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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
La taille (de votre appartement) ne compte pas (pour votre chien)… Sans mauvais jeu de mots, la taille ne compte pas !
Souvent les gens se demandent si leur maison est en accord avec la race de chien qu’ils comptent prendre. On déconseille certains chiens en appartement et d’autres au contraire sont parfaits pour les appartements.
Pourquoi plus un chien de maison ou plus un chien d’appartement ?
Qu’est ce qui définit le besoin d’une maison ou d’un appartement ?
La taille du chien ?
Son besoin d’activité physique ?
Sa fonction, gardien, peluche, etc ?
Quand on prend un gros chien, on nous dit souvent que l’on a besoin de place, d’une maison et d’un jardin. Alors un gros Akita devra avoir une grande maison et cela va de soi, un grand jardin. Alors qu’un petit Jack Russel pourra rester en appartement sans problème, c’est un chien qui n’a pas besoin de place… Heu ok… Il n’y a pas quelque chose qui ne va pas ?
Quand on connaît l’Akita, on sait que c’est un chien qui ne se démarque pas par sa vivacité, alors que le Jack, lui, est réputé pour sauter partout et déborder d’énergie.
Désolée pour les clichés mais vous voyez où je veux en venir… Je pense que le Jack aura donc peut-être d’avantage besoin de se défouler dans un jardin qu’un Akita qui dort la majorité du temps. J’ai été famille d’accueil pour un gros mâle Akita et à l’époque j’habitais un petit 36m2 à Paris. Alors oui, c’est vrai que dans mon couloir il ne pouvait pas faire demi-tour, il était obligé de reculer, mais bizarrement, lui qui aboyait étant seul, dans mon mini appartement aucun aboiement même si laissé seul… La taille d’une maison et le fait d’avoir un jardin n’est qu’une notion humaine.
Les chiens ne sont pas matérialistes et la taille de votre maison lui importe peu en réalité. Ce qui lui importe c’est d’avoir tous ses besoins comblés. On sait que le chien a besoin de 5h d’activité par jour pour être heureux. Et ces 5 heures se décomposent de cette façon : C’est évidemment très schématisé car tous les chiens ont des besoins différents et parfois certains chiens ont besoin de plus de mastication que d’autres etc. et comblent leurs jauges de façon différente. Dans ces besoins on remarque deux activités essentielles : physique et mentale. C’est là qu’est la confusion.
Les humains pensent qu’en laissant un chien dans un jardin il comble ses activités physiques et mentales. Alors oui c’est vrai que d’être à l’extérieur est plus agréable que de rester enfermé. Que de sentir l’herbe est plus enrichissant niveau olfactif que de sentir la moquette, mais après quelques jours, le chien les connaît par coeur les odeurs de son jardin. Surtout si c’est un jardin en milieu assez urbain, aucun autre animal ne passe dans le jardin et ne dépose de nouvelle odeur.
Donc c’est plus enrichissant les premiers jours mais cela revient vite au même, il connaît son environnement par coeur. Le chien a besoin de stimulations ! Regardons de plus près la vie d’un chien. En gros elle se résume à attendre la présence de son maître. Pourquoi ? Parce que c’est le maître qui lui procure les stimulations dont il a besoin.
J’ai déjà vu des refuges confier leurs chiens à des gens en appartement justement parce que le chien est assuré de sortir tous les jours dans la rue. Sinon il devient vite un objet de décoration de jardin. La plupart du temps, les chiens dorment quand leurs maîtres ne sont pas là. Les humains travaillent en moyenne 8h par jour et en dorment 8h de plus. Donc sur les 24h, si le chien n’a pas le droit à la chambre, ni au canapé, il ne reste plus beaucoup de temps pour la fameuse stimulation (oui la vie d’un humain en dehors du travail se résume souvent à la chambre et au canapé…).
Sur les 8h qu’il reste, les humains prennent le temps de se préparer pour aller au travail, faire la cuisine et prennent aussi le temps de se détendre de leur journée bien remplie. Pensez-vous qu’un chien préfère dormir les 3/4 de son temps dans un 200 m2 ou passer plus de la moitié de sa journée à faire des choses avec son humain, même dans un petit espace ?
Comment savoir quelle mode de vie correspond à mon chien ? J’ai vécu plusieurs mois dans un van, donc je ne sais pas combien de m2 cela fait, mais ce n’est franchement pas beaucoup. On peut dire que cela fait la taille d’un grand lit deux places. Je pense qu’ils n’ont jamais été aussi heureux pourtant. Cela a duré des mois et plus le temps passait et plus je les sentis épanouis et proches de nous. Alors bien sûr nous sommes quasiment 24/24 ensemble mais cela prouve bien que la taille de la maison ou du jardin ne compte pas.
Tout est une question de dosage et il ne faut pas aller dans les extrêmes, mais des races qui ont besoin d’exercices comme le Husky ou le Samoyède préfèreront faire de longues balades le soir que de rester tous les jours dans le même jardin. Je pense que la clé est ce que le chien fait de ses journées, pas la place qu’il a pour dormir en vous attendant.
Si cet article vous a plus, n’hésitez pas à le partager autour de vous…
L'envoûtant ballet de milliers d'étourneaux
À chaque retour de l’automne, le ballet des étourneaux dessine dans le ciel d’onduleuses formes, régalant les observateurs avant la tombée de la nuit. Des milliers d’étourneaux composent un immense nuage noir qui s'étire, se resserre puis s’élargit à nouveau, comme s’ils avaient imaginé et préparé une chorégraphie minutieuse… sauf que chaque mouvement est spontané, instinctif, et improvisé !
Le mystère de cette harmonie réside dans le fait que les oiseaux n’ont pas de leader et parviennent pourtant à rester très unis, même lors de changements de direction rapides. L’étude de leurs mouvements montre que les oiseaux sont attirés entre eux, qu’ils se déplacent tous dans la même direction mais qu’ils évitent pourtant toujours de se percuter.
Si une partie de la population de ce passereau est sédentaire, l’automne voit arriver une cohorte d’oiseaux originaires du nord. Une fois leur danse terminée, la nuée d’étourneaux converge vers un dortoir afin d’y passer la nuit. Ils viennent chercher dans le cœur des villes un lieu pour passer la nuit en toute sécurité. Ils recherchent principalement de la chaleur, de la lumière et l’absence de leurs principaux prédateurs, les rapaces.
Les dortoirs sont donc majoritairement des parcs urbains ou plus généralement toute zone boisée offrant l’opportunité à plusieurs milliers d’individus de passer la nuit ensemble ! Mais ces nuées d’oiseaux peuvent aussi provoquer moult dégâts dans les cultures, et les relations avec l’Homme sont parfois tumultueuses.
Les oiseaux migrateurs peuvent-ils dormir en volant ?
Lorsque les étourneaux sont en France, on peut les observer se regrouper à la tombée de la nuit, pour trouver ensemble un nichoir. Ceux-ci ne dorment pas en vol, et comme la grande majorité des oiseaux, ils cherchent pour dormir un endroit similaire à leur lieu de nidification. Mais d’autres oiseaux voyageurs n’attendent pas d’être au sol pour se reposer. Ils préfèrent « dormir »… en vol !
La frégate du Pacifique, qui peut cumuler plus de deux mois de vol sans escale au-dessus des océans, en est le parfait exemple. Ces oiseaux marins peuvent laisser l’un des deux hémisphères cérébraux se reposer, à l’instar des dauphins, et il arrive même parfois que les deux hémisphères se mettent en mode repos simultanément.
Mais au palmarès des vols sans escales, c’est le martinet noir qui détient la première place. S'il n'est pas prouvé avec exactitude que l’oiseau dort en volant, l'idée est tout de même communément admise. La nuit, les radars les perçoivent, les oiseaux se regroupent et « dorment » en volant en cercle, jouant avec les inversions de température pour se laisser planer.
Dans 10 jours, chaque chaton qui nait dans ce pays devra être pucé avant ses 12 semaines et stérilisés avant ses 6 mois, qu’on le donne ou non. C’est la loi, elle s’applique à tous…
Votre commentaire sur la loi…
On savait que c’était dans l’air. Là, les choses sont claires sur l’agenda.
Dès le 1er novembre
– dans toutes les régions du pays, ce qui est une performance
– il faudra identifier le chat qui naît. Coût : 50€.
Le vétérinaire devra lui injecter une puce dans le cou qui permettra de vous identifier aussi, de suivre le chat dans son parcours donné/abandonné/maltraité.
Autre obligation : stériliser le chat à vos frais avant ses 6 mois.
Coût : entre 75 et 135€. Et pour les chats nés avant le 1er novembre ? Il faudra obligatoirement les stériliser si vous les donnez ou vendez. En cas d’infraction, amende administrative de 150€.
Des tâches étranges apparaissent dans la fourrure du chat– son maître n’en croit pas ses yeux
Ce chat qui s’appelle Scrappy est né en 1997 et était alors un chat noir ordinaire. Il a grandi dans une famille autour de ses frères et sœurs, mais quand il a été temps de leur trouver à chacun une nouvelle maison, personne ne voulait adopter Scrappy.
L’éleveur pensait que c’était à cause de la couleur de sa fourrure. Mais David qui a pris contact avec l’éleveur est immédiatement tombé amoureux de Scrappy. Il était doux et avait une forte personnalité. David l’a emmené chez lui et l’a aimé un peu plus chaque jour.
Mais quand Scrappy avait 7 ans, sa fourrure a commencé à changer. Au milieu de son pelage noir, David a découvert des points blancs. Et de plus en plus, ce qui donnait l’impression que Scrappy était recouvert de givre.
David a finalement découvert que Scrappy était porteur du vitiligo, une maladie auto-immune qui amène le système immunitaire du corps à attaquer les cellules de la peau qui produisent le pigment du corps. En d’autres termes, cela provoque une dépigmentation de la peau à certains endroits.
Cela a eu pour conséquence que Scrappy, a développé une couleur unique et étonnante. David l’appelle un “dieu nordique” sur la page Facebook Senior Scrappy qu’il a crée.
Aujourd’hui, il a 19 ans, mais l’âge n’est pas un obstacle pour lui. Il est toujours aussi joueur, reste très fort et aime prendre des bains de soleil. Ne le trouvez-vous pas beau?
Vous aurez peut-être envie de partager ces images si vous pensez que plus de personnes devraient découvrir Scrappy et sa fourrure unique!
POURQUOI FAIRE LE DEUIL DE SON ANIMAL DE COMPAGNIE EST SI DIFFICILE?
Nos petits compagnons à quatre pattes deviennent bien souvent des membres à part entière de notre famille. Durant des années, ils nous apportent de la joie et des moments inoubliables. Alors, lorsque l’un d’entre eux nous quitte, la peine est parfois difficile à surmonter.
Pourquoi le deuil d’un animal est-il si difficile?
Comment supporter cette absence soudaine?
Le récent livre du Dr. Frantz Cappé, «Mon chien, mon chat va partir», publié aux Éditions Albin Michel, relance depuis quelques semaines le grand sujet du deuil d’un animal. Ceux qui n’ont pas eu la chance d’avoir d’animaux dans leur vie sont souvent assez étonnés de voir à quel point la perte d’un animal peut être difficile.
En effet, faire le deuil de son chien ou de son chat n’est pas chose aisée, et l’on se sent bien souvent inconsolable après leur disparition. Retour en quelques points sur le travail du deuil d’un animal. Un processus identique à celui de la perte d’un être humain Lorsqu’un animal s’en va, on entend bien souvent les possesseurs évoquer le fait qu’ils ont perdu «un membre de leur famille».
La peine est parfois si forte, que certains tentent de se cacher, ou bien ont honte de montrer leur tristesse devant les autres. L’incompréhension des gens qui ne considèrent ces compagnons de vie «que» comme des animaux peut parfois être difficile à surmonter.
Pourtant, ce chien ou ce chat a fait partie intégrante de votre vie, et vous avez développé une relation fusionnelle, parfois plus forte que des relations entre humains. De plus, le processus du deuil sera exactement le même que lorsque l’on est confronté au décès d’un humain: le déni la colère l’angoisse la tristesse et enfin l’acceptation Chacune de ces étapes se constate lors de la perte d’un animal.
Paula, qui a perdu ses deux chiens il y a environ 2 ans, à quelques mois d’écart, explique d’ailleurs son ressenti à travers ces 5 étapes:
«D’abord, on m’a annoncé à chaque fois par téléphone que mes chiens étaient partis. Les deux étaient âgés et malades, mais je ne pouvais pas y croire. Je pleurais toutes les larmes de mon corps, et surtout, je m’en voulais de ne pas avoir pu être là lors de leur départ (mes chiens étaient restés chez mes parents).
L’un d’eux avait été piqué, et j’en voulais presque à mes parents de ne pas m’avoir attendue pour le faire (ce qui était stupide, évidemment). Au travail, je me cachais pour pleurer, car j’avais peur que mes collègues se moquent. Pourtant, un jour, je me suis confiée à l’une d’entre elle, et je me suis sentie plus légère.
Les 4 premières étapes se sont un peu mélangées, mais la tristesse est encore présente après plus d’un an et demi. D’ailleurs, mes parents ont repris un chien, mais je n’arrive pas à m’y attacher. J’en pleure encore rien que d’en parler». Il semblerait donc que Paula n’ait pas encore tout à fait passé le stade de l’acceptation. L’acceptation, un délai plus ou moins long selon les gens Certaines personnes passeront le cap de l’acceptation beaucoup plus vite qu’ils ne le croient.
D’autres, comme Paula, pourront mettre des années avant d’admettre que leur chien est parti, et qu’il va falloir passer à autre chose (sans pour autant oublier ses animaux). Le Dr. Frantz Cappé évoque d’ailleurs l’acceptation comme un «processus de cicatrisation naturel qui laisse une cicatrice en soi à tout jamais, mais dont la plaie n’est plus douloureuse».
Dans tous les cas, il faut laisser du temps au temps. Ou tenter d’accepter la mort de son compagnon grâce à d’autres techniques.Surmonter sa tristesse grâce à plusieurs techniques Extérioriser sa peine et en parler peut véritablement aider à surmonter sa tristesse. Beaucoup de gens ont un jour perdu leur petit compagnon, et vous pourrez trouver une oreille attentive que ce soit sur des forums, ou dans votre entourage.
N’oubliez pas également qu’aujourd’hui, vous pouvez rendre hommage à votre animal à travers un service funéraire dédié aux animaux… On peut également, après avoir amené le corps de son animal chez un vétérinaire, récupérer ses cendres. Le Dr. Cappé recommandait cependant lors d’une interview de ne pas les garder trop longtemps auprès de soi, mais plutôt de les déposer au pied d’un arbre près de chez vous par exemple. Vous pouvez également, dans certains cas, enterrer votre animal dans le jardin.
Celui-ci doit faire moins de 40 kilos, et être enterré à au mois 1m20 de profondeur, et 35 mètres de distance des habitations et points d’eau les plus proches.
Reprendre un animal, une solution efficace?
Beaucoup de gens pensent que reprendre un animal rapidement leur fera le plus grand bien. Si certains pensent que c’est une mauvaise idée, le Dr. Frantz Cappé, lui, est plutôt favorable à cette option.
Selon le vétérinaire, si vous aimez vraiment les animaux, vous ne supporterez pas très longtemps la solitude ressentie après leur départ. Cependant, il faut impérativement choisir un nouveau compagnon lorsque l’acceptation est en cours, et vous ne devez pas espérer retrouver votre animal disparu dans cette nouvelle boule de poils. Chaque animal est unique, et chaque aventure auprès d’eux sera différente!
Chatou : une chienne de 3 ans emportée par la maladie des rats
Un cas mortel de leptospirose du chien a été diagnostiqué à Chatou. Cette maladie est transmise par les rongeurs. Plusieurs riverains constatent une recrudescence de rats à proximité des quais ces dernières semaines.
DR. Élisabeth Gardet (avec Laurent Mansart)
Même si, assure-t-il, « il n’y a pas d’affolement » à avoir, le maire va lancer une campagne de dératisation cette semaine, pour réduire la présence des rongeurs le long de la Seine. Iris, une chienne Labrador de 3 ans, est morte en 24 heures à peine. Le vétérinaire consulté en urgence courant août a conclu à une leptospirose foudroyante, une maladie d’origine bactérienne présente en milieu humide et transmise par les rongeurs.
Notamment les rats.
La chienne emportée par cette maladie vivait à Chatou, dans un pavillon situé à 500 m des bords de Seine. Depuis le mois de juin, la propriétaire de cette maison se bat contre les rats qui ont élu domicile dans son jardin. Elle souhaite que la fin malheureuse de sa chienne serve d’élément déclencheur à une « mobilisation ». Iris, Labrador de 3 ans, est morte en 24 heures à peine
DR. « Il y en a beaucoup plus que d’habitude », selon une habitante La première fois, ils étaient sept. C’était en juin et elle regardait par la fenêtre de sa cuisine. « J’ai vu ces rats grimper aux arbres sous mes yeux. Ils ont attrapé la nourriture que je laisse pour les oiseaux », raconte-t-elle. Dans la foulée, elle décide d’installer des pièges dans sa maison, recense six cadavres de rats et mène son enquête dans le quartier. Elle apprend que son plus proche voisin a reçu la visite des rongeurs aussi, lorsqu’il faisait des travaux chez lui. Un autre en a eu sous ses combles. D’autres encore ont trouvé des galeries dans leurs jardins. « Tout le monde le dit : il y en a beaucoup plus que d’habitude, insiste Chantal. C’est manifeste depuis les dernières inondations. »
« J’ai vu ces rats grimper aux arbres sous mes yeux » Après avoir mis des pièges dans sa maison, cette habitante de Chatou a trouvé six cadavres de rats. DR. Alerté par un courrier de riverain courant août et « bien conscient de ce problème d’hygiène publique qui impacte régulièrement les communes de bord de Seine », Ghislain Fournier, le maire (LR) de Chatou, va déclencher une campagne de dératisation cette semaine. Une autre est d’ores et déjà programmée pour début octobre.
« Les campagnes de dératisation sont toujours efficaces. Elles le sont d’autant plus lorsque l’on en mène deux à quelques semaines d’intervalle, souligne l’élu. Nous avions connu une situation similaire en 2012, lors des travaux sous-terrains menés place Maurice-Berteaux. Les services d’hygiène de la ville vont faire leur travail : il n’y a pas lieu de susciter l’affolement. »
« Pas de situation alarmante », selon un vétérinaire Denis Valensi, vétérinaire à Chatou, partage le point de vue de l’élu. « Je suis installé à Chatou depuis 26 ans. Nous diagnostiquons en moyenne un à deux cas de leptospirose par an et je ne constate pas de recrudescence de cette maladie, indique-t-il. La présence des rats à Chatou, comme dans toutes les villes parcourues par des cours d’eau, n’est ni exceptionnelle, ni nouvelle : nous ne sommes pas dans une situation alarmante. »
« J’estime qu’il y a un devoir d’information à la population, insiste la propriétaire du chien décédé. L’état de ma chienne s’est dégradé de manière spectaculaire, d’un seul coup. Ses dernières heures ont été très violentes. J’ai moi-même été contrainte de suivre un traitement antibiotique, puisque cette maladie est transmissible à l’homme. » leparisien.fr