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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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abandon et maltraitance image

horreur

Publié à 11:11 par fandeloup Tags : chez femme animaux chien sur horreur maison
horreur

[L'HORREUR] Paris

Elle met son petit #chien dans un sac puis le claque au sol à plusieurs reprise! Gravement blessé, le chien est saisi et la Fondation Assistance aux Animux dépose plainte en #Actedecruauté.

C'est une femme Rom bien connue du quartier pour les excès de violence sur les animaux qu'elle utilise pour la mendicité. Jusqu'à présent, elle n'avait jamais été interpellée faute de preuve. C'est cette petite #bichon qui en a fait les frais.

Après avoir fini sa journée sur le trottoir, la femme remballe ses affaires et met sans ménagement la petite #chienne dans un sac. Puis, pour une raison inconnue, elle s'empare du sac contenant le chien avant de le frapper violemment et à plusieurs reprises contre le bitume.

Les passants médusés par cette scène de violence interviennent aussitôt et la #Police arrive sur les lieux. La chienne, dans un sale état, souffre le martyr. Elle est immédiatement portée chez un vétérinaire, tandis que la femme est interpellée. Souffrant d'une triple fracture du bassin, de plaies et d'une fracture de la patte arrière, la petite chienne était visiblement le souffre douleur régulier de cette femme.

En effet, outre les violences physiques, la petite était dans un état de maigreur extrême (elle ne pesait plus que 3kg!) et pleine de parasites et de bourre de poils.

Confiée à l'association #AnTiLoened - La maison des animaux , la puce se remet doucement de ses émotions au sein d'une famille d'accueil. Ses frais vétérinaires seront pris en charge par la #FondationAssistanceauxAnimaux qui a déposé plainte. Fini pour elle l'exploitation et la violence. Jugée en août prochain, la prévenue devra faire face à l'avocate de la Fondation Assistance aux Animaux qui réclamera une sanction exemplaire

horreur

Publié à 17:51 par fandeloup Tags : vie france mort chien sur
horreur

Il y a actuellement près de 500 galgos à la fondation Benjamin Mehnert et certains arrivent dans des états épouvantables, dénutris, blessés, malades, on ne compte plus les rescapés.

Ici chaque rescapé est accueilli quel que soit son état et bien évidemment c’est un coût énorme pour le refuge qui ne répercute pas les frais supplémentaires sur le montant des adoptions payé par les associations.

Lévriers sans Frontières prend en charge l’intégralité de ces coûts supplémentaires pour les galgos remontés en France et pour d’autres également lorsque le refuge est en difficulté. L’infirmerie est actuellement surchargée mais les nouveaux locaux financés par LSF et qui viennent d’être inaugurés. vont donner à l’équipe soignante une bouffée d’air avec la possibilité de travailler dans de meilleurs conditions et d’isoler les cas les plus graves.

Nous avons pris en charge 4 rescapés qui sont proposés en parrainage sur notre site.

https://www.levriers-sans-frontieres.com/category/nos-galgos-actuellement-en-parrainage/

 

Endika certainement victime d’un piège et qui sera opérée dès que l’infection sera jugulée, elle est hospitalisée depuis plusieurs semaines déjà.

 

Clavelina qui vient d’être opérée d’une fracture

 

Malak d’une fracture ouverte, un cas plus délicat puisqu’il y a de gros risques d’infection.

 

Notre Lauren arrivé dans un état épouvantable, victime de son bourreau qui l’a très certainement laissé mourir à petit feu, sans nourriture et sans soins. Il n’était plus rien lorsqu’il est arrivé à la FBM, un corps paralysé, plus de muscles, des escarres à y mettre le poing, il n’avait plus aucune dignité, il n’avait plus rien, son bourreau lui a tout pris.

Alors à la FBM, ils ont tout mis en œuvre pour le sauver parce qu’ils estiment qu’ils doivent bien ça à un chien qui a survécu à cet enfer.Et ils ont raison et nous les soutenons dans leur rage de redonner vie coûte que coûte à ces galgos-là parce qu’ils sont le reflet du combat que nous menons ensemble pour dénoncer les actes de tortures et de barbarie perpétrés chaque année en toute impunité dans un pays européen qui ne respecte pas les lois de protection animale en vigueur au sein de l’Union européenne.

Toujours nous avons privilégié les plus meurtris et toujours nous continuerons dans ce sens. Lauren restera à jamais le symbole de ce qu’endurent des milliers de lévriers galgos en Espagne, il sera la porte-parole de ses frères de misère.

Combien sont-ils à mourir à petit feu chaque année dans le silence le plus total et en toute impunité, nous ne le saurons jamais, ceux-là ne seront pas compté parmi les 50 000 massacrés chaque année, ceux-là seront les victimes silencieuses des galgueros (chasseurs), qui n’ont aucun scrupule à les laisser agoniser puisqu’ils n’ont de toute façon aucun attachement à leur chien qu’ils considèrent comme de simples outils de chasse mis au rebut dès lors qu’ils ne seront plus performants, soit vers l’âge de 2 ou 3 ans

Chaque année ils renouvelleront leur cheptel et chaque année ils emmèneront à la mort les réformés. Malheureusement très peu d’entre eux auront la chance de croiser le chemin des protecteurs espagnols, beaucoup mourront dans les perreras, sordide couloir de la mort,puis d’autres comme Lauren seront oubliés dans un cachot quelque part où personne ne les entendra hurler leur lente agonie. Alors pour Lauren rescapé de l’enfer tout est mis en œuvre pour lui redonner une vie digne de ce nom.

Ce galgo qui ne marchait plus à son arrivée commence aujourd’hui à se tenir debout, grâce aux séances de rééducation qui lui sont prodiguées chaque jour par une équipe spécialisée et grâce à l’acharnement des vétérinaires de la FBM. Tous les fonds récoltés actuellement par LSF pour Lauren seront utilisés pour l’achat d’un tapis de course.

Debout, Lauren, tu vas marcher.

Debout Lauren, tu vas gagner.

https://www.levriers-sans-frontieres.com/lauren/

Bien sûr pour tous ces rescapés pris en charge par LSF, il nous faut des adoptants. Parce que sans vous rien de tout cela ne serait possible, ne les oubliez pas. Parce que sans vous rien de tout cela ne serait possible.

LSF 43 rue de paris 10700 Villette sur Aube

horreur

Publié à 15:45 par fandeloup Tags : sur mort homme animal
horreur

Barbare et sauvage ! Un homme viole deux vaches jusqu’à ce que mort s’ensuive !

Horrible et triste ! Difficile de lui trouver un qualificatif, vicieux et sans état d’âme.

En février 2016, un jeune homme de 19 ans , psychologiquement diminué, originaire de Fribourg, en Suisse, a agressé sexuellement deux vachettes. Il a vu sa condamnation à 18 mois de prison ferme être suspendue. Il devrait être placé dans un hôpital psychiatrique.

C’est après être tombé en panne de mobylette que le jeune zoophile a violé les deux génisses avec cruauté jusqu’à ce que mort s’ensuive. Il avait enfoncé son bras jusqu’au biceps dans l’anus et les parties génitales des bovins à plusieurs reprises, avant de se masturber sur place.

Alcool en jeu

Le jeune homme présentait encore des traces de consommation d’alcool. Les analyses toxicologiques permettront d’établir s’il se trouvait sous l’influence de l’alcool ou d’autres substances au moment des faits, poursuit la police. L’une des deux vaches a subi de multiples et graves lésions. Elle est morte deux jours après des suites des sévices subis.

Le deuxième animal présente également des lésions aux parties génitales, mais devrait survivre. L’homme qui les a agressées sexuellement était déjà connu de la justice pour avoir violé son petit frère à l’âge de 14 ans. Il a été arrêté par la police à Fribourg, sous les yeux des passants médusés, dans un tracteur volé.

Après analyse psychiatrique, le Tribunal a annulé sa condamnation à 18 mois de prison ferme à cause de ses troubles psychologiques et les juges ont décidé que le jeune homme devait être placé dans un hôpital psychiatrique. 

Maltraitance

Publié à 17:34 par fandeloup Tags : sur homme travail mort animaux animal
Maltraitance

Maltraitance à l'abattoir du Vigan: le principal prévenu condamné à 8 mois de prison avec sursis

La décision était attendue dans ce procès emblématique des cas de maltraitance en abattoirs. Le principal prévenu condamné dans le procès de l'abattoir du Vigan dans le Gard.

L214 - Le principal prévenu du procès emblématique des cas de maltraitance survenus à l'abattoir bio du Vigan dans le Gard et révélés par l'association

L214 a été condamné ce vendredi 28 avril à huit mois de prison avec sursis et 600 euros d'amende par le tribunal correctionnel d'Alès. Marc Soulier, contre qui le procureur avait requis un an de prison avec sursis et 3400 euros d'amende, s'est aussi vu interdire d'exercer en abattoir pendant cinq ans.

Ses deux co-prévenus, également employés de l'établissement et contre lesquels des peines de 150 et 600 euros d'amende avaient été requises, n'ont en revanche pas été condamnés en raison de la prescription frappant les faits qui leur étaient reprochés, a jugé le tribunal. La communauté de communes du Pays viganais, qui gérait l'abattoir, a été condamnée à 3500 euros d'amende, contre 6000 euros demandés par le procureur Nicolas Hennebelle.

"La prescription a été reconnue pour deux des employés, c'est logique puisque les vidéos (diffusées par L214) n'étaient pas datées et huit mois de prison avec sursis pour Marc Soulier, ça reste conforme aux peines prononcées pour des cas de maltraitance similaires envers les animaux", a réagi auprès de l'AFP Claire Stazorinski, présidente de l'Alliance anti-corrida, partie civile au procès.

"Les véritables responsables ne sont pas là" "Mais les véritables responsables ne sont pas là, les employés n'avaient aucun garde fou. On n'a jamais vu le directeur qui n'a pas été inquiété, ni les services vétérinaires qui doivent impérativement contrôler ce qui se passe dans les abattoirs", a-t-elle regretté.

L'affaire avait éclaté en février 2016 avec la diffusion des images choc par l'association L214, fondée par un couple de "vegans" qui militent contre la consommation de tout produit animal, et plus particulièrement de viande. Ces images tournées en caméra cachée -une méthode contestée par la défense lors du procès des 23 et 24 mars- montraient des animaux mal étourdis, égorgés ou recevant des coups répétés à la matraque électrique et avaient immédiatement suscité une vague de réprobation.

"Ce procès et votre décision seront une étape importante dans le débat sur la protection animale", avait déclaré au tribunal le procureur de la République d'Alès Nicolas Hennebelle lors de l'audience, qui avait porté en grande partie sur les conditions de travail dans les abattoirs et sur les conditions de mise à mort des animaux.

"On vit la mort cinq jours sur sept", avait notamment témoigné Marc Soulier, âgé de 24 ans et entré à 15 ans à l'abattoir du Vigan comme apprenti boucher. Pour expliquer son attitude, le jeune homme a mis en cause "les cadences" imposées, "les surcharges de travail".

horreur

Publié à 18:47 par fandeloup Tags : vie chez france article amis nuit animaux animal google pouvoir chat sur aime maison
horreur

Un chat de six ans, prénommé Sage, avait disparu de sa maison de Clearfield, dans l’Utah (États-Unis), avant de réapparaître quelques jours plus tard dans un état abominable.

Sa propriétaire, China Cassel, témoigne sur Facebook : Voici Sage. C’est notre chat. Il a six ans. C’est un chat d’extérieur, même s’il aime rester à l’intérieur. Ce matin, nous l’avons retrouvé, et son état nous a fait pleurer. Il a été battu et torturé. Ses moustaches ont été coupées, sa fourrure a été tondue, ses côtes sont brisées et ses pattes sont cassées. Il ne peut pas marcher. Il ne peut pas parler. Il a été torturé avec de la colle chaude et avec du silicone. Ses yeux sont fermés. Il souffre énormément. […]

Il a réussi à retrouver le chemin de la maison, c’est un véritable héros. Mais nous sommes profondément choqués que quelqu’un ait pu faire cela.

Consciente que Sage ne survivrait pas longtemps sans recevoir des soins urgents, sa famille l’a immédiatement emmené chez le vétérinaire, qui a fait tout son possible pour sauver le pauvre animal. Le lendemain, les nouvelles étaient positives, et l’état de Sage semblait se stabiliser. Quand sa famille est venue lui rendre visite, il a réagi au son de leur voix. Cependant, cette amélioration n’était que temporaire, et le chat est décédé dans la soirée.

 Choquée par tant de cruauté, sa famille ne parvient pas à comprendre les motivations du ou des coupables : C’est difficile de se dire qu’un membre de la famille, qui vous a accompagné pendant toutes ces années, ne rentrera pas à la maison avec vous. La personne qui a fait ça ne devrait pas pouvoir dormir la nuit. Ils ont pris une vie. Animale ou humaine, une vie reste une vie. Deborah Barnes, la présidente de l’association Human Society of Northern Utah, s’indigne : Il souffrait tellement qu’il ne pouvait pas miauler. Il ne pouvait rien faire. C’est le pire cas de maltraitance que j’ai vu de toute ma vie. C’est horrible de savoir qu’une personne est capable de faire cela.

 Une enquête a été lancée par la police locale pour trouver et punir le ou les meurtriers de Sage. Grâce à l’association, et à de généreux donateurs, une récompense de près de 50 000 dollars, soit environ 46 000€, a été mise en place pour être remise à quiconque permettrait de trouver les coupables. Deborah Barnes conclut : Nous allons trouver le coupable. Nous allons le trouver, peu importe les efforts que nous devront fournir.

En France, l’article 512-1 du Code pénal prévoit une peine maximale de deux ans de prison accompagnés de 30 000 euros d’amende pour les tortionnaires d’animaux. Une peine insuffisante au regard des sanctions réservées à d’autres délits. La Fondation 30 Millions d’Amis a lancé une pétition pour demander que l’article 512-1 du Code pénal soit révisé et que les sanctions soient aggravées. 

 

 Pour aggraver les peines de justice des actes de cruauté sur les animaux À l’attention du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice.

L’article 521-1 du Code pénal sanctionne jusqu’à deux ans de prison et 30 000 € d’amende les sévices graves et les actes de cruauté envers les animaux. Des peines bien maigres pour de véritables actes de barbarie commis sur les animaux ! Alors que la Fondation 30 Millions d’Amis a obtenu que l’animal ne soit plus considéré dans le Code civil comme un « bien meuble » mais comme un « être vivant doué de sensibilité », il est inconcevable que ces actes soient aujourd’hui moins lourdement punis que le vol d’une chose (trois ans de prison et 45 000 € d’amende, article 311-3 du Code pénal).

Je m’associe donc à la démarche de la Fondation 30 Millions d’Amis visant à faire évoluer le Code pénal afin qu’il condamne plus sévèrement les actes de cruauté et sévices graves envers les animaux. Je demande à ce que l’article 521-1 du Code pénal soit modifié et prévoit une peine au moins équivalente à trois ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende.

Télécharger la pétition au format PDF

sos

Publié à 09:55 par fandeloup Tags : vie chez belle mort bienvenue pouvoir solidarité sur chiens
sos

Elle n’a que 7 mois et déjà sa mort était programmée…

Bienvenue chez LSF petite galga

Ce n’est encore qu’un chiot, elle doit avoir 7 mois environ et pourtant son galguero n’a pas hésité une seconde à l’emmener dans la sordide perrera de Jaen pour qu’elle y soit exterminée. Ces hommes n’ont aucune pitié et une pierre à la place du cœur. C’est comme cela en Espagne pour tous les galgos qui ne sont pas ou plus exploitables, soit pour les courses, soit pour la chasse récréative, soit pour la reproduction.

Elle est bien maigrelette et sans défense, cette petite puce, et se serait fait dévorer toute crue par les autres chiens si Marina du refuge d’Abyda Jaen n’était pas allée la chercher immédiatement après avoir été alertée par un employé.

Et pourtant il n’y a plus de place au refuge, les chiens s’entassent et les bagarres éclatent, c’est la misère là-bas, mais une vie est une vie et les bénévoles font tout ce qui est en leur pouvoir lorsqu’il s’agit d’en sauver une. Il fallait donc trouver une solution en urgence et la mettre en lieu sûr pour qu’elle se refasse une santé, c’est donc notre refuge partenaire d’Ecija qui va la prendre sous son aile.

Sonia et Marina vont faire chacune une moitié de route, une belle solidarité autour de la cause que nous défendons si ardemment, et nous devons saluer l’engagement sans faille et le courage de tous les protecteurs espagnols qui militent sur place pour tenter de changer le destin de cette race de chiens impunément sacrifiés au nom d’une tradition ancestrale dans un pays européen qui ne respecte pas les lois de protection animale en vigueur au sein de la communauté européenne.

Nous espérons qu’à force de dénoncer la terrible agonie de ces milliers de lévriers galgos nous finirons pas être entendus. Bienvenue dans notre grande famille, jolie petite puce encore anonyme.

horreur

Publié à 10:20 par fandeloup Tags : film chien horreur
horreur

UN POLICIER ADOPTE UN CHIEN, MAIS CE QU'IL LUI FAIT ENSUITE EST DIGNE D'UN FILM D'HORREUR.

Un policier adopte un chien, mais ce qu'il lui fait ensuite est digne d'un film d'horreur.

Michael Long, un policier originaire de Philadelphie, a été arrêté jeudi dernier pour délit et cruauté animale. Il est accusé de s'être débarrassé de son chien Cranberry qu'il avait placé vivant dans un sac poubelle avant de le jeter dans un parc.

Un passant a ensuite remarqué une tête sortant d'un sac et a immédiatement alerté les autorités. Une association luttant contre la cruauté animale a indiqué que le chien était équipé d'une puce électronique, ce qui a permis de retrouver son maître.

En plus d'avoir été arrêté, Michael Long a été demis de ses fonctions de policier. Agé de trois ans, Cranberry a heureusement pu récupérer de ses blessures et a été adopté par une famille. Il est désormais sain et sauf.

Ouf!

horreur

Publié à 09:34 par fandeloup Tags : société maison chez animaux chat sur chats
horreur

AYONNE : DES "STEAKS" DE CHAT RETROUVÉS DANS LE CONGÉLATEUR D'UNE RETRAITÉE, LA SPA VA PORTER PLAINTE MALTRAITANCE ANIMALE -

Mardi matin lors d’une procédure d’expulsion chez une locataire à Bayonne (Pyrénées-Atlantique), plusieurs chats morts ont été découverts.

L'un d'eux a été retrouvé entier dans le congélateur. C’est le bailleur social qui a alerté la société protectrice des animaux (SPA) mardi matin après avoir découvert chez une retraitée à Bayonne (Pyrénées-Atlantique) plusieurs chats morts dans des conditions encore floues.

La locataire, qui avait séjourné en janvier dernier dans une maison de retraite pour des raisons de santé, a expliqué qu’elle n’avait pas les moyens de garder les chats.

Elle devait quitter son logement afin d’être placée sous tutelle de la Sauvegarde de l’enfance à l’adulte du Pays basque (SEAPB), selon Sud-Ouest, qui révèle cette information.

Mandaté par la SPA, Joëlle Turcat, la présidente de la fourrière intercommunale de Bayonne, s’est rendue sur place : ''des chatons viables d’une semaine ont été trouvés dans un buffet. Ils étaient morts récemment car encore chauds. Dans le congélateur, un chat entier a été découvert, de même que des sortes de découpes ou steaks de chat", après que l’animal a été dépecé.

''C’est tellement impensable, c’est fou ce genre de découverte ! ’', a-t-elle expliqué au journal Sud Ouest. Selon les témoignages du voisinage, six chats auraient aussi été défenestrés depuis le même immeuble.

La SPA va porter plainte pour actes de cruauté et barbarie sur des animaux afin que l’occupante de l’appartement ne puisse plus posséder d’animal. L’appartement contenait également cinq chats vivants ainsi que plusieurs chatons. Ils ont été prise en charge par des familles d'accueil.

honteux

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Tout le monde critique les massacres de loups, de baleines et d'ours, pourtant il existe au Texas une fête immonde où le massacre gratuit de milliers de serpents à sonnette est l'attraction principale... Et personne n'en parle !

Tauromachie, consommation de viande de chien, massacre de chevaux, de loups et d'ours, braconnage de baleines…

La souffrance animale nous révolte, et ceux qui s'adonnent au meurtre gratuit et injustifié d'êtres sensibles nous donnent envie de vomir. Oui, mais il y a certains animaux mal-aimés, beaucoup moins « sexy », qui ne suscitent pas autant de compassion.

C'est le cas des serpents à sonnette, dans certaines régions rurales des États-Unis, qui sont victimes chaque année d'un véritable génocide des plus sanglants, sans que personne ne batte le moindre cil ! Il s'agit de grandes foires populaires, typiques de « l'Amérique profonde », qui sont très répandues notamment au Texas mais aussi dans d'autres États, particulièrement dans les petites villes de campagne.

Leur nom ? Les « Roundups »

C'est vrai, les serpents suscitent souvent chez nous la peur, le mépris, ou le dégoût. Animal du diable et du péché originel, venimeux, froids, visqueux et rampant, ils représentent le Mal et la fourberie par excellence. Il faut dire qu'en tant que mammifères, il nous est parfois difficile de nous identifier à eux, ces organismes à sang froid, reptiles venus du fond des âges. Et pourtant, comme nous, ce sont des animaux sociaux, qui forment des liens familiaux très étroits.

« Vous seriez surpris de voir à quel point [les serpents à sonnette] ont des choses en commun avec nous, assure Melissa Amarello, cofondatrice de l'ASP (Advocates for Snake Preservation), au site nord-américain The Dodo. Ils donnent vie à des bébés déjà formés, et ils prennent soin de leurs petits pendant les premières semaines de leurs vies, en les gardant bien au chaud, à l'abri des prédateurs. Chez certaines espèces, les futures mères se rassemblent au cours des derniers stades de la gestation, et donnent vie ensemble. Elles s'occupent à tour de rôle des bébés des autres, comme si c'étaient les leurs. »

Chaque année, au Texas, des milliers de ces animaux sont capturés, rassemblés, entassés dans des fosses et méthodiquement massacrés pour le plaisir d'un public avide de ce genre de spectacle. Ce genre de « célébration » se fait dans le cadre d'une fête populaire rurale, connue sous le nom de « roundup », qui a lieu dans plusieurs autres États.

Tout le monde est invité à capturer des serpents, le plus souvent en versant du gazole dans leurs terriers, pour les forcer à en sortir pour éviter l'asphyxie. Avec les vapeurs, les animaux sont groggy, ce qui rend la chasse facile : il n'y a qu'à se baisser pour les cueillir. Les serpents sont ensuite enfermés dans des caisses, parfois pendant des semaines ou des mois, sans eau ni nourriture, avant d'attendre le grand jour ou ils seront pesés et mesurés, avant d'être froidement exécutés par quelque animateur de foire hilare. Les « Roundups » sont une tradition qui est née dans l'Amérique profonde il y a 50 ou 60 ans. Au départ, il s'agissait de soi-disant réguler les populations de serpents et d'en protéger le bétail…

Même si, lorsqu'on y regarde de plus près, il s'agit plutôt d'un prétexte un brin hypocrite pour s'adonner à une tuerie gratuite, au regard du peu de pertes imputables aux morsures de serpent en comparaison d'autres risques qui guettent les troupeaux — notamment les maladies ou les chutes. « Les partisans de ces fêtes affirment qu'il y a une surpopulation de serpents, et que si l'on ne fait rien, ils vont tout envahir, et donc qu'il faut faire quelque chose pour s'en protéger, explique encore Melissa Amarello. Mais c'est complètement faux, il n'y a pas de surpopulation.

Aucune étude n'a jamais suggéré qu'il y aurait trop de serpents à sonnette, et qu'on aurait besoin d'organiser ces tueries pour contrôler la menace. » En fait, pas besoin d'aller chercher bien loin pour comprendre ce qui motive réellement ce genre de pratique d'un autre temps : l'appât du gain, et la possibilité de mettre en place un événement qui attire un grand nombre de touristes avides d'exotisme. Rien qu'à Sweetwater, une petite bourgade de 11 000 habitants perdue au beau milieu du Texas, l'événement attire chaque année plus de 30 000 personnes…

On se doute bien que certains sont réticents à se priver de la manne financière que représente une attraction de cette ampleur ! Typiquement, c'est l'occasion d'organiser une grande foire, avec des fêtes foraines, des jeux pour les enfants, des pâtisseries traditionnelles, du pain grillé, un marché aux puces, des tirs avec des armes à feu, et… le moment tant attendu, l'exécution festive et joyeuse de milliers de serpents.

D'abord, tous les participants apportent le produit de leur chasse à un endroit, où les serpents sont mesurés et pesés. Différents prix sont décernés, dans une ambiance festive : il y a un prix pour celui qui a apporté le plus gros serpent, un prix pour celui qui a rapporté le plus d'animaux ou bien celui dont le seau contenant la « récolte » pèse le plus lourd.

Ensuite, tous les serpents sont jetés dans une grande fosse commune, avec des parois vitrées pour que les enfants puissent eux aussi admirer le spectacle. Dans cet enclos où ils sont tous entassés les uns sur les autres, des personnes armées de chaussures de protection leur marchent en permanence dessus, foulant la masse de serpents avec leurs bottes pour les faire remuer, et en leur donnant des coups de pied pour les retourner.

Ils disent qu'ils font cela pour remuer le tas et éviter que les serpents du dessous n'étouffent, et « parce qu'ils sont trop bêtes et qu'ils s'étoufferaient les uns les autres si on ne les aidait pas. » Argument totalement ridicule pour Amarello : « Si les serpents s'étouffent, ce n'est pas parce qu'ils sont stupides, c'est parce que des gens les ont forcés à être enfermés dans un endroit où ils sont beaucoup trop nombreux, et qu'ils s'écrasent les uns les autres par manque de place ! »

Généralement, c'est à ce moment-là que les serpents à sonnette commencent vraiment à faire du bruit en agitant leurs queues. Ce bruit caractéristique, que l'on prend souvent comme une menace, est tout simplement un réflexe de peur que le serpent a lorsqu'il se sent menacé par un danger. « Lorsqu'ils pensent que la mort est imminente, que quelque chose les met en danger, ils font vibrer leurs queues », explique Amarello.

Ce bruissement sourd pourrait se traduire par le cri d'épouvante de plusieurs milliers de reptiles qui hurleraient en même temps « J'ai peur ! Pitié, sortez-moi d'ici ! À l'aide ! » « Quand ils sont dans les fosses, tous empilés les uns sur les autres, ils agitent leurs queues et font retentir leur sonnette, provoquant un vacarme qui couvre tout le reste ».

Le bruiteur qui se trouve au bout de la queue de ces reptiles est en fait un avertisseur sonore qu'ils utilisent lorsqu'ils se sentent menacés « Cela ne signifie pas 'Je vais t'attaquer', cela veut dire ' J'ai peur. Ne marche pas à côté de moi.'

Ce bruit, c'est des milliers de serpents qui hurlent de terreur. » Puis, au bout d'un moment, une odeur étrange, très forte, monte dans les airs. Il s'agit d'une phéromone que les serpents produisent lorsqu'ils se sentent vraiment menacés et stressés, pour prévenir les autres. On imagine ce que cela représente lorsque des milliers de serpents produisent cette phéromone à l'unisson… Amarello, qui y a assisté, explique que pour elle, cette odeur était encore pire que de voir les serpents exécutés sous ses yeux :

« Pour moi, c'était terriblement révoltant, parce que je sais très bien ce que cette odeur signifie pour eux. À ce stade, les serpents savent très bien qu'ils sont aux portes de la mort. Cette phéromone, c'est un ultime cri de désespoir, quelque chose pour prévenir les autres serpents qu'il y a un danger imminent et mortel. L'odeur était extrêmement forte. »

Puis, certains serpents sont sortis pour être apportés dans une zone prétendument « éducative », à destination des enfants et de leurs parents. « Les organisateurs de roundups mettent en avant le fait qu'ils éduquent le public à propos des serpents, mais c'est plus un prétexte pour une sorte de spectacle », explique Amarello, qui s'occupe elle-même de la section d'éducation pour l'organisation de protection des serpents ASP.

« Ils forcent les reptiles à mordre des ballons, ils les poussent à attaquer pour montrer la manière dont ils frappent leurs cibles… »

Ces soi-disant experts des serpents les frappent à coup de bâton jusqu'à ce que l'animal adopte une posture de repli, en se roulant en boule. Lorsqu'ils sont dans cette position, ils les prennent à mains nues pour impressionner un public ébahi par leur « courage » et montrer qu'ils peuvent dompter les serpents. Enfin, les serpents arrivent à leur destination finale : la fosse de mise à mort. Pour cela, les bourreaux n'y vont pas par quatre chemins. La méthode est la décapitation, à la machette…

Une mort extrêmement cruelle, affirme Amarello, parce que cela ne les tue pas instantanément ! « Décapiter un reptile est probablement la manière la plus inhumaine de le mettre à mort, explique-t-elle. Et ce, notamment à cause de leur système nerveux : Comme les serpents ont un métabolisme très lent, ils restent vivants et conscients, et ils continuent à agoniser pendant plusieurs minutes, voire plusieurs heures après la décapitation. Et on voit bien cela lorsqu'on les voit les tuer : la bouche continue à essayer de respirer, tandis que les corps continuent à bouger. »

Décapités, les animaux continuent encore à vivre et à agoniser lentement, parfois pendant plusieurs heures. Après la décapitation, les corps des serpents sont regroupés avant d'être éviscérés, puis écorchés. Concrètement, il s'agit de dépouiller les animaux en arrachant la peau écailleuse, tout en tirant la chair. Les organisateurs encouragent alors le public à participer, y compris les enfants.

Pour Jo-Anne McArthur, photojournaliste auteur du documentaire We Animals, il s'agit de l'un des éléments les plus glauques de cette fête macabre. « Les enfants peuvent écorcher les animaux, puis tremper leurs mains dans le sang, et faire des empreintes de leurs mains avec le sang sur un mur en écrivant leur prénom à côté », raconte la photographe à The Dodo.

« C'est vraiment glauque. Et les parents encouragent les enfants, en disant 'Allez tire ! Tire fort ! Salis-toi les mains, n'aie pas peur !' » Les peaux de serpents sont ensuite transformées en bottes, porte-monnaie, et autres bibelots qui seront vendus aux touristes. Chaque festival de « roundup » présente ses propres pratiques, rites et traditions. Si les us et coutumes peuvent varier selon les différents États, un point commun subsiste : la cruauté incroyable dont ces gens sont capables à l'encontre de ces animaux perçus comme « méchants ».

Dans l'Oklahoma, par exemple, ces événements attirent beaucoup moins de monde qu'au Texas, et les décapitations de serpents se font en général à l'abri du regard du public. En revanche, il y existe d'autres pratiques, encore plus cruelles selon Amarello. « Ils balancent les serpents dans un congélateur, jusqu'à ce qu'ils soient incapables de bouger, car ce sont des animaux à sang froid, explique-t-elle. Ensuite, ils profitent de leur immobilité pour coudre leurs bouches. »

Une fois les bouches des serpents cousues, les organisateurs peuvent passer les animaux au public, afin qu'ils puissent les manipuler sans crainte d'être mordus. Les gens peuvent poser pour des photos, jouer avec, mettre les serpents à sonnette sur leurs genoux… Le pire, c'est qu'il existe des lois de protection contre la cruauté à l'encontre des animaux, et ce genre de pratique enfreint clairement ces lois.

Mais personne ne fait rien, d'abord parce que l'opinion publique est beaucoup moins sensible au sort des serpents que des autres animaux, ensuite parce que cela plaît à certaines personnes, et rapporte beaucoup d'argent. Pourtant, ces animaux pourraient être mis en danger si ce genre de pratique devait perdurer.

En effet, les serpents sont tués par milliers lors de ces événements festifs, et cela pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur les populations sauvages de serpents à sonnette. Il se trouve que les effectifs sont en déclin dans certaines régions, ce que certains jugent comme étant directement imputable à ce type de festivals traditionnels. Malheureusement, il n'existe aucun moyen de savoir le nombre exact de serpents massacrés au cours de ces fêtes, puisque les organisateurs ne les comptent pas, mais les pèsent au kilo.

Pourtant, de nombreux scientifiques s'accordent à dire que de tels massacres inutiles, perpétrés sur des populations d'animaux déjà fragiles, ne peuvent que faire du mal aux écosystèmes. Crédit photo : Jo-Anne McArthur/We Animals De nombreuses voix commencent à s'élever, même si ce genre de pratique inhumaine a lieu depuis des années, dans l'indifférence la plus totale. Si ce genre de pratique vous révolte, vous pouvez signer cette pétition visant à y mettre fin, ou encore faire un don à l'ASP.

Enfin, n'oubliez pas de partager cet article et d'en parler autour de vous pour que ce massacre que peu de gens connaissent ne soit plus perpétré dans l'indifférence.

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Publié à 18:41 par fandeloup Tags : texte animaux sur signature maison monde
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DONALD TRUMP VIENT D'AUTORISER LE MASSACRE DES OURS ET DES LOUPS ET MÊME DE LEURS BÉBÉS!

En Alaska, depuis le 10 avril 2017, les loups et ours pourront être à nouveau abattus, y compris les bébés et les animaux en hibernation, et ce tant par hélicoptère que directement dans leurs tanières. Il ne manquait que la signature de Donal Trump afin de valider un texte de loi approuvé par le Congrès.

Entrant immédiatement en vigueur, c’est un bon en arrière sur un ensemble de mesures prises par Barack Obama, concernant la régulation des méthodes de chasse de ces animaux. Cette loi qui a été poussée par des sénateurs Républicains signe la fin de l’Alaska National Wildlife Refuges Rule, qui a été mis en place par le gouvernement Obama, interdisant la chasse de ces animaux sur une zone protégée de 76,8 millions d’acres.

La nouvelle législation permet aussi des pratiques de chasse cruelles, comme tuer des bébés ou tirer des animaux en pleine hibernation, donc sans défense. Celle-ci a été approuvée à 52 voix contre 47 au Congrès.

L’Humane society of the United States, l’une des organisations de protection animale les plus importantes du monde, condamne cette mesure. « Ce qui vient de se produire à la maison blanche aujourd'hui devrait choquer les consciences de toutes les personnes qui aiment un tant soit peu les animaux », s'est indigné Wayne Pacelle, directeur de l'HSUS, dans un communiqué. Toutefois, cette loi plait aux électeurs, l’Alaska étant l’un des bastions les plus solides du parti Républicain et de la droite conservatrice.

« Il faut comprendre qu'il ne s'agit pas seulement des petits ours polaires et des petits grizzlys et loups mignons qu'on voit à la télévision, il s'agit du droit des états fédéraux à gérer leurs propres ressources — et à ne pas laisser le gouvernement fédéral le faire à leur place », rétorque Don Young, membre de la Chambre des représentants, qui a présenté le projet de loi controversé, ajoutant que « si les Alaskains n'étaient pas satisfaits de ce genre de lois, il ne tenait qu'à eux d'arrêter de [le] réélire.»

Young est âgé de 83 ans et est en fonction depuis 1973, sans interruption, représentant le 49e État.