En outre, la quantité d'aliments consommée n'a pas diminué tout comme la capacité des bovins à digérer des fibres.
Leur santé n'a pas non plus été affectée, précise Alexander Hristov, professeur de nutrition à la Penn State University, principal auteur de cette recherche. Enfin, fait important, la quantité de lait produite n'a pas été réduite, ajoute-t-il.
Un impact important pour l'environnement Ces dernières années, plusieurs équipes scientifiques ont testé de nombreuses substances chimiques, notamment des nitrates, pour diminuer la production de méthane des ruminants, parvenant même à des réductions de 60%, poursuit-il.
Mais ces agents ont du être abandonnés en raison de leur nocivité pour la santé et les risques pour la sûreté alimentaire et l'environnement.
« Si l'Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments (FDA) approuve cet inhibiteur de méthane et qu'il est utilisé par le secteur agricole, cela pourrait avoir un impact important sur les émissions de gaz à effet de serre provenant de l'élevage », a jugé le professeur Hristov dans un entretien téléphonique avec l'AFP.
« Si on peut réduire la perte d'énergie avec cette inhibiteur de méthane, les vaches prendraient plus de poids et plus rapidement », ajoute le scientifique estimant que ces facteurs devraient convaincre le secteur agricole d'utiliser ce nouveau complément alimentaire qui va encore faire l'objet de recherches pour conforter ces résultats.
Peu de contraintes pour les agriculteurs Selon lui, son coût devrait baisser suffisamment en étant produit industriellement et ne pas être dissuasif pour les éleveurs. Pour Sesnon Endowed, professeur de science animale à l'Université de Californie à Davis, qui n'a pas participé à cette recherche,
« cet inhibiteur de méthane est très prometteur car on ne s'attendait pas à une telle réduction ».
« 30% c'est énorme et peut faire une grande différence dans les gaz à effet de serre du secteur agricole », a-t-il dit à l'AFP. Au total l'agriculture contribue pour 24% des émissions mondiales de ces gaz, CO2 et méthane essentiellement.
« Pour les agriculteurs, c'est intéressant car ils n'ont pas à changer la manière de nourrir leur bétail", a poursuivi le scientifique. « C'est très différent de ce qui est surtout fait actuellement pour minimiser la production de méthane des ruminants qui consiste surtout à modifier leur régime alimentaire », fait-il remarquer.
Il était une fois... Un monde où les animaux vivaient enfin leur vie. Un monde merveilleux où les êtres humains réalisèrent soudain que les animaux ne poussaient pas dans les arbres, qu' ils n' étaient pas de la nourriture, qu' ils éprouvaient toutes sortes d' émotions telles que la joie, le bonheur, l' anxiété, la peur, la tristesse, l' ennuie et que par dessus tout : ils tenaient à leur vie. Un monde où enfin, l' estomac des hommes cessa de guider leur coeur...
Vous imaginez-vous la nature sans bêtes, une prairie sans insectes, un bois sans oiseaux , les monts et les plaines sans êtres vivants ? Représentez-vous un instant l’homme seul, et tout de suite quel immense désert, quel silence, quelle immobilité, quelle tristesse affreuse ! Ne vous est-il pas arrivé de traverser quelque lande maudite d’où la vie des bêtes s’est retirée, où l’on entend ni un chant, ni un cri, ni le frôlement d’un corps, ni le palpitement d’une aile ? Quelle désolation, comme le cœur se serre, comme on hâte le pas, comme on se sent mourir d’être seul, de ne plus avoir autour de soi la chaleur des bêtes, l’enveloppement de la grande famille vivante !
Ces animaux sont de véritables innocents. Nous, les humains, avons depuis longtemps perdu notre innocence à l' instant même où nous avons consommé des produits d'origine animale.
Liège: filets, épuisettes de capture et cages... que vont devenir les lapins de la Boverie, menacés par les travaux?
La nouvelle est tombée durant le mois de juin dernier. L'école communale de la Boverie qui accueillait dans sa cour de récréation de nombreux lapins va fermer ses portes et déménager. Les travaux liés à la nouvelle passerelle ont pris de l'avance.
Les enfants retrouveront un établissement à la rue de Londres toujours à Liège. Mais, quid des autres locataires: les lapins. Un déménagement précipité.
C’est l’histoire d’une école communale à Liège, 'La Boverie'. Un établissement situé en plein cœur d’un parc du même nom que l’école. Une aubaine, car les enfants y jouent quotidiennement dans une cour de récréation verdoyante.
Particularité de l’endroit: des dizaines de lapins partagent la cour de récréation des enfants depuis des années. "Ce déménagement initialement prévu pour l'année scolaire 2016-2017 a dû être avancé suite à l'installation d'une nouvelle passerelle reliant les Guillemins dans le parc de la Boverie et risquant une issue fatale pour les lapins", nous fait savoir Nathalie Bergrath, la présidente de l’ASBL AnimaVeg, via la page alertez-nous.
L'association souhaite l'évolution de la condition animale par la popularisation du veganisme
Une surpopulation gênante
À la base et il y a quelques années, un seul couple de lapins a été introduit dans la cour de récré. Les années ont passé et de nombreux particuliers ont pris l'habitude de venir abandonner leur mammifère quand ceux-ci devenaient contraignants. "Très vite, les gens ont été au courant que des lapins vivaient à cet endroit. Ils ont commencé à les jeter par-dessus les grilles quand ils souhaitaient les abandonner sans même qu'ils soient stérilisés", indique Nathalie Bergrath qui poursuit: "Régulièrement, les ASBL agréées allaient retirer des lapins pour éviter un problème de surpopulation. Des cadavres étaient parfois même retrouvés sous les pavillons de l'école ce qui posait problème." Résultat: des années plus tard, c'est un véritable contingent de lapins qui y vit. Une population uniquement régulée par la bonne volonté des associations agréées comme AnimaVeg.
Un déménagement prévu...
mais pas si tôt Mais le cadre sympathique de la cour de récréation de l'école communale appartient désormais au passé. Au mois de juin dernier, à l’issue de l’année scolaire, l’école est invitée à quitter les lieux par les autorités.
En cause: les travaux de la passerelle qui relie les Guillemins au parc de La Boverie ont pris de l’avance sur le planning. La première pierre de l’édifice sera posée ce samedi. Initialement, l’école ne devait pourtant déménager que pour l’année scolaire 2016-2017. L’école va être déplacée à la rue de Londres. Les enfants vont donc connaître un nouveau cadre scolaire à la rentrée.
La passerelle vers la Boverie va enfin être posée
En résumé, c’est une petite révolution dans le paysage du bord de Meuse avec cette passerelle qui reliera bientôt les quais de Meuse au Parc de la Boverie. La passerelle d’acier est un monstre: 750 tonnes et 300 mètres de long.
Les Liégeois pourront admirer l’ouvrage d’ici lundi. En attendant le transport, prévu aussi ce samedi par bateau, les différents éléments sont préparés.
"Les structures qui sont pré-assemblées en 6 grands éléments vont être glissées sur des barges. Vendredi après-midi, ces barges vont remonter la Meuse pour arriver à destination vers 15h30-16h" a expliqué Vincent Servais, responsable de la conception de la passerelle, à la rédaction de RTLInfo
L'une des 6 pièces qui vont être glissées sur des barges
Des grues de 60 mètres de haut posées sur des barges La circulation fluviale sera interdite pendant trois jours, soit des moyens spectaculaires déployés pour mener à bien l’édification de cette nouvelle passerelle.
L’opération la plus périlleuse aura lieu samedi avec le redressement du tablier de 140 mètres. "Pour faire cela, il y aura trois bigues", poursuit Vincent Servais. "Une bigue, c’est une grue sur une barge. Mais des grues qui culminent à 60 mètres de haut donc il s’agit d’éléments importants".
Sauf incident, la passerelle sera entièrement assemblée lundi, mais les Liégeois devront encore patienter jusqu’au mois d’octobre avant de la traverser.
Infographies du résultat à l'issue des travaux
Opéartion commando Mais, revenons-en à nos lapins. Il y a deux semaines et à l’initiative de l’ASBL ‘Animaveg’, une véritable opération de sauvetage a été mise en place. Une centaine de lapins ont été capturés par des bénévoles pour être déplacés. Ils risquaient tout simplement la mort.
Les travaux liés à la passerelle vers le parc de la 'Boverie’ nécessitent de retourner la terre à de nombreux endroits où se situent entre autres les terriers des mammifères. Une quinzaine de bénévoles se sont retroussé les manches et ont capturé les lapins. Filets, grillages, épuisettes de capture, cages, les bénévoles avaient sorti la panoplie complète de sauvetage pour se saisir des lapins comme en témoignent ces clichés
. Un lapin en cage... non merci Les lapins ont été depuis recasés dans des refuges agrées comme ceux de la SRPA de Liège, 'd'Animaux en Péril' ou de l’ASBL ‘Animal Sans toi… T’. "On a aussi trouvé des accueillants qui bénéficient d’un endroit similaire au cadre de l’école." A savoir, plusieurs hectares ou les lapins peuvent vivre en liberté ou en semi-liberté. Les petits animaux à poil ont été pucés, vaccinés et stérilisés. "De toute façon et de manière générale, nous déconseillons que les lapins vivent en cage.
Surtout ceux qui ont déjà vécu en liberté toute leur vie", conclut la présidente de l’ASBL Animaveg.
Pour sauver ses vaches, la Suisse «vole» de l’eau en France
L'armée suisse a cette semaine mobilisé plusieurs hélicoptères pour venir puiser de l'eau dans le lac des Rousses (Franche-Comté) pour réhydrater leurs vaches.
Seul problème : la préfecture du Jura, qui avait instauré des restrictions d'eau, n'était pas au courant.
Les vaches suisses sont tant assoiffées par la canicule que des hélicoptères de l'armée sont venus puiser l'eau d'un lac de Franche-Comté pour les réhydrater.
La préfecture du Jura n'était pas au courant. Les vaches suisses sont tant assoiffées par la canicule que des hélicoptères de l'armée sont venus puiser l'eau d'un lac de Franche-Comté pour les réhydrater.
La préfecture du Jura n'était pas au courant. Les baigneurs du lac des Rousses (Franche-Comté) n'ont pas compris ce qui venait troubler leur quiétude.
Jeudi, plusieurs hélicoptères ont soufflé leurs serviettes de bain pour venir puiser de l'eau en masse dans cette belle baignoire d'altitude. Or, point de feu à l'horizon qui aurait justifié une telle agitation.
Vite prévenus, les gendarmes ont pu confirmer ce week-end que les appareils appartenaient à l'armée suisse, apparemment en mission sauvetage... de vaches.
Assoiffées par la canicule, les bêtes helvètes ont en effet bénéficié d'un ravitaillement de luxe. Si tous peuvent se réjouir du réconfort apporté aux braves déshydratées, la préfecture du Jura, qui avait délivré un arrêté de restriction d'eau, apprécie beaucoup moins le pillage.
Aucun responsable français n'était au courant Selon le quotidien «Le Progrès», aucun responsable français n'avait été mis au courant de cette opération.
La mairie des Rousses notamment, propriétaire du lac, ainsi que le Syndicat des eaux, n’étaient informés de rien. Ce sont même les gendarmes qui, visiblement, ont fait remonter l'information à la préfecture.
Or, en France également, la chaleur assèche pâturages et fontaines. Et comme dans de nombreuses régions, des restrictions provisoires d'usages des eaux avaient été ordonnés.
Lundi déjà, «Le Parisien» - «Aujourd'hui en France» rapportait que l'armée suisse avait été appelée à alimenter des points d'eau pour vaches assoiffées dans les pâturages du canton de Vaud (ouest), où des records de chaleur sont battus depuis le début du mois.
Jusqu'alors, les différents points d'eau étaient officiellement ravitaillés par des ponctions faites des lacs de Neuchâtel et de Joux. Il semble toutefois que la source ait été épuisée puisque c'est bien dans le lac de Joux que les réserves des Rousses aient été rejetées.
Une vache modifiée pour produire du lait humain
Des chercheurs argentins ont greffé deux gènes de femme à une vache pour que l'animal produise des enzymes spécifiques au lait maternel humain.
Une avancée prometteuse qui suscite toutefois quelques réserves. Sur les photos, Rosita ISA ressemble à une jolie génisse, dotée du pelage fauve caractéristique de sa race, les «Jersey». Dans les faits, elle est une prouesse scientifique.
Pour la première fois, des scientifiques ont réussi à modifier le génome d'une vache pour lui ajouter deux gènes humains contrôlant la production d'enzymes dans le lait.
Cette innovation a été réalisée en Argentine, par des chercheurs de l'Institut national de technologie agricole et de l'université de San Martin.
Rosita, qui résulte d'un clonage, est née le 6 avril. Depuis, elle est surveillée 24 heures sur 24. Dans dix mois, les chercheurs devraient, en effectuant une simulation de grossesse, confirmer si les protéines humaines la lactoferrine et le lysozyme - sont bien présentes dans son lait.
A l'âge adulte, Rosita devrait donner naissance à «des petits qui auront des gènes modifiés dans 25 à 30% des cas», puisque les gènes ne sont pas systématiquement transmis à la descendance, estime Nicolas Mucci, l'un des trois responsables des recherches.
Soit autant d'animaux capables de produire ce lait amélioré. La lactoferrine existe chez tous les mammifères et permet d'améliorer l'absorption de fer pour la fabrication des globules rouges.
Mais elle est spécifique à chaque espèce et la lactoferrine bovine n'agit pas sur les humains. Le lysozyme est un agent anti-infectieux que l'on trouve peu dans le lait de vache, mais qui est très présent dans le lait maternel pendant la première semaine de lactation.
Nicolas Mucci affirme que le lait ainsi produit changera la donne pour les bébés en les «protégeant contre des maladies et en améliorant l'absorption de fer».
Pas consommable par les nourrissons Le Pr Patrick Tounian, secrétaire général de la Société française de pédiatrie (SFP), met toutefois en garde contre les raccourcis séduisants.
«Il s'agit d'une première étape très intéressante, mais le lait produit par cette vache est encore loin d'être du lait maternel», souligne-t-il.
«Pour y parvenir, il faudrait transférer à la vache l'ensemble du génome régissant la production de lait chez la femme», soit bien plus de deux gènes, à considérer que cela soit possible.
«Ce lait reste donc impropre à la consommation des nourrissons, qui ne tolèrent que le vrai lait maternel et les laits maternisés, dont la composition est strictement réglementée», rappelle encore le pédiatre-nutritionniste.
Selon lui, le principal attrait du lait de Rosita tient à son enrichissement en lactoferrine. Cette enzyme améliore l'absorption par l'organisme du fer contenu dans le lait de vache, ordinairement mal assimilé.
«La SFP recommande de donner aux enfants de 1 à 3 ans du lait de croissance, enrichi en acides gras essentiels, vitamines et minéraux. Mais dans un cas sur deux, les parents ne respectent pas ce conseil et donnent directement à leur enfant du lait de vache. Pour ceux-là, un lait enrichi en lactoferrine serait effectivement préférable à du lait ordinaire».
Ce lait pourrait également être bénéfique aux adultes et adolescents qui consomment peu ou pas de viande. En mars, des chercheurs chinois avaient déjà annoncé avoir créé un troupeau de 200 vaches capables de produire du lait enrichi de trois enzymes humaines le lysozyme, la lactoferrine et l'alpha-lactalbumine grâce à une technique différente de celle utilisée par les Argentins.
Les informations sont restées assez floues, mais le scientifique à la tête du projet, Li Ning, prévoyait une mise sur le marché d'ici une dizaine d'années.
Aucun être n'est violent ou agressif par nature.Tout comportement est le résultat d'un conditionnement
La vie est fabuleuse, elle nous fournit à chaque instant des occasions de grandir
"JUSTE POUR LE PLAISIR DE QUELQUES PAUVRES BOUCHÉES DE CHAIR ,nous privons une âme du soleil, et de la lumière, et de la vie, et du temps qui lui revenait , et dont elle était née en ce monde pour jouir."