Ce que le "A", ce que le "I", Ce que le "O", ce que le "E". Ces translucides voyelles décrivent mieux, cette longue nuit qui étale son manteau-tristesse

Urgence pour les éléphants

Braconnage, criminalité, réseaux terroristes…

A ce rythme, l’éléphant d’Afrique aura disparu d’ici 10 ans ! Mi-mars 2013, alors que s’achève la 16ème conférence des parties à la CITES, 89 éléphants, dont 33 femelles gestantes et 15 éléphanteaux, sont massacrés par des braconniers près de la ville de Gamba au sud du Tchad.

Depuis quelques mois, les tueries se multiplient faisant toujours plus de victimes (300 éléphants massacrés en février 2012 au parc national camerounais de Bouba N’Djida), les braconniers armés interviennent rapidement, arrachent les défenses à la hache en abandonnant les éléphanteaux parfois trouvés encore vivants, prostrés, contre le cadavre de leur mère.

Nouveau plan d’action

A Bangkok, lors de la CITES, un plan d’action pour l’éléphant d’Afrique a été adopté qui impose aux pays où des stocks d’ivoire sont saisis (Chine et Thaïlande notamment), de procéder à des tests ADN afin de retracer l’origine de l’ivoire et les populations d’éléphants braconnées…

Toutefois, ces mesures sont très insuffisantes, inappropriées, face à l’urgence d’une intervention de terrain pour assurer la protection des derniers troupeaux d’éléphants.

Il resterait entre 420 000 et 650 000 éléphants en Afrique.

En 2011, 25 000 ont été tués par des braconniers et probablement plus de 30 000 en 2012.

Une étude, publiée début mars dans la revue scientifique PLoS One, précise que 62 % des éléphants de forêt ont été abattus pour leur ivoire au cours des dix dernières années (au Gabon principalement). A ce rythme, les populations d’Afrique centrale pourraient avoir disparu en 2025.

Brigitte Bardot en appelle aux forces françaises

Le 26 mars 2013, la Présidente de la Fondation Brigitte Bardot sollicite l’aide du Président de la République pour une coopération des forces françaises, présentes en Afrique, avec les brigades locales de lutte anti-braconnage. Il s’agit de combattre des groupes armés qui massacrent des troupeaux entiers d’éléphants, tuent les gardes nationaux chargés de protéger la faune.

Cette guerre de l’ivoire finance désormais des réseaux terroristes, le groupe de travail d’INTERPOL sur la criminalité liée aux espèces sauvages a tiré la sonnette d’alarme mais les moyens doivent être donnés pour lutter à armes égales contre les trafiquants. Dès sa création, la Fondation Brigitte Bardot a soutenu la lutte anti-braconnage en équipant des gardes du Sénégal, du Mali ou encore du Tchad.

Pour certains de ces pays elle s’est rapprochée, via le ministère de la Défense, des forces françaises présentes sur le terrain afin d’obtenir du matériel réformé. Des appareils de transmission, des tentes et autres équipements militaires avaient été offerts par l’armée française, la FBB finançant de son côté l’achat de plusieurs véhicules d’intervention.

C’est pourquoi Brigitte Bardot a sollicité l’aide de François Hollande :

"Ma Fondation finance un projet d’orphelinat pour éléphanteaux au Tchad afin de soigner ces jeunes victimes, elle soutient également la création d’espaces protégés et de corridors pour limiter les conflits homme/animal, mais tous nos efforts sont réduits à néant si le monde ne prend pas la mesure des combats qui ensanglantent actuellement l’Afrique.

Monsieur le Président, les forces françaises sont présentes dans plusieurs pays où le braconnage finance des réseaux terroristes. La coopération de notre armée est indispensable, elle peut passer par des dons en matériel ou une participation active des troupes, l’important est d’agir aux côtés des brigades qui luttent contre le braconnage." Braconnage sans précédent

Le 7 mai, François Hollande répond à Brigitte Bardot (extraits) :

"La violence générée par ces exactions, qui en outre contribuent à alimenter financièrement le crime organisé et les groupes armés sévissant dans ces régions, est inacceptable. La France est ainsi prête à apporter son concours aux autorités nationales confrontées à ce phénomène aux impacts humains et écologiques désastreux, face auquel elles se trouvent de plus en plus démunies …/… C’est pourquoi j’ai souhaité que tous les services compétents, relevant du ministère des Affaires Etrangères, de l’Ecologie, mais aussi de l’Intérieur et des Douanes, coordonnent leurs efforts pour apporter un appui renforcé à la lutte contre le braconnage dans les régions concernées, et contre le trafic illégal d’ivoire, sur place et en France. Une réunion d’information et de concertation avec les ONG compétentes sera organisée très prochainement, à laquelle bien entendu votre Fondation sera conviée".

Le gouvernement mobilisé Le 31 mai, la Fondation Brigitte Bardot participe donc à une importante réunion de travail dont l’objectif est de faire un point sur la recrudescence du braconnage, les difficultés rencontrées sur le terrain, les réseaux impliqués, etc.

L’autre objectif de cette réunion est d’identifier les actions concrètes qui peuvent être menées par les autorités françaises dans la lutte contre le braconnage.

Une mission, conduite par Nicolas Hulot, se rend dans plusieurs pays d’Afrique centrale durant la deuxième quinzaine de juin pour rencontrer les organisations, autorités et conservateurs locaux, un travail qui devra aboutir à la mise en place d’un plan de sauvegarde de l’éléphant (et autres espèces victimes du braconnage).

Echanges fructueux avec le Chef de l'Etat Pour ne pas reprendre, ici, la teneur des échanges entre le Président François Hollande et la Présidente de la Fondation Brigitte Bardot, nous avons intégré à cette page (colonne de gauche) les dernières correspondances et vous invitons à en prendre connaissance.

5 décembre 2013 - A l'initiative de l'Elysée, 20 pays africains participent à une table ronde sur la lutte contre le braconnage L'engagement de François Hollande auprès de Brigitte Bardot a été tenu (même s'il est nécessaire d'aller bien au-delà des premières mesures annoncées pour assurer une protection réelle des espèces menacées).

Outre la table ronde organisée le 5 décembre, avant le sommet franco-africain, qui réunit de nombreux Chefs d'Etat, ministres, et qui doit aboutir à la présentation d'une déclaration commune visant à mettre en place une politique de lutte contre le braconnage, la France a présenté un plan d'action national particulièrement ambitieux. Déclaration commune des Etats africains et plan d'action national contre le braconnage

Parmi les différents points présentés dans le plan d'action du gouvernement, il y a un renforcement des amendes pour le trafic d'objets CITES (ivoire notamment) avec des peines multipliées pour mettre la lutte contre le braconnage au même niveau que la lutte contre le trafic de drogue. Idem pour les OPJ (officiers de police judiciaire) qui auront les mêmes prérogatives pour lutter contre ces trafics (espèces CITES comme stupéfiants).

La lutte contre le trafic des espèces protégées est donc, désormais en France, élevée au rang de lutte contre la criminalité. Par ailleurs, le ministre de l'Ecologie et Nicolas Hulot doivent annoncer la destruction, dans les six mois, des stocks d'ivoire toujours présents en France. Réaction de la Fondation Brigitte Bardot "La promesse de François Hollande n'était pas du flan, contrairement à celles non tenues par ses prédécesseurs.

Nous nous réjouissons de voir la lutte contre le trafic des espèces CITES élevée au niveau (et avec des moyens comparables) de la lutte contre le trafic de drogue. Toutefois, il faut aider plus directement les gardes qui luttent contre les braconniers en apportant un soutien logistique et matériel des forces françaises présentes en Afrique.

Nous nous réjouissons de l'engagement du ministre de l'Ecologie à défendre la préservation de la biodiversité africaine mais attendons qu'il s'engage, de la même manière, à la préservation de la biodiversité européenne en menant désormais une politique de protection et non plus d'abattage des loups."

Les valeurs de Noël sont universelles. Chacun sur la terre a besoin de chaleur, rêve d'un foyer, aspire à l'amour et épice sa vie d'un zeste de merveilleux. De la lampe d'Aladin au Père Noël en passant par le trèfle à 4 feuilles, nous rêvons tous d'une part de sublime ou de magique dans notre existence.

Bienvenue dans mon ♥, désolé pour le décor, le dernier visiteur l'a pas mal foutu en l'air....

Bébé gorille sauvé des braconniers! il suffit de regarder la peur dans ses yeux!

Souvent impunis ou très peu condamnés, les organisateurs de combats de chiens perpétuent leurs actes de cruauté aux quatre coins du monde, forçant des chiens à combattre malgré eux.

Mais à West Chester, aux États-Unis, un homme vient d’être condamné jusqu’à 15 ans de prison ferme pour avoir organisé des combats de Pit Bulls au domicile familial, sous les yeux de ses enfants.

L’enquête avait débuté il y un peu plus d’un an et avait conduit les policiers au domicile de Shane Santiago et de sa compagne Laura Acampora, en Pennsylvanie aux États-Unis.

Les enquêteurs ont été alertés après la découverte de Pit Bulls morts et mutilés, dont l’un brûlé, et lâchement abandonnés au bord de la route. L’homme était également impliqué dans un réseau de revente de stupéfiants.

Devant les nombreuses preuves, les policiers ont arrêté le couple barbare qui a été condamné pour l’organisation des combats de Pit Bulls à leur domicile sous le regard de leurs cinq enfants.

Jusqu’à 15 chiens pouvaient vivre simultanément au domicile familiale. Les Pit Bulls étaient élevés et entraînés pour combattre jusqu’à la mort. De nombreuses preuves ont été trouvées à leur domicile dont un ring servant à organiser les combats, un tapis roulant pour entraîner les chiens ainsi que divers objets servant à dresser les chiens au mordant et au combat.

Attorney Tom Hogan, du district de Chester, décrit le domicile: La maison des horreurs pour les chiens qui ont vécu là-bas.

Au moins 10 Pit Bulls seraient morts dans les combats de chiens et ensuite lâchement jetés le long des routes.

Lors du procès, le juge Thomas G. Gavin a été intransigeant : Je ne peux pas concevoir que quelqu’un ne puisse pas avoir de sentiments bienveillants à l’égard des animaux.

Je ne peux pas imaginer que n’importe quel animal puisse être détenu à des fins de combats.

Cela est complètement inconcevable pour moi. Shane Santiago, âgé de 34 ans, a été condamné distinctement de cinq ans et demi à onze ans de prison ferme pour actes de cruauté sur animaux et l’organisation des combats de chiens et de deux à quatre ans pour les charges liées à la drogue.

Les chefs d’inculpation retenus étant les multiples actes de cruauté sur animaux, la mise en danger de la vie d’enfants, l’association de malfaiteurs et la possession de drogue dans l’intention de la distribuer.

Sa compagne, Laura Acamparo, a été condamnée de 11 mois et demi à 23 mois de prison ferme pour son implication et son rôle dans les combats de chiens mais également pour avoir laissé leurs enfants assister aux combats et à la mort de nombreux chiens. Le couple a été incarcéré à la prison du comté de Chester.

Six Pit Bulls ont été sauvés de « la maison des horreurs » et les cinq enfants ont été placés dans des familles d’accueil, dans l’espoir que tous connaissent enfin l’amour et une vie sans violence ni barbaries.

Des condamnations exemplaires, même si c’est encore peu à la vue des nombreux chiens morts, blessés et torturés.

Ces condamnations reflètent la volonté des États-Unis à enrayer et stopper les combats de chiens.

Plus tôt cette année, une opération conjointe du FBI, des polices d’état et des associations de protection animale avait permis l’arrestation de douze personnes et le sauvetage de 367 Pit Bulls

Cette vidéo a été filmée par le refuge Albergue Residencia El Olivar, le refuge de l’association ACUNR de Madrid.

Elle vous montre des exemples de ce que l’on nomme les galgos traumas.

Regardez bien le galgo blanc sur la vidéo et vous comprendrez ce qu’est la peur chez un galgo.

Puisse cette vidéo éviter les trop nombreuses adoptions compulsives qui finissent par une petite annonce sur le bon coin ou bien celles qui finissent sur de fausses bonnes raisons.

En ce moment même Ils empêchent la chasse à courre !

– Depuis 9h30 ce matin, une cinquantaine de citoyens bloque les accès au chenil de Folembray, un des chenils les plus importants de l’Aisne, qui appartient à une société de chasse à courre picarde, le Rallye Nomade.

Ce mouvement citoyen pacifique fédère des activistes venus de tous les horizons : défenseurs de la forêt et de la biodiversité du collectif Forêt Vivra, altermondialistes du collectif des Désobéissants, militants de diverses associations de défense des droits des animaux.

Des chaînes et autres dispositifs de blocage ont été installé pour empêcher le départ des chiens. Les activistes réclament d’une seule voix l’arrêt immédiat de la chasse à courre, cette pratique archaïque réservée à quelques privilégiés (15000€ la chasse) hautement destructrice de l’équilibre végétal et animal de la forêt.

Au cœur de la forêt de Saint Gobain, dont le relief change quotidiennement du fait d’une exploitation intensive et abusive, deux fois par semaine, les cerfs sont traqués jusqu’à épuisement, y compris pendant leur période de reproduction (de septembre à novembre).

Même destin pour les chevreuils, sangliers, lièvres et renards. Les corps sans vie finiront à la poubelle, leur course effrénée et le stress engendré rendant leur chair impropre à la consommation.

Á cette souffrance infligée par plaisir viennent s’ajouter des dommages collatéraux : animaux blessés sur le chemin de la meute par les chevaux des cavaliers et les chiens réduits à la condition d’arme vivante, nuisances sonores en forêt comme en ville, et dégradation des sentiers forestiers par le défilé des 4×4 des chasseurs.

Par conséquent, pour le collectif Forêt Vivra comme pour les autres participants, « il n’existe qu’une seule solution : l’arrêt total et immédiat de la chasse à courre, cette pratique qui bouleverse en profondeur la forêt dans son ensemble ».

Un grand bravo à tous ces défenseurs de la nature!!!

Elle avait supporté 10h de tests pour démontrer ce que subissent les animaux dans les laboratoires (Électrodes sur la tête et les yeux, injections de liquide irritant et de substances toxiques, obligation d'avaler des aliments etc...)

Elle s’appelle Jacqueline Traide. 

Traitement brutal de la femme, 24 ans, alors qu'elle est soumise à 'essais sur les animaux »en face des acheteurs horrifiés Jacqueline Commerce.Ministère injections gavés et donné à Regent St magasin de Lush Yeux flux de irritant et bras saigne quand elle tente de résister aiguille Humilié et retenu pendant dix heures en signe de protestation contre l'expérimentation animale Spectateurs choqués s'arrêtent pour prendre des photos et des vidéos sur leurs téléphones mobiles. Au moment où il avait fini cuillère alimentaire dans sa gorge, elle a été un étouffement et essayant de se libérer.

Pour les dix heures suivantes, cet attrayant, 24 ans, artiste a reçu des injections, avait la peau abrasée et étouffé dans les lotions et potions - alors enduré ayant une bande de cheveux ras devant des spectateurs ébahis dans l'un des plus fréquenté de Grande-Bretagne rues.

Et quelque part ailleurs dans le monde, peut-être dans un laboratoire effectuant des tests pour un nouveau mascara cher, un animal sans défense était soumis à exactement le même traitement. La différence était que Jacqueline - humilié publiquement, grelottant de froid et de soins de la peau rouge crue sur sa joue - était libre de rentrer à la maison quand l'expérience a pris fin.

L'animal aurait subi une mort misérable. Jacqueline volontaire pour son rôle dans la performance délibérément choquantes pour souligner une campagne visant à attirer l'attention sur la douleur et la cruauté infligée aux animaux lors des tests de laboratoire sur les cosmétiques.

Vêtus de rien, mais un corps bas de couleur chair, elle a été mise sur l'affichage dans la vitrine de la succursale de Lush cosmétique magasin de Regent Street, à Londres, à remettre en vigueur les tests couramment utilisés.

La chaîne 'sans cruauté' aide à mener une campagne de Humane Society International pour mettre fin à des tests cosmétiques sur les animaux.

Des milliers de clients, les touristes et les employés de bureau ont assisté à Jacqueline, un étudiant de sculpture sociale à l'université d'Oxford Brookes, étant plus ou moins malmené et administré par l'artiste de la performance Oliver Cronk, habillé comme un technicien de laboratoire presse-papiers jusqu'aux dents.

Ses yeux coulaient d'un irritant il a pulvérisé dans les intervalles et son bras a commencé à saigner quand elle a lutté pour résister à une injection. Peut-être le moment le plus surprenant, c'est quand il saisit sa tête et tondeuses électroniques, afin de raser une large bande de son cuir chevelu - pratique courante dans les laboratoires où des moniteurs ou des électrodes doivent être attachés à la peau d'un animal. Les passagers tendirent de bus à toit ouvert que les passants ont filmé de téléphone mobile de ce spectacle - avant de signer une pétition ou tout simplement en tournant et en s'éloignant. Jacqueline, qui semblait nerveux quand je lui ai parlé avant elle prend position, est resté muet tout au long de son calvaire - mais a donné la nette impression que pas toute sa douleur était un acte.

Elle m'a dit: «J'espère que ça va planter la graine d'une nouvelle prise de conscience chez les personnes de vraiment commencer à penser à ce qu'ils vont acheter et ce qui se passe dans sa production. Quelques instants plus tard, quelqu'un fixée la corde autour de son cou. Directeur de campagne luxuriante Tamsin Omond dit: «Ce qui est ironique, c'est que si c'était un briquet dans la fenêtre et on nous a fait toutes ces choses, nous aurions la police et RSPCA ici en quelques minutes.

Mais quelque part dans le monde, ce genre de chose se passe à un animal toutes les quelques secondes en moyenne. La différence est, il est normalement caché. Nous devons rappeler aux gens qu'il est toujours en cours. '

Les scientifiques ont longtemps utilisé des animaux de laboratoire pour des tests médicaux et des médicaments et continuera de le faire. Mais bien que l'expérimentation animale pour les cosmétiques a été interdite dans l'UE il ya trois ans, il est encore légal en Grande-Bretagne pour vendre des produits testés sur des animaux dans d'autres parties du monde, y compris aux Etats-Unis et au Canada.

En Chine, ces tests est une obligation légale. Porte-parole de la Humane Society Wendy Higgins a déclaré qu'il était «moralement impensable» que les entreprises cosmétiques devraient continuer à tirer profit de la souffrance animale, ajoutant qu'il pourrait y avoir «aucune justification pour soumettre les animaux à la douleur à cause de la production de rouge à lèvres et fard à paupières.

Dr Chris Flower, directeur général des cosmétiques, produits de toilette et de l'Association Parfumeries (CTPA), a déclaré: «Les gens ont peut-être été compréhensible choqué par le coup de pub organisé par Lush dans leur vitrine Regent Street récemment. «Il peut donner l'impression trompeuse que les produits cosmétiques sont testés sur les animaux pour la vente en Europe alors que les tests de produits cosmétiques sur les animaux a été interdite en Grande-Bretagne en 1998 et en Europe en Septembre 2004.

«Il a été établi par le comité d'experts scientifiques de la Commission européenne que la sécurité d'un produit fini peut être déterminée par la connaissance de ses ingrédients. Tester le produit sur des animaux n'est pas nécessaire. «L'industrie des cosmétiques a été à la pointe de la recherche d'alternatives et a conduit au développement de nombreux tests de sécurité non-animaux qui sont maintenant couramment utilisés pour ses ingrédients.

«C'est l'industrie des cosmétiques qui est en train de promouvoir l'utilisation de ces solutions de rechange dans les pays qui exigent actuellement l'expérimentation animale. «Il est dommage que Lush a choisi de mener cette campagne dans un pays où les tests de produits cosmétiques sur les animaux est interdite et qui a les plus strictes dispositions de protection des animaux concernant l'utilisation des animaux à des fins scientifiques partout dans l'UE.

«Il est dommage que la campagne s'adresse à une industrie qui a fait plus que tout autre pour développer et promouvoir l'utilisation de solutions de rechange.

La vidéo http://www.youtube.com/watch?v=3TWjjm6AI00

On naît tous avec un petit bagage, même si au départ ce n'est qu'un drap de soie. Il nous enveloppe et parfois à vie. En grandissant, il fait partie de notre peau, comme une seconde peau... Il y a des moment où l'on mue et l'on perds des bouts de soi, sur le chemin de la vie, l'on se perds à l'encontre des chemins. Ces larmes qui s'écoulent en nous, nous désincarne