Un zoophile agresse une vache dans le canton de Fribourg

Le prévenu devra répondre d’infraction à la loi fédérale sur la protection des animaux suite à de graves actes de zoophilie.(photo d'illustration)

La Liberté Une vache a été sexuellement agressée dans l'étable d'une exploitation agricole de la commune de Rossens par un jeune Fribourgeois.

L’animal, victime d’importantes mutilations internes, a dû être abattu. «J’ai eu la nausée en la trouvant! Il faut quand même avoir de gros problèmes psychologiques pour commettre un tel acte» a confié le propriétaire d’une exploitation agricole de Rossens au site du journal «Le Matin» qui a révélé cette affaire jeudi.

C'est lundi matin, alors que l'éleveur s’apprêtait à emmener son troupeau dans les champs qu'il a trouvé son animal dans un état lamentable, précise le journal. En grande souffrance et victime d’importantes mutilations internes, le malheureux bovin a dû être abattu.

L’agression a, semble-t-il, eu lieu dans la matinée de dimanche. Les faits sont confirmés par la Police cantonale fribourgeoise. «L’auteur a été arrêté et placé en détention préventive. Il s’agit d’un Fribourgeois de 19 ans. Une enquête est en cours. Un procureur a été chargé de ce dossier et des informations complémentaires seront communiquées la semaine prochaine», indique Gallus Risse, porte-parole de la police fribourgeoise.

Le prévenu devra répondre d’infraction à la loi fédérale sur la protection des animaux suite à de graves actes de zoophilie. Le jeune homme sera soumis à une analyse psychiatrique.

«Elle est restée avec ses chiots, coûte que coûte»

Deux cyclistes ont eu le ♥ brisé en recueillant, au bord d'une route, une jeune chienne couchée près d'un sac en plastique qui contenait ses quatre bébés décédés.

Paul Skinner traversait Midville (est) à vélo avec un ami lorsque son regard a été attiré vers le côté de la route.

«Nous avons vu quelque chose qui ressemblait à un oiseau mort, mais quand nous sommes passés, il a bougé», raconte le Britannique de 58 ans à «Metro».

Les deux hommes ont alors réalisé qu'il s'agissait d'un cocker sans collier.

«Le chien était seul, couché en train de lécher le contenu d'un sac en plastique», se souvient Paul. En s'approchant, les deux cyclistes ont découvert une scène terriblement triste: le sachet contenait quatre chiots morts. «C'était bouleversant», confie le quinquagénaire, qui a été particulièrement touché par le comportement de la jeune chienne: «Elle avait les larmes aux yeux. Je n'arrivais pas à croire que quelqu'un ait pu être aussi inhumain pour faire quelque chose comme ça», s'indigne-t-il. Paul a alerté la police, la société protectrice des animaux et un refuge local, qui a volé au secours du pauvre animal. Le responsable du chenil a essayé de réanimer les bébés, en vain.

«Le vétérinaire pense qu'ils sont nés en vie, peut-être le matin même, et qu'ils étaient peut-être encore vivants quand ils ont été abandonnés», explique Paul. Les chiots peuvent parfois donner l'impression qu'ils sont morts, mais il suffit alors de les réchauffer pour qu'ils se réveillent. Malheureusement, pas dans ce cas-là. «Leur mère est restée avec eux, coûte que coûte. C'était très triste à voir», se souvient le Britannique. La chienne, âgée d'environ 3 ans, a été baptisée Carly.

«C'est un incident scandaleux. On dirait que le jeune animal a été cruellement abandonné avec ses nouveaux-nés.

Heureusement, Carly semble en bonne santé et on s'occupe bien d'elle», a réagi l'inspecteure Becky Harper. Celle-ci appelle tous ceux qui auraient des informations à fournir sur Carly à se manifester.

CE PÊCHEUR ENTEND UN DRÔLE DE BRUIT DANS LES BOIS… ATTENDEZ DE VOIR CE QU’IL A DÉCOUVERT SUR LE BORD DU RIVAGE !

Un groupe de pêcheurs à bord de leur bateau tombe devant un chien abandonné sur le bord d’une rivière. Quand le chien se rend compte que ces hommes sont là pour le sauver, on comprend qu’il reprend espoir pour une vie meilleure.

Il suffit de constater son regard pour comprendre à quel point il est désespéré: regardez comment il essaie de rejoindre les mains du pêcheur!

Chien tiré derrière une voiture en Chine: le conducteur a été retrouvé après une chasse à l’homme sur internet

Fin de semaine dernière, des photos montrant un chien traîné par une voiture sur une route très fréquentée ont fait « bouillir » Weibo, sorte de Twitter chinois.

Depuis, le propriétaire de la pauvre bête a été retrouvé. La scène se passe à Shantou, une ville du sud de la Chine. La route est très fréquentée, explique le site de la BBC.

La voiture roule très vite, de sorte que rapidement, le chien ne peut plus suivre le rythme et se retrouve couché sur l’asphalte, les pattes (et sans doute le corps) en sang.

Scandale sur Weibo. Chasse à l’homme. Cette action, aidée par le fait que la plaque minéralogique est lisible, permet l’identification du coupable.

Lundi, celui-ci se retrouve sur une télévision locale et reconnaît la responsabilité de l’incident. Il dit qu’il voulait se débarrasser du chien parce qu’il continuait de mordre les gens. Il s’est excusé pour ses actions et a demandé aux utilisateurs de Weibo de ne plus partager ses renseignements personnels.

D’après lui, le chien n’était pas mort lorsqu’il l’a abandonné au bord de la route. Un groupe de défense des animaux a fouillé l’endroit où il dit l’avoir abandonné, mais n’a rien retrouvé.

Un homme se fait tabasser après avoir posté une vidéo de lui frappant un chien sur internet

 Après que la petite amie de Tom-Jan Hüsch ait rompu avec lui, il a décidé de se venger d’une façon extrême en frappant violemment et en en tabassant le chien que sa petite amie lui a donné comme cadeau.

Encore pire, il a décidé de tout filmer et de le partager sur Facebook. Cette vidéo a été depuis enlevée de Facebook, néanmoins elle a fait un ravage, attirant l’attention d’un homme qui a décidé de rendre justice à ce petit chien en traquant Hüsch et en lui infligeant la même douleur qu’il a infligé au pauvre animal sans défense.

Le gars a aussi pris une vidéo de lui-même frappant Hüsch qu’il a ensuite posté en ligne comme une mise en garde que la cruauté envers les animaux et l’abus ne seront pas tolérés en Allemagne. L’agresseur de Hüsch a été par la suite identifié en tant que Josef Guldschmitt. Guldschmitt a expliqué son attaque par téléphone cet après-midi.

« J’ai vraiment voulu le tuer. » a dit Guldschmitt. « Si j’avais trouvé mes pinces, je lui aurais enlevé son scrotum aussi. »

Jusqu’à aujourd’hui, aucune charge n’a été retenue contre Guldschmitt.

Saint-Nazaire : interpellés pour des pratiques sexuelles avec des chevaux

Les deux jeunes hommes avaient pris l'habitude de venir s'ébattre près des chevaux.

Deux hommes, âgés d'une vingtaine d'années, ont été interpellés vendredi soir, vers 23h30, à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Les deux jeunes hommes sont soupçonnés d'avoir eu des rapports sexuels avec les chevaux d'un poney club.

Ils ont été arrêtés sur dénonciation de la responsable du club de cheval, révèle ce dimanche Presse Océan. Tout commence voilà dix mois.

Certains week-ends, la responsable constate des dégradations dans son établissement : des effractions, et même une fois, des chevaux s'échappant des boxes. C'est là que les propriétaires décident d'installer des caméras. Les images confirment les soupçons d'intrusions.

Enfin, pour prendre les deux hommes en flagrant délit, les responsables du poney club décident de surveiller les écuries. Les gardiens des lieux découvrent alors que non seulement les deux intrus batifolent près des chevaux, mais qu'au moins l'un des deux à des pratiques sexuelles avec les animaux. Interpellés, les deux hommes ont reconnu les faits et seront poursuivis pour maltraitance animale.

Mont-sur-Marchienne: Milla, abandonnée et attachée à la grille de la SPA

 Ses anciens maîtres l'ont lâchement abandonnée en lui collant une pancarte portant la mention "dangereuse".

Les employés de la SPA de Charleroi sont chaque jour témoins de la bêtise et de la cruauté de certains êtres humains envers les animaux.

Ce dimanche encore, les ouvriers qui ont ouvert le refuge dès potron-minet ont constaté qu'un chien avait été abandonné par ses anciens maîtres à la grille d'entrée.

Et pas n'importe quelle bête : un dogue de belle taille était lié aux barreaux et, furieux d'avoir passé la nuit sous la drache nationale, a fait savoir qu'il n'était pas content.

Le personnel de la SPA a donc dû utiliser une perche pour maîtriser l'animal et le placer dans le chenil en attendant le passage du vétérinaire.

Mais le plus affligeant, c'est que l'ancien propriétaire a trouvé intelligent d'accrocher une pancarte portant la mention "Milla, dangereuse" (avec trois points d'exclamation) au cou du pauvre toutou.

"Elle est plus apeurée qu'agressive", déplore la vice-directrice de la SPA, Nathalie Van Namen.

"C'est complètement inconscient d'attacher un chien à une grille comme cela. Non seulement, c'est lâche et inhumain, mais en plus, l'animal pourrait se détacher et, s'il est vraiment dangereux, mordre quelqu'un. Malheureusement, nous rencontrons de plus en plus souvent ce type d'abandon. Vendredi dernier, un autre chien avait déjà été retrouvé attaché à notre grille. Or, nous disposons d'un service de garde qui peut être appelé si le refuge n'est pas ouvert".

La SPA espère pouvoir identifier les propriétaires de Milla, à condition qu'elle dispose d'une puce.

HONTEUX

Cette pitbull s’accroche désespérément à la vie, même après avoir eu la gorge tranchée, et avoir été abandonnée dans les flammes

À Dallas, au Texas, une femelle pitbull a demandé l’aide des pompiers après qu’un pyromane ait mis le feu à sa maison, et lui ait tranché la gorge.

Sur Clearwood Drive, à Dallas, au Texas, des pompiers ont été appelés pour s’occuper d’une maison incendiée par un pyromane.

Mais alors qu’ils finissaient d’éteindre l’incendie, une femelle pitbull s’est approchée d’eux. La pauvre chienne était chancelante, et avait besoin d’aide.

En effet, lorsque les pompiers se sont approchés, ils ont découvert que la chienne avait été poignardée à la gorge à deux reprises. La chienne n’était cependant pas seule. Elle était accompagnée d’un chiot.

Heureusement, le bébé était indemne. Les pompiers soupçonnent le pyromane d’avoir tenté d’égorger la pauvre chienne. Ils se sont alors précipités aux urgences vétérinaires en compagnie de l’animal, qui a été aussitôt soigné.

BESANÇON : DES BADAUDS ONT SOUTENU LA FIN DE VIE D’UNE ÂNESSE ABANDONNÉE AUX PRÉS-DE-VAUX

Face à la non-action du propriétaire d’une ânesse mourante, les habitants des Prés-de-Vaux, à Besançon, ont remué ciel et terre pour réconforter la pauvre bête, abandonnée à son sort dans un pré.

Dimanche matin, un groupe de promeneurs longe les berges du Doubs aux Prés de Vaux. Soudain, les randonneurs remarquent un équidé qui semble mal en point. L’animal est seul dans son large pré bien entretenu, mais peine à se relever. L’un d’entre eux part chercher une connaissance qui habite à proximité.

« Lorsque je suis arrivé, j’ai tout de suite reconnu l’ânesse qui occupe ce terrain depuis des années. Son propriétaire semblait absent. »

Le lendemain, lundi, tous reviennent et constatent que l’état de l’ânesse a empiré.

« Elle avait des plaies sur le dos », se rappellent-ils. « Nous avons rapporté des antiseptiques pour la soigner et de la paille pour la bouchonner et la réchauffer, ainsi qu’une bâche pour la recouvrir. Elle avait froid. Elle a tout de même accepté la nourriture que nous lui proposions. Entre-temps, nous avons réussi à joindre le propriétaire. »

Un propriétaire difficile à convaincre

La discussion s’avère très courtoise. Très vite, néanmoins, les témoins se heurtent à un mur.

« Il savait que son animal était mourant, mais sa philosophie était de laisser faire la nature, puisqu’il avait plus d’une trentaine d’années et était donc vieux. Nous lui avons rétorqué que ce n’était pas une raison suffisante pour le laisser souffrir. La conversation s’est arrêtée là. Nous avons laissé la bête avec de la nourriture, bien protégée des intempéries. »

Ce mardi, l’ânesse était toujours au même endroit. Le propriétaire n’avait, semble-t-il, pas levé le petit doigt pour réconforter son animal. N’y tenant plus, le même groupe a continué à la veiller tout en alertant la SPA de Besançon et la police municipale. Cette dernière s’est déplacée pour constater les faits et a tenté de contacter le propriétaire, sans succès. Rolande Bouvard, la présidente des chevaux de Colombey à Deluz, prévenue par la SPA, a rejoint les lieux plus tard dans l’après-midi.

« J’étais prête à réquisitionner un vétérinaire », confie-t-elle. « Mais la police municipale a eu enfin le propriétaire au téléphone. Ce dernier a accepté de reprendre les choses en main. »

Contacté ce mercredi matin, le propriétaire de l’âne, peu loquace, a tout de même admis sa négligence. « Je croyais que sa mort allait vite survenir. Je me suis trompé, je le regrette. Le vétérinaire a fait le nécessaire hier soir et l’a euthanasiée. »

Il n’a pas voulu nous donner le nom de l’animal. Néanmoins, son histoire a terriblement ému ceux qui l’ont assisté. L’ânesse n’est plus une anonyme. Ils n’oublieront jamais ses derniers instants.