LORS DE SON VOYAGE EN CHINE, IL ACHÈTE UN CADEAU À SA FILLE… ATTENDEZ DE VOIR L’HORREUR QUE LE DOUANIER A DÉCOUVERT !

Le marché du tourisme en Asie redouble décidément d’inventivité dans l’horreur. Après les oiseaux vendus dans des bouteilles en plastique, voici maintenant que des vendeurs chinois commercialisent des animaux enfermés dans des portes-clefs !

Des tortues, salamandres, grenouilles et poissons vivants sont enfermés dans de minuscule sacs en plastiques où ils peuvent à peine bouger. Le sac est rempli d’un liquide coloré et de perles ainsi que d’autres petites décorations.

L’eau comporterait suffisamment d’oxygène et de nutriments pour que les animaux puissent rester en vie quelques jours avant de suffoquer.

Des défenseurs des animaux ont bien entendu condamné cette pratique cruelle et soulignent que cette barbarie est profondément traumatisante pour les animaux .

Si ce commerce vous révolte, vous pouvez signer cette pétition pour apporter votre voix au mouvement de contestation contre ces porte-clefs vivants.

Un homme poignarde son chien… parce qu’il a uriné !

A Grenoble, un homme de 24 ans a été arrêté, suspecté d’avoir gravement blessé son chien à l’arme blanche.

La Fondation 30 Millions d’Amis s’est portée partie civile. Un chien a été poignardé à Grenoble.

Quand ils sont arrivés dans un appartement du centre-ville de Grenoble (38), les pompiers ont découvert une véritable scène d’horreur : un chien gisant au sol avec une entaille au niveau de la gorge, s’étouffant dans son sang (12/07/2016).

Un chiot de 2 mois qui semblait mal en point était également présent. Dans la pièce, un couteau ensanglanté est retrouvé. Le suspect, un homme de 24 ans couvert de sang, tenait des propos incohérents.

Il a été arrêté immédiatement par les policiers. Au cours de sa garde à vue, il aurait d’abord nié les faits avant de reconnaître qu’il avait poignardé son chien parce qu’il aurait uriné sur le sol de son appartement. Quant au chiot, il aurait reconnu le battre régulièrement.

DES COUPS PORTÉS RÉGULIÈREMENT

Amenés chez un vétérinaire, les animaux ont été soignés en urgence. Le chien adulte croisé berger-malinois présentait une « plaie à la gorge de 7-8 centimètres qui avait beaucoup saigné et plusieurs plaies par coupures, peu profondes.

Il avait également un hématome sur l’œil et des hématomes sur la tête, signes de coups portés. Mais surtout, il souffre d’un pneumothorax consécutif à des coups violents, sûrement des coups de pied, portés au niveau du poitrail » détaille le praticien.

Quant au chiot, de type berger, il souffre d’une plaie inexpliquée sur la tête et « d’un souffle au cœur qui serait congénital ». La Fondation 30 Millions d'Amis a pris en charge les soins vétérinaires.

PLAINTE POUR « ACTE DE CRUAUTÉ »

Les deux animaux sont toujours sous surveillance vétérinaire et ont été placés au refuge du Dauphiné, à Uriage (38). Des familles d’accueil sont recherchées : si vous êtes intéressés, contactez le 04 76 89 12 66. Une plainte a été déposée pour « acte de cruauté » et le prévenu sera jugé au Tribunal Correctionnel de Grenoble le 7 décembre 2016.

La Fondation 30 Millions d’Amis demandera que les animaux lui soient confiés définitivement !

Je suis écoeuré ! Les vacances et leur lot d'abandons ont bel et bien commencé... Ici, un pauvre petit cochon d'inde retrouvé sur une poubelle à Paris, dans une minuscule cage à gerbille... Ignoble !

Inscrivez-vous aux alertes d’action d’IFAW Aidez les animaux à vivre une vie meilleure, à protéger leurs habitats, à lutter contre le trafic d’ivoire et à porter secours aux animaux en détresse.

L’animal ne possède rien, sauf sa vie , que si souvent nous lui prenons.

        Au « jeu de la mort » les animaux préfèrent l’empathie

Dans le jeu « La zone Xtrême », des humains choisissent d'infliger un choc électrique à l'un d'entre eux. Chez les animaux, des expériences similaires révèlent un choix différent.

Le 17 mars 2010, les téléspectateurs de France 2 ont pu suivre la première partie d'un documentaire sur le thème « jusqu'où va la télé ». Sous le prétexte d'un jeu télévisé, « La zone Xtrême », des candidats, soutenus par le public, se sont montrés capables de mettre en péril la vie d'un être humain.

Sous le contrôle d'une animatrice autoritaire, ils ont cru lui administrer des châtiments sous forme de décharges électriques, lorsqu'il était incapable de répondre aux questions posées. Si la victime était en réalité un acteur, chargé de mimer une douleur croissante, les résultats n'en sont pas moins inquiétants.

Pour reprendre les propos de Christophe Nick, auteur et réalisateur du documentaire : « la télé peut faire faire n'importe quoi à n'importe qui ».

L'humanité en question

Ce premier épisode du reportage, encadré par une équipe scientifique, s'inspire d'une expérience de psychologie sociale plus ancienne, réalisée en 1963. L'étude d'alors révélait que face à l'autorité d'hommes en « blouses blanches », 60 % des êtres humains acceptaient d'administrer un choc électrique à un autre humain, au prétexte qu'un homme de science le leur avait demandé. En 2010, d'après les résultats obtenus, ce sont 81 % des participants à la « Zone Xtrême » qui sont prêts à se transformer en bourreau si une animatrice le leur ordonne...

Les bourreaux d'un instant ont tout de même bénéficié d'un soutien psychologique à l'issue des expériences. Châtier n'est pas un acte anodin. Ce résultat bouscule la notion « d'humanité ».

Qualité suprême d'après les humains - car servant à les définir - que devient-elle une fois soumise à l'autorité ?

L'autorité, qu'elle soit incarnée par des scientifiques ou par un média, nous conduit-elle à perdre notre libre arbitre, à oublier notre conscience et notre capacité de compassion ?

Le contrepoint des animaux Des expériences similaires ont été réalisées avec des animaux mais leurs conclusions sont largement différentes. Les animaux préfèrent ne pas recevoir de nourriture plutôt que d'infliger un choc électrique à autrui (à noter que dans « Zone Xtrême » il n'y avait rien à gagner).

Il en va ainsi des singes rhésus par exemple. Dans une expérience réalisée en 1964, 80% des singes ont arrêté d'actionner la chaîne qui leur délivrait de la nourriture quand ils se sont aperçus que cela infligeait une décharge à l'un de leurs compagnons. Ils ont préféré avoir faim plusieurs jours durant…

La même expérience, réalisée avec des rats, a eu les mêmes conclusions : les rats ont préféré cesser de s'alimenter plutôt que de faire souffrir un de leurs congénères. De l'empathie à l'altruisme Frans de Wall rapporte également d'autres cas.

Dans « L'âge de l'empathie, leçons de la nature pour une société solidaire », l'éthologue relate des expériences où les animaux souffrent de voir l'un des leurs souffrir… Il décrit notamment comment le cœur d'une oie femelle s'accélère lorsque son mâle est prix à partie par une autre oie. Il reprend aussi une expérience réalisée avec des souris, qui montre que lorsque deux souris ont passé du temps ensemble, un stimulus douloureux appliquée à l'une rend l'autre plus sensible à la douleur. Ou encore : lorsqu'un singe capucin a le choix entre un jeton qui lui donne droit à de la nourriture, et un autre jeton qui fait également gagner de la nourriture pour son compagnon, il choisit systématiquement celui qui permet de récompenser les deux… Développer la compassion au quotidien Tandis que la notion de sentience animale s'installe peu à peu, la diffusion du premier volet du documentaire de Christophe Nick et la publication du livre de Frans de Wall, poussent à s'interroger sur la nature humaine. Que devenons-nous face à l'autorité ? Comment se réapproprier l'humanité que – finalement (sic) – nous semblons partager avec d'autres membres du règne animal ? Pour retrouver notre libre arbitre, ne devrions-nous pas réapprendre à écouter notre conscience ? Car en développant la place de la compassion dans nos vies, en apprenant que le respect de toute vie, c'est aussi le respect de soi, nul doute que l'humanité – justement – en sortirait grandie…

                              L'ignoble massacre des requins

Ce sont des images d'une violence sans nom. La pêche des requins au large des côtes du Pérou n'est qu'horreur. One Voice se devait d'agir : avec ses partenaires internationaux, la campagne est lancée pour mettre un terme à cette barbarie ! Cela se passe dans les eaux péruviennes.

Des requins (avec de la chair de dauphin !) sont hissés sur le pont des bateaux. Là, on leur coupe le museau à vif et on les laisse agoniser dans un coin. Les mères gravides sont éventrées, et les bébés requins qui se déversent sur le sol, piétinés. Les images filmées par notre partenaire Mundo Azul sont très difficiles à regarder mais sans appel : il faut que cela cesse !

One Voice - Le massacre des requins au Pérou Les requins n'ont pas la cote et cela facilite sans doute la pérennité de cette pratique abominable.

Pourtant, parce qu'ils font peur, ils n'auraient pas droit au respect ? Parce que leur réputation est aussi mauvaise qu'infondée, on pourrait impunément les faire souffrir ? Leur place n'est pas au menu (illégal) des restaurants, ni sur les étals des marchés. Leur place est chez eux, dans l'océan, où ils jouent d'ailleurs un rôle essentiel en tant qu'espère clé de voûte, impactant jusqu'à l'équilibre de la planète entière…

Ces images de cauchemar doivent permettre de mettre un terme à la barbarie ! Pour que les requins soient épargnés, One Voice lance une campagne en leur faveur. Nous nous sommes associés à la coalition avec Blue Voice, OceanCare et Mundo Azul pour agir localement : une campagne d'information et de sensibilisation des populations péruviennes est lancée.

En parallèle, nous allons aussi réaliser des contrôles dans les restaurants. Car les requins sont protégés, rappelons-le !

                                    La mort de Jo

Jo a passé un week-end à souffrir. Abandonné sous la pluie battante, le bassin fracturé, sans eau ni nourriture. Il devait être abattu de toute façon, paraît-il.

One Voice s'est portée partie civile. Si le refuge SPA de Vannes n'avait pas partagé un mur avec l'abattoir incriminé, la mort de Jo — One Voice a tenu à lui donner un nom — serait sans doute passée inaperçue.

Pourtant, grâce à la vigilance de l'une de ses bénévoles, nul ne pourra ignorer le mépris scandaleux dont ce veau a été l'objet. Mais combien d'autres à travers la France subissent un sort équivalent, voire pire, faute de témoin ?

Jo est tombé. Il s'est fracturé le bassin en descendant du camion qui l'amenait à l'abattoir. Il ne venait pas de bien loin : filière courte, bio, vente en caissettes aux particuliers, loin des grands réseaux de distribution. L'illusion d'une vie parfaite... Mais personne n'a réussi à le relever.

On pourrait croire, alors, que ses souffrances ont été abrégées. Mais non. Le week-end, on n'abrège pas les souffrances. Parce que Jo est tombé un samedi soir, il devra attendre près de deux jours. Deux jours ! Sous la pluie d'octobre, dans le froid, incapable de bouger sur un sol rugueux, sans litière, sans eau, sans nourriture, sans même une bâche pour le protéger un peu…

Jo a souffert malgré les sollicitations adressées à la gérante de l'abattoir par le personnel de la SPA et son vétérinaire qui était prêt à intervenir si on l'y autorisait. Elle leur aurait finalement demandé de s'occuper plutôt de leurs affaires.

Pourquoi ? Pour économiser des frais vétérinaires ? Pour laisser un animal ainsi, il faut avoir une bonne raison, non?

Jo ne souffre plus. Il a été anesthésié le lundi matin avant d'être abattu. Sa chair ne sera pas vendue. La gérante de l'abattoir est accusée de mauvais traitements. One Voice s'est portée civile, elle espère que le calvaire de Jo sera reconnu et sévèrement puni...

À la suite des récents scandales concernant les abattoirs, le ministre de l'Agriculture a annoncé que les maltraitances ne seraient bientôt plus considérées comme de simples infractions (que l'on punit d'une amende), mais comme des délits pénaux (qui sont jugés devant un tribunal).

Pour One Voice, cette mesure est totalement inadaptée. Son objectif est clairement de rassurer les consommateurs pour qu'ils continuent à manger de la viande en toute tranquillité. Pendant ce temps, les abattoirs resteront ce qu'ils sont intrinsèquement : des lieux d'une insondable cruauté.

L'enquête de One Voice, réalisée dans vingt-cinq abattoirs, choisis au hasard, a révélé partout la même barbarie. Mais peut-on vraiment attendre humanité, éthique et compassion dans un lieu de mort ? La société occidentale n'assume pas son rôle de tueur, elle le dissimule, l'industrialise. Or finalement, de quoi dépend l'abattage ? De la consommation…

L'abattoir de Vannes a été condamné à 800€ d'amende pour mauvais traitements et 600€ d'amende pour défaut de soins.

L'industrie de la viande de chien en Asie est en train de mourir et chaque jour de plus en plus de gens sont fatigués des voleurs de chiens et font justice eux-mêmes. Au cours des dernières années, les voleurs de chiens attaqués par les habitants sont de plus en plus fréquent. Voilà ce qui est arrivé récemment dans la ville de Wenzhou et le comté de Yizhang, Chine. Un voleur de chien qui fourni régulièrement bouchers de chien dans la région a été capturé par les habitants et battu presque à mort avant l'arrivée des policiers.

voleurs de chiens chinois battus par des voisins en colère taylor 170 L'industrie de la viande de chien en Asie est en train de mourir et chaque jour de plus en plus de gens sont fatigués de voleurs de chiens et prennent la justice dans leurs propres mains. Au cours des dernières années, des nouvelles de voleurs de chiens être attaqué par les habitants sont de plus en plus fréquents.

Voilà ce qui est arrivé récemment dans la ville de Wenzhou et du comté de Yizhang, Chine. Un voleur de chien dans la ville de Wenzhou qui a fourni régulièrement des bouchers de chien dans la région a été capturé par les habitants et battu presque à mort avant l'arrivée des policiers.

 L'homme a été arrêté par des voisins pendant la conduite d'une camionnette remplie de chiens, certains errants certains animaux volés. La cage à l'intérieur du fourgon était overfull et il a même eu deux chiens vivants accrochés à l'arrière de la voiture, l'un par le cou et l'autre par une jambe.

Selon SayNoToDogMeat.Net , les chiens ont été emmenés dans un abri. La même semaine, deux autres voleurs de chiens ont été accueillis par les habitants en colère dans le comté de Yizhang, province du Hunan. Les voisins liés entre eux et les ont battus avec acharnement pendant neuf heures avant l'arrivée des policiers. On avait aussi l'un des chiens retrouvés morts dans leur voiture attaché à son cou, comme une forme de «honte».

Deux voleurs Torturé par Angry Villagers Deux voleurs Torturé par Angry Villagers Local Wei pian a déclaré: «Ces étrangers sont venus dans le village pour nous voler. Ils avaient besoin d'être enseigné une leçon. Ils étaient assez peur quand les chiens étaient attachés autour de leur cou. Il était la justice dans nos yeux. Je doute qu'ils vont essayer de revenir et de nous voler à nouveau " Lorsque les autorités ont finalement obtenu à la scène, la foule enragée des gens ont commencé eux et les voitures de police attaquant avec des bars et des rochers fer pour essayer d'aider les voleurs de chiens.

Les résidents ont exigé 1 million de Yuan en échange pour les hommes. Plusieurs personnes ont juste commencé fixant devant les voitures de police pour les empêcher de prendre les hommes pour obtenir de l'aide médicale. Les fonctionnaires du Bureau de la sécurité publique et Yizhang County ont dû intervenir pour mettre fin aux manifestations.

Plusieurs sections locales sont aujourd'hui confrontées à des peines de prison pour avoir agressé un agent de police. Les deux voleurs de chiens sont également en détention. "Il est très regrettable que les résidents locaux ont perdu le contrôle d'eux - mêmes et se retrouvent maintenant sur ​​le mauvais côté de la loi. L'accent se déplace hors des voleurs de chiens coupables et sur ​​les résidents qui , au fil étagées leurs limites,

Au Brésil, un jaguar a été "sacrifié" en marge d'une cérémonie pour les Jeux Olympiques

Je vous présente Juma, un magnifique jaguar du Brésil. Depuis son plus jeune âge, il a vécu en captivité avec ses frères, après la mort de sa mère des mains de chasseurs.

Lors du passage de la flamme olympique dans le zoo où il vivait, Juma a été paradé aux côtés des athlètes. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu...

Les faits se sont déroulés au zoo de l'Armée de la ville de Manaus, capitale de l'état brésilien de l'Amazonas. A quelques semaines de l'ouvertures des Jeux Olympiques au Brésil, la flamme olympique a rallié le pays et est passé par l'état du Nord.

Comme la flamme passait dans le zoo, les responsables ont fait en sorte d'exhiber le symbole de la forêt amazonienne aux côtés des athlètes.

Simba, le frère de Juma et la mascotte du bataillon, a également été paradé aux côtés des athlètes dans la vile, en dehors du zoo. Pour la sécurité des locaux, le félin a dû être enchaîné et restreint.

Au moins, avec ces mesures de sécurité, Simba n'a rien eu à craindre. Ce qui n'a pas été le cas de son frère, Juma. "Ces deux événements sont sans rapport. Il s'est malheureusement produit le jour du passage de la torche olympique. Le jaguar y a participé parce que la torche passait dans notre zoo" a raconté à l'AFP le colonel Luiz Gustavo Evelyn.

"Lors du passage d'un enclos à un autre dans le zoo de l'armée, le jaguar Juma s'est échappé. Il a été poursuivi et on lui a envoyé des tranquillisants avec une sarbacane, mais malgré quatre doses il s'est précipité sur un vétérinaire et il a dû être sacrifié". De son côté, le comité Rio-2016 qui organise les Jeux a réagi en fustigeant cette "erreur" :

"Nous avons commis une erreur en permettant que la torche olympique, symbole de paix et d'union entre les peuples, soit exhibée aux côtés d'un animal sauvage attaché. Cette scène est contraire à nos convictions et nos valeurs. Nous sommes très attristés par ce qui s'est passé après le passage de la torche. Nous garantissons que nous ne verrons plus de telles situations lors des Jeux de Rio-2016".