Le mal-être … Le mal qui me ronge va me faire mourir .Je ne peux le dévoiler car c'est interdit. Il n'y a que dans mes songes que je peux en sourire.Que c'est bon de rêver tout en étant sans vie. Un jour peut être le délire m'emportera vers un autre désir. Celui de courir au lieu de mourir.

C'est mon quotidien depuis ma naissance. Mon ♥ est trop grand pour apprendre à me méfier de toutes ces connaissances .Je n'ai pas de plan pour ne pas me faire manipuler. Je vais me relever avec prudence et mon ♥ sera moins dépendant. Tous ceux qui sont entrés dans mon ♥ même en faisant semblant y resteront à jamais, malgré la souffrance je serre les dents

On ne t'as pas compris. On te détruit .Tous ces mots dans ton dos,par vengeance,par intolérance,te donne envie de ne plus être en vie. Qu'est-ce que tu as fait pour le mériter. Tu n'en peux plus de tous ces intrus qui se disent amis et qui s'enfuient sans explications,sans vraies raisons

La Patience ... Que c'est long .Ca ronge de l'intérieur pour entrevoir l'extérieur. La petite flamme qui vacille grandira dans nos vies. Il faut être fort

Mon langage doit-être étrange. Personne ne le comprend.

Violences

Je viens de comprendre la définition. Au fond de moi je le savais .J'en ai eu confirmation .C'est un traumatisme aussi fort que physique. L'humiliation,les reproches .Les interdictions,les préjugés sont des sévices .Ils sont moins reconnus que les plaies ou les fractures. Ils sont invisibles. Enfermés,isolés dans notre cage "dorée" . J'ai été aveugle. Pour le bien des "autres" .Mais maintenant j'ouvre les yeux .C'était un mauvais exemple pour eux.

Tu parles,parles,parles. Mais tu n'entends pas que je cris. Tu n'entends pas pleurer mon ♥.Tout ce qu'il a mal. Que ce n'est pas une vie d'avoir toujours peur. Si tu m'avais écouté

Chaque individu que l'on croise a déjà vécu un traumatisme au moins une fois dans son existence mais certains le cachent mieux que d'autres. Soit parce qu’ils sont forts, soit parce que leur douleur n'a pas été respectée et que pour garder intact le goût de la vie, il leur a fallu faire abstraction de leur propre histoire afin de pas gêner les autres

Les zoos ont toujours posé une certaine forme de problème pour les amoureux des animaux... D'un côté, beaucoup d'entre eux font un travail formidable, en tant que dernière refuge pour des espèces menacées, représentant ainsi une forme d'espoir et s'engageant pour que les gens en apprennent plus à propos des animaux, de la vie sauvage et des programmes de conservation.

De l'autre côté cependant, il y a aussi des zoos qui agissent uniquement dans un but financier, au détriment des bêtes mises en cage, mal soignées et mal traitées, des lieux dans lesquels aucun effort n'est fait pour proposer des habitats confortables dans lesquels les animaux pourraient se sentir en sécurité.

C'est ainsi que des photographes spécialisées se sont donnés pour mission de révéler ces failles. c'est le cas de Gaston Lacombe, qui s'est promené autour du globe et a récolté les clichés suivants, afin de documenter ce propos.

Ce sont des photos simplement époustouflantes, très fortes en émotions, qui n'ont qu'un seul message: voilà à quoi ressemble, trop souvent, la captivité... "

J'ai vu de nombreux zoos faisant de gros efforts pour offrir aux animaux des conditions de vies adéquates, mais souvent cela ne s'applique qu'aux espèces qui intéressent les visiteurs, celles qui rapportent le plus. A l'autre bout du spectre, il y a des zoos qui ne sont rien de plus que des endroits de torture pour animaux, et qui devraient être fermés immédiatement," indique ainsi le photographe.

L'idée ? Ce n'est pas de fermer tous les zoos mais de faire en sorte qu'ils restent des endroits dans lesquels les visiteurs peuvent s'instruire, et pas au détriment des animaux. On vous laisse découvrir ces images poignantes, crues et parfois très dures, et nous dire ce que vous en pensez...

Ce genre d’individu est partout, il pourrait même être votre voisin. Bradley Robertson à 27 ans et habite le Royaume Uni. Il a été surpris par une caméra de surveillance placée dans l’ascenseur maltraitant son chien en le suspendant en l’air, prêt à l’étrangler puis lui donnant des coups. Pour sa défense, l’homme a prétendu qu’il s’agissait pour lui de punir son chien qui avait uriné dans l’ascenseur ce qui n’était pas la première fois. Le petit Yorkshine lui a été retiré et a été confié à une association. Il a été reconnu coupable d’avoir causé des souffrances inutiles et s’il a échappé à la prison, il a été condamné à une interdiction de posséder un animal durant 5 ans et à une amende de 560 livres.