Il est parti … Voilà, je me décide enfin à l’écrire, ce texte qui scellera à jamais le coffre des souvenirs… Lupin est parti.

Lupin est mort le 15 septembre 2015. Que dire? Comment expliquer?

Avec du recul, et froidement, tout d’abord, je vais vous raconter par où nous sommes passés. Je ne voulais pas rentrer dans les « détails » et pourtant je vais le faire, parce que je sais que cela pourra aider certains d’entre vous à vous rendre compte qu’on vit, nous, vétérinaires, la même chose que vous, avec nos propres animaux .

Et si cela permet de soulager ne fut ce qu’un peu la peine d’un seul d’entre vous, cela me permettrait peut-être de me consoler moi aussi. Lupin souffrait donc d’une cardiopathie, que l’on avait mise en évidence depuis quelques mois.

Et, avec les médicaments (des dizaines de comprimés, qu’il détestait avaler … donc c’était pénible), il était stable. Il a passé un bel été 2015 dans le jardin de la maison de campagne familiale, dans SON jardin, avec mes parents et mes enfants.

Il a supporté la chaleur, il trottinait encore dans les champs. Bref, c’était un vieux chien malade du cœur, mais un vieux chien heureux et sans souffrance.

Mais le 11 septembre (date décidément sacrément merdique), suite à une chute et à une baisse de forme, on lui a diagnostiqué en plus un hémangiosarcome du foie (une tumeur très très agressive et dont le pronostic est évidemment très mauvais).

Le 12 et le 13 septembre, nous avons encore passé un weekend à Paris, avec lui et les enfants. Il a encore été lever la patte sur tous les arbres qu’il avait croisés pendant nos 8 ans de vie là bas.

Le lundi 14 septembre, il n’avait pas très faim et semblait fatigué, à nouveau. La nuit du 14 au 15 septembre, il s’est mit à vomir, toute la nuit. Rapidement, j’ai refait un bilan sanguin : ses paramètres hépatiques étaient explosés! Si je ne faisais rien, il allait passer par des jours nauséeux, ictériques, … jusqu’à l’agonie.

J’aurais pu le gaver de médicaments, le mettre sous perfusion, pour « diluer » tout cela, aider son foie malade, … Au lieu de ça, j’ai pris mon courage à deux mains, et je lui ai fait une injection double dose d’un anti-nauséeux et d’un corticoïde.

J’ai été chercher les enfants tôt à l’école et à la crèche. La semaine avait été pourrie question météo mais des éclaircies s’annonçaient pour l’après midi. Nous sommes partis : lui, ma maman, mes enfants et moi, à notre maison de campagne familiale. Et nous avons passé deux bonnes heures dans le » jardin de Lupin », là où notre belle hd’amour à commencé.

Il a pu encore s’y promener, aller fouiller dans les fourrés, y observer les enfants sur leurs balançoires. On a tous mangé des marshmallows, lui y compris! Enfin, moi, j’ai fait semblant d’en manger.

Comme Lupin était nauséeux, ses dents grinçaient. J’ai pris des photos, beaucoup, des vidéos, comme pour immortaliser l’instant suspendu. Je retenais mes larmes à chaque fois que je croisais son regard car j’avais déjà planifié, comme un bon petit soldat, la suite de la journée.

Nous sommes tous rentrés sur Bruxelles et mes parents ont – heureusement – géré le bain et le repas du soir des enfants. Et là, j’ai fait la chose la plus douloureuse et à la fois la plus libératrice que je n’aie jamais été amené à faire.

Avec l’aide de mon mari, nous avons euthanasié Lupin. Dans le calme, mais avec tellement de larmes, mon mari lui a mis son cathéter dans la veine puis j’ai injecté la dose létale.

Il est parti, il est mort, doucement, paisiblement dans mes bras. Il ne reviendra jamais plus. Le soir même, nous sommes retournés à la maison de campagne pour l’enterrer dans son jardin qu’il aimait tant.

Il repose sous un Saule pleureur, tout près du Bouleau qui abrite la cabane des enfants, pas loin de leur balançoire… Il sera à jamais proche de nous.

Voilà l’histoire, telle que je la raconte avec du recul. Mais quand je me plonge dans mes sentiments, que je suis bien obligée d’enfouir au quotidien avec mon travail, mes enfants, mon mari, ma famille, … je pleurs encore tellement. J’ai toujours su qu’un jour nous devrions passer par là, mais je n’imaginais pas à quel point ce serait dur. Dur de tenir ma parole. Parce que je me suis toujours promis de ne jamais le laisser souffrir, parce que j’aurais peut-être pu le garder encore quelques jours avec moi, sous perfusion, avec d’autres médicaments, encore et encore.

Mais est-ce que Lupin aurait vraiment été lui même sous perfusion, gavés de dizaines de pilules qu’il avait en horreur, alors que je le savais condamné à au maximum quelques jours de plus?

Est ce que cela vaut la peine de les garder, uniquement pour pouvoir se shooter avec leur odeur un peu plus longtemps?

La réponse n’est certainement pas oui ou non. Je sais que Lupin aurait eu peur, sous perfusion. Je sais qu’il aurait détesté que je lui enfonce encore et encore, des cachetons dans le fond de la gorge. Je n’ai pas voulu lui imposer cette peur et ce déclin. Je suis maintenant certaine que c’était notre réponse à nous.

Mais qu’est ce qu’il me manque! Et comme il manque aux enfants! Quand le petit me dit de sa petite voix « Lupin, il est morrrrrt« , mon dieu, que ça fait mal! Subir sa propre peine et devoir expliquer aux enfants, sans leur faire peur, sans les traumatiser (alors que moi je ne crois pas en grand chose après la mort) … ça fait vraiment réfléchir, et ça fait vieillir.

Alors me voilà aujourd’hui, j’ai tenu mes promesses, je ne t’aurai pas laissé le temps d’être mal, de souffrir, de décliner, d’avoir peur. J’ai agis, j’ai pris mes responsabilités envers toi, comme je me l’étais toujours promis. J’ai agis « un peu trop tôt », pour éviter de regretter de l’avoir fait « un peu trop tard ».

Mais tu me manques. Tu nous manques. La maison sans toi, ce n’est pas pareil. Tous les matins, je descends, j’ouvre la porte du salon, et il est vide. Tu as été le plus merveilleux des chiens. Un rêve au quotidien. Tu étais le plus adorable des « grands frères poilus » avec les enfants. Tu as été mon confident durant 15 années et je ne remercierai jamais assez le hasard ou le ciel (je ne sais pas) de t’avoir mis sur mon chemin, un après midi d’automne, à la SPA, quand j’étais encore étudiante.

Tu as été mon premier coup de coeur. Tu étais là, bien avant mon amour pour mon mari, et bien avant mon amour de maman. Je sais qu’un jour j’irai mieux. Il n’y a aucune raison pour que je sois différente des autres. Je me demande même en fait si j’ai réellement envie d’aller mieux et de « faire mon deuil », parce que cela voudrait dire que tu seras un peu « oublié »?

Je sais qu’un jour, un autre petit compagnon à 4 pattes te succèdera. Mais ce ne sera jamais pareil, parce que tu étais, tu es et tu resteras à jamais le premier, celui qui m’a appris ce que c’était que de se connaître par coeur, de se comprendre sans parler et de s’apprivoiser.

TEMOIGNAGE

                                     Valentin

Il est mort ce matin

Il est mort dans son bassin.

Peu de personnes s’en soucient

Il est mort sans personne autour de lui. Sa mère et son père étaient déjà partis pour un monde meilleur, un paradis. Un monde sans êtres humains ou l’on n’enferme pas les animaux marins.

Tu es mort mon petit, mon ami. A cause de ce monde et de sa folie. Toi, belle créature des mers né loin de tes congénères. Tu n’as connu de toute ta vie, que les bassins bien trop petits. La privation, les coups, l’ennui. Qui font qu’aujourd’hui tu en as perdu la vie.

Alors à vous stupides humains

A vous qui applaudissez des deux mains lorsque vous voyez une orque ou un dauphin accomplir des figures telles des pantins. Je tenais à vous dire ceci, les animaux marins n’ont rien à faire dans des bassins. Si vous pleurez pour Valentin dites-vous bien que si demain vous retournez voir ces tragédies, ces soi-disant spectacles pourris ,c'est vous qui alimentez cette horreur. C’est vous qui causez tout ce malheur. Alors n’y allez pas, les animaux marins ne sont pas fait pour amuser les humains. Ne sont pas fait pour vivre dans des bassins.

Je m'appelle Lasko, je devais bientôt fêter mes 3 mois.... Ma maman m'a vu naître, m'a nourri, m'a vu évolué et commencé à jouer.... Est, ensuite, venu le temps de rejoindre ma nouvelle famille car me voilà enfin assez grand que pour quitter mes 2 mamans ( celle qui m'a porté et celle qui fut ma maman de coeur)....

Mercredi, j'ai donc rejoint mon nouveau foyer en pensant y être heureux. Hier, j'ai fait une petite bêtise de bébé car c'est que je suis.....

J'ai pincé, pour jouer, la petite fille de 4 ans de la famille. Je ne voulais pas lui faire de mal, je voulais juste jouer..... Le papa de la famille n'a pas pensé à me gronder.....

NON !!!!! Il a préféré se munir d'un couteau et m'a poignardé à plusieurs reprises.... !!!!! J'ai succombé à mes blessures alors que la vie ne faisait que démarrer pour moi... Dites moi pourquoi il existe tant de cruauté sur terre..... Je ne méritais pas cela.... Me gronder aurait été plus simple et j'aurai été plus délicat à ma prochaine séance de jeu avec ma nouvelle copine mais un assassin en a décidé autrement......

Partagez mon histoire afin que cela ne se reproduise pas !!!!! Plus jamais ça.........

Lasko, victime de la bêtise humaine.... RIP petit coeur

Le chien gendarme Argus meurt dans un accident

Argus était tellement efficace et dissuasif qu'il a été décoré l'an dernier

Un tragique accident a, ce mercredi matin, coûté la vie au gendarme Argus, le chien de l'équipe cynophile du peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) de Chalon spécialisé dans les stupéfiants et la défense.

L'animal avait été décoré l'an dernier de la médaille de bronze de la défense nationale pour ses états de services au côté de son binôme, le gendarme maître chien Pierret.

"C'est rare qu'un chien soit ainsi décoré", précise le chef d'escadron Avarre, commandant de la compagnie de Chalon, également ému par cette perte.

Argus avait intégré la compagnie de Chalon en juillet 2007 et devait être réformé l'an prochain. Le gendarme Pierret avait même déjà fait toutes les démarches afin que l'animal puisse vivre une paisible retraite à ses côtés.

Ce chien de 16 ans a perdu la vie en sauvant son maître. Triste !

Le chien est le meilleur ami de l’Homme et son compagnon le plus fidèle.

Ceci n'est plus un secret pour personne. Ces dires sont vérifiés et prouvés chaque jour de plus en plus.

À titre d'exemple, on vous relate l'histoire triste de ce chien nommé Mason qui a sacrifié sa vie pour sauver son maître.

Ce dernier pour lui gratifier sa reconnaissance et lui dire Adieu a ressassé leurs derniers moments passés ensemble.

Los Angeles : mort de Uggie, le chien star de «The Artist» Uggie, le chien de «The Artist» est mort euthanasié à cause d'un cancer de la prostate.

Uggie, l'une des stars du film oscarisé «The Artist», va rejoindre le paradis des chiens . L'information est révélée par TMZ, le site d'actualité people le mieux informé de Los Angeles, qui avait notamment annoncé la mort de Michael Jackson.

Le Jack Russel, âgé de 13 ans, était atteint d'un cancer de la prostate. Son propriétaire, Omar Von Mueller, s'est résolu à l'euthanasier, vendredi, à Los Angeles.

«C'était une décision difficile mais Uggie souffrait trop et les dernières semaines étaient éprouvantes» a-t-il confié à TMZ.

Sa coach personnelle, Sarah Clifford, confie qu'elle se «souviendra toujours de son amour infini pour le poulet et les hotdogs».

Pour son rôle du «Chien» dans «The Artist», Uggie a remporté deux distinctions : un «Collier d'or» à Hollywood en 2012 et une «Palme Dog» au Festival de Cannes en 2011.

Véritable professionnel, Uggie dispose même d'une fiche sur le site spécialisé IMBD, où l'on peut retrouver sa filmographie complète, composée de huit apparitions.

Le célèbre chien avait également eu des rôles moins prestigieux. Il s'était par exemple prêté à une publicité pour la Nintendo DS.

Sûrement pour quelques croquettes de plus.

Elle me dit que je suis sa petite Reine, que je suis un cadeau du ciel,qu’ensemble nous allons vivre quelque chose de cruel parce que c’est elle qui devra écrire le mot fin.

Elle me dit que je m’appelle Jimena mais que pour elle, je serai Reine. Elle me dit que notre histoire va être très courte, qu’elle sera comme une trainée de poudre magique mais que nous allons passer un été merveilleux.

Elle me dit que le temps n’a pas d’importance et que seul compte ce que l’on va mettre dedans.

Elle me dit qu’il y aura plein de soleil, plein d’amour et plein de moment juste pour elle et moi.

Elle me dit que de ses bras elle m’entourera pour m’emmener là où je déciderai d’aller.

Elle me dit qu’un jour viendra où nous devrons nous séparer, que moi j’irai rejoindre l’au-delà et qu’elle, restera là sans moi.

Elle me dit que c'est l'histoire de quelques semaines ou de quelques mois, qu'on ne sait pas et qu'on verra...

Elle me dit que je suis sa petite Reine et qu’elle va me couvrir d’or et de lumière. Elle me dit qu’au sommet de mon crane trône un sarcome, qu’il est très malin et qu’il est en train de creuser son passage dans ma boite crânienne pour envahir peu à peu mes neurones.

Elle me dit que ses drones sont partout dans mon thorax, qu’ils sont trop nombreux, qu’elle ne peut plus rien faire pour moi et qu’il est bien trop tard. Elle me dit que cette fois, le combat est perdu d’avance, qu’elle ne peut que capituler et que ce crabe sera plus fort que tout l’amour qu’elle a déjà pour moi, qu’il va nous falloir l’apprivoiser.

Elle me dit que dans mes yeux elle le verra s’immiscer telle une araignée qui tisse sa toile mais qu’elle ne le laissera pas me faire du mal.

Elle me dit qu’elle le verra le jour où elle devra arrêter tous ces soldats qui partent en guerre contre moi.

Elle me dit que la vie est ainsi faite, qu’elle est vraiment trop injuste mais qu’on ne peut pas lutter contre la destinée, que nos chemins étaient juste faits pour se croiser.

Elle me dit qu’après moi son cœur sera brisé mais qu’elle est prête à affronter tout ça, juste par amour pour moi.

Elle me dit qu’elle va porter haut et fort les couleurs de notre douleur au nom de tous les Galgos martyrs d’Espagne.

Elle me dit qu'elle avait besoin d'évacuer tout ça et tout le reste aussi, que c'est dur parfois mais qu'elle revient plus forte qu'hier et moins forte que demain.

Elle me dit que je suis une brave Galga , qu’il y a quelques mois encore je mettais bas, que j’ai donné la vie et que je vais devoir offrir la mienne.

Elle me dit que c’est trop injuste mais que tel est le destin et que nous n’y pouvons rien.

Elle me dit qu’il y a un an déjà, dans ses bras elle portait petite Fany et Princesse Deva, que c’est presque jour pour jour, un an plus tard que l’histoire se répète.

Elle me dit qu’ici c’est une sorte de paradis terrestre, que mes yeux se fermeront en douceur et qu’elle sera prêt de moi jusqu’au la fin.

Mais ça ce n’était pas la peine qu’elle me le dise, je le savais déjà. Jimena ou Reine peu importe je suis une Galga et ma vie n’aura été que douleur. Jimena ou Reine peu importe, j’aurai au moins eu le bonheur de ne pas mourir là-bas. Dans le silence et l’indifférence… Mais dans ses bras et ce sera une merveilleuse délivrance…

Voici Ulysse un tout petit yorkshire terrier qui vient d'être abandonné par sa maîtresse pour le motif qu'elle doit refaire sa vie et que Ulysse ne fera pas parti de sa nouvelle vie .

Depuis plusieurs semaines Ulysse reste seul sans eau ni nourriture , il doit attendre le bon vouloir de sa maîtresse pour manger .

Les voisins se sont plaint auprès de sa maîtresse que cela n'était pas normal qu'elle le laisse jour et nuit tout seul ,une collègue de travail nous a demandé de l'aide pour ce pauvre Ulysse car son adorable maîtresse voulait le tuer soit disant , nous allons récupéré Ulysse car nous avons trouvé une super famille d'accueil avec deux enfants .

Ulysse arrive enfin chez nous , mais malheureusement impossible de le sortir de la voiture, il attaque mort tout personnes qui s'approche de lui , il aboie , il est terrifié , nous essayons de joindre par téléphone sa maîtresse qui ne répond plus , elle est au abonner absent .

Cette personne est consciente qu'elle a menti en nous certifiant que Ulysse est sociable , doux avec les enfants , qu'il adore les autres congénères , qu'il est OK chats etc.... la maman de la collègue évite a plusieurs reprise de se faire mordre , nous avons tout essayer pour calmer Ulysse mais rien n'y fait .

Voyant que nous ne pourront pas sortir Ulysse de la voiture nous appelons la police . Après plusieurs tentative un des policier se fait mordre et Ulysse y laisse une canine le sang coule et le pauvre chien devient de plus en plus apeuré .

La brigade cynophile arrive réussi après quelque longues minute à attraper Ulysse , mais il faut absolument faire soigner le chien , un vétérinaire arrive sur les lieux , Ulysse reçoit un calment pour que le vétérinaire puisse faire un premier diagnostic , et voila le pauvre Ulysse a vécu un vrai calvaire , 11 longues années à souffrir de maltraitance , de coups , sans que personne lui vienne en aide .

Sa tortionnaire n'a pas eu le courage de lui donner une fin de vie correcte , pourquoi dépensé de l'argent pour payer une euthanasie et une incinération alors que toute la vie de ce pauvre chien a été un vrai calvaire , elle ne lui à pas offert cette fin de vie digne d'un chien , cette ignoble femme a préféré l'abandonné à des inconnu sachant qu'il allait tressé , qu'il serait apeurer , et qu'il serait impossible pour Ulysse d'être adopté .

Cette ignoble personne savait ce qu'elle a fait subir à ce pauvre chien , elle n'était pas la pour le réconforté , cette ignoble personne avait d'autre chose a faire comme partir en week-end avec son nouveau copain , alors le devenir d'Ulysse ne la concernait plus , la pauvre Ulysse est parti rejoindre ses copains d'infortune , les maltraiter de la vie , les souffre douleur de leur soit disant maître , sur les conseil du vétérinaire qui nous a dit que ce chien avait déjà trop souffert il fallait lui abrégé ses souffrances .

Ulysse est parti entouré d'inconnus pendant que Madame sa maîtresse profite de la vie en s'amusant , des inconnu son rester au chevet de ce pauvre petit chien qui est né il y a 11 ans et qui est parti aujourd'hui dans l'indifférence total de se qui fuit sa maîtresse , son tortionnaire . Je vous demande à toute les personnes qui pourront lire ce texte partagé en masse il faut que cette personne soit mise sur liste noire auprès de toute les associations .

Nous portons plainte contre cette personne , la police a fait une main courante et le vétérinaire un compte rendu sur la maltraitance du chien et son comportement . SVP partagé si vous souhaité les coordonnées de cette personne pour les associations nous pouvons les communiqué par MP ;

Rip petit Ulysse court sur l'arc en ciel , tu a ta place auprès de tout tes copains d’infortune , ta place tu la largement gagné par ta souffrance . Rip petit loulou

Christiane Kremer

VILLARGONDRAN (Savoie) :

Un chien victime d’une maladie rare et mortelle

Elle s’appelait Iana. C’était une adorable petite chienne “cavalier king-charles” de 18 mois. « Comme de nombreux jeunes chiens, elle mangeait tout ce qui se trouvait sur le sol bien que nous essayions de l’en empêcher », confient ses maîtres. Toujours dynamique, en novembre elle a cessé de s’alimenter, de courir, marchant lentement comme un vieux chien.

Pendant trois mois, Iana a été soignée pour diverses maladies, ce qui lui a permis de retrouver forme et appétit. Mais vendredi dernier, elle a tout d’un coup eu du mal à respirer, et est morte dans la nuit.

Ses propriétaires ont décidé de faire réaliser une autopsie. Le vétérinaire a identifié le mal : une angiostrongylose pulmonaire. La maladie est parasitaire, causée par une limace ou un escargot ingéré par la chienne, infesté par un ver qui s’installe dans le cœur et les vaisseaux.

Puis il se reproduit, et dans la phase terminale pénètre dans les poumons et cause la mort.

Présente dans le Nord de la France et dans la région de Marseille, cette terrible maladie n’avait jusque-là été diagnostiquée qu’une fois en Savoie.

« Si j’en avais eu connaissance, nous aurions pu peut-être sauver Iana », se désole sa propriétaire, qui souhaite maintenant que ce malheur n’arrive à personne d’autre.

Au revoir Bob, j'ai le ♥ fracassé d'apprendre à l'instant ton décès, je ne te connaissais pas et pourtant dans ton regard un supplice,semblait dire aidez-moi je vais mourir, je le sentais, va savoir pourquoi j'ai mal rien qu'à écrire ces mots...

Bob j'ai regardé ta photo 100 fois hier. La vérité? Nous l'avions réservé. Réservé hier matin. C'est pourquoi je cherchais de toute urgence et l'argent, et la famille. Je ne l'ai pas dit car nous n'étions pas sûrs de trouver ni les fonds ni la famille, si on ne disait pas qu'on avait bloqué l'euthanasie. La bénévole m'a dit ok, je vais bloquer bob pour Sos Chiens France.On était dimanche.

Elle a eu accès ce matin à la fourrière qui a dit c'est trop tard Bob est décédé. Nous n'avons pas encore la cause du décès. En toute transparence je vous la donnerai dès que je la saurai. Au fond de moi j'espère presque qu'on va nous dire : il avait une très grave maladie qui le condamnait. mais au fond de moi je sais que ce n'est pas ce qu'on va nous dire...

Bob avec ta petite gueule je te trouvais un charme fou. malgré la détresse qui se lisait sur ton visage effaré. Bob je t'imaginais presque chez moi. Salut Bob. Pour tous ceux qui ont donné

Si vous voulez, écrivez nous un mp, J'ai la haine. Qui le pleurera?...