L’okapi rejoint la liste rouge des espèces menacées. Il reste moins de 5.000 spécimens, qui vivent cachés dans les forêts...

L'okapi ou «girafe des forêts» a rejoint la liste rouge des espèces menacées par l'UICN, l'Union internationale pour la conservation de la nature, a annoncé ce jeudi cette organisation internationale dont le siège est en Suisse.

L'okapi (Okapia johnstoni), animal mystérieux à la morphologie étrange évoquant à la fois le zèbre et la girafe, vit uniquement dans les forêts tropicales de la République démocratique du Congo(RDC) dont il est le symbole national. Un bébé né au zoo de Beauval Selon l'UICN, il reste moins de 5.000 spécimens qui vivent cachés dans les forêts.

L'espèce est «proche de la catégorie la plus élevée de risque d'extinction». Les principales raisons du déclin des populations d'okapis sont le braconnage, la perte des habitats naturels, ainsi que la présence de rebelles et de mineurs illégaux.

Un bébé okapi est né au zoo de Beauval, dans le Loir-et-Cher, le 27 juin dernier. Il s’agissait de la première naissance en France de cet animal depuis 25 ans.

La véritable sagesse consiste à ne pas s'écarter de la nature, mais à mouler notre conduite sur ses lois et son modèle

Il nous faudra bien répondre à notre véritable vocation, qui n'est pas de produire et de consommer jusqu'à la fin de nos vies, mais d'aimer, d'admirer et de prendre soin de la vie sous toutes ses formes.

Apprendre d'hier, vivre pour aujourd'hui, espérer pour demain.

Le bébé du tapir a vraiment un regard curieux. En grandissant, il perd les taches blanches de son pelage.

Voici l'animal le plus heureux du monde

Le quokka est un marsupial qui vit en Australie occidentale.

Sa particularité ? Il rayonne de bonheur ! Une cinquantaine de centimètres pour environ 5 kg, le quokka est un marsupial de la même famille que les kangourous.

Néanmoins, ses pattes arrières sont moins puissantes que celles de son cousin, il ne peut donc pas sauter.

Mais qu'importe !

Le quokka a un atout charme : son sourire.

Il exprime sa joie en toutes circonstances.

L’ÉLÉPHANT DE BORNÉO aussi appelé ÉLÉPHANT PYGMÉE (Elephas maximus borneensis)

Le plus petit des éléphants d’Asie. Une espèce en danger critique, niveau maximum de danger avant extinction, alors qu’on ne l’a découvert seulement qu’en 2003.

TAILLE: 2,50 m au garrot (partie du corps située au dessus des épaules. On mesure du sol au garrot pour certains animaux)

MATURITÉ SEXUELLE: Après 10 ans

GESTATION : Entre 20 et 22 mois, la femelle met au monde un seul petit. Les naissance sont très espacées (2 à 9 ans d’écart) et la femelle n’est fertile que jusqu’à 60 ans maximum. LONGÉVITÉ : Entre 60 et 70 ans

ALIMENTATION : Des herbes, écorces, racines et feuillages elephant-pygmee-borneo-

DESCRIPTION: Un corps plutôt rond, des oreilles relativement petites, des défenses moins courbées et une queue plus longue (elle atteint presque le sol) que ses « cousins » asiatiques. La couleur de sa peau varie de gris foncé à brun. L’éléphant de Bornéo est d’un tempérament calme, passif et docile.

LOCALISATION : Comme son nom l’indique, ils vivent au nord de Bornéo. Le braconnage, pour la vente de l’ivoire de leurs défenses et la déforestation qui perturbe leur itinéraires de migration et épuise leurs sources de nourriture sont les plus grandes menaces pour sa survie.

POPULATION : Estimée à moins de 1500 individus.

Près de 500 saïgas, antilopes en voie d'extinction, retrouvés morts Astana (Kazakhstan)

- Près de 500 saïgas, des antilopes menacées d'extinction, ont été retrouvés morts dans les steppes du Kazakhstan, tuées sans doute par une épizootie de pasteurellose, ont indiqué mardi les autorités. «Selon un décompte effectué au sol et par avion, le nombre d'animaux morts s'élève à 493», a indiqué un responsable du ministère de l'Environnement Bakytbek DouïsekeÏev.

«Selon les premières éléments des expertises biologiques, les saïgas ont été tués par la pasteurellose» une maladie infectieuse, selon la même source. Cette maladie peut prendre des formes septicémiques hémorragiques fulgurantes, intestinales et respiratoires, selon le Centre national de la recherche scientifique (CNRS, France). La mortalité chez l'animal peut atteindre de 70 à 100% du cheptel touché.

En mai 2010, une épizootie de pasteurellose dans l'Ouest du avait coûté la vie à 12.000 bêtes. L'année dernière, 441 bêtes étaient mortes de cette maladie. Les plus graves épizootie ont eu lieu en 1988 (434.000 bêtes mortes) et 1984 (250.000), selon le ministère kazakh. Le saïga, qui vit dans les steppes du , dans l'Ouest de la Mongolie et en Russie près de la mer Caspienne, a vu sa population chuter d'un million d'individus dans les années 1990 à quelque 100.000, selon les ONG spécialisées. Les autorités du affirment de leur côté avoir réussi à porter la population de cette antilope de 21.100 têtes en 2003 à 187.000 en 2013.

Le saïga est aisément reconnaissable par son museau allongé qui a l'aspect d'une courte trompe.

Fuir, c'est pas être lâche ou faible, c'est juste passer sa route, et éviter un drame .....

Pas courant comme image, mais la solidarité entre aminaux existe la preuve.