Un cochon, derniers instants avant l'abattage. Qui sommes-nous en tant qu'êtres humains si nous ignorons non seulement la souffrance des autres, mais la créons ???

La première et la seule fois où un humain a été gentil avec lui . Laissez les animaux hors de votre assiette !

LES DERNIERS MOMENTS  Deux êtres innocents se blottissent l'un contre l'autre pour se réconforter en attendant d'être massacrés. Veuillez ouvrir les yeux. Arrêtez la cruauté envers les animaux . La "viande" est un meurtre

Veau nouveau-né, à peine capable de se tenir debout, obligé de marcher jusqu'à son propre abattage ... C'est la réalité des produits laitiers. Qu'il s'agisse d'une ferme industrielle ou familiale, le résultat final est le même. Le mot «élevage» est un mot qui ne devrait jamais coïncider avec un individu.

Tribune : Les enfants, victimes collatérales des violences de la chasse

 Scandalisés par une vidéo de chasseurs forçant un enfant à tuer un renardeau, des psychologues, professionnels de la protection de l’enfant, philosophes, juristes, scientifiques et artistes s’insurgent et dénoncent ce déchaînement de violence.

Plus de 180 signataires ont déjà rejoint le mouvement. Scène de déterrage ordinaire : des chasseurs extirpent brutalement des renardeaux de leur terrier et les tuent à coups de pince sur la tête devant deux enfants de 5 et 12 ans.

Ils imposent au plus grand de frapper lui-même un renardeau à mort, au milieu des rires. Le jeune garçon n’y arrive pas. Au sol, le petit animal agonise en agitant les pattes. C’est ce que nous révèlent les images d’une enquête de l’association One Voice. Apprendre à un enfant à tuer de la sorte un animal, c’est aussi tuer quelque chose de précieux et fragile à l’intérieur de lui-même : sa sensibilité envers le vivant, sa façon d’être au monde.

Nous ne pouvons nous résoudre à accepter sans mot dire de telles violences physiques et psychologiques infligées aux plus vulnérables, qu’ils soient humains ou non humains, notamment au cours des parties de chasse. Pour ces enfants la banalisation de la violence, l’incitation à infliger des souffrances à un être sensible, sont autant de causes reconnues de traumatismes aux séquelles lourdes.

Les animaux occupent une place particulière dans le développement des jeunes humains : lorsqu’ils parlent des animaux , leur vocabulaire est plus étendu que sur d’autres sujets. Les enfants dont les compagnons familiers sont victimes de mauvais traitements sont traumatisés, et ceux qui ont été témoins de violences commises envers les animaux présentent plus de risques de les imiter. Ils s’avèrent également plus à risque de commettre des violences envers des humains.

De témoin à victime, de victime à auteur, ce Lien indéniable est reconnu et étudié dans de nombreux États. La force de ce Lien statistique a conduit plusieurs agences publiques à travers le monde (dont le FBI aux États-Unis) à porter leur attention sur la manière dont les gens traitaient les animaux  afin de déceler ou d’analyser les violences envers les personnes. Nous devons nous en inspirer. Nous demandons :

1 – L’interdiction de faire participer des enfants à une chasse. La violence n’est jamais un exemple, quelle qu’en soit la victime. Instrumentaliser un enfant pour la pratiquer ne doit plus être autorisé.

2 – La reconnaissance dans le droit français de la sensibilité des animaux sauvages et libres, afin que cessent les souffrances que la faune subit en toute impunité.

3 – L’instauration de cours dédiés à la sensibilité animale et à l’apprentissage de l’empathie pour les animaux dans les programmes scolaires, car nous sommes convaincus qu’il existe bien d’autres manières de considérer le vivant à transmettre à nos enfants. L’empathie et la bienveillance en font partie.

Grâce à Isa Bredt, une Hollandaise de 22 ans, de nombreux animaux de refuge ont trouvé une nouvelle famille ! 

Son atout ?

Les dessiner façon “Walt Disney” pour attirer l'attention des adoptants.

NONALABANDON A 22 ans, Isa Bredt a décidé de placer au profit de la cause animale son talent d’artiste et sa passion pour l’œuvre de Walt Disney.

Grâce à ses dessins, de nombreux animaux abandonnés ont été adoptés. 

Maltraitance animale : deux jeunes torturent un hérisson et publient la scène sur Facebook

Deux jeunes sont jugés pour avoir massacré un hérisson puis filmé son supplice. La vidéo partagée sur Facebook montre l’animal brûlé vif. Scène atroce

Le 3 février dernier, deux personnes se sont présentées à la gendarmerie de Vic-en-Bigorre pour montrer une vidéo qu’elles ont retrouvée sur Facebook.

La scène montre deux individus en train de "s’amuser" à mutiler un hérisson. Ils tentent de le brûler puis lui assènent de violents coups de pied. Pour terminer, l’un des individus asperge l’animal d’essence. Le hérisson meurt brûlé, devant les deux adolescents hilares. Les jeunes identifiés rapidement La vidéo a été retirée des réseaux sociaux. Quant aux deux adolescents, ils ont été identifiés puis interpellés par les gendarmes de Vic-en-Bigorre, pour des "actes de torture envers une espèce protégée".

Ils devront répondre de leurs actes devant le tribunal correctionnel de Tarbes. Tout acte de cruauté envers un animal peut être puni jusqu’à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.

Le hérisson est une espèce protégée depuis 2007.

Il est toujours bon de le rappeler.pour certains .Ils font partie de la famille a part entière il ne faut surtout pas l oublier

Un camion rempli de bébés, jetés...pattes cassées.... Direction l'abattoir.... Nés pour mourir...égorgés... Pour du lait maternel.. Pour de la viande... "Alors que nous sommes des êtres vivants comme vous...et nous voulions VIVRE..."

LE TORTIONNAIRE CORSE EN CABANE JUSQU'AU PROCÈS !

Il s'appelle Jean-Dominique Orsoni, il a 20 ans et c'est déjà un monstre. Ce jeune homme est éleveur de bovins et chasseur d'après les photos trophées  qu'il affichait sur son profil Facebook avant qu'il ne soit fermé.

En 2019 accompagné de deux de ses amis ( un qui le filmait et l'autre qu'on peut apercevoir dans la voiture) il décidait de jeter un petit veau terrorisé d'un pont situé en haute #Corse et de publier la vidéo ce lundi sur FB, sans doute pour faire le buzz.

Le buzz il l'a eu et les menaces qui vont avec car cet acte sur un petit être vulnérable et sans protection est d'un sadisme et d'une méchanceté inqualifiable. C'est d'ailleurs à cause de ce bad buzz qu'il restera en détention jusqu'au procès qui se tiendra le 20 juillet au tribunal de Bastia. En effet la justice a peur d'un lynchage populaire d'une part et qu'il ne se présente pas au procès d'autre part.

L'indignation dans notre pays et notamment sur les resaux sociaux à conduit les magistrats à être très réactifs et à juger cet "homme" dans les meilleurs délais. Rappelons qu'il encourt 2 ans de prison et 30 000 d'amende pour acte de cruauté, ce qui est une peine encore bien trop douce à mon goût mais si elle est appliquée ce sera une première !

J'espère également que ces deux amis seront aussi sur le banc des accusés car ils ont largement participé a cette exécution. Il est évident que la Justice doit lui retirer le droit de détenir des animaux et d'exercer son métier d'éleveur.

Les animaux dits d'élevage souffrent déjà suffisamment de leur naissance forcées à leur mort violente en abattoirs pour en plus être à la merci de tels individus. Pour tout savoir sur cette affaire vous pouvez voir ma vidéo

https://www.facebook.com/452177951496932/posts/2964954516885917/