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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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animaux ...les maladies..habitude de vie

froid

Publié à 18:13 par fandeloup

Un python fait des enfants toute seule

Publié à 10:19 par fandeloup Tags : mode bonne vie enfants animal bébé nature
Un python fait des enfants toute seule

Un python fait des enfants toute seule : oui, procréer sans mâle est possible. Mais risqué Pour faire des bébés serpents, il faut un serpent mâle et un serpent femelle. Mais pour Thelma, c’est différent. Ce python reticulé femelle du zoo de Louisville aux États-Unis a pondu une soixantaine d’œufs en été 2012, alors qu'elle partageait son vivariume avec une autre femelle. Comment est-ce possible ? Pierre Banzept, gérant de la Ferme des reptiles, n'est pas vraiment surpris.

Normalement, les serpents ont un mode de reproduction classique. Ovipares ou ovovivipares, ils pondent des œufs fécondés par un mâle – qui dispose de deux pénis, mais dont un seul sert à la procréation – pour donner naissance à des serpenteaux. Les accouplements sont multiples, répétés et souvent très longs.

Il arrive que les mâles se battent pour une femelle et que les petits de cette dernière aient finalement plusieurs pères. Ce scénario représente environ 99% des cas. Mais le serpent est un animal mystérieux qui n’a pas fini de nous surprendre. Et le cas de Thelma en est une nouvelle démonstration.

 

Les adeptes de la parthénogénèse

Le phénomène de parthénogénèse est un mode de reproduction qui survient sans intervention d’un mâle. Il est donc monoparental. Le cas de Thelma n’est pas isolé, puisqu’une parthénogénèse a déjà été étudiée sur des pythons molure, notamment en Allemagne il y a quelques années. Confrontés à un serpent qui faisait de nombreuses pontes, des chercheurs avaient voulu voir si les œufs se développaient une fois mis en incubation. Et en effet, ils avaient pu observer les embryons évoluer.

La parthénogénèse est une pratique que l’on observe également auprès de certaines espèces de lézards, souvent dans des milieux désertiques, au point de faire des populations majoritairement femelles (à hauteur de 80%). Rarissime, il est très difficile d’avoir une explication rationnelle sur ce phénomène qui laisse libre court à un grand nombre de questionnements :

pourquoi ? Comment ? Peut-on observer un tel mode de reproduction dans la nature ?

 

 

Une procréation de survie

Il semblerait que la parthénogénèse soit un moyen pour le reptile de survivre. Isolée, sans mâle à ses côtés, la femelle prend conscience du danger pour son espèce et décide d’agir seule pour perpétuer sa lignée. Je n’ai jamais été confronté à un tel cas dans ma ferme. En revanche, je connais actuellement une situation assez similaire : le cas d’un anaconda qui aurait fait une rétention de sperme. Elle s’était accouplée il y a quelques années avec un mâle de son espèce. La ponte avait été stérile et aucun bébé n’était né. Sans contact avec d’autres mâles, elle a fait une seconde ponte quatre ans plus tard dans laquelle quatre œufs avaient été fécondés. Trois bébés sont morts, mais l’un a survécu. Il a aujourd’hui trois ans et se porte très bien. Par instinct de survie, le serpent est capable de conserver le sperme plusieurs années et choisir le moment opportun pour féconder ses œufs.

 

Les mâles seraient-ils inutiles ?

Dans le cas de la parthénogénèse, il faut savoir qu’en l’absence d’un accouplement avec un mâle, l’ensemble des gênes des bébés sont exclusivement issus de la mère. Cette dernière porte également les gênes différenciés qui permettront de faire des femelles et des mâles. Dans ces conditions, peut-on douter de la nécessité d’avoir des mâles dans une espèce ? Sont-ils à terme inutiles ? Il est clair que la parthénogénèse offre peut-être une chance aux espèces menacées. En y réfléchissant bien, elles pourraient permettre à des espèces de survivre en milieux hostiles, par exemple sur une île isolée.

 

L’homogénéité génétique n’est pas une bonne chose

Mais la parthénogénèse a pour conséquence de faire naître une population génétiquement identique. Alors si l’un se trouve plus vulnérable face à une maladie, ce n’est pas 10% de la population qui serait menacée mais son intégralité. Nous avons par exemple pu observer les conséquences de cette homogénéité génétique, auprès de nos rois qui curieusement étaient souvent hémophiles. Je pense que le succès de la vie est avant tout dû grâce à son brassage génétique. Si la nature a fait les choses ainsi, je pense qu’il y a une bonne raison.

Les animaux ne sont pas des «meubles»

Les animaux ne sont pas des «meubles»

Les animaux ne sont pas des «meubles», l'Assemblée confirme HOME ACTUALITE SOCIÉTÉ

Selon un sondage IFOP, 9 Français sur 10 sont favorables à une réforme du Code civil reconnaissant les animaux comme des êtres «vivants et sensibles».

Les députés, qui procédaient jeudi à une nouvelle lecture du projet de loi relatif à la modernisation et à la simplification du droit et des procédures, ont entériné l'amendement qui donne aux animaux la qualité «d'êtres vivants doués de sensibilité».

Un chat peut-il encore être considéré comme un meuble?

Non, estiment les députés qui ont débattu pour la seconde fois cette année du statut juridique de l'animal dans le Code civil, qui reste à ce jour très flou. À l'origine de cette initiative législative, les associations de défense des animaux qui veulent «dépoussiérer» le Code civil, resté inchangé sur la question des animaux depuis 1804.

Surtout, elles veulent mettre fin à un paradoxe juridique qui existe depuis plus de 30 ans: alors que le Code civil assimile nos chers compagnons à des «biens meubles», les Codes rural et pénal, eux, considèrent déjà que les animaux sont des êtres vivants et sensibles. Intégré dans le projet de loi sur la simplification du droit, l'amendement, entériné donc jeudi soir par les députés, vise à clarifier ce statut.

Dans ce texte, l'article 1er bis propose ainsi de considérer les animaux comme «des êtres vivants doués de sensibilité (…) soumis au régime des biens».

Cette nouvelle définition du Code civil s'alignerait ainsi sur celles des Codes pénal et rural et ne concernerait aucunement les animaux sauvages, comme les cerfs ou les sangliers.

«Ce texte est un bon compromis, se réjouit Jean-François Legueulle, délégué général de la Fondation 30 Millions d'amis. L'animal n'est plus assimilé à une table ou à une chaise. Et comme il continue d'avoir un propriétaire, on dit qu'il est soumis au régime des biens».

«Mais, insiste-t-il, l'animal n'est plus un bien en tant que tel». « Il est plus que temps d'harmoniser notre droit et de mettre fin à une incohérence qui rend la protection des animaux imparfaite » Reha Hutin, la présidente de 30 Millions d'amis Déjà voté en première lecture par l'Assemblée nationale en avril dernier, le projet de loi, faute d'accord, avait été recalé le mois d'après en commission mixte paritaire.

Le Sénat devrait procéder à son tour à cette nouvelle lecture vers la fin novembre et devrait de nouveau rejeter le projet de loi. L'Assemblée, qui a constitutionnellement le dernier mot, procèdera ensuite à une ultime lecture.

Depuis des années, les associations de défense des animaux se battent pour un nouveau statut juridique de l'animal. Pour interpeller le gouvernement, la fondation 30 millions d'amis avait lancé une pétition l'an dernier qui affiche à ce jour plus de 750.000 signatures. Dans cette même perspective, elle était parvenue à récolter pour son manifeste les signatures de 24 penseurs comme Michel Onfray ou Luc Ferry.

«Il est plus que temps d'harmoniser notre droit et de mettre fin à une incohérence qui rend la protection des animaux imparfaite et empêche la justice de s'appliquer pleinement lorsque cela est nécessaire», écrit ce jeudi Reha Hutin, la présidente de 30 Millions d'amis sur Le Plus. La FNSEA accepte «cette évolution» Les associations espèrent que ce changement aura un impact sur l'opinion publique et le travail des magistrats.

Alors que le mauvais traitement des animaux est passible de 2 ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d'amende (selon le Code pénal), «très peu de personnes sont condamnées, au pire elles écopent d'une petite amende», déplore Jean-François Legueulle qui estime que la condamnation du «lanceur de chat» à un an de prison en 2013 n'était «qu'une exception».

Cette mesure intervient en plein débat sur la question du bien-être animal, soutenue par plusieurs intellectuels et figures médiatiques. Alors que l'éditorialiste Franz-Olivier Gisbert vient de publier un livre*, le moine bouddhiste Matthieu Ricard a diffusé son plaidoyer sur les animaux , y compris en vidéo.

Excédé, le principal syndicat agricole français, la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) a dénoncé mercredi un «show médiatique» sur la souffrance des animaux d'élevage. En revanche, le syndicat, qui craignait plus que tout que les animaux bénéficient d'un statut intermédiaire entre celui des hommes et celui des biens, accepte cette «évolution».

À une seule condition:

il ne faut pas «remettre en cause la notion de la relation entre l'éleveur et son animal qui est une relation de subordination», a déclaré à l'Agence France-Presse son président Xavier Beulin. Selon un sondage IFOP, 9 Français sur 10 sont favorables à une réforme du Code civil reconnaissant les animaux comme des êtres «vivants et sensibles».

* L'animal est une personne, Franz-Olivier Giesbert, aux éditions Fayard, octobre 2014.

rendre hommage à son animal disparu

Publié à 09:53 par fandeloup Tags : google photo chats france amis photos message animal animaux gratuit pensée chiens
rendre hommage à son animal disparu

Toussaint : rendre hommage à son animal disparu

A la Toussaint, nombreux seront ceux qui auront aussi une pensée pour leurs animaux disparus. Sensible à leur émotion, la Fondation 30 Millions d'Amis propose un espace dédié : En mémoire de mon ami. En-memoire-de-mon-ami.fr est un espace de recueillement qui permet à chaque maître de rendre hommage à son animal disparu et ainsi faire vivre son souvenir.

Un accompagnement réconfortant et bienvenu. « Mabrouk, Junior et Mabrouka ne m’ont fait mal qu’une seule fois dans leur existence : le jour où ils sont partis…

Face à la perte d’un animal, notre chagrin est souvent mal perçu par notre entourage. Je n’ai surmonté ma peine que grâce aux nombreux témoignages de soutien que j’ai reçus du public. C’est pour cela que j’ai voulu créer un espace où chacun pourra venir rendre un hommage en mémoire de son ami.

Car nous partageons tous ce besoin de nous souvenir de nos animaux » rappelle Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis et productrice de l’émission éponyme.

Découvrir le message de Reha Hutin (en vidéo) Sur ce site communautaire, les internautes peuvent créer une page hommage à l'animal qui les a quittés, y poster des photos ; surmonter leur peine grâce aux messages de soutien déposés par les autres membres de la communauté ; soutenir eux-mêmes des personnes plongées dans la tristesse ; partager les témoignages sur les réseaux sociaux.

Lancé il y a un an, ce service entièrement gratuit compte déjà plus de 2 280 hommages dont 1 780 chiens, 400 chats, 60 NAC et 15 équidés. La France compte 63 millions d’animaux de compagnie et ceux-ci sont présents dans plus d'1 foyer sur 2.

Avec en-memoire-de-mon-ami.fr, la Fondation 30 Millions d'Amis apporte une réponse solidaire et généreuse à un besoin exprimé par les amis des animaux.

Statut juridique de l'animal

Publié à 19:39 par fandeloup Tags : france amis société texte animal animaux lecture
Statut juridique de l'animal

Statut juridique de l'animal : nous sommes à un tournant décisif de notre combat

Les animaux vont-ils passer du statut de bien-meuble à celui d'êtres vivants ?

C'est la question qui sera débattue ce jeudi 30 octobre à l'Assemblée nationale.

Qu'est-ce qui explique ce retard ?

Qu'en pensent les Français ?

Le décryptage de Reha Hutin, de la Fondation 30 millions d'amis. La modification du statut juridique de l’animal dans le Code civil va à nouveau être étudiée par l’Assemblée nationale ce soir et je ne peux que m’en réjouir.

Le bien-être animal est maintenant au cœur du débat public, ce qui couronne des années de combat acharné pour améliorer le sort réservé aux animaux.

Pendant longtemps, la question du bien-être animal n’a pas été prise au sérieux ; elle était fréquemment reléguée au second plan par nos élus qui considéraient que la cause animale n’était pas un enjeu sociétal majeur.

À l’époque, on nous reprochait de nous désintéresser de l’humain, et j’étais régulièrement accueillie par des moqueries lors de mes interventions.

Certains ont même mimé des aboiements et des miaulements lorsque je prenais la parole ! Des personnalités s'engagent Les mentalités ont changé, et c’est là l’essentiel.

Comme le disait le philosophe John Stuart Mill, tout grand mouvement doit faire l’expérience de trois étapes : le ridicule, la discussion, l’adoption".

Les deux premières sont franchies, le temps est venu de la troisième. Aujourd’hui, les intellectuels se penchent également sur cette question cruciale.

Il y a tout juste un an, 24 penseurs, écrivains, philosophes, scientifiques et historiens comme Élisabeth de Fontenay, Matthieu Ricard, Frédéric Lenoir, Michel Onfray, Edgar Morin ou Hubert Reeves ont cosigné le manifeste de la Fondation 30 Millions d’Amis, demandant que le Code civil français reconnaisse les animaux comme des êtres vivants et sensibles.

Depuis, de nombreuses autres personnalités, à l’instar de Franz-Olivier Giesbert, s’emparent de cette question. C’est un mouvement formidable !

Nous sommes à un tournant décisif de ce combat. Le Code civil est en décalage Mais dans le Code civil, l’animal est considéré comme un bien-meuble. Au moment de sa rédaction en 1804, le Code civil était le reflet d’une société où l’animal ne bénéficiait pas de la même attention que celle que nous lui portons aujourd’hui.

À l’époque, dans une France essentiellement rurale, les animaux étaient considérés sous l’angle utilitaire, comme une force agricole. Nous ne pouvons plus nous satisfaire des dispositions obsolètes de ce texte, qui ne sont finalement que la transposition en droit de la théorie de l’animal-machine de René Descartes.

Sans compter que le Code civil accuse aussi un décalage avec d’autres textes du droit français comme le Code rural ou le Code pénal qui eux, reconnaissent bien les animaux comme des êtres sensibles.

Il est plus que temps d’harmoniser notre droit et de mettre fin à une incohérence qui rend la protection des animaux imparfaite et empêche la justice de s’appliquer pleinement lorsque cela est nécessaire.

La pédagogie portera ses fruits La Fondation a longuement travaillé aux côtés d’experts du droit – des théoriciens mais aussi des praticiens – sur les contours exacts d’une réforme du statut de l’animal dans le Code civil à soumettre au législateur.

Nous avons été en lien avec les décideurs publics au gouvernement et au parlement afin de leur expliquer le bien-fondé et la légitimité d’une demande sociétale forte : cette réforme est soutenue très majoritairement par les Français – 9 sur 10 y sont favorables et une pétition lancée sur notre site a recueilli plus de 750.000 signatures.

Je reste persuadée que notre pédagogie portera ses fruits ! Ce jeudi, la disposition portée par M. Jean Glavany est étudiée en seconde lecture en séance publique à l’Assemblée nationale.

Elle reconnaît le caractère "vivant et sensible" de l’animal dans le Code civil. Malgré la mobilisation de nos opposants, en dépit de la pugnacité de nos détracteurs, je défendrai corps et âme cette réforme qui représente une avancée considérable pour les animaux.

Les chasseurs n’ont pas le droit

Publié à 17:49 par fandeloup Tags : chats chat animaux
Les chasseurs n’ont pas le droit

Les chasseurs n’ont pas le droit de tirer sur les chats domestiques ni de les tuer, mais doivent, soit les capturer pour les conduire à la fourrière, soit les signaler aux gardes champêtres pour leur capture.

Le chat domestique ne relève pas de la législation chasse, mais des règles relatives à la divagation des animaux domestiques, à la charge des maires dans leur commune.

Enfin les chats sauvages sont protégés et le fait de les tuer constitue un délit passible d’une amende de 9000€ et d’un emprisonnement de 6 mois.

ronronnement

Publié à 14:51 par fandeloup Tags : chat amis chats
ronronnement

Chat alors ! Le ronronnement est bon pour la santé ! En effet, être en compagnie de chats permettrait d’évacuer le stress, de favoriser l’endormissement, de calmer les anxiétés mais aussi de faire baisser la tension artérielle. Un nouveau concept a même vu le jour à Paris : le « Café des chats », un lieu unique, spécialement conçu pour se relaxer en présence de nos amis à quatre pattes tout en buvant une tasse de thé.

Ebola peut-il toucher les animaux

Publié à 16:29 par fandeloup Tags : chat chats homme animal animaux chien afrique chiens
Ebola peut-il toucher les animaux

Ebola peut-il toucher les animaux domestiques ?

Après l'euthanasie d'Excalibur, le chien de l'aide-soignante espagnole infectée par Ebola, beaucoup de personnes se posent des questions sur les risques d'infection du virus sur les animaux de compagnie. Mais qu'en est-il vraiment ?

Quels sont les animaux qui peuvent être touchés par le virus Ebola ?

Des études ont montré que seuls quelques mammifères ont développé le virus Ebola. Il s'agit pour la plupart de primates et de chauve-souries frugivores.

Il a également été démontré que ces animaux, quand ils sont infectés par le virus, peuvent ensuite le transmettre à l'Homme.

Les chiens et les chats risquent-ils de contracter Ebola ?

Même en Afrique, dans des zones qui n'en sont malheureusement pas à leur première épidémie, aucun cas incluant des chiens ou des chats infectés n'a été signalé.

Aucune transmission à l'homme n'a également été indiquée. Le seul cas qui attire l'attention s'est déroulé au Gabon, lors de l'épidémie qui a durement touché le pays entre 2001 et 2002.

En effet, des études ont rapportées que des chiens errants avaient développé des anticorps contre le virus. Selon les chercheurs, ces chiens errants ont sûrement été exposés au virus après avoir mangé des cadavres humains infectés par Ebola.

Ces chiens n'ont développé aucun symptôme. Or, il faut savoir que le virus se transmet uniquement quand les symptômes sont apparus. Vous l'aurez compris, les risques de voir votre chat ou chien contracter Ebola sont infimes.

En effet, il reste assez rare qu'un animal de compagnie se retrouve en contact direct avec les fluides corporels d'un humain. C'est par cet intermédiaire que se transmet le virus d'homme à homme.

Cependant, la communauté scientifique ne sait pas encore si les animaux de compagnie peuvent être porteurs du virus, notamment par leur pelage ou le dessous de leurs pattes.

Il n'est également pas exclu que leurs urines, matières fécales et salive puissent transmettre le virus.

L'euthanasie d'Excalibur aurait-elle pu être évitée ?

Bien que contestée, l'euthanasie du chien de l'aide-soignante, ordonnée par les autorités espagnoles, a fait office de mesure de prévention.

Le département de Santé de la communauté de Madrid a d'ailleurs expliqué ne pas disposer des structures suffisamment sécurisées pour placer le chien en observation. De nombreux scientifiques ont déploré ce comportement jugé comme extrême.

Ils soulignent notamment que des tests plus poussés auraient permis de répondre à de multiples questions et fait avancer la recherche dans la compréhension du virus Ebola.

adoption

Publié à 14:05 par fandeloup Tags : vie monde chez bonne amour france société heureux internet nature chien chiens
adoption

8 raisons d’adopter un chien dans un refuge

Vous êtes décidé à partager votre vie avec le meilleur ami de l’homme, votre décision est mûrement réfléchie et vous savez que l’adoption est un acte responsable ?

Et bien félicitations, vous allez vivre des instants magiques en sa compagnie faisant votre bonheur commun.

Mais où allez-vous adopter votre futur compagnon ?

Dans notre société de consommation où le chien est encore considéré comme un meuble, malgré d’infimes modifications du code civil récemment, beaucoup sont tentés de se diriger vers la première animalerie ou les petite annonces sur internet.

Alors que des dizaines de milliers de chiens sont abandonnés chaque année en France, pourquoi un tel choix ?

Hélas les chiens peuplant les refuges souffrent d’une double peine :

de l’abandon odieux de leur maître lâche et insensible et des idées reçues qui courent à leur propos, catalogués comme des chiens de refuge vieux et malades, mal éduqués ou encore souffrant de problèmes comportementaux.

Voici huit raisons qui, espérons-le, vous persuaderons d’adopter votre futur compagnon dans un refuge et sauver l’un de ces nombreux chiens victimes malgré eux de la stupidité de leurs « humains » et d’idées fausses :

 

1. Sauver non pas une mais deux vies !

Sauver non pas une mais deux viesOn l’oublie souvent, mais en adoptant un chien dans un refuge, l’adoptant sauve à la fois son futur compagnon et permet au refuge d’accueillir un autre chien, qui connaîtra peut être le même destin heureux. Les refuges font face à une surpopulation de chiens abandonnés et n’ont pas les moyens logistiques nécessaires de tous les accueillir. De nombreuses personnes semblent encore l’ignorer, mais beaucoup de refuges ont recours à l’euthanasie par manque de moyens. Ainsi les plus vieux, les malades ou les chiens catégorisés sont tués par manque de place… En adoptant votre chien dans un refuge, vous libérez une place et sauvez certainement une seconde vie.

 

2. Le privilège de donner une seconde chance et recevoir un amour inconditionnel

L’être humain, de nature, a tendance à « donner pour recevoir » et attendre une contrepartie lorsqu’il effectue une bonne action. Et bien rassurez-vous, un chien abandonné à qui vous donnez une seconde chance vous le rendra à l’infini, chaque jour de sa vie, chaque seconde à vos cotés. Sauver la vie d’un chien de refuge est une immense joie et lui offrir une seconde chance, un privilège devant l’amour inconditionnel qu’il vous témoignera.

 

3. Vous ne financez pas le trafic d’animaux

Vous ne financez pas le trafic d'animauxEn achetant votre chiot dans une animalerie, vous avez de fortes chances de tomber sur un chiot provenant des usines à chiots. Des chiots élevés en batterie et importés illégalement d’Europe de l’est, dans un état sanitaire déplorable, séparés précocement de leur mère et qui risquent grandement de présenter des pathologies comportementales. Rappelons que le trafic d’animaux est le 3ème plus lucratif au monde après le trafic de drogues et la vente d’armes. Avec près de 100 000 chiots et chatons importés illégalement chaque année en France, vous avez donc de grandes probabilités d’enrichir des trafiquants dans le but est de vendre toujours plus et d’augmenter leur marges bénéficiaires au détriment de tout sens moral et de toute considération de la vie animale. Le trafic d’animaux ne concerne pas seulement les animaleries mais aussi les petites annonces de particuliers et certains éleveurs véreux.

 

4. L’assurance d’adopter un chien en bonne santé adopter chien en bonne santé

Les chiens peuplant les refuges reçoivent des soins réguliers, sont à jour de leurs vaccins, vermifugés et stérilisés. Vous avez l’assurance, en adoptant dans un refuge, d’avoir un chien en bonne santé et ayant été régulièrement suivi par un vétérinaire.

 

5. Vous voulez absolument un chien de race ?

Ils sont nombreux dans les refuges ! Vous voulez absolument un chien de race Vous avez craqué pour une race de chien en particulier pour ses traits de caractère ou ses traits physiques ?

Personne ne vous ferra changer d’avis ?

Mais savez-vous que de nombreux chiens de race attendent aussi d’être adoptés dans les refuges ?

Une croyance populaire bien ancrée tend à laisser croire que seul des chiens croisés ou vulgairement appelés « bâtards » sont proposés à l’adoption. Mais de nombreux chiens de race, même rares, attendent d’être adoptés dans les refuges. Alors avant de vous précipiter chez un éleveur ou dans une animalerie, renseignez-vous auprès des nombreux refuges et associations de votre région ainsi qu’au niveau national. En effet, l’économie concédée par l’adoption en refuge vous paiera largement le trajet si vous deviez vous déplacer loin de votre domicile pour adopter votre futur compagnon.

 

6. Vous économisez de l’argent pour offrir un meilleur confort de vie à votre compagnon

Comme nous l’avons vu plus haut, nous vous déconseillons fortement d’acheter un chien dans une animalerie pour les raisons évoquées. Les chiots y sont vendus aux environs de 1000€ alors qu’un refuge ne vous demandera qu’une participation financière aux soins vétérinaires du chien, s’échelonnant entre 150 et 200€ selon l’âge du chien à la SPA. Pourquoi ne garderiez-vous pas ces 1000 € pour offrir un meilleur confort de vie à votre compagnon plutôt qu’enrichir ces supermarchés qui vous octroient même des crédits pour vous vendre un chien en « promotion »? Cette somme pourra financer son assurance santé pendant plus de quatre ans par exemple, à raison de 20€/mois, ou encore payer un abonnement en club canin pour pratiquer agility et obéissance durant plusieurs années.

 

7. Adopter un chien adulte, déjà propre et éduqué

Adopter un chien adulte déjà propre éduqué Un autre avantage de l’adoption en refuge est la possibilité d’adopter un chien adulte qui aura déjà vécu en famille, propre, un minimum éduqué et socialisé. De plus, s’il venait à présenter des problèmes comportementaux à son arrivée au refuge, de nombreux éducateurs canins rééduquent ces chiens bénévolement.

 

8. Vous serez un ambassadeur de l’adoption

En adoptant un chien dans un refuge, vous deviendrez un ambassadeur de l’adoption. Lorsque l’on vous dira combien votre chien est beau et bien éduqué et que l’on vous demandera d’où il vient, vous répondrez fièrement que vous l’avez adopté dans un refuge ! Vous susciterez ainsi l’intérêt de vos interlocuteurs à penser adoption plutôt qu’achat. Pour conclure Chaque adoptant qui a un jour franchi les portes d’un refuge témoignera de ce moment intense et rempli d’émotions qu’a été la première rencontre avec son compagnon adopté.

Cet instant où les regards se sont croisés et cette promesse personnelle et solennelle qu’il ne sera plus jamais abandonné. Ces chiens, que la bêtise humaine n’a pas épargné, sont tout à fait conscients de la seconde chance que vous leur offrirez et vous donneront en retour un amour inconditionnel.

Avez-vous besoin de plus de raisons pour adopter votre futur compagnon dans un refuge ?

adoption

Publié à 14:03 par fandeloup Tags : animal amour vie
adoption

Certains les abandonnent, d'autres les recueillent. Soyez du bon côté, soutenez les refuges et ADOPTEZ !!! N'oubliez-pas, un animal ne reprend jamais l'amour qu'il vous offre, c'est pour la vie ... Et vous ?