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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les pires tourments sont intérieurs et la véritable histoire de notre vie se déroule dans le secret des âmes et des coeurs ; là s’écrivent les pages du roman que nul lecteur jamais ne lira.
Une terrible tendance.. Un grand merci aujourd'hui aux partisans BAWA Helen, au sauvetage d'un chien dont les propriétaires semblent penser qu'il s'agissait d'un oiseau ,et l'avait mis dans une cage d'oiseau pendu à un arbre .
Nous avez reçu des rapports comme quoi de plus en plus de gens gardait des chiens de petite taille tels que des Chihuahuas et pékinois dans des cages minuscules, souvent faite pour les oiseaux, avec a peine de place pour se lever.
Dans le cas rapporté par Helen, le chien était cuisson au soleil à certains moments de la journée. Notre photo montre un autre petit chien que Bawa a sauvé récemment de confinement dans une cage d'oiseau sur un piédestal.
Le pauvre chien pouvait à peine bouger. Ben travaille terriblement dur chaque jour pour libérer de façon inhumaine des chiens en cage et enchaînées à Bali. Notre équipe est là en réponse aux rapports et éduquer les propriétaires d'animaux contre la cruauté, jour et nuit, pour obtenir de meilleures conditions pour les animaux.
La crise et les difficultés financières de la filière tauromachique frappent de plein fouet le « mundillo », et en premier lieu les organisateurs de ces spectacles où l’on met en scène sévices graves et actes de cruauté à l’égard de bovins, également dénommés « corridas » !
Le calendrier des corridas (et manifestations assimilées) 2014 en France confirme la tendance de l’année dernière : multiplication des novilladas en lieu et place des corridas traditionnelles.
Si l’argumentation des défenseurs de la corrida met souvent en avant le « courage » du matador, ainsi que l’existence supposée « idyllique » du taureau, qui aurait l’immense avantage selon eux de bénéficier d’au moins 4 années de quasi liberté en pleine nature avant d’être passé au fil de l’épée, les novilladas ou becerradas vont totalement à l’encontre de ces tentatives de justifier la torture et la mise à mort sadique d’animaux innocents.
Les novilladas sont des séances de sévices et de mise à mort destinées aux toreros débutants (les « novilleros ») et surtout aux tout jeunes taureaux de 2 ou 3 ans(les « novillos »).
Pour les organisateurs elles offrent l’avantage d’être évidemment bien moins coûteuses qu’une corrida « standard » : cachets des toreros moins élevés voire même inexistants dans beaucoup de cas (certains tortionnaires mettant même la main à la poche pour pouvoir se produire en public), absence de picadors pour les novilladas dites « non piquées » (et donc personnel en moins), animaux-victimes bien moins chers à l’achat…
Les becerradas vont encore plus loin dans l’abjection.
Cette fois ce sont des taureaux de moins de 2 ans qui sont placés dans l’arène pour y être suppliciés ! Si dans le calendrier public de la saison tauromachique elles sont peu nombreuses, nous ne doutons pas un instant qu’elles soient plus répandues dans le cadre privé, permettant ainsi à des apprentis toreros de « se faire la main », ou à des amateurs prêts à payer le prix de supplicier ainsi eux-mêmes un jeune bovin pour satisfaire leur passion morbide.
Novilladas, becceradas : ces horribles démonstrations représentent d’une certaine façon la « corrida du pauvre », où ces quasi-bébés sont massacrés à bas prix, et où s’effondre le mythe du matador « brave » face à un fauve sanguinaire.
Car ce sont juste des taurillons, bien moins puissants et moins lourds ! Nulle grande bravoure – même imaginaire – dans ces spectacles honteux. Les nombreuses novilladas organisées cette année viennent renforcer notre détermination à en finir avec la corrida et sa culture de la barbarie.
L’invocation des dangers encourus par les toreros, la « vie rêvée » du taureau dans sa pâture ne sont que poudre aux yeux de celles et ceux qui connaissent mal la réalité brutale cachée derrière ces manipulations.
Loin des valeurs réelles de l’honneur et du respect, la filière de la torture animale n’hésite pas à supplicier les plus jeunes et les plus faibles pour le « spectacle » … et pour le plaisir !
Elle est terrorisée .... et combien d'autres comme elle ? ils sont plus de 100 dans cette fourrière mouroir qui ne peut contenir que 60 chiens et encore dans des conditions sordides ....
http://associationmukitza.forums-actifs.com/t10161-dune-femelle-croisee-taille-petite-nee-pascani-en-fourriere
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Je souffre. Je n'arrête pas de souffrir. Et je crois que je n'arrêterai jamais de souffrir. Je ne sais pas quoi faire pour que ça change et ça me bouffe encore plus.
Je pense à toi en permanence, tu sais... A ce nous qui aurait pu exister, qui aurait dû, peut-être. Je ne savais pas que tu allais laisser en moi ce si grand vide que rien ne peut combler.
Je suis triste, je pleure,j'ai mal. Mon ♥ cogne dans ma poitrine. Le chagrin me vide, presque fantomal. Mes heures teintées d'humeur chagrine,déchirure dans mon âme .Hurlant ma peine et le destin récriminer. Avenir de ténèbres aux étoiles .L'adieu est douleur dans l'amour dispenser...
Agir - Chiens errants : 30 Millions d’Amis en Roumanie (Vidéo)
En Roumanie, les chiens errants sont considérés comme indésirables par la population et les autorités.
Sur place, 30 Millions d’Amis apporte son soutien à Nina, une jeune vétérinaire allemande qui se bat pour les sauver d’une mort certaine.
Vous avez été nombreux à vous indigner devant le véritable massacre dont sont victimes les chiens errants en Roumanie depuis l’automne 2013 et le durcissement des lois gouvernementales souhaitées par le président en exercice, Traian Basescu.
Les caméras de 30 Millions d’Amis ont suivi, pendant une semaine, les défenseurs des animaux qui s’élèvent pour dénoncer ces euthanasies massives. Parmi eux, Nina Schöllhorn, une jeune vétérinaire qui se bat quotidiennement pour leur venir en aide.
« En Roumanie, l’euthanasie d’un chien est autorisée après 15 jours de fourrière seulement si l’animal n’a pas été adopté. Les animaux sont entassés dans des refuges délabrés où ils sont confrontés à une mort lente et horrible » explique la jeune femme.
Cette politique d’extermination, régulièrement dénoncée par les associations de protection animale roumaines et étrangères, aurait déjà fait des milliers de victimes.
« Refuges surchargés »
Très mal considérés par la population, les chiens errant sont omniprésents en Roumanie. Pour la seule ville de Bucarest, la capitale, ils sont estimés à 60 000. Dépassées, les autorités se sont emparées d’un fait divers, en septembre 2013, pour justifier leur politique d’éradication des chiens errants : un chien accusé d’avoir tué un enfant dans un parc de la ville.
Quelques jours après, les députés roumains adoptent, à une écrasante majorité, une législation particulièrement cruelle à leur encontre.
Par ailleurs, le texte oblige les propriétaires d’animaux à stériliser leur animal : « C’est une bonne mesure, analyse Nina, mais qui cache ici un effet particulièrement pervers.
Beaucoup de Roumains vivent dans la misère et n’ont pas les moyens de faire opérer leur animal… Ils abandonnent les portées non désirées devant les portes des refuges déjà surchargés ».
La jeune femme mène des campagnes de stérilisation dans des refuges municipaux comme celui de Suceava, au Nord-Est du pays. Les chiens sont pris en charge et opérés pour que leurs populations soient régulées sans avoir recours à l’euthanasie. « Nous stérilisons environ une vingtaine de chiens chaque jour, explique la jeune femme.
Et nous profitons de cette occasion pour faire un examen vétérinaire complet et détecter d’éventuelles tumeurs, hernies… et soigner les blessures ».
Car parmi les chiens pris en charge, nombreux ceux qui portent les stigmates de la maltraitance : « La plupart des chiens vivent dans de mauvaises conditions, explique Nina.
Certains vivent attachés ou enfermés dans des chenils sales, avec une nourriture de mauvaise qualité, aucun soin vétérinaire, et personne ne leur porte la moindre attention ».
Aide financière de la Fondation Grâce au soutien de plusieurs organisations - dont celui de la Fondation 30 Millions d’Amis - Nina peut continuer ce travail de longue haleine, même si elle a conscience de l’ampleur de la tâche.
Et elle peut compter sur une partie de la population locale, révoltée par ces euthanasies massives : « Il y a des gens qui aiment vraiment leurs chiens et qui en prennent soin, témoigne-t-elle. Dans certaines villes, notre travail est bien accueilli et nous coopérons même avec les autorités locales ».
Pourtant, devant le nombre d’animaux en souffrance, Nina n’hésite pas à acheminer des chiens en Allemagne, son pays natal, où ils ont davantage de chances d’être adoptés.
La Fondation 30 Millions d’Amis soutient cette campagne de stérilisation à hauteur de 4 000 euros.
Elle relaie par ailleurs la Journée internationale contre le massacre des chiens de Roumanie, qui se tiendra le 17 mai prochain dans un certain nombre de grandes villes, à l’instar de Paris, Strasbourg, Caen, Lille, Toulouse ou encore Clermont-Ferrand.
En 2013, Audrey, membre de Pro Anima, jeune étudiante en Master recherche et philosophie, s'est infiltrée dans plusieurs laboratoires français.
Elle a témoigné pour Pro Anima des atrocités qu'elle y a vues. Voici quelques extraits de son témoignage :
« En France aujourd'hui : les animaux "travaillent" pour nous. C'était de loin la pratique qui me paraissait la plus intolérable entre toutes celles, pourtant bien cruelles, que l'homme réserve aux animaux :
l'expérimentation animale, pour la nommer telle que les scientifiques la nomme. Cette pratique revêtait pour moi un flou aussi mystérieux que monstrueux.
Ce que j'ai vu
Pendant plus d'un an j'ai pu rentrer, non sans mal, dans les laboratoires qui expérimentaient sur les animaux en France. La communauté scientifique n'aime pas montrer les animaux avec lesquels elle travaille.
Oui, "travaille" : c'est cette sémantique utilisée par les chercheurs qui m'a surprise. Les primates, par exemple, souvent des macaques rhésus, se voient complètement immobilisés dans des chaises en métal où leurs membres et leur cou sont bloqués, et leur cerveau relié directement à des appareils de mesure : ces dispositifs, très impressionnants, et dans lesquels je vous assure que personne n'aimerait être attaché, s'appellent des "chaises de travail".
Elles sont utilisées pour canaliser les mouvements des singes, et éviter qu'en ne bougeant ils ne se fassent mal (comprenez : qu'ils ne s'arrachent tout ce qui relie leur cerveau au dispositif extérieur). De même, les expériences sont appelées "séances de travail",(...) il s'agit de voir dans les expérimentations sur les animaux un processus qui n'aurait rien de culpabilisant pour les scientifiques qui le pratiquent, et qui serait même légitime pour les animaux.
On les nourrit et on les entretient en échange de leur travail . Or, considérer que les animaux qui subissent les expérimentations scientifiques "travaillent", c'est oublier qu'ils sont contraints de subir ces expériences.
Deux objections m'ont alors été faites par les scientifiques :
celle d'abord de dire que les humains non plus ne choisissent pas tous leur travail, et que, comme pour nous, il existe aussi des injustices de situations pour les animaux.
Ensuite, qu'il existait aussi des expériences basées sur la récompense, appelées "travail volontaire"(…)
Comment des rongeurs se soumettraient volontairement aux expériences de nages forcées ?
Ou encore aux expériences de stress face à des congénères agressifs et dominants, sans issue possible ?
Ceci m'a permis de conclure que l'approche par le travail des animaux et leur consentement, souvent utilisé par les "expérimentophiles", s'avère finalement être un contre-argument.
Aucune récompense ne compenserait la souffrance, le stress et la privation de liberté inhérentes aux expériences. C'est pourquoi l'immense majorité des expériences ont lieu sous la contrainte, et que si l'animal ne s'y soumet pas, un choc électrique le remet en place.
Vous parleriez de travail vous, si vous receviez plusieurs chocs électriques par jour, ou bien vous parleriez de sévices ?
C'est peut-être en ces termes qu'il faut penser la question du travail dans l'expérimentation animale. Et se méfier des termes qu'on nous livre pour décrire cette réalité. » Un point sur la situation C’est une bien triste réalité que nous décrit ici Audrey... Les derniers chiffres font état de 11,5 millions d'animaux tués à des fins scientifiques dans les laboratoires européens.
La France fait figure de triste championne avec le chiffre le plus important pour un seul pays : 2,2 millions. Parmi ces animaux, des rongeurs mais aussi des milliers de chiens et de chats... Il faut continuer à se mobiliser !
Les actions récentes de Pro Anima Pro Anima vient de demander récemment à l'AFM Téléthon de faire sa « révolution éthique » en stoppant les expériences sur les chiens et en développant urgemment les alternatives.
Pro Anima continue en parallèle ses actions de lobbying et de communication : courriers, participation à des salons, etc. L'association sera présente aux journées
Portes Ouvertes du Parlement Européen le 4 mai prochain pour militer directement au cœur du pouvoir européen. Comme dénoncer ne suffit pas, Pro Anima mène aussi une action de soutien concret à la recherche alternative : la seule réellement éthique, sans souffrance animale, au service de l'homme.
Pour l'année 2013, plus de 15.000 euros ont déjà été collectés et remis aux laboratoires partenaires dans le cadre de la recherche contre le cancer du poumon dans le cadre du Fonds EthicScience, que vous pouvez également soutenir sur Clic Animaux !
http://www.clicanimaux.com/association-27-pro-anima
QUI VIENT le 7 JUIN??????
C'EST IMPORTANT D'APPORTER SA VOIX ET DE FAIRE BOUGER LES CHOSES.....
C'EST ENSEMBLE, QU'ON Y ARRIVERA, LES LEVRIERS ONT BESOIN DE NOUS....
MERCI