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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le FBI veut mieux détecter la cruauté envers les animaux pour repérer les futurs meurtriers..
Parmi les pires serial killers américains du XXe siècle –comme Ted Bundy ou encore David Berkowitz (surnommé le fils de Sam)– beaucoup avaient fait preuve de cruauté extrême envers les animaux quand ils étaient enfants.
De nombreuses études ont confirmé un lien entre cruauté envers les animaux pendant l'enfance et tendance à la criminalité en tant qu'adulte.
Ainsi, le Bureau fédéral d'investigation (FBI) vient d'annoncer que la cruauté envers les animaux serait désormais prise en compte séparément dans les statistiques nationales, et considérée comme un «crime contre la société», indique Associated Press.
Les agences de police locales devront désormais comptabiliser ce genre de crimes dans quatre domaines distincts: la maltraitance, la violence et la torture, la violence organisée (notamment les combats de chien ou de coqs), et les abus sexuels.
Chaque année, le FBI publie un rapport annuel sur la criminalité dans le pays, mais jusqu'ici la cruauté envers les animaux étaient englobée dans la case «autres», ce qui ne permettait pas de garder trace de tous les incidents.
L'idée est que ces statistiques permettront de mener une lutte plus efficace contre ces infractions, en permettant de mieux comprendre les facteurs associés à ces crimes, et le profil des perpétrateurs. Les cas de maltraitance sur les animaux domestiques sont par exemple souvent ignorés par les policiers locaux.
Or l'idée est que ce genre de cas est important, dans la mesure où il peut indiquer d'autres formes de violence encore plus graves. Le fait de pouvoir repérer la maltraitance sur les animaux domestiques est donc considéré comme un outil de prévention contre la criminalité.
Cela faisait plus de dix ans que les organisations des droits des animaux demandaient cette prise en compte dans les statistiques officielles. Mieux prendre en charge ces crimes ne sera pas seulement utile pour protéger les animaux ou identifier les profils de tueurs en série potentiels.
Il s'agit aussi de protéger des enfants maltraités, car bien souvent la violence contre les animaux domestiques s'accompagne de violence contre les enfants.
Une louve abattue par un éleveur ce matin en France
Une jeune louve a été abattue ce matin dans les Alpes-de-Haute-Provence par un éleveur de moutons qui souhaitait défendre son troupeau.
Une autopsie sera pratiquée prochainement. Le jeune animal avait tout juste 1 an, et a perdu la vie du bout du fusil d’un éleveur qui voulait « venger son troupeau », lequel avait été attaqué la semaine passée (11 brebis avaient trouvé la mort).
« J’ai eu la satisfaction de le voir mort » L’homme, sur D!CI Radio, raconte le déroulement des faits.
« Je descendais à la bergerie pour lâcher mon troupeau, une personne du village m’a arrêté pour me dire qu’elle venait de voir le loup ».
Il indique s’être ensuite rendu là où l’animal avait été vu, et avoir eu la « chance » de le trouver.
« Je l’ai mis en joue, clac je l’ai tué (…) après j’ai eu la satisfaction de le voir mort », déclare-t-il, sans aucun remord, allant même jusqu’à qualifier son tir de « magnifique ».
Cette mise à mort est malheureusement légale et en conformité avec le Plan Loup décidé par le ministère de l’Ecologie, qui autorise des tirs de défense (après des attaques de troupeaux et sous certaines conditions).
La Préfecture du département l’a d’ailleurs confirmé, en écrivant dans un communiqué : « Ce tir a été réalisé par un éleveur détenteur d’un permis de chasser validé et d’un arrêté préfectoral l’autorisant à effectuer des tirs de défense en vue de la protection de son troupeau contre la prédation du loup ».
La louve était aux alentours de la commune d’Entrages (Alpes-de-Haute-Provence), et Pierre-Henri Pélestor, l’éleveur, a réalisé de nombreuses photographies de son « trophé ». Nous n’en reproduisons que deux ici, certaines autres étant vraiment insoutenables.
Des agriculteurs condamnés pour maltraitance sur leurs bovins
Un éleveur d'Augne et sa mère ont été condamnés par le tribunal correctionnel de Limoges à près de 7.000 euros d'amende pour de mauvais traitements sur une partie du cheptel.
Des cadavres avaient été retrouvés parmi les animaux, certains n'étaient pas assez nourris.
Un troupeau de vaches limousines.
Des cadavres de bêtes tout près d'un bâtiment, à l'intérieur, une soixantaine d'animaux sur une épaisse couche de fumier : c'est ce que découvrent les techniciens des services vétérinaires lors d'un contrôle en février 2014.
Dans ce bâtiment de stabulation, ils relèvent de nombreuses irrégularités : des barrières cassées, des abreuvoirs vides et un sol qui n'a pas été curé depuis longtemps.
Trois mois plus tard, des cadavres d'animaux sont même retrouvés parmi les bêtes, piétinés. En tout, l'éleveur et sa mère réunis en GAEC sont poursuivis pour 22 infractions devant le tribunal correctionnel de Limoges. A la barre, l'éleveur se défend mollement.
Il n'avait "pas le temps". Il a été propulsé à la tête de l'exploitation après la mortde son père en 2006 et s'est retrouvé seul, fin 2013, face à plus de 300 bovins, ses deux salariés ayant quitté la société. Sa mère gère ce qui relève de l'administratif. Pour l'avocat des deux agriculteurs, Me Abel Pleinevert, il s'agissait seulement d'une période d'égarement :
"C'est une exploitation qui a subi un certain laisser-aller avec necessité d'intervention des services vétérinaires. C'était un mauvais moment, il faut redresser la barre pour bien gérer l'exploitation"
Un contrôle des services vétérinaires le 3 octobre dernier a permis de noter une amélioration des conditions de vie des animaux. Aucun cadavre n'a été découvert, les animaux disposaient de suffisamment de nourriture mais tous n'étaient pas encore répertoriés.
Ces contrôles répétés ont en tout cas permis de ne pas mettre en danger les consommateurs selon Sophie Pellerin, directrice du service protection-santé animale à la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations : "Le contrôle au niveau de l'élevage a permis de bloquer les animaux et de ne pas les introduire au niveau de la chaîne alimentaire.
Si le contrôle n'avait pas eu lieu, des contrôles sont aussi effectuésen abattoir sur les animaux qui vont être bloqués dans les mêmes conditions."
Ce que demande le cœur qui s’ouvre, c’est cette si rare douceur qui écoute sans s’étonner et ne s’impatiente pas de comprendre. Et c’est pourquoi le langage du cœur, qui se montre souvent incertain, lent et progressif, se règle ainsi sur la façon dont on l’accueille et s’interrompt au premier signe de mépris ou de doute
Un zoo met ses animaux au menu de son restaurant Un parc animalier propose aux visiteurs des mets préparés avec certains de ses pensionnaires.
Les amis des bêtes crient au scandale. Attablée au restaurant du Wildnispark, une cliente a cru à un gag lorsqu’elle a lu le menu. «La viande de cerf provient du parc», peut-on lire en petits caractères. Martin Kilchenmann, porte-parole du parc animalier zurichois, justifie cette pratique.
«Chaque année une centaine de marcassins et de faons viennent au monde. Faute de place, ils sont abattus et finissent dans l’assiette des visiteurs», explique-t-il dans les colonnes du «Landbote».«Je suis extrêmement choquée», lance Ruth Widmer, présidente de la société protectrice des animaux de Horgen (ZH). Idem pour l’association Quatre Pattes.
Elle propose plutôt de prendre des mesures pour limiter les naissances. L’incompréhension est également de mise dans d’autres parcs. Robert Zingg, conservateur au Zoo de Zurich, se dit convaincu que «les visiteurs ne comprendraient pas de trouver la viande de nos animaux dans leur assiette».
Un avis partagé par Roland Bulliard, directeur du Zoo de Servion (VD). Lui aussi est catégorique: jamais il ne mettra un de ses pensionnaires au menu du restaurant. «Pour les espèces difficiles à placer, nous prenons des mesures pour éviter au maximum les naissances et si nous en avons quand même, nous cherchons à faire accueillir les petits dans d’autres parcs», indique-t-il.
Lorsque des animaux trop âgés doivent être abattus, ils sont tirés. Et servent de repas à d’autres bêtes, notamment aux félins.
VISÉ PAR LES BRACONNIERS, UN ÉLÉPHANT SAUVÉ IN EXTREMIS
Des braconniers ont lancé un projectile empoisonné à l'éléphantLa question du braconnage est d’une grande importance au Kenya. En guise d’exemple de la cruauté humaine, mais également du dévouement de certains soigneurs, les événements survenus le 15 septembre dernier au sein du parc national de Tsavo.
Un pachyderme a été pris pour cible par des braconniers, qui lui ont envoyé une flèche empoisonnée dans la patte arrière droite, attendant que le poison ne fasse effet pour venir lui subtiliser ses cornes. Le trafic d’ivoire peut rapporter des fortunes, notamment en le vendant en Asie.
Mais c’était sans compter sur l’intervention des soigneurs du David Sheldrick Wildlife Trust qui ont débarqué en hélicoptère à l’endroit où l’éléphant agonisait. Ils ont réussi à le soigner, retirer l’élément empoisonné et nettoyer la plaie, lui permettant de repartir au sein de la réserve.
Il demeure surveillé par les équipes.C’est dans cette même réserve de Tsavo que Satao, un éléphant réputé pour ses énormes défenses, avait été victime de braconniers en mai dernier. Âgé de 50 ans, lui aussi a été victime de projectiles empoisonnés.
Mark Deeble, documentariste britannique qui suivait Satao depuis plus d’un an, nous en parlait en juin dernier.Le David Sheldrick Wildlife Trust est réputé au Kenya pour son implication dans le sauvetage des éléphants. Ses soigneurs voyagent dans tout le pays pour venir en aide aux pachydermes en danger.
Ce matin-là j'ai effacé de ma vie tous les souvenirs amers... Là, j'ai souri et j'ai compris que je ne serai plus jamais seule pour pleurer.