Il y a encore et toujours des instants d’amour propres à embellir la vie.

David Sheldrick Wildlife Trust

Il y a quelques jours j’ai regardé une émission sur le sauvetage d’éléphanteaux orphelins au Kenya…

J’ai trouvé remarquable le travail du DAVID Sheldrick Wildlife Trust.

L’Asbl Wolf Eyes milite contre les zoos et toutes structures qui privent de liberté les animaux sauvages, bien souvent à des fins financières…

Militer contre les zoos, c’est bien mais soutenir le travail sur le terrain prend une autre dimension dans le combat contre la captivité ! Je me suis dit essayons de parrainer un éléphanteau !!!! Cela coûte 50$....

Vu les ravages de la crise financière, sortir cette somme n’est pas facile pour beaucoup de gens. Donc pourquoi ne pas fractionner le parrainage ?

Je suis parti de l’idée de trouver 5 parrains/marraines à 10€. Je me suis rendu sur le site d’DSWT et j’ai regardé tous les éléphanteaux orphelins destinés au parrainage… le choix fut difficile, il y en a tellement !!

Mon choix s’est arrêté sur Arruba , je cite un passage sur la description qu’en fait le site (traduit de l’anglais) J’ai mis mon projet sur Facebook en espérant trouver les 5 personnes…

Dans les premières heures, il y avait très peu de réactions puis les ami(e)s de la meute Wolf eyes sont arrivés et en quelques heures, Arruba avait trouvé ses 5 anges gardiens

Puis une sixième personne s’est ajoutée au projet, que faire ? Et bien naturellement choisir un deuxième éléphanteau et trouver 4 autres personnes voulant parrainer !

C’est kanjoro qui a été choisi ! kanjoro Une petite description du site : « Loponu passé les deux prochains jours regardant l'éléphant, et a constaté que c'était évidemment un orphelin, car il a fait peu d'effort pour rejoindre le passage des troupeaux d'éléphants sauvages, et n'a pas non plus les éléphants sauvages font toute tentative de contact avec lui...

Le bébé avait visiblement très peur, la plupart de sa queue avait déjà été mordue par des prédateurs. Il a passé beaucoup de son temps à se cacher dans une épaisse couverture, évidemment effrayé d'une nouvelle attaque par un prédateur. »

Voilà donc 2 éléphanteaux parrainés !! Puis en allant voir les comptes de l’association pour voir qui avait déjà fait le versement, je vois une personne qui a versé mais pas repris dans les parrains/marraines !

Donc OLSEKKI est le troisième bébé que nous allons faire parrainer ! Sa maman a dû être euthanasié car elle avait une patte blessée et ne pouvait être soignée. Olsekki En parrainant un bébé éléphant, vous lui assurer un avenir et en même temps vous lutter contre le braconnage !!

Les directeurs de zoos comme Pairi Daiza ou le Monde Sauvage vous diront que la préservation se fait dans leurs prisons !! Ils ne vous diront pas que les animaux grossissent énormément leurs portefeuilles ! Le discours sur la préservation en captivité est destiné aux personnes qui soit, ne connaissent pas l’enfer des zoos ou soit aux personnes qui ne veulent pas reconnaître cet enfer !!

Et préfère endormir leur conscience pour pouvoir le week-end aller en famille se repaitre de la souffrance animale. Au sein de l’Asbl Wolf Eyes nous ne sommes pas preneurs du message des directeurs de zoos, car nous connaissons l’envers du décor. Eux disent aimer les animaux ?

Nous on les défends !! Si vous êtes intéressé par le parrainage des bébés éléphants contactez-moi via le site dans « contact »

 Le 17/01/2015 Cela fait 3 mois que l'Asbl Wolf Eyes à lancé le programme de parrainage des bébés éléphanteaux et bébés rhinocéros, depuis de l'eau à coulé sous les ponts !!!! Des petits orphelins sont venus rejoindre la liste des petits protégés, les voici.

Programme du parrainage : http://www.wolfeyes.be/#!david-sheldrick-wildlife-trust/c63f

Un chasseur texan tire sur un tatou, la balle ricoche et finit sa course dans sa mâchoire

La carapace du tatou est pour le moins résistante. Ce chasseur texan l'a appris à ses frais.

En pleine polémique sur le braconnage du lion Cecil au Zimbabwe, un petit tatou du Texas vient de venger sans le vouloir tous les animaux chassés du monde.

La balle d'un chasseur a rebondi sur sa carapace, avant de terminer dans le visage du tireur.

Il vient de "karma": nos bonnes actions seront récompensées un jour ou l'autre... les mauvaises recevront leur juste salaire.

Et d'"armadillo", le nom anglais du tatou, ce drôle d'animal venu tout droit de la préhistoire et recouvert d'une épaisse carapace. Vendredi dernier, la chaîne CBC a raconté l'histoire d'un chasseur texan qui ayant aperçu un tatou dans son jardin, est rentré chez lui pour y chercher son arme, un 38 revolver, avant d'ouvrir le feu sur l'intrus.

Malheureusement pour lui, non seulement la très solide carapace n'a pas cédé, mais l'une des trois balles tirées a ricoché avant de terminer sa course dans sa mâchoire.

Il a dû être héliporté et opéré d'urgence. Il s'en sort avec une fracture de la mâchoire. Quand au tatou, il semble qu'il s'en soit sorti. Le shérif n'a pas retrouvé son cadavre.

Selon The Guardian, c'est le deuxième incident du genre, dans le sud des Etats-Unis, cette année. Samedi, Ricky Gervais, un comique américain défenseur de la cause animale, s'est emparé de l'histoire en lançant le hashtag #karmadillo sur Twitter.

Un chasseur d’ivoire piétiné par l’éléphant qu’il traquait depuis des heures.

Les éléphants sont des créatures intelligentes et paisibles. On peut difficilement en dire autant des humains qui prennent plaisir à les chasser et à les tuer.

Rien n’illustre ceci plus clairement que l’incident qui vient juste de se produire dans la savane africaine.

Voici Ian Gibson. C’est un chasseur chevronné, qui aime traquer les animaux rares comme les éléphants, “pour le sport”. Récemment, Gibson chassait dans la vallée de Zambezi, au Zimbabwe. Pendant cinq heures, il a traqué un éléphant mâle (surnommé “bull” en anglais), jusqu’à ce que l’animal en ait assez de cet humain agaçant.

Comme l’expliquent les employeurs de Gibson, Chifuti Safaris, dans un message publié sur le web, “Se sentant très proches de la localisation de l’animal, Ian et son pisteur Robert ont continué de suivre les traces afin de tenter d’apercevoir l’ivoire ; de son côté, le client est resté auprès de l’éclaireur.” (vous remarquerez qu’ils ne parlent jamais autrement de cet animal majestueux que comme d’un réservoir à ivoire prêt à être dépouillé) “Ils ont fini par rattraper l’éléphant, et par le repérer, à 50-100 mètres de distance.

Il a aussitôt fait demi-tour, et les a chargés. Ian et Robert ont commencé à crier pour tenter de mettre un terme à cette charge. Ian a réussi à tirer un coup de feu à bout portant avant d’être piétiné par sa cible. Le spectacle était particulièrement sanglant.”

Apparemment, l’éléphant était dans sa période de “musth”, période durant laquelle ses niveaux de testostérone sont très élevés, et que l’on reconnaît grâce “à une secrétion temporale abondante, un pénis humide et déployé, et une posture et une attitude particulièrement aggressives”, comme l’explique le guide de safari Rory Young. Un chasseur professionnel aurait dû être capable d’identifier ces signes distinctifs, non ?

Mais plutôt que de partir la queue entre les jambes, et de tenter de massacrer un éléphant plus paisible à une date ultérieure, Gibson a joué avec le feu. Et il s’est brûlé. Au troisième degré. La mort de quelqu’un est toujours quelque chose de terrible. Mais dans un monde où les éléphants (ainsi que les rhinocéros, les tigres, et autres animaux exotiques) sont au bord de l’extinction, chassés par des “sportifs” comme Gibson, qui n’ont qu’une envie, ajouter une nouvelle défense à leur tableau de chasse, il est difficile de ne pas ressentir un peu de satisfaction en apprenant que cette fois-ci, c’est l’animal qui a triomphé.

Le chagrin inconsolable d’un bébé éléphant rejeté par sa mère C’est une histoire déchirante que je vais vous raconter

. Un bébé éléphant nommé Zhuang-Zuang a dû être séparé de sa maman après qu’elle ait violemment agressé son petit dans le zoo de Shendiaoshan, en Chine.

Inconsolable, l’éléphanteau n’a pu contenir ses larmes.

Après que la mère ait été vue entrain de lancer et d’écraser sa progeniture, Zhuang-Zhuang fut isolé afin de traiter ses blessures. Les gardiens du zoo espèrent que l’attaque n’était qu’un accident.

Malheureusement, après une nouvelle tentative d’approche de l’éléphanteau, sa mère resta très agressive à son encontre. Il a du être de nouveau séparé afin de garder sa vie sauve.

La réaction de la maman éléphant est sans doute un effet de la vie en captivité. Leur instinct de protection peut être modifié quand les animaux vivent en dehors de leurs structures sociales traditionnelles.

Ils auraient mieux fait de rester chez eux et mater la télé ou faire autre chose ! On ne sait jamais ce qu'il pourrait nous arriver dans la journée, parfois, c'est une journée de bonheur où tout est positif, mais par contre pour ces personnes, c'est sûr que ce n'était pas leur jour de chance. Personne n'aimerait être à leur place !

Naissance d'un éléphanteau 

La meilleure leçon que l'humanité ait reçue de la part des animaux.

Chapeau ! Une belle preuve d'amour, d'entraide, d'assistance. Les mots n'ont pas leur place pour définir ce geste de ces elephants envers leur semblable en détresse.

Cet éléphanteau pesant 200 kilos à la naissance avait beaucoup de peine à se relever.

A quelques mètres de lui, des voitures qui veulent passer. Ce que feront ces éléphants est incroyable. Une barrière de protection d'abord contre les voitures (police), une aide pour le relever (pompiers), et pour finir une assistance sans faille pour le relever et le transporter (ambulance).

Quoi de plus beau et naturel ? Mère Nature n'a pas fini de livrer ses secrets. La preuve en image !

Incroyable vidéo du crocodile qui attaque un éléphant ! Les crocodiles sont vraiment des créatures féroces et sont prêts à attaquer n’importe qui.

La preuve est dans la vidéo ci-dessous où un crocodile à osé attaquer un éléphant au bord de la rivière.

Bon il va vite apercevoir que c’est un gibier trop grand pour lui.

Des kangourous sauvages peuplent les Yvelines depuis 40 ans

Des dizaines de ces animaux , redevenus sauvages, peuplent la proche forêt de Rambouillet après que leurs ancêtres se sont échappés de l'endroit.

Après s'être échappés d'une réserve sauvage dans les années 70, des kangourous sauvages ont trouvé dans les Yvelines un cadre de vie leur permettant de se développer.

Ils y mènent aujourd'hui une existence paisible. Des kangourous sauvages mènent une existence tranquille non loin de Paris. C'est l'étonnant constat qu'ont été amenés à faire des habitants des Yvelines, tombés nez à nez avec ces sympathiques animaux.

Cela fait en réalité une quarantaine d'années que ces derniers vivent paisiblement dans la région, une situation unique en France.

"Un voisin me dit: 't'as vu le kangourou?'", raconte Marylène, épicière du village d'Hermeray. Il est tôt en ce matin de juin 2014. "Je lui réponds: 'T'as fumé la moquette?'". La commerçante se rend à l'évidence: l'animal est là, "devant le portail, comme s'il attendait l'ouverture de l'épicerie!

Ensuite, il s'est mis à naviguer sans trop se préoccuper du code de la route". Comme elle, d'autres habitants du sud des Yvelines ont un jour croisé un wallaby de Bennett - son nom exact -, marsupial placide et sympathique originaire de Tasmanie, dans le sud de l'Australie.

Dans leur jardin, en bord de route, curieux face aux chasseurs ou encore... mort dans une piscine. Les kangourous ont fugué dans les années 70 A l'origine de cette anomalie géographique: la réserve zoologique de Sauvage, dans le village d'Emancé.

Dans les années 1970, à la faveur de brèches dans le grillage à l'origine incertaine - orage, vandalisme, négligence? -, un groupe de wallabies se fait la belle.

D'autres suivront à plusieurs reprises. L'histoire aurait pu s'arrêter à une série d'évasions. Sauf que ces wallabies-là se sont reproduits et implantés: une situation "unique en France", relève Laurent Tillon, chargé de mission faune et biodiversité à l'Office national des forêts (ONF). Un wallaby vit 12 à 15 ans.

Les descendants des premiers fugitifs peuplent donc aujourd'hui le massif de Rambouillet, concentrés pour la plupart autour d'Emancé, même si quelques intrépides ont été repérés jusqu'aux Ulis, à 40 kilomètres de là.

Combien sont-ils?

Difficile à dire, en l'absence d'étude scientifique et au vu de la discrétion de l'animal, un solitaire essentiellement nocturne. Une centaine, voire 150, estime Bruno Munilla, du Centre d'études de Rambouillet et de sa forêt (Cerf), association naturaliste locale. Les Yvelines, un cadre de vie agréable Tout exotiques qu'ils soient, les wallabies se plaisent dans les Yvelines où ils trouvent "gîte et couvert", constate Laure Raad, une étudiante en stage au Cerf qui documente depuis mars le rapport des marsupiaux à leur environnement.

Le climat diffère peu de leur Tasmanie d'origine, explique-t-elle, et le sous-bois procure à ces cueilleurs de la nourriture "à profusion": baies, bourgeons, jeunes pousses, graminées... En outre, le marsupial peut se la couler douce: il n'a pas de prédateur. Trop gros pour les renards avec ses 80 cm pour 15 kg (plus de 20 kg pour un individu grassouillet).

Sa viande est comestible, mais les amateurs de steaks seront déçus: "Il n'est pas sur la liste des espèces chassables", prévient Stéphane Walczak, de la Fédération interdépartementale des chasseurs d'Ile-de-France.

L'animal, qui ne pose à ce stade aucun problème sanitaire, n'est pas non plus classé nuisible, ni protégé ou domestique: "Il y a un vide juridique". Les voitures, le principal danger Le plus gros danger pour le wallaby vient finalement des collisions avec les voitures: quinze à vingt bêtes tuées chaque année, estime Bruno Munilla. Sceptiques, les assureurs peinent souvent à croire l'automobiliste qui crie au kangourou.

La municipalité d'Emancé, sourit la maire Christine David, produit donc "des attestations disant qu'on a bien des wallabies sur le territoire!" Il fut un temps où les wallabies en goguette semaient le trouble dans les esprits: "Il y a 20-25 ans, c'était tabou tout ça! Il y avait une forme d'omerta", raconte M. Walczak. Et l'humain qui croisait un kangourou un soir d'apéritif se jurait surtout d'arrêter la boisson...

En 2003, des panneaux jaunes à l'australienne, installés par des plaisantins, ont permis de "délier les langues", explique le chasseur. A Emancé, où le journal de l'école se nomme le "Kangourou farceur", "c'est rentré dans les moeurs", abonde la maire: "C'est nos mascottes".

Marylène, l'épicière, n'a jamais recroisé de wallaby. Mais elle entend rester vigilante: "Si je vois un éléphant rose, je me poserai quand même des questions".