J'ai toujours aimé le désert. On s'assoit sur une bute de sable. On ne voit rien. On n'entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence.

Le kangaroo rouge peut faire des bons de 3 metres de haut et de 12.8 metres de long.

Rappelez vous que vous êtes nécessaires. Personne n'est supérieur et personne n'est inférieur. Personne n'est plus haut et personne n'est plus bas. Tout se complète.

Le désert est bien plus qu'une pratique du silence et de l'écoute. Il est une ouverture éternelle.

Un bébé rhino défend sa mère !Un bambin bien courageux, un rhino mâle attaque sa mère pour une question de territoire, la maman dans l'eau devient très vulnérable alors bébé attaque ce grand mâle par derrière et le met en fuite... un moment exceptionnel !!!

Doit-on permettre l’abattage d’un animal rare pour espérer améliorer les chances de survie de son espèce ?

Pour la Namibie, la réponse est oui.

Ce pays a autorisé le Dallas Safari Club, un groupe de chasseurs, à vendre aux enchères un permis de chasse.

Un heureux acquéreur pourra ainsi tirer un rhinocéros noir, espèce classée en danger critique d’extinction, pour la modique somme de 350 000 $.

Cette initiative est soutenue par l’IUCN (Union pour la Conservation de la Nature), qui y voit là une manière de relancer la reproduction, en neutralisant un mâle trop vieux par exemple.

Mais cet avis est loin d’être partagé par l’ensemble de la communauté scientifique.

ORIGINAL Elephant Painting

Le point important est que la source de toute vie et de tout pouvoir vient de l’intérieur.

Les jardins prennent feu, les kangourous s'évanouissent dans le désert, et les chauves-souris agonisent... Pendant que l'Amérique du Nord grelotte sous un vortex polaire, l'Australie étouffe sous une vague de chaleur qui bat des records de température, avec des pics à plus de 50 °C dans la région du Queensland. L'année 2014 débute donc sous les mêmes auspices que 2013, qui a été la plus chaude jamais observée en Australie, avec des vagues de chaleur inhabituellement longues et des incendies de forêt dévastateurs. A tel point que le bureau météorologique australien a dû ajouter de nouvelles couleurs à son échelle des températures pour illustrer les pics de chaleur.

« DES CENTAINES EN TRAIN DE MOURIR DANS LES BUISSONS AUTOUR DES ARBRES »

Les autorités australiennes ont rappelé qu'au début de 2013, la Tasmanie avaient été en proie à des feux destructeurs. Quelques mois plus tard, la douceur de l'hiver et la précocité du printemps avaient provoqué « dans la région de Sydney les pires incendies depuis au moins 1968 ». L'organisme précise que le réchauffement observé en Australie est conforme aux tendances climatiques planétaires.

Roger Jones, membre d'un groupe de travail intergouvernemental sur le climat, estime que « la cadence des vagues de chaleur s'accélère rapidement ». « La raison pour laquelle les vagues de chaleur sont plus longues et plus fortes n'est pas encore très évidente, mais elles aggravent le risque d'incendie et le stress des animaux, des plantes et des humains de manière plus brutale que les études ne l'avaient anticipé. »

Les conséquences de ce dérèglement climatique sur la faune australienne ont été importantes. Dans le comté de Winton, dans le Queensland, de nombreux cadavres de perroquets, de kangourous et d'émeus jonchent la campagne, selon Tom Upton, chef du conseil de Winton Shire. « C'est dû à la chaleur mais aussi à la sécheresse », a-t-il expliqué. Selon la Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals (RSPCA), près de cent mille chauves-souris sont d'ores et déjà mortes dans l'Etat du Queensland, obligeant les autorités à mettre en place un système de collecte des dépouilles en état de pourrissement, dont l'odeur pestilentielle a envahi l'atmosphère.

D'après Louise Sanders, présidente de l'Association pour la préservation et le sauvetage des chauves-souris du Queensland, les chiroptères tentent de lutter contre la chaleur en s'accrochant aux branches des arbres et en urinant sur leur propre corps afin d'en faire baisser la température. « Lorsqu'ils succombent, ils tombent au pied des arbres… On peut en trouver des centaines en train de mourir dans les buissons autour des arbres », a-t-elle déploré.

C’est une vidéo extraite du documentaire « Eye Of The Leopard » qui suscite l’émotion sur la toile depuis quelques jours.

Un léopard s’y prend d’affection le bébé de la femelle babouin qu’il vient de tuer. Le documentaire avait été réalisé en 2007 par Dereck Joubert pour le National Geographic. Plusieurs années après, des images ont donc refait surface sur YouTube et connaissent un vrai succès. Il faut dire que la scène est peu commune.

Au départ, un léopard s’en prend à une femelle babouin afin de satisfaire son appétit.

En tirant la dépouille de sa proie sur un arbre, il découvre un bébé babouin encore ébranlé par la scène. Là, alors que l’on s’attendrait à ce qu’il n’en fasse qu’une bouchée, le léopard semble se prendre d’affection pour le petit et décide de s’en occuper comme s’il était son propre bébé. Il va même jusqu’à sortir les crocs lorsque des hyènes s’approchent. Il faut dire qu’un tel animal n’est pas préposé physiologiquement ou pas instinct à prendre soin d’un petit babouin.

On peut donc se demander ce qui a pu lui passer par la tête pour réagir de cette manière. Malheureusement, le bébé babouin décèdera quelques heures plus tard malgré les efforts du léopard.