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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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animaux de la mer.antartique.ect...

ours

Publié à 08:28 par fandeloup Tags : amour
ours

Le regard de L'AMOUR

scalaire

Publié à 16:28 par fandeloup
scalaire

La plupart des poissons passent par le stade d'alevin, c'est-à-dire un petit poisson qui ne ressemble en rien à l'adulte. Ils sont minuscules, et il est difficile de croire qu'ils deviendront ces gros poissons aux corps étranges, comme le scalaire.

bb phoque

Publié à 08:26 par fandeloup Tags : bébé
bb phoque

La transformation du bébé phoque pourrait ne pas paraître impressionnante, mais l'évolution est complexe. De blanc et duveteux à la naissance, le petit phoque devient successivement gris, gris tacheté, puis dans le cas du phoque du Groenland, des tâches bien spécifiques apparaissent.

banquise

Publié à 13:05 par fandeloup Tags : neige hiver automne nature fond mer
banquise

La banquise fond , la population de rennes du Groenland aussi

 L'ours polaire n'est pas la seule espèce menacée par la fonte de la banquise, dont l'impact peut se faire sentir loin à l'intérieur des terres arctiques et perturber la reproduction de paisibles herbivores, comme le renne du Groenland, suggère une étude publiée mardi.

Liée à la hausse du CO2 atmosphérique, la fonte de la glace de mer dans la zone arctique n'a cessé de s'accentuer depuis 1979, durant les mois d'été et d'automne.

La fonte de cette banquise arctique, qui couvre 15 millions de km2, a atteint un record durant l'été 2012. Un phénomène qui menace directement d'extinction les ours polaires en les privant de leur habitat naturel.

Mais la fonte de la banquise pourrait également avoir des répercussions inattendues à l'intérieur des terres, démontrent des chercheurs, qui ont étudié une zone de toundra montagneuse dans l'ouest du Groenland, mesurant différents paramètres durant onze années.

Ils ont observé que la végétation y parvenait à maturité de plus en plus précocement dans l'année : 16 jours plus tôt en moyenne en 2011 par rapport à 2002.

Parallèlement, la population de rennes (Rangifer tarandus) vivant dans la région a décliné, en raison d'une baisse des naissances et d'une hausse de la mortalité des jeunes.

On pourrait penser qu'une végétation plus abondante aux premiers jours du printemps bénéficierait à ces herbivores. Mais c'est le contraire, car si les plantes sont en avance, les rennes, eux, n'ont rien changé à leurs habitudes migratoires millénaires.

Et ils payent ce décalage au prix fort, estime l'étude menée par Jeffrey Kirby et Eric Post, biologistes à l'Université américaine de Penn State. Les rennes dépendent entièrement des végétaux pour leur alimentation. Durant les longs mois de l'hiver arctique, ils creusent sous la neige pour se nourrir de lichens.

Mais au printemps, ils se tournent vers les herbes de la toundra, les jeunes bourgeons de saules ou d'autres arbustes, beaucoup plus nutritifs. C'est l'allongement du jour qui leur signale que le moment est venu de migrer vers des zones où cette végétation printanière est abondante, une période qui coïncide avec celle où les femelles mettent bas. Mais avec cette éclosion prématurée de la végétation, les femelles arrivent trop tard dans leurs «maternités» traditionnelles : les plantes ont dépassé leur pic de productivité et leur valeur nutritive est déjà en train de diminuer...

Et contrairement à ce qu'on pourrait penser, ce n'est pas le réchauffement lui-même qui semble responsable de ce phénomène, mais bien la fonte de la banquise durant l'été, suggère l'étude, publiée dans la revue britannique Nature Communications.

D'après les calculs des chercheurs, c'est la fonte de la glace de mer, et non la température ou un autre facteur environnemental, qui présente la plus forte corrélation avec le développement précoce de la végétation et le déclin démographique des rennes.

Ces mécanismes, très complexes, échappent encore à la compréhension des auteurs de l'étude, qui jugent nécessaire de procéder à de nombreuses observations au niveau local en différents points du globe pour les élucider.

narval

Publié à 14:55 par fandeloup
narval

Le narval ou licorne des mers

Le plus grand prédateur du monde : Le Cachalot

Publié à 11:54 par fandeloup Tags : vie dieu animal monde enfant
Le plus grand prédateur du monde : Le Cachalot

Retenez votre souffle … On plonge !

Le cachalot, champion de la plongée en apnée… Les cachalots vivent dans tous les océans et dans une grande partie des mers du globe, dont la Méditerranée.

Les mâles se rencontrent dans les eaux arctiques et antarctiques, tandis que les femelles restent dans les eaux plus chaudes avec leurs petits.

Le cachalot est le plus grand carnassier au monde.

Le mâle peut atteindre plus de 20 m de long et peser jusqu’à 57 tonnes.. Sa tête, à elle seule, représente le tiers de sa longueur et peut peser 16 tonnes ! C’est le plus grand des cétacés à dents. La queue de ce prédateur est tellement destructrice que les marins l’avaient surnommés » main de Dieu».

Il est capable de retenir son souffle pendant plus d’une heure et plonger jusqu’à 3000 m de profondeur dans l’obscurité totale. Il retient son rythme cardiaque et stocke l’oxygène dans ses muscles pendant ses plongées, qui battent tous les records cachalot

La queue du cachalot est triangulaire et fendue, elle est très épaisse et puissante, elle peut mesurer jusqu’à 4 m de large. Le corps du cachalot est gris foncé ou noir.

Contrairement à la plupart des baleines, sa peau du dos est noueuse comme celle d’un pruneau ! Entre deux plongées, le cachalot fait surface pour respirer pendant huit minutes avant de replonger.

Comme toutes les baleines à dents, le cachalot respire par un seul évent. Cet évent unique résulte de la fusion de deux conduits. L’animal respire 3 à 5 fois par minute au repos et 6 à 7 fois par minute après une plongée.

Le souffle est bruyant, d’un simple jet jusqu’à 15 m au-dessus de la surface de l’eau. L’évent est situé très près de l’extrémité de sa tête et déporté sur le côté gauche. La vitesse du cachalot avoisine les 7 km/h pour une remontée à 9 km/h.

En près d’un quart d’heure, le cachalot aurait le temps de descendre à 1 km de profondeur et d’en remonter ! Les cachalots sont les champions de l’apnée !

On leur connait des plongées dépassant largement une heure, pour des profondeurs jusqu’à 3000 m. Il passe beaucoup de temps dans un demi-sommeil, se laissant dériver de longues heures. Il peut dormir à la verticale, la tête en bas.

Son énorme tête contient une grosse masse d’huile cireuse : le spermaceti, appelé aussi : blanc de baleine.

Sa présence a été repérée par sonar à 1200 m et des poissons trouvés dans son ventre indiquent qu’il descend jusqu’à 3000 m. Les vocalisations du cachalot en cliquetis sont le son le plus fort par un animal . Ces clics portent sur plusieurs kilomètres et avoisinent les 230 décibels.

Les cachalots se rassemblent en groupes nommés « pods ». Les femelles vivent avec leurs petits, séparément des mâles et s’entraident pour protéger et allaiter leur juvéniles. Elles mettent bas tous les 3 à 6 ans et s’occupent de leur progéniture pendant plus de 10 ans. cachalot-2 Les mâles se livrent à de violents combats de janvier à juin pour imposer leur dominance avant la saison de reproduction. Après une gestation de 14 à 16 mois, la femelle met au monde son unique enfant de 4 m de long et de plus d’une tonne : bravo Madame !

Pour prévenir des attaques d’orques ou de grands requins, les jeunes restent constamment aux côtés de leur mère, sauf si celle-ci plonge. La période d’allaitement dure de 19 à 42 mois, les jeunes peuvent téter jusqu’à 13 ans. Leurs contacts mère-enfant sont très étroits : caresses et communication sonore sont permanentes. Les cachalots sont protégés pratiquement partout dans le monde.

Le nombre des cachalots dans le monde est estimé à environ 360 000. Leur espérance de vie peut aller jusqu’à 70 ans. Durant les XVIIIè, XIXè et XXè siècles, les cachalots ont fait l’objet de la chasse commerciale intensive. Le spermaceti est alors très recherché pour la fabrication de bougies, savon, cosmétiques, d’huile moteur, d’imperméabilisant pour cuir …

L’ambre gris pour la parfumerie. Dans les grandes profondeurs, il est arrivé que des cachalots se sont emmêlés dans des câbles téléphoniques transocéaniques et se sont noyés … La chasse au cachalot a été interdite en 1982 et a continué sous sa forme traditionnelle aux Açores jusqu’en 1984.

Le cachalot est inscrit sur la liste rouge de l’IUCN comme vulnérable.

des phoques sèment la zizanie

Publié à 16:59 par fandeloup Tags : animaux france enfants chez femme travail nature
des phoques sèment la zizanie

Plus les années passent, plus les pêcheurs ont du mal à cohabiter avec la colonie de phoques qui a élu domicile en baie de Somme et sur la Côte d’Opale.

Il y en aurait près de 600. Rien qu’en baie de Somme, il y aurait 370 veaux marins et 105 phoques gris. Leur nombre est en léger repli cette année, même si 58 veaux marins sont nés. Commençant à être à l’étroit en Picardie, la colonie migre vers le nord.

S’alimentant de plus en plus en poissons, elle gênerait les pêcheurs. A Etaples (Pas-de-Calais), Fabrice Gosselin est le fondateur d’un collectif contre la prolifération des phoques : « Le gisement de soles a diminué de 15% en deux ans », déclare-t-il à l’AFP.

Ils sont accusés de manger 4 kg de poissons plats par jour. « Ils n’en consomment que 2 kg », rétorque Laetitia Dupuis, responsable chez Picardie Nature d’un programme d’étude et de protection des phoques.

Le collectif réclame un quota et le déplacement des animaux. Une solution qui serait sans doute inefficace car les phoques reviendraient rapidement.

Une régulation par abattage est aussi préconisée. Brigitte Bardot mobilisée

Mais Brigitte Bardot est montée au créneau en parlant de « connerie, lâcheté et cruauté humaine. Tant que je vivrai, personne ne touchera aux phoques de France. »

Le collectif devrait être reçu en septembre à la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Dreal).

Après la Première Guerre mondiale, en baie de Somme, la chasse intensive aux phoques a eu raison de l’espèce. « Tout est bon dans un phoque », disait-on. Protégés, les phoques ont commencé à réapparaître au milieu des années 1980.

Depuis leur nombre augmente. Les bancs de sable permettent aux veaux marins d’allaiter leurs bébés en toute quiétude. Mais la présence des phoques gris, qui ont besoin des rochers pour abriter leurs bébés naissant avec une fourrure, reste un mystère.

Dans la baie, les phoques sont devenus un emblème touristique. Les pêcheurs sont moins virulents que sur la Côte d’Opale.

Ils ne cachent toutefois pas leur agacement : « Ce sont les associations, qui sont devenues gênantes, confie une femme et mère de marin pêcheur. Elles voudraient que les marins arrêtent de travailler pour laisser vivre les phoques. Ils ne font que leur travail. » Puis elle poursuit : « Quand on empêche des enfants de se baigner sous prétexte que ça va déranger les mères phoques sur les bancs de sable, ça devient n’importe quoi! »

pacu

Publié à 15:29 par fandeloup Tags : homme animal
pacu

Pacu, le poisson mangeur de testicules, a été aperçu en Suède. Le pacu, un poisson de la famille des piranhas, a été aperçu pour la première fois en Europe, le long des côtes suédoises, révèle le Telegraph.

La particularité de l'animal?

Son penchant pour les testicules humains. Ce poisson d'eau douce, originaire de l'Amazone, peut atteindre jusqu'à 25 kg et mesurer près de 90 cm. S'il se nourrit habituellement de végétation aquatique, son habitude d'attaquer les organes génitaux masculins est rapidement devenue notoire.

Un poisson amateur de noix Henrik Carl, un expert danois, interviewé par le journal The Local a précisé: ''Le pacu n'est normalement pas dangereux pour l'homme mais une morsure grave peut vite arriver.

Il y a eu des incidents dans plusieurs pays comme la Papouasie-Nouvelle-Guinée où certains hommes ont eu leurs testicules mordus''.

Dans ce pays d'Océanie, deux pêcheurs ont ainsi succombé aux hémorragies provoquées par les morsures en 2011.

D'après l'expert, les pacu s'attaquent aux testicules parce qu'ils ont faim et que la taille plutôt réduite de leurs bouches fait des testicules humains une ''cible naturelle'' pour ces poissons notamment amateurs de noix.

crabe

Publié à 19:21 par fandeloup Tags : animal
crabe

Le crabe de cocotier :

Connu pour savoir casser les noix de coco grâce à ses pinces puissantes. Présent sur les îlot du pacifique et de l'océan indien cette animal de la famille des bernard l'hermite est le plus grand arthropode terrestre.

peche

Publié à 13:02 par fandeloup Tags : animal
peche

Cap d'Agde : il pêche un requin de 130 kilos.

Grosse surprise pour un pêcheur du Cap d'Agde : alors qu'il ramenait ses filets, il est tombé nez à nez avec un requin-renard de près de 130 kilos.

Fort heureusement, cet animal impressionnant est peu dangereux.

Thierry Herrada est pêcheur au Cap d'Agde (Hérault).

Lundi matin, alors qu'il croisait au large, il a pêché un poisson bien plus gros qu'à l'ordinaire : fait exceptionnel, c'est un requin-renard qui s'est retrouvé piégé par les mailles de son filet.

Le requin a été pris à une faible profondeur - dix mètres environ - dans les eaux qui bordent le fort du Brescou, situé à un demi-mille marin du cap d'Agde.

Pour le pêcheur, interrogé par Midi Libre, il s'agit d'une prise rare car d'habitude, les requins parviennent à s'échapper en déchirant les filets.

Si la prise est impressionnante, elle n'est pas surprenante pour autant.

Le requin-renard, réputé peu dangereux, est relativement répandu dans les eaux méditerrannéennes même s'il ne fréquente guère les littoraux.

Récemment encore, un impressionnant spécimen a été retrouvé échoué au Mont Saint-Michel.

Quant à celui du Cap d'Agde, il finira dans les assiettes des amateurs : il a été vendu à la criée locale.