ISÈRE-NORD

Des animaux maltraités saisis par des associations à Chalon Ce matin, l’opération menée par des associations de défense des animaux et la DDDP de l’Isère n’est pas passée inaperçue dans le petit village de Chalon.

Leur mission :

saisir plusieurs dizaines de chevaux, de moutons et de cochons maltraités, détenus par un agriculteur à la retraite.

« Nous avons été alertés il y a dix jours par des associations de défense d’animaux, relayant des plaintes du voisinage qui ont constaté des chevaux au parc en mauvais état. Le 20 octobre, nous avons décidé d’une première inspection. Nous avons effectivement constaté la présence de porcs, de chiens, de moutons, d’équidés qui subissaient de mauvais traitements par l’insuffisance d’alimentation », détaille le docteur Claude Colardelle, directeur départemental de la DDDP de l’Isère.

« Ce que nous avons découvert relève de la monstruosité : une quarantaine de chevaux squelettiques livrés à eux-mêmes, une trentaine de cochons entassés dans une grange, dans le noir, pataugeant dans leurs déjections et nourris de cadavres de carcasses de chèvres et de brebis, une dizaine de moutons affamés, si faibles que certains ne pouvaient même pas se lever, des chiens à l’attache sans eau et nourris d’ossements… », poursuit Anne-Claire Chauvancy, porte-parole de la Fondation assistance aux animaux.

Devant ce triste spectacle et le nombre d’animaux, une deuxième intervention a dont été programmée ce matin.

Le charognard du net, une nouvelle espèce en voie d'apparition.

Il semblerait que depuis quelques temps une nouvelle espèce soit en voie d’apparition dans le monde de la protection animale…

Tapie derrière son écran, elle traque sa proie sur les réseaux sociaux ou les forums…

C’est une bête vicieuse et patiente, qui embusquée entre deux publications, piste sa victime « l’adoptant crédule », afin de l’attirer dans ses filets…

Cela fait bien longtemps que nous savons que le monde de la protection animale n’est pas celui des bisounours …Que beaucoup d’entre nous n’ont pour but que celui de tirer un profit psychologique ou même financier de la souffrance animale,de se faire valoir aux yeux des autres et de s'attirer les éloges d'amis virtuels.

Ces charognards sont en fait, une sorte de gourou de la protection animale. "Je suis un bon samaritain,moi je « sauve » des animaux en péril…."

Les associations pourraient donc officier dans le même sens notamment pour le sauvetage des Galgos, puisqu’ici est le sujet …..Mais non, c’est "la gueguerre des associations, c’est à celui qui bouffera l’autre en permanence, et depuis le développement d’internet c’est encore bien pire! Il est tellement facile de faire de la protection animale (PA pour les connaisseurs et les pros) derrière son écran, en cliquant sur « Je partage » ou sur « J’aime »…

En allant mettre des commentaires assassins sur les auteurs de telles ou telles atrocités, baratin qui ne sert à rien….Et puis comme on le sait bien quand ON a que ça à faire, rien de plus facile que de brasser du vent sur les réseaux sociaux.

Le tout est de paraitre en toutes circonstances, de se faire passer pour un gentil, un super héros de la PA. Pourtant, le Charognard va jusqu’à espionner les amis des amis, afin d’attirer dans son piège savamment tissé « le fameux adoptant crédule »….

Il est vrai, que "NOUS" les associations ne vous facilitons pas la tâche et qu’il y a de quoi s’y perdre avec toutes ces photos qui circulent, montrant tout un panel de lévriers plus beaux les uns que les autres, ou plus maigres et marqués les uns que les autres, avec un regard qui vous fend le cœur….Parce que oui la nature humaine est faite ainsi, les gens sont attirés par le « beau » et touchés « par l’abimé »…. Des photos terribles de Galgos ensanglantés ou derrière les barreaux d'une perrera avec la mention " euthanasie programmée le...." vous feront ouvrir votre porte monnaie parce que vous serez sensibilisés,retournés , terrifiés et que le charognard trouvera les termes appropriés pour vous faire casquer.

Mais sachez que bien souvent cet argent ne tombera pas dans l'escarcèle pour ce Galgo-là, n'y aucun autre d'ailleurs. Ce Galgo-là crevera et le charognard se sera fait les choux gras de cette misère-là. Plus personne ne sait qui est qui et qui fait quoi, et on nous appelle parfois pour un chien qu’LSF ne prend pas en charge ou vice et versa…Alors, c’est vrai que dans ce mic-mac organisé, notre « Charognard de la PA » n’a plus qu’à s’immiscer subrepticement au contact de sa proie….et à lui asséner le coup final !! Il le demande en « ami » sur Facebook, ou l’interpelle sur cette passion commune pour le lévrier sur les forums... Et là en un rien de temps la proie est ferrée…"

Ah bon, vous avez adopté votre lévrier chez LSF …ahhhhh, et il est craintif…mais voyons, il lui faut un congénère ! Comme ça tombe bien, j’ai justement ce qu’il vous faut en magasin : un loulou super bien dans ses papattes, juste là, dans un mes tiroirs….Et puis nous allons gagner du temps, si vous avez déjà adopté via cette asso, on se passera de venir faire la visite de votre domicile puisqu’il l’ont déjà faite à notre place.

Non, pas la peine de faire des kilomètres pour aller le chercher…on devrait pouvoir s’arranger pour que vous le récupériez au cul du camion!". Et emballé c'est pesé: votre galgo vendu et livré comme un paquet!!! Super héros a fait son boulot !!

Celui-là même qui vous servira ses salades, et vous parlera avec une grande émotion des noirs, des traumas, de tous ces Galgos dont personne ne veut, aura pour son propre compte, adopté une belle Galga ou un magnifique petit chiot bringé...et pourtant, charité bien ordonnée ne commence t-elle pas chez soi?

Alors il vous casera ce chien dont lui-même n'aura pas voulu, mais le "Merci pour lui, vous êtes formidables!" dont il vous gratifiera, fera parfaitement illusion et vous serez tout ouïe. Oh oui, tout ça est formidable...le Charognard dit avoir du cœur, lui...

Il a surtout la langue bien pendue, pour vous narrer le calvaire des galgos en Espagne, alors qu'il n'y a lui-même jamais mis les pieds ou peut être une fois dans un des plus grands refuges d’Espagne, histoire de se balader et de faire croire qu’il est un charognard de terrain, un vrai de vrai, un dur de dur. Mais il est intarissable sur le sujet pourtant...étonnant non? Alors où commencent ses connaissances et où s'arrêtent t'elles vraiment ?

En fait il pique juste des informations sur les sites et les blogs des autres? Que se passera-t-il quand vous aurez un souci avec le galgo que vous aurez adopté? Saura-t-il vous conseiller? Vous pensez que oui, il semble en savoir tellement long. Grave erreur, bien sûr que non! Le charognard est un beau parleur qui fait illusion, mais n'attendez pas de lui ce qu'il n'est pas capable de vous donner: un sérieux suivi et des conseils avisés.

Non, le Charognard est un mondain, pas une personne de terrain. Il a une petite vie bien rangée, qu'il n'a pas envie de bousculer. Mais où est-t-il, l’amour des animaux là-dedans ? L’investissement pour la cause? Tout ça ressemble plutôt à la course à l’adoption, et qui plus est, facile.

Tout le travail qui a été fait en amont par un bénévole qui a pris du temps pour vous conseiller, pour essayer de choisir avec vous le chien qui vous correspond le mieux et inversement, qui parfois a fait des centaines de kilomètres pour venir vérifier votre domicile (notamment pour la partie sécurité),avant de vous confier votre lévrier , qui en assure le suivi post adoption, vous invite à ses manifestations…ses réunions..….

Et hop, le deuxième on l'adopte à la première association venue vous « racoler » sur le net….Mais où est la fidélité dans tout ça ? La reconnaissance pour notre investissement?

Alors oui notre Charognard est bien là embusqué derrière son fourré virtuel et quand il viendra vous harponner, posez-vous les bonnes questions. D’où vient mon chien ??

A-t-il bien eu tous les contrôles vétérinaires et agréments nécessaires pour rejoindre la France ?

Qui s’occupera de son suivi si personne ne se trouve suffisamment près de mon secteur pour s’être déplacé pour une pré visite ? Que se passera-t-il en cas de fugue….qui viendra m’aider ???

Il est vrai me direz-vous pourquoi les adoptants seraient-il fidèles alors que plus personne ne l’est, ni les amis, ni les conjoints. Si votre Chien, Lui, vous reste fidèle! Alors surtout méfiez-vous « des amis des amis », car vous en avez peut-être déjà été victime….ou le serez prochainement...

Mais sachez qu’LSF ne racole pas…ne « charogne » pas…LSF ne contacte pas les gens pour leur proposer des chiens….LSF organise des sauvetages, prend en charge de nombreux rescapés ainsi que tous les frais médicaux que cela implique pour certains, et ce, grâce à tous ses sympathisants…LSF se déplace en Espagne pour aider les refuges et participer à la vie des bénévoles... LSF organise des animations dans différents secteurs, afin de récolter des fonds pour les refuges et sensibiliser l’opinion publique... LSF se dévoue corps et âme sur le terrain et n’attend pas que la becquée lui tombe toute rôtie dans le bec!

LSF balaye devant sa porte et ne s’occupe pas de ce que font les autres. LSF aimerait donc que les autres en fassent autant! LSF fait cavalier seul et ne fédèrera plus jamais avec aucune autre association. LSF a pris trop de coups de couteau dans le dos, par les charognards de la PA qui pullulent sur les réseaux sociaux et sur les forums, censés être des lieux d’échange et de partage. Lévriers sans frontières est une association faite d'hommes et de femmes que vous pouvez rencontrer.

Lévriers sans Frontières à son siège dans l'Aube, celui-ci est ouvert à tous lors des portes ouvertes et des sauvetages. ephemere-mayfly.jpg Lévriers sans frontières n'est pas une association virtuelle, ni éphémère. Elle a pignon sur rue, elle est structurée et en adoptant chez nous vous y trouverez un écoute, un suivi, des conseils et votre chien sera protégé.

Trop de Galgos se retrouvent dans nos refuges Français parce que ces associations avec à leurs têtes des charognards du net, ne tiendront pas la distance et finiront par disparaître. En fait les réseaux sociaux et les forums ne sont que des pièges pour les candidats à l'adoption alors soyez vigilants.

En effet le charognard y est constamment connecté, il y guette sa proie, il surveille vos moindre faits et gestes pour mieux vous harponner. Il y en a une qui a même remportée le cocotier, car élue "meilleure forumeuse de l'année"pour avoir été la plus longtemps connectée.

Celle-là n'a malheureusement rien d'autre à faire, c'est pathétique...mais elle est dangereuse, c'est elle qui vous surveille dans l'ombre, elle sait avec qui vous discutez, à quel chien vous allez vous intérèssez et hop elle va ferrer le poisson et vous proposer le même mais dans son association.  La protection animale c’est œil pour œil et dent pour dent.

LSF l’a appris à ses dépens. A bon entendeur salut, les charognards ou plûtot les "charognardes" se reconnaitront. Parce que dans le monde de la PA, ce sont les bonnes femmes qui se déchaînent, de vraies Hyènes.

Texte écrit par trois femmes investies en protection animale et qui en ont dans le falzard, elles.

Quand tu regardes en arrière ne te replonges pas dans la douleur que l’on t’a infligé … Mais regardes avec attention comment tu l’as surmonté

Bonjour, je suis le petit dernier du refuge. Je viens d'arriver aujourd'hui, j'ai été très discret, tellement discret que l'on m'a retrouvé exténué attaché au poteau devant le refuge.

Couché, en train d'attendre celui en qui j'avais confiance, celui qui m'avait emmené pour une dernière promenade et qui a pris le temps de m'attacher au lampadaire.

Il faut dire que le refuge était grand ouvert pour les adoptions, que les bénévoles étaient sur le terrain pour présenter un chien et qu'ils ont été plus que surpris que quelqu'un vienne leur dire qu'il y avait un chien couché sur le trottoir...pas de collier, juste une muselière et une corde.

J'ai bien compris qu'au refuge ils étaient furieux, pas contre moi, mais contre ceux qui ont fait ça, qui m'ont mis dans cet état...ils disent que je suis maigre à faire peur, que je suis un véritable squelette ambulant, ils ne comprennent pas.

Pour tout vous avouer moi je ne comprends pas non plus...pourquoi avoir choisi de me faire naître ?

Pourquoi avoir choisi de prendre un chien?

Pourquoi m'avoir attaché devant un refuge sans avoir le courage de franchir la porte et de demander s' il y avait de la place pour moi ?

Pourquoi ne pas m'avoir donné à manger à ma faim ?

Il n'y a pas plus lâche et plus abject que d'abandonner un être innocent qui vous a fait confiance

Report du procès pour maltraitance sur animaux au 11 février 2015

Deux frères de Sospel devaient répondre de cruauté sur animaux devant le tribunal correctionnel de Nice mais leur avocate a obtenu un report du procès, le temps d'établir des expertises psychiatriques pour les prévenus.

Sur les hauteurs de Sospel le 5 mai dernier, après les plaintes de riverains, les forces de l'ordre interviennent dans une propriété privée sur ordre du Procureur de la République.

Sur les lieux, les gendarmes découvrent 17 chiens affamés, couverts de parasites; pire, ils mettent au jour un charnier dans un tas de fumier.

Les animaux seront pris en charge par la SPA. Les prévenus nient Les propriétaires de la ferme sont deux frères, César, 74 ans, et Gabriel, 68 ans. Ils nient tout acte de maltraitance.

Ils devaient comparaître devant le tribunal correctionnel de Nice pour blessures involontaires, sévices graves, actes de cruauté et détention de chiens non identifiés mais leur avocate à fait valoir des handicaps pour surdité, qui nécessitent des expertises psychiatriques.

Le procès est donc reporté au 11 février prochain.

Plus on est prisonnier, plus on ressent le besoin de s'évader.

L'homme a depuis la nuit des temps fait souffir les animaux ! Il s'est donné l'autorisation d'en être le maitre et d'en user comme bon lui semble. Certains aiment les animaux mais la majorité les font souffir directement par de la maltraitance et indirectement en les élevant pour les manger. Il est temps ! Chaque génération décide quelle cruauté elle tolère. Arrêtons l'âge de la cage, évoluons ! Une nouvelle ère sans cage.

Pendant une semaine, nos affiches ont été visibles dans 50 stations du métro parisien. La condition des animaux des élevages mise à nue, sans dissimulation. Des milliers de regards posés sur ces lapins qui n'ont pas vécu. Des gens qui s'interrogent et ouvrent les yeux. Merci pour vos nombreux encouragements et vos dons qui ont rendu cette campagne possible. Ce n'est qu'une étape.

Pour que cette réalité soit toujours plus visible, diffusez notre site www.viande-de-lapin.fr ou aidez-nous en adhérant à l'association: http://adhesion.L214.com/

Décès inattendus à la ferme-usine des 998 vaches..

Des clichés réalisés les 4 et 5 octobre, et que Reporterre dévoile aujourd’hui, prouvent qu’au moins deux bovins sont morts dans la ferme-usine dite des Mille vaches, trois semaines à peine après l’ouverture du site.

La ferme-usine des Mille vaches pourrait mettre encore plus de temps que prévu à honorer son nom. Alors que les premières vaches sont arrivées sur le site de l’exploitation dans la nuit du 12 au 13 septembre dernier, certaines auraient succombé sur place, quelques semaines plus tard, selon les preuves fournies par l’association Novissen.

Le samedi 4 octobre, Claude Dubois, vice-président de l’association d’opposants au projet de ferme-usine, effectue un tour en ULM. Retraité, ce passionné d’aviation vole fréquemment depuis l’aéroclub situé à 150 mètres de l’emplacement de la ferme-usine.

Ce jour-là, ce n’est pas lui qui pilote, il se charge des photos aériennes. En les regardant le soir même, il constate une tache blanche et noire située entre l’énorme hangar et le tas de fumier. Une vache gît à même le sol.

« Je n’avais pas de grand-angle et de loin, je ne m’en suis pas rendu compte sur le moment », raconte-t-il.

Reporterre dévoile aujourd’hui, prouvent qu’au moins deux bovins sont morts dans la ferme-usine dite des Mille vaches, trois semaines à peine après l’ouverture du site.

La ferme-usine des Mille vaches pourrait mettre encore plus de temps que prévu à honorer son nom. Alors que les premières vaches sont arrivées sur le site de l’exploitation dans la nuit du 12 au 13 septembre dernier, certaines auraient succombé sur place, quelques semaines plus tard, selon les preuves fournies par l’association Novissen.

En les regardant le soir même, il constate une tache blanche et noire située entre l’énorme hangar et le tas de fumier. Une vache gît à même le sol. « Je n’avais pas de grand-angle et de loin, je ne m’en suis pas rendu compte sur le moment », raconte-t-il.

Le lendemain, il remonte de nouveau à bord avec un collègue. Cette fois, son appareil photo est muni d’un zoom plus puissant. Et cette fois, ce n’est plus une vache, mais deux, qui sont étendues, inertes, sur le sol en bitume de l’exploitation, au même endroit que la veille. Lorsqu’on zoome sur l’image, on aperçoit des flaques de sang dégoulinant directement du museau du bovin.

Il ne fait aucun doute : les vaches sont mortes.

Reporterre a joint hier par téléphone Michel Welter, le directeur de l’exploitation. M. Welter se veut d’abord rassurant concernant l’état de santé de son troupeau : « Les vaches vont très très bien. Ça je peux vous dire, elles vont bien : on a tout fait pour qu’elles aillent bien ».

Lorsqu’on l’interroge sur de possibles décès, il ne les dément pas : « Cela fait partie du quotidien d’un troupeau. La vie, la mort… tous les jours on a des veaux qui naissent, et ça nous arrive aussi d’avoir des animaux qui meurent. Comme dans toutes les fermes ». Impossible toutefois de savoir combien de vaches sont actuellement présentes sur le site :

« C’est une donnée confidentielle, c’est notre problème. On n’a pas à communiquer sur les chiffres ». On insiste, mais rien ne semble filtrer : « On continue notre petit bonhomme de chemin, je n’ai pas à expliquer la stratégie de notre entreprise », répond Michel Welter. Il est sûr que le site abrite moins de cinq cents animaux , selon l’accord conclu entre l’entreprise Ramery, qui promeut la ferme-usine, et les autorités, sous la pression des opposants.

Mais si les vaches continuent de mourir dans des conditions étranges, « On n’est pas prêt d’avoir mille vaches », conclut Claude Dubois.

J’écoute le silence de la nuit au rythme nostalgique qui construit ton visage au fond de ma pensée. Et ton absence qui me rend insensé