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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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animaux ...les maladies..habitude de vie

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Publié à 16:15 par fandeloup Tags : message

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Publié à 18:52 par fandeloup Tags : message

Mon chien grogne

Publié à 16:40 par fandeloup Tags : google vie chez mode message animal chien chiens
Mon chien grogne

Mon chien grogne quand je le caresse

Caresser son chien est naturel pour la plupart d’entre nous mais que faire avec un chien qui grogne quand on le caresse ?

Voici 5 solutions et comment on fait pour apprendre un nouveau comportement, si c’est nécessaire. Ces solutions peuvent permettre de rétablir, pour commencer, un certain niveau de confiance en montrant au chien quelque chose d’essentiel : la caresse est toujours un instant agréable.

Pourquoi faire tout cela pour cet objectif si simple ? Parce que vous ne pouvez pas l’expliquer à votre chien. Vous devez utiliser un autre mode de communication, principalement en adoptant un comportement ultra-constant : je fais toujours la même chose.

Lorsque cela ne suffit pas, il faut apprendre un nouveau comportement à son chien. Cet apprentissage ne doit être entrepris que si on utilise ce qu’on appelle la « désensibilisation ». Nous allons y revenir.

 

1-Je le laisse prendre l’initiative

Souvent, il suffit de ne plus essayer de caresser le chien et de le faire uniquement quand il vient vous voir, manifestement pour être caressé.

Certains chiens ont peur de la main humaine en général. C’est (très souvent) un problème de socialisation. Certes, il y a des chiens qui souffrent d’un traumatisme tandis que d’autres ont peur de certaines mains qui les ont déjà maltraités.

Il y a cependant un problème plus commun. La main est associée à un moment désagréable pour toutes sortes de raisons. Parce que le chien est forcé à rester, parce qu’une fois sur deux on lui tire les babines, parce que la main caresse mais elle pousse, tire, appuie etc. également chaque jour.

Parce que finalement, il ne sait jamais à quoi s’attendre ! Un chien qui ne veut pas être caressé a (souvent) tout simplement grandi sans apprendre qu’être caressé équivaut à passer un bon moment. Il ne s’est rien passé de particulièrement « dramatique ». C’est une question d’habitude. Laissez votre chien venir de lui-même.

 

2-Je préviens

Vous ne pouvez pas expliquer à votre chien que vous êtes bien intentionné. Vous ne pouvez que le prévenir en lui envoyant un signal clair quant à vos intentions.

Avec le chien, cela signifie : toujours le même signal suivi du même comportement. Vous êtes constant et dans la vie de tous les jours avec un chien, être constant est une clé fondamentale. Cela se vérifie sous tant d’aspects.

Prévenir le chien que vous allez le caresser est extrêmement important. Il ne faut jamais surprendre un chien craintif, même pour le caresser. Il faut toujours annoncer que vous arrivez.

Exemple : vous dites « caresse » systématiquement avant d’approcher la main. Vous prenez votre temps. Ensuite, vous le caressez s’il ne se montre pas réfractaire en envoyant des messages qui veulent dire « non, pas maintenant ». Prévenez-le.

 

3-Je n’ignore pas ses messages

Il faut repérer exactement le moment où votre chien n’a pas/plus envie d’être caressé. Ce moment (et le message envoyé pour vous dire « arrête ») est très variable selon les chiens. Le chien ne parle pas.

Il envoie des messages avec des parties de son corps. Avant de grogner, les chiens ont déjà envoyé de multiples signaux qui sont passés inaperçus ou ont été ignorés.

Par exemple, le chien tourne la tête. Ceci est très fréquent et signifie dans de nombreux contextes « arrête ». Il y a également des signaux que le chien envoie en faisant quelque chose de tout à fait banal comme bailler.

Le chien ne s’en va pas forcément s’il n’a pas envie d’être caressé. Il est plus facile de repérer les signaux dans l’autre sens, ceux qui veulent dire « continue ».

Par exemple, le chien qui apprécie d’être caressé bouge pour que ce soit plus facile de le caresser. Mais il y a également des signaux qui peuvent aussi bien vouloir dire « arrête » et « continue ». « Ecoutez-le »

 

4-Je tiens compte de ses préférences

Non seulement le sens du toucher est très différent chez le chien mais en plus, certains chiens aiment moins être caressés que les autres. Il y a aussi des chiens qui préfèrent être caressés sur le ventre, sur le dos, ou ailleurs.

D’autres encore, préfèrent qu’on les gratte. Beaucoup de chiens craintifs préfèrent qu’on approche la main de côté plutôt que directement au-dessus de leur tête. Il est important de respecter l’individualité du chien sur ce point.

Nous exigeons parfois beaucoup de choses de leur part. Accordons-leur ce plaisir simple d’être caressés comme ça leur plaît. Respectez l’individualité de votre chien.

 

5-Je ne le force jamais

La caresse est censée être un moment agréable pour votre chien et vous. Il serait dommage de dénaturer ce moment parce que vous avez décidé que c’est maintenant, tout de suite.

Il y a des moments pendant lesquels même un chien qui aime être caressé n’en ressent pas du tout le besoin. Quand il est occupé avec une activité qu’il adore ou quand il est en train de s’endormir, par exemple. Ne l’empêchez jamais de s’éloigner.

Vous ne devriez pas avoir à forcer physiquement votre chien pour quoi que ce soit. Ne le forcez pas. chien caresse Tout cela paraît évident à certaines personnes mais pas à d’autres car au quotidien, il est parfois facile de traiter son chien autrement que comme un chien. Mais il ne communique pas tout à fait comme nous.

Et vous ne pouvez pas communiquer avec lui comme avec une personne. Pas plus que vous ne pouvez communiquez avec lui comme si vous étiez un animal. Apprendre au chien à être caressé Normalement, on apprend au chiot à être manipulé, touché, caressé dès son plus jeune âge ce qui le familiarise avec la main de l’homme.

Cette main est associée à des choses plaisantes. Pour apprendre cela a un chien qui ne l’a pas bien intégré, pour x raisons, il faut le motiver à se comporter différemment en lui prouvant, pour ainsi dire, qu’il n’y a rien à craindre.

Le menacer pour qu’il arrête de grogner est totalement contre-productif. Il est possible d’utiliser la friandise pour lui apprendre mais il faut le désensibiliser en même temps c’est-à-dire procéder très progressivement.

Pour commencer avec un chien qui grogne quand on le caresse, vous donnez par exemple la friandise quand vous avez, ne serait-ce que réussi à approcher la main à quelques cm de lui sans qu’il grogne.

On peut commencer par lui faire comprendre que la main qui s’approche, c’est bien. Peut-être même qu’il faut commencer par lui montrer que s’approcher de lui, c’est bien ou que venir près de vous, c’est bien !

Cela dépend du niveau de peur et du message qu’envoie le chien. Après autant de répétitions que nécessaire, vous donnez la friandise quand vous avez réussi à poser la main sur lui une seconde. Et après quand vous l’avez caressé etc.

Plus le chien est agressif, plus la distance entre lui et vous est importante à la première étape. Découvrez des techniques détaillées pas à pas dans la Méthode Bon Chien ainsi que des exercices pratiques.

Beaucoup de personnes peuvent appliquer ces techniques elles-mêmes en respectant des règles de sécurité. Ce n’est pas toujours sans danger avec certains chiens.

Si votre chien est très agressif, il ne faut pas attendre pour consulter un éducateur. Toutefois, il est inutile de se lancer dans un nouvel apprentissage pour « faire de l’éducation » si on ne modifie pas son propre comportement dans la vie de tous les jours quand c’est nécessaire.

Et c’est souvent nécessaire quand votre chien vous grogne dessus même quand vous pensez faire tout ce qu’il faut. Ce n’est pas difficile une fois qu’on a compris qu’un chien ne s’éduque pas dans la peur mais dans la confiance.

Vous pouvez alors travailler à gagner ou regagner cette confiance.

vue

Publié à 09:35 par fandeloup Tags : chats chat bleu animaux nuit bonne rouge
vue

La vue du chat vue chat

Le chat a une excellente vue, même en lumière très faible, en raison de la présence du tapis choroïdien, ou tapetum lucidum, une couche de cellules réfléchissantes située derrière la rétine.

Ces cellules réfléchissent les rayons lumineux qui n’ont pas été captés au cours du premier passage, octroyant ainsi aux cônes et aux bâtonnets rétiniens l’opportunité d’un second passage.

C’est pour cela que l’oeil du chat est phosphorescent dans l’obscurité, lorsqu’une lumière infime est réfléchie par la rétine. Le chat ne remarque pas une proie immobile !

Le tapis choroïdien augmente de 40 % l’efficacité de la vision du chat. La pupille peut en outre se dilater à tel point que, la nuit, la vue du félin est cinq fois supérieure à celle de l’homme et ne peut donc se comparer qu’à celle des animaux de nuit.

Les cônes rétiniens du chat étant trichromatiques, il devrait percevoir le bleu, le vert et le rouge. Mais il semblerait que cela ne soit pas prouvé, que le chat ne distingue pas bien le vert, alors qu’il voit le bleu et le rouge et perçoit également la gamme des gris.

Il suit distinctement une proie en mouvement car son champ de vision est supérieur à 180 °, mais peut ne même pas remarquer une proie immobile.

La vue du chat Siamois

Les Siamois n’ont pas tout à fait la même vue que les chats des autres races. Leur perception du scintillement est notamment très réduite, en raison d’une plus petite quantité de cellules ganglionnaires présente dans la rétine.

La vision stéréoscopique est également minimale, quoique chaque oeil présente une bonne capacité résolutive. Ceci explique le regard souvent convergent (strabisme) du félin. Il y a longtemps, on le recherchait pour cette particularité, ainsi que pour sa queue coupée ou enroulée.

LA RHINOTRACHEITE

Publié à 19:30 par fandeloup Tags : chat chats monde bonne mort jeux
LA RHINOTRACHEITE

LA RHINOTRACHEITE VIRALE FELINE

La rhinotrachéite virale représente 40 % environ des cas de coryza félin et est souvent responsable de signes cliniques respiratoires graves. Il s'agit d'une infection qui reste persistante, latente, avec des ré-expressions ultérieures possibles.

 

 

UNE MALADIE CAUSEE PAR UN HERPESVIRUS…

Le virus responsable de la rhinotrachéite féline est l'Herpèsvirus félin. Il existe plusieurs « souches » virales ayant plusieurs degrés de virulence. Ce virus est présent dans le monde entier et affecte aussi bien les chats domestiques que les félidés sauvages. Il s'agit d'un virus peu résistant dans le milieu extérieur. L'herpèsvirus a la particularité de causer une infection persistante, dont l'organisme ne peut se débarrasser. Il infecte certaines cellules nerveuses et y reste « caché », inactif, latent. Les sites principaux de latence du virus sont les neurones sensoriels du ganglion trijumeau. Le virus pourra être « réveillé », réactivé de façon intermittente.

 

 

QUELS SONT LES CHATS LES PLUS SENSIBLES ?

Les chats les plus sensibles sont ceux qui entretiennent des contacts étroits avec leurs congénères. Les chatons sont généralement infectés via leur mère et leur sensibilité est importante entre 2 et 12 semaines. Les chatons qui ne sont pas nourris pas leur mère sont en général extrêmement sensibles et vulnérables (absence d'anticorps maternels). Les chats vivants en collectivité sont aussi très exposés, d'autant plus que le virus persiste dans les organismes de façon latente et qu'il est ré-excrété sporadiquement.

 

 

COMMENT LES CHATS SONT-ILS CONTAMINES ?

La contamination s'effectue par voie oro-nasale ou oculaire lors de contacts rapprochés entre chats. Le virus est présent dans la salive, les sécrétions nasales et oculaires. Les chats infectés excrètent le virus dans l'environnement dès 24 heures après leur infection et cette excrétion se prolonge durant 1 à 3 semaines. Il y a donc une excrétion virale avant et après les manifestations cliniques de la maladie. Cela contribue à la large dissémination du virus. Lors de réactivation du virus celui-ci est également ré-excrété dans l'environnement pendant 1 à 13 jours. Cette ré-excrétion passe souvent inaperçue mais les chats environnants sont contaminés par le biais de cette dissémination silencieuse ! Les chatons se contaminent directement auprès de leur mère. Les chats en communauté se contaminent via les gamelles, les contacts proches.

 

 

COMMENT LE VIRUS AGIT-IL ?

Le virus atteint surtout les cellules des voies respiratoires supérieures et de la conjonctive oculaire ainsi que les cellules nerveuses. Une dissémination sanguine (virémie) est parfois observée. Le virus colonise les voies respiratoires supérieures et inférieures, du nez jusqu'aux bronches et y cause des lésions. Les lésions causées par le virus peuvent être aggravée par des infections bactériennes secondaires parfois très délétères. Le virus, comme expliqué précédemment, reste ensuite latent dans l'organisme. Il est réactivé de façon sporadique sous l'influence de différents facteurs comme le stress, d'autres maladies, l'injection de substances immunodépressives (glucocorticoïde)… A ce moment là le virus emprunte le trajet des nerfs pour coloniser à nouveau les voies respiratoires, surtout supérieures cette fois-ci. Le virus est également ré-excrété dans le milieu extérieur lors de sa réactivation.

 

 

LES SIGNES DE LA MALADIE…

Lors de la première infection : L'incubation est de 2 à 6 jours. On observe de la fièvre, de l'abattement, une perte d'appétit, une rhinite avec des éternuements, des écoulements au niveau du nez, une conjonctivite avec des écoulements aux niveaux des yeux voire de la toux.

Les cas graves peuvent évoluer en ulcères cornéens. Lors d'absence d'infection virale concomitante, notamment par le virus de la leucose, et lors d'infections bactériennes secondaires modérées, les chats infectés guérissent spontanément en 10 à 14 jours.

Lors d'immunodépression les effets du virus peuvent être plus graves. Les lésions de rhinite et la conjonctivite bilatérale peuvent être chronique et durer des mois. Les atteintes bactériennes secondaires, notamment pulmonaires, peuvent causer une pneumonie et entrainer la mort du chaton.

Lors de réactivation du virus : Les lésions causées par le virus au niveau des voies respiratoires supérieures n'entrainent généralement pas de symptômes et la réactivation du virus reste sub-clinique. Dans certains cas toutefois on peut observer une rhinite récurrente. Cependant, si le chat est affaibli par une maladie concomitante, ou immunodéprimé (leucose par exemple), alors les signes cliniques peuvent être marqués. Rappelons que le virus est ré-excrété dans le milieu extérieur mais cela passe très souvent inaperçu !

 

SOIGNER ET PREVENIR…

Les soins passent par du nursing : Les soins vétérinaires consisteront surtout à maintenir le chaton au chaud et à l'aider, grâce à des antibiotiques, à lutter contre les infections bactériennes secondaires. L'organisme du chaton devra lutter seul contre la composante virale.

La prévention passe par une bonne hygiène et la limitation du stress : Nous avons indiqué que lors de réactivation virale, il se produisait une ré-excrétion silencieuse, sans alerte clinique, du virus. Néanmoins cette réactivation virale est largement dépendante de l'état de santé du chat et des conditions d'entretien.

Si le chat est en bonne santé et s'il ne subit aucun stress alors le virus reste, dans la très grande majorité des cas, silencieux, caché, sans dissémination. La désinfection avec de l'eau de Javel ou des ammoniums quaternaires est efficace. Ces produits sont vendus par des professionnels et doivent être utilisés en respectant les règles de sécurité et d'emploi correct.

La prévention passe par une détection des porteurs et excréteurs du virus : Dans les collectivités de chats il est important de repérer les chats qui sont porteurs du virus et susceptibles de l'excréter.

La détection des porteurs est importante afin de constituer un groupe de chats non-porteurs et un groupe de chats porteurs. Les deux groupes seront strictement isolés (matériel, vêtement, jeux, nourriture…) afin de limiter la dissémination du virus.

La vaccination confère une protection efficace : Il est possible de vacciner contre le « coryza ». Le vaccin contre le « coryza » imunise généralement contre les deux virus majeurs impliqués dans ce syndrome : herpèsvirus et calicivirus, et certains vaccins immunisent aussi contre la bactérie chlamydophila felis.

Rappelons que la vaccination n'empêche pas l'infection mais qu'elle permet à l'organisme de répondre très rapidement et très efficacement à l'agression virale.

Un chat vacciné peut donc être infecté, ne présenter aucun signe clinique mais devenir porteur latent du virus. Dans ce cas la vaccination limite la réactivation du virus ainsi que la durée et l'intensité de sa ré-excrétion, sans l'empêcher complètement.

Le protocole recommandé est de vacciner tous les chats, surtout qu'ils sortent, à partir de 8 ou 10 semaines. Le vétérinaire effectuera 2 injections à 3 ou 4 semaines d'intervalle puis un premier rappel 12 mois après la première injection. Un rappel annuel est ensuite préconisé.

6 dangers qui guettent votre chien

Publié à 16:51 par fandeloup Tags : article enfants mort nature cadeau chien neige cadeaux chiens
6 dangers qui guettent votre chien

Fêtes de Noël : 6 dangers qui guettent votre chien

Les fêtes de Noël sont un moment de plaisir partagé en famille où se mêlent bonheur, convivialité et joie de retrouver ses proches. Mais plusieurs dangers guettent nos chiens si nous n’y prêtons pas attention durant les préparatifs, lors du réveillon et le jour de Noël.

Afin d’éviter que votre chien ne se retrouve aux urgences vétérinaires à l’occasion de Noël, voici quelques recommandations qui ne vous demanderont pas de le barricader dans une pièce ni de le priver de la fête lors de laquelle il pourra lui aussi avoir son cadeau au pied du sapin :

 

1. Les sapins de Noël Le sapin est un incontournable de Noël et deux choix s’offrent à nous :

le sapin de Noël artificiel ou le sapin naturel. Ce dernier présente un danger de part la perte de ses aiguilles qui peuvent se loger entre les coussinets du chien et peuvent provoquer irritations, vomissements et gastro-entérite en cas d’ingestion.

Balayez régulièrement les aiguilles tombées et prêtez attention à ce que votre chien ne boive pas l’eau stagnante du sapin surtout si vous utilisez des produits de conservation toxiques.

Enfin, privilégiez une place pour votre sapin dans un coin, prêt d’une prise électrique pour éviter des rallonges interminables pour vos guirlandes électriques et pensez à fixer votre sapin pour éviter qu’il ne chute.

Plus d’infos ici Concernant les sapins de Noël artificiels, attention à leur provenance et à certains matériaux toxiques utilisés pour leur fabrication ! Souvent fabriqués dans les pays d’Asie, ils sont généralement composés de plastique et d’aluminium pouvant être aussi dangereux en cas d’ingestion par les chiens. Si votre chien est décidément très attiré par le sapin, vous pouvez utiliser des répulsifs naturels tels que des écorces d’agrume ou de l’essence d’eucalyptus pulvérisée sur les branches basses.

 

2. Les décorations de Noël

décorations de Noël dangereuses pour les chiensDe manière générale, évitez toutes les décorations de Noël toxiques, neige artificielle en bombe par exemple mais aussi décorations en verre et cheveux d’ange. Si vous utilisez des bougies, mettez-les en hauteur, d’une part pour éviter que votre chien ne se brûle, mais surtout pour éviter un départ d’incendie en cas de chute.

Attachez vos décorations avec des fils plutôt qu’avec des crochets métalliques pouvant être dangereux en cas d’ingestion, s’ils venaient à tomber du sapin.

Privilégiez les décorations les plus fragiles en hauteur. Accrocher solidement vos décorations de Noël évitera à votre chien de les ingérer en cas de chute, ce qui pourrait provoquer des occlusions digestives graves.

Attention aux guirlandes électriques : allumez-les uniquement en votre présence, votre chien risquerait une brûlure de la gueule et au pire une électrocution mortelle s’il venait à mâchouiller les fils électriques. De même, vous pouvez protéger les fils électriques avec des gaines de protection.

 

3. Les plantes décoratives

Malgré leur beauté et leur attrait pour Noël, la plupart des plantes décoratives sont hélas toxiques pour nos chiens:

Le houx

Houx dangereux pour les chiensLes fruits rouges et les feuilles sont très toxiques, symptômes après ingestion : somnolence vomissements diarrhées coma pouvant entraîner la mort

Le gui

Gui dangereux pour les chiensLes baies blanches sont très dangereuses, symptômes après ingestion : vomissements diarrhées insuffisance cardiaque convulsions coma pouvant entraîner la mort

Le poinsettia ou « étoile de Noël »

poinsettia Dangereuse de part ses tiges et ses feuilles, symptômes après ingestion : irritation de la gueule salivation importante gastro-entérite modérée

L’if If dangereuse pour les chiens

Utilisée pour orner les couronnes de Noël, les feuilles d’if peuvent être dangereuses pour les chiens, symptômes après ingestion : vomissements diarrhées salivation importante troubles respiratoires 

 

4. La nourriture nourriture dangereuse pour les chiens à Noël

Les fêtes de fin d’année dont Noël, sont l’occasion d’apprécier des mets prisés que l’on ne peut pas se permettre toute l’année. Mais il est hors de question de partager certains de ces aliments avec nos chiens, nous devons garder à l’esprit que certains d’entre eux sont très dangereux, voir mortels pour eux.

Parmi eux, on retrouvera donc le chocolat, très toxique pour les chiens de part sa teneur en théobromine, les aliments très salés consommés pour Noël tels que le saumon fumé et d’autres plats en sauce, les os cuits de dinde de nature cassante ou encore l’alcool. Attention également au foie gras qui, en cas d’ingestion importante, peut entraîner une pancréatite aiguë.

 

5. Les rubans et ficelles des cadeaux de Noël

Quoi de plus naturel que d’orner ses cadeaux de Noël avec de beaux rubans et des ficelles ?

Mais n’oubliez pas qu’un chien curieux sera naturellement attiré par ces formes et toutes ces ficelles à mâchouiller au risque de s’étouffer ou de provoquer une occlusion intestinale. Ne vous privez pas non plus de ces ornements artistiques qui donnent tout leur charme à l’occasion de cette fête, mais ne mettez pas trop tôt vos cadeaux au pied du sapin. Attendez d’être présent pour surveiller votre chien.

 

6. Les invités

Les invités en que tel ne sont pas un danger à proprement dit mais l’interaction avec votre chien durant cette occasion et dans certaines conditions peut présenter des dangers. Votre chien saute sur le invités ?

Attention si vous recevez votre grand-mère âgée ou encore des enfants en bas âge, un accident peut vite arriver avec un grand chien.

Gardez toujours un œil sur votre chien, des enfants peuvent jouer avec lui de manière inappropriée en lui tirant les oreilles ou la queue, la réaction du chien pourrait être de mordre. De plus, l’ambiance de la fête et le nombre inhabituel d’invités peuvent être anxiogènes pour votre chien, prévoyez donc un endroit calme où il puisse se reposer loin des bruits et du tumulte, sans être dérangé.

Enfin, certains invités peuvent être emportés par l’ivresse et aller un peu trop loin dans leur contact et le jeu avec votre chien, à vous de surveiller ces échanges car un chien, même très sociable, a ses limites comme nous les humains.

Pour conclure Nous vous souhaitons de très bonnes fêtes de fin d’année et un joyeux Noël mais n’oubliez surtout pas la sécurité de votre compagnon. Nous l’avons vu, les dangers ne manquent pas mais avec du bon sens et en suivant ces quelques recommandations, votre chien appréciera autant que vous ces fêtes.

Nos compagnons souffrent en silence

Publié à 15:10 par fandeloup Tags : enfants photo chez heureux nature animal animaux chien chat chiens chats
Nos compagnons souffrent en silence

Nos compagnons souffrent en silence

Certains croient que les animaux ne souffrent pas et qu’ils sont beaucoup plus tolérants que nous à la douleur. Il n’y a rien de plus faux.

Les animaux ressentent la douleur.

Des études physiologiques et neurologiques ont permis de démontrer que les animaux ressentent la douleur d’une façon très semblable à la nôtre.

Malheureusement, les animaux souffrent souvent en silence. Chez l’humain, la douleur est généralement apparente, car on se plaint beaucoup, on crie ou on pleure.

Par contre, chez les animaux, la démonstration de la douleur est beaucoup plus subtile. Bien sûr, certains animaux s’expriment haut et fort par des gémissements, des grondements et des cris. Mais ils sont minoritaires. La plupart des animaux sont plus silencieux que les humains face à la douleur. Ils ont une tendance naturelle à la cacher. En fait, c’est une question de survie.

Dans la nature, les animaux ont intérêt à ne pas attirer l’attention des prédateurs... Dans le confort de votre foyer, l’animal qui n’exprime pas sa douleur peut avoir mal.

Les signes physiologiques de la douleur Les comportements associés à la douleur varient d’une espèce animale à l’autre, mais les signes physiologiques sont les mêmes: les pupilles se dilatent tandis que le cœur et la respiration accélèrent et que la pression sanguine augmente. Lors d’une douleur aiguë et soudaine, même le chat ou le chien le plus costaud peut crier.

On n’a qu’à penser à ce qui arrive quand on pile sur la queue de minou par inadvertance... Par contre, dans le cas de douleurs plus chroniques, plus lancinantes, l’animal devient généralement «silencieux».

Il faut donc être à l’affût de symptômes plus subtils chez votre animal.

Voici quelques-uns des changements de comportement associés à la douleur:

Il a tendance à s’isoler ou à se cacher; Il perd l’appétit ou ne mange plus;

 

Il devient amorphe ou apathique ou a soudainement l’air «dépressif»;

 

Il n’a pas envie d’être touché ou manipulé, alors il grogne ou se plaint;

 

Il devient réticent à bouger;

 

Les chats arrêtent souvent de se toiletter et leur pelage perd son lustre et est plus «cotonné»;

 

Les chiens peuvent haleter; Ils peuvent aussi sembler inconfortables, ne plus tenir en place, être agités ou encore, changer constamment de position;

 

Certains chats et chiens deviennent agressifs lorsqu’ils ont mal; Dans le cas d’une douleur localisée, il peut lécher ou mordiller la zone douloureuse;

 

Dans le cas d’une fracture ou de douleurs articulaires, il peut boiter ou éviter de s’appuyer sur le membre blessé et même tenter de le cacher sous lui;

 

En cas de douleurs abdominales, certains chiens s’étirent en se tenant le dos courbé et les pattes antérieures étendues. On dit qu’ils sont en position de prière.

Le ronronnement chez les chats Le ronronnement du chat ne signifie pas toujours qu’il est heureux et satisfait. Bien au contraire! Les chats peuvent ronronner quand ils ressentent de l’anxiété, de la peur ou de la douleur.

Dans ces moments, le chat ronronne pour tenter de s’apaiser. N’attendons pas et traitons la douleur rapidement Il est donc de notre devoir, en tant que propriétaire d’animaux de compagnie, d’être à l’affût et de consulter le vétérinaire dès que des symptômes, même subtils, apparaissent.

La science vétérinaire évolue et les traitements contre la douleur aussi.  

avc

Publié à 14:16 par fandeloup Tags : bonne chez article nuit animal chien lecture chiens pouvoir enfants
avc

AVC chez le chien : comment bien faire pour l’aider à se remettre ?

 Les chiens ayant atteint un âge avancé sont plus exposés au risque d’accident vasculaire cérébral, un arrêt brutal de l’irrigation du cerveau ou une hémorragie.

A l’instar des humains où l’AVC peut entraîner une perte d’autonomie importance, l’oubli de la parole, ou la paralysie, l’AVC chez le chien provoque des séquelles mais elles ne sont pas forcément irréversibles.

La lecture de cet article a pour but de vous aider à reconnaître les signes et adopter les bons gestes immédiatement et sur la durée.

C’est la panique : mon chien va très mal, que faire ?

Les AVC arrivent sans crier gare et l’on se trouve bien démuni quand cela se produit. Vous venez de trouver votre chien couché par terre à un endroit inhabituel, il y a du vomis sur le sol, il ne se lève pas quand vous l’appelez ?

Il est probable qu’il ait fait une attaque mais à ce stade, impossible de déterminer sa gravité. Il suffit de 3 minutes de manque d’oxygène au cerveau pour qu’il y ait des séquelles. Comme le conseille l’article sur veturgences.com, il faut agir vite, mais il est extrêmement rare de se trouver avec le chien au moment de l’AVC ou à moins de 3 minutes d’un vétérinaire.

Commencez d’abord par rassurer votre chien en lui parlant et en le caressant pour constater sa capacité à interagir avec vous. S’il commence à s’animer, encouragez-le à vous sentir et à vous lécher toujours pour signifier que vous êtes bien là.

Ensuite, tentez de le faire se lever pour faire les premières constatations.

Voici ce qu’il faut examiner :

A-t-il des convulsions ?

A-t-il l’équilibre ?

S’appuie-t-il contre un meuble ou un mur pour avancer ?

A-t-il la tête penchée, voire la gueule ouverte et la langue pendante ?

Ses yeux sont-ils agités ?

Sa tête est-elle particulièrement chaude ? (maux de tête)

Est-il capable de s’alimenter et de boire seul ?

Si l’accident se passe en pleine nuit, que cela vous réveille ou que vous assistez à la scène, vous pouvez appeler un vétérinaire de garde.

Je vous invite  à consulter le site vetoadom.com ou à appeler directement le numéro suivant 01 47 46 09 09.

Si vous constatez l’AVC probable au petit matin ou pendant la journée, adoptez le principe de précaution : amenez votre animal chez son vétérinaire pour faire évaluer son état ou au service des urgences vétérinaires proches de chez vous (cliniqueplacedesfetes.com à Paris par exemple).

Ce sera aussi l’occasion de tenter de comprendre ce qui a pu se passer. Il n’est pas du tout certain de pouvoir fournir une explication, l’âge étant la principale cause, mais on peut aussi parler de tumeur, d’anévrisme ou encore d’hypertension artérielle.

Que se passe-t-il chez le vétérinaire ?

Tout spécialiste commence par observer et ausculter le chien qui aurait fait un AVC.

Les questions exposées ci-dessus sont d’excellents indicateurs, le vétérinaire procède aussi à des tests de réflexe (pupilles, mouvements) pour mesurer les connexions nerveuses et les dommages éventuels.

Si l’AVC est pris à temps, on peut déceler la cause, l’hypertension par exemple, et prodiguer un traitement adapté. Le vétérinaire peut aussi soulager l’animal pour lui permettre de retrouver ses forces plus facilement par le biais d’un calmant ou d’un pansement gastrique.

Ce moment peut-être extrêmement difficile car certains chiens sont agonisants et la seule chose à faire pour les soulager est d’accepter l’euthanasie.

Dans la plupart des cas, le chien a surtout besoin de repos, une sorte de convalescence au cours de laquelle il devra réapprendre à s’alimenter, à se déplacer, et retrouver l’équilibre. Il faut être très vigilent les jours qui suivent l’AVC chez le chien pour pouvoir réagir en cas de seconde attaque.

Tout maître responsable qui aime son chien saura qu’en cas de nouvel accident, l’évaluation de l’état de souffrance devra être réalisée, autant que sa capacité à tenir.

Le vétérinaire sera présent le cas échéant pour aider à la prise de décision. Pour lire le témoignage d’un maître qui a vécu cette épreuve, cliquez-ici.

Quels sont les bons comportements à adopter ?

Vous faites partie des maîtres chanceux qui ont eu la chance de ramener leur animal à la maison, avec l’espoir de le voir recouvrer la santé.

En pratique, respectez votre chien et SON besoin de récupération. Accordez-lui un espace tranquille où il ne sera ni dérangé ni embêté pour dormir au calme.

Tout comme pour nous, le sommeil permet le processus d’auto-guérison, à plus forte raison chez des sujets âgés.

Quels sont les bons comportements à adopter

Il n’arrive plus à manger ou à boire ?

Tentez la technique  du doigt ou le nourrissage à la main. Pour le faire boire, il vous suffit de tremper votre doigt dans de l’eau et de lui présenter. Pour la nourriture, offrez-lui des petites quantités et surtout adaptez-là.

En effet, il arrive qu’un AVC empêche le chien de croquer des aliments durs (croquettes ou biscuits) pour une durée indéterminée. Ce peut être l’occasion de passer à un nouveau type de nourriture, c’est-à-dire du mou et de l’humide : coquillettes, carrés de jambon, et quelques légumes éventuellement.

Nul doute qu’il risque d’y prendre goût ! Cela peut prendre un certain temps et vous valoir quelques courbatures mais c’est ce qui lui permettra de retrouver ses réflexes, l’affaire de quelques jours.

Il a du mal à se déplacer ?

Aidez-le, respectez son rythme, et anticipez les éventuelles chutes pour limiter la casse. Votre accompagnement lui sera d’une aide précieuse et l’aidera à reprendre confiance en son CORPS tout en retrouvant ses appuis tout doucement !

Chose très importante à comprendre : votre toutou adoré peut rester dans cet état, aller mieux, ou subir une nouvelle attaque. Tout maître doit s’y préparer et il est d’ailleurs important d’en discuter avec les enfants s’il y a lieu pour éviter de créer un tabou et de cristalliser la douleur.

Une Phrase du type :

« Notre chien est très fatigué, on va tout faire pour qu’il guérisse mais il se peut que son corps n’y arrive pas. » sera juste et il faudra avoir le courage de la prononcer pour éviter de donner de faux espoirs aux petits maîtres qui peuvent ne jamais avoir été confronté au deuil ou à la maladie.

Un AVC chez le chien est toujours une grosse épreuve, pour l’animal, comme pour les maîtres. Surtout, n’oubliez pas qu’une bonne dose d’amour, de vous à lui, contribuera grandement à son rétablissement. Eh oui, la zoothérapie marche dans les deux sens !

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Publié à 18:15 par fandeloup Tags : chien chiens
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Balles de tennis

ATTENTION DANGER pour la santé de vos chiens La matière de la balle est abrasive pour les dents des chiens. De plus, ces balles contiennent un gaz qui est inhalé par le chien lorsqu'il la perce et qui est un poison pour le loulou. Si vous désirez vouer avec votre chien, prenez des accessoires adaptés. Il existe des balles qui ne présentent aucun danger pour eux

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Publié à 17:50 par fandeloup