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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les autorités néerlandaises ont ordonné l'abattage à partir de vendredi de « plus de 10 000 » visons d'élevages où des cas de Covid-19 auraient été signalés chez les petits mammifères, qui ont « probablement » transmis la maladie à deux employés.
Mise à jour : un juge néerlandais d'un tribunal économique spécialisé, saisi par des défenseurs des animaux , a ordonné jeudi soir un report de l'abattage. Une audience aura lieu lundi 8 juin lors de laquelle deux groupes de défense des animaux seront entendus.
Le nettoyage de ces élevages, qui touche sept entreprises réparties sur neuf sites dans le sud des Pays-Bas, vise à éviter qu'ils ne deviennent des foyers de contamination, ont annoncé mercredi la ministre de l'Agriculture Carola Schouten et le ministre de la Santé publique Hugo de laJonge, suite à un avis des autorités sanitaires.
« L'avis montre que le virus peut continuer à circuler dans les élevages de visons pendant une longue période et peut donc présenter un risque pour la santé publique et animale », ont écrit les ministres dans une lettre envoyée au Parlement. Selon Elise van den Bosch, une porte-parole du ministère de l'Agriculture, cette décision concerne « plus de 10 000 visons », bien qu'un chiffre exact ne soit pas encore disponible.
Cette estimation ne prend en effet pas en compte les petits nés au printemps, sachant que chaque vison femelle peut donner naissance à environ quatre à six petits, a-t-elle déclaré à l'AFP jeudi. Les ministres ont évoqué une mesure « difficile » pour les éleveurs touchés, qui auront droit à une compensation financière. Le Comité de bien-être des animaux veillera à ce que les visons soient abattus de « manière responsable », ont-ils assuré.
Les autorités ont signalé en mai deux cas plausibles de contamination de Néerlandais par des visons, qui pourraient être, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les « premiers cas connus de transmission » du nouveau coronavirus de l'animal à l'homme. Le gouvernement a par conséquent interdit le transport de ces animaux et rendu le dépistage au Covid-19 obligatoire dans tous les élevages de visons du pays. L'élevage de visons en vue de la commercialisation de leur fourrure est très controversé aux Pays-Bas. En 2016, la plus haute instance judiciaire du pays a ordonné la fermeture des élevages d'ici 2024.
Lorsque vous mettrez fin au racisme, ne nous oubliez pas. Nous sommes l'expression ultime de l'oppression, de l'injustice et de la barbarie.
Ils ne défileront pas dans la rue…
Ils n’écriront pas une pétition sur internet…
Ils ne signaleront pas leur mécontentement dans les urnes…
Ils ne formeront pas un parti politique…
Ils ne se grouperont pas pour prendre le pouvoir à des mains corrompues…
Ils ne constitueront pas un lobby pour faire voter des lois…
Ils gémiront peut-être mais on les fera taire immédiatement en les assassinant…
Qui ?
Les animaux.
Leur souffrance demeure muette : c’est à nous de leur donner la voix. Ils ne réclament pas leurs droits : c’est à nous de les imposer. Le silence de leur peine m’est intolérable. La violence se montrant toujours plus rapide que la justice, il a fallu des siècles pour faire respecter le droit des femmes et des enfants: faudra-t-il des millénaires pour faire respecter ceux des animaux ?
L’histoire du lion Cecil, tué au Zimbabwe par un dentiste américain pour se faire plaisir alors que l’espèce menace de disparaître – moins 40 % en vingt ans - me révolte. Je me contenterai de n’évoquer que ce seul cas car, si je me lançais, l’énumération des ignominies occuperait des milliers de pages, me donnerait la nausée et m’ôterait la force d’essayer d’aimer encore les hommes. Parlons en, signons des manifestes, rendons contagieuse la prise de conscience, défendons nos frères vivants qui ont un bâillon sur la bouche.… Ils sont muets et ce n’est que dans leurs yeux tournés vers nous que l’on peut percevoir leur cri.
Hauts-de-France : des chasseurs massacrent des renardeaux avec des barres de fer
L'une des sorties d'un groupe de chasseurs a tourné au carnage. Autant ne pas regarder les difficiles images. Pour dénoncer la "pratique cruelle" mais légale de la vénerie sous terre, qui consiste à aller chercher les blaireaux, renards ou ragondins jusque dans leurs terriers, des bénévoles de l'association One Voice ont "infiltré" une équipe de chasseurs des Hauts-de-France. Selon France 3 qui diffuse les images, l'une des sorties de ce groupe a tourné au carnage.
Le groupe de chasseurs creuse dans terrier y envoie un petit chien à la recherche de renards. Et c'est le début d'une terrible scène. Cela commence par des bruits de lutte dans le terrier, puis un renardeau qui est sorti avec difficulté par une grosse pince en fer, pratique autorisée pour les deterrer. Ils s'en serviront pour le tuer, lui comme les autres renardeaux dans une traque qui aura duré 6 heures, selon la présidente de One Voice Muriel Arnal, citée par Ftance 3.
Le pire est à venir, deux enfants accompagnent le groupe, "de 12 et 5 ans" selon l'association. L'un des chasseurs demande au plus grand de tuer un petit animal. Il frappe, sans réussite, et l'un des chasseurs finira le "travail". "Je ne peux pas être plus précise pour la sécurité des enquêteurs qui ont infiltré cet équipage de vénerie sous terre.
Ce sont des mois de travail. Ce sont des missions extrêmement risquées de filmer dans ce genre de groupe", explique Muriel Arnal au moment d'en dire plus sur le contexte et le jour où a été tournée la vidéo. One Voice demande "l’abolition de cette pratique de chasse" et que "les renards ne soient plus classés nuisibles".
"Le renard, c’est un prédateur pour les oiseaux et les lièvres mais on ne veut pas l’exterminer. On le tolère parce qu’il a son utilité dans la nature notamment dans les champs mais on ne veut pas qu’il soit en surnombre", répond Bernard Mailly, l’un de ses vice-présidents de la Fédération de chasse de la Somme. Mais il veut "des mises à mort propres". "Dans la chasse comme dans n’importe quel milieu, il y a des brebis galeuses. Et ceux qui ont fait ça sont clairement des brebis galeuses. On va les dénoncer, c’est sûr."
Une éléphante tuée par un fruit rempli de pétards
Gravement blessée, l’éléphante a erré plusieurs heures autour du village avant d’aller plonger sa trompe et sa bouche dans une rivière pour essayer d’enlever les mouches et insectes qui venaient se poser sur ses plaies. Elle est morte après plusieurs heures d’agonie.
Une éléphante enceinte a succombé à ses blessures après avoir consommé un fruit rempli de pétards dans le sud de l’Inde, une mort qui a provoqué un tollé. L’éléphante sauvage s’était aventurée le 27 mai dans un village près du parc national de Silent Valley dans l’État du Kerala lorsqu’elle a mangé le fruit piégé, que les autorités pensent être un ananas.
"L’ananas rempli de pétards a explosé dans sa bouche, lui causant de graves blessures buccales", a déclaré Surendra Kumar, haut responsable de protection de la faune du Kerala.
"Nous enquêtons sur l’affaire et essayons de déterminer les personnes derrière cela et les circonstances qui ont mené à sa mort", a-t-il ajouté.
Des fruits piégés pour protéger leurs cultures
Les villageois de la région utilisent souvent des fruits piégés pour protéger leurs cultures des animaux sauvages. D’autres recourent à de simples pétards ou dressent des clôtures électrifiées pour détourner les éléphants de leurs champs proches de forêts. Le mois dernier, un événement similaire, au cours duquel une autre éléphante a succombé à ses blessures à la bouche, s’est déjà produit.
Tollé sur les réseaux sociaux
Environ 2 361 personnes ont péri dans des attaques d’éléphants dans le pays d’Asie du Sud entre 2014 et 2019, selon des données du gouvernement. Dans le même temps, quelque 510 éléphants ont été tués par les hommes, dont 333 d’électrocution et une centaine d’autres de braconnage ou d’empoisonnement. Le corps du pachyderme a été tiré hors de la rivière par deux éléphants en captivité et emmené en camion dans la forêt, où il a été incinéré. L’extension de la présence humaine en Inde provoque régulièrement des accrochages avec la faune sauvage locale, qui voit son territoire et son cadre de vie rognés petit à petit.
Le monde était un endroit bien meilleur avant que cette équipe d'imbéciles demeurés consanguins ne tuent pour plaisir ce pauvre Grizzly, le plus grand ours brun de la planète, un animal unique, sérieusement danger d'extinction et extrêmement beau.
Le motif du crime : prendre un instantané (selfie) avec le "Trophée".
Partageons, que leurs visages soient connus.
Des racailles comme celles-ci sont ceux qui font honte au genre humain..
Des louves gestantes tuées pendant le confinement
Depuis le début de l'année 2020, sur les 560 loups présents en France , au moins 13 ont déjà été abattus... dont 3 pendant le confinement.
Trois loups ont été abattus dans la Drôme par des lieutenants de louveterie au début du mois d'avril 2020. Parmi eux, deux louves gestantes ! Ces tirs, inefficaces contre la prédation, viennent de surcroît menacer la survie de l'espèce lupine, classée vulnérable par l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature.
La Fondation 30 Millions d'Amis demande aux pouvoirs publics de renforcer l'efficacité des mesures de protection des troupeaux, à la faveur d'une cohabitation plus harmonieuse et équilibrée. Le confinement n'a pas toujours épargné la faune sauvage. En témoigne l'abattage de trois loups dans la Drôme au début du mois d'avril 2020.
« Alors que les citoyens (étaient) assignés à résidence, certains ont (eu) des dérogations pour aller tuer des loups, espèces protégée, en pleine période de reproduction ! », fustige l'Association Ferus. Au total, 13 des 560 loups présents dans l'hexagone ont déjà été abattus depuis le début de l'année 2020. Si l'un d'eux a été tué illégalement par un braconnier, les 12 autres l'ont été « légalement », en vertu de la réglementation française qui fixe chaque année le plafond de loups pouvant être tués. Bien que le canis lupus soit protégé par la Convention de Berne de 1979 et la Directive « Habitats » de 1992, ces mêmes textes prévoient effectivement des dérogations, pour certains motifs et sous certaines conditions, à l'interdiction de mise à mort. Les tirs de loups, inefficaces contre les attaques de troupeaux...
Deux des trois animaux tués en avril 2020 étaient des louves gestantes issues de deux meutes différentes. « Si le tir de femelles pleines d'une espèce protégée est déjà un non sens, cela signifie aussi un risque maximal d'éclatement des meutes », alerte Ferus.
En effet, lorsqu'un alpha est tué, la meute va se disperser et les loups, seuls et affaiblis, vont préférer chasser les proies les plus vulnérables que constituent les troupeaux domestiques. De sorte que les tirs ont alors un effet inverse à celui escompté. Et pour preuve, les attaques augmentent d'année en année malgré la souplesse croissante des dérogations aux interdictions de destruction. Pour assurer la viabilité de la population lupine, un effectif de 2500 à 5000 individus est le minimum nécessaire. MNHN - OFB Du reste, en décembre 2019, le Conseil National de Protection de la Nature (CNPN) qualifiait d'inadéquate la politique du gouvernement visant à limiter la croissance des populations de loups pour limiter les dommages aux cheptels domestiques.
« Ce type de pratique n'a aucune base scientifique et à ce jour, n'a apporté aucune réelle amélioration, ni en termes d'acceptation sociale du loup, ni une meilleure protection des troupeaux, alerte le Conseil. Ce constat est confirmé par d'autres instances scientifiques : le Musée National d'Histoire Naturelle (MNHN) et le comité scientifique du Plan Nation d'Action sur le loup notamment. »
Les tirs de loups n'auraient alors pour objectif que d'acheter la paix sociale, afin d'apaiser le monde de l'élevage. ... et nuisibles à la conservation de l'espèce lupine En portant le taux de prélèvement annuel de loups à 17% de la population - voire 19% si le premier taux est atteint avant la fin de l'année - (soit un total de 100 individus !), l'arrêté du 3 janvier 2020 poursuit davantage une logique de régulation que de conservation de l'espèce. « Pour permettre à la population de s'adapter aux changements futurs et ainsi assurer sa viabilité sur le long terme, un effectif de 2500 à 5000 individus adultes constitue le minimum nécessaire », recommandent le MNHN et l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage - désormais Office Français de la Biodiversité - dans leur expertise sur le devenir de la population de loups en France (03/2017).
« Ce chiffre a été délibérément oublié », déplore le CNPN. Et ce, d'autant plus que la réglementation française autorise, aux côtés des tirs de défense - qui visent à protéger les troupeaux en cas d'attaque ou de riposte - des tirs... de « prélèvement » entièrement déconnectés des dommages causés au bétail ! Par ailleurs, la moitié des 98 loups abattus en 2019 ont été tués pendant la période de reproduction et d'élevage des louveteaux. « Compte-tenu du nombre de plus en plus important de loups abattus, le fait qu'il n'y ait plus aucune période d'interdiction des tirs, notamment en période de reproduction, semble peu conforme au statut d'espèce protégée dont l'état de conservation reste vulnérable », alertent les experts.
D'où leur recommandation, réitérée chaque année, visant à mener une « politique plus équilibrée en faveur de la population de loups ». La solution : renforcer les moyens de protection des troupeaux Le fait qu'il n'y ait plus aucune période d'interdiction des tirs est peu conforme au statut d'espèce protégée. CNPN En définitive, lutter contre la prédation du loup, tout en préservant la survie de l'espèce, implique de renforcer l'efficacité des moyens de protection des cheptels que sont le gardiennage, le recours aux chiens de protection, l'installation de clôtures électrifiées et la limitation de la taille des troupeaux.
Pour y parvenir, les scientifiques recommandent une approche plus qualitative de ces mesures protectrices, à travers notamment, l'accompagnement des éleveurs et la mise en place d'un diagnostic de vulnérabilité - sur le long terme - dans les zones de forte prédation. « Les tirs ne devraient être décidés qu'après la pose de ce diagnostic, l'échec des mesures de protection des troupeaux, puis de l'effarouchement, recommande le CNPN. Avant, c'est un non sens ». Mais pour ce faire, encore faudrait-il d'abord rendre obligatoires et systématiques l'accompagnement technique des éleveurs et l'analyse de la vulnérabilité (alors qu'ils ne sont actuellement mis en place que sur demande de l'éleveur).
Encore faudrait-il ensuite que l'administration vérifie, sur place, la mise en œuvre effective des dispositifs de protection. Encore faudrait-il enfin encourager le recours aux dispositifs d'effarouchement existants : dispositifs lumineux (« foxlights »), fils électriques (« fladry ») ou colliers répulsifs. Selon les experts, « la multiplication, la récurrence et la variation des moyens innovants - associée aux 3 incontournables : homme, chiens, enclos - permettront d'éloigner les loups des troupeaux, avec une plus grande acuité ».
La cohabitation pacifique avec le loup ne serait donc pas utopique si les pouvoirs publics et les acteurs concernés s'en donnaient véritablement les moyens !
Lorsque la douleur d'un être vivant ne nous émeut pas, le terme "humain" ne nous définit plus !
Son état est misérable et infame... Rien de ce qu'il était ne reste... Sa Majesté pliée dans une cage dont le plafond ne permet pas de souffle et de mouvement... Sa peau marquée par le mal, les yeux perdus par des voies impénétrables qui n'ont pas de retour. À côté de résidus humains de nourriture qui est jeté par moquerie à ceux qui ont faim oui, mais de liberté. C ' est la vie vidée de ceux qui sont détenus dans un Cirque
" Les "vivants", au sens premier du terme, existent de leur plein droit et n'ont pas à se justifier d'exister. Les mots "espèces nuisibles" et "mauvaises herbes" ne sont que le reflet d'un préjugé séculairement ancré selon lequel les plantes et les animaux sont là pour nous servir et que nous avons sur eux un droit discrétionnaire. Ces termes sont la traduction directe de notre égocentrisme, de notre ignorance et de notre étroitesse d'esprit. Les animaux considérés comme nuisibles ne le sont que pour nous ; et il en est de même des herbes prétendument mauvaises. En réalité, nous ne sommes qu'une espèce parmi tant d'autres. Ajoutons en passant que, face aux extinctions multipliées d'espèces dont nous sommes aujourd'hui responsables, nous mériterions, seuls, le qualificatif d'espèce hautement nuisible à l'harmonie et à la préservation de la biodiversité