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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Traverse la vie aussi solide qu'un rocher dans la mer, tranquille et indifférent à ses vagues incessantes.
Oui, la mer est tout. Je l'aime ! Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son souffle est pur et sain.
La mer est imprévisible et sauvage et lorsque vient l'orage on ne peut l'approcher .Les vagues sont déchaînées. La mer est sans limite et fantastique.C'est une énigme magnifique. Le reflet du soleil à la surface m'éblouit, lorsque je la vois, tout de suite je souris. La mer est une beauté éternelle. Elle est magnifique et rebelle. On ne peut la dompter. Tantôt elle est calme, tantôt agitée !
Une espèce de dauphin inconnue découverte au Brésil
L'Araguaia, une toute nouvelle espèce de dauphin de rivière, a été découverte au Brésil. Une première depuis 1918.
Une espèce de dauphin inconnue découverte au Brésil L'Araguaia, un nouveau venu dans la petite famille des dauphins de rivière.
Nicole Dupra Vivant dans les eaux brésiliennes de la rivière Araguaia dont il tire son nom, ce dauphin est la première espèce du genre découverte depuis 1918.
Des chercheurs ont révélé son existence sur le site Plos One, relayé par la BBC. Les chercheurs estiment que cette nouvelle famille de dauphins des rivères -la cinquième connue à ce jour- serait issue de plusieurs autres espèces vivant en Amérique du sud et compterait environs 1000 individus.
Très éloignés de leurs cousins les dauphins de mer, les dauphins de rivière -comptant parmi les plus rares au monde- se caractérisent par leur long bec leur permettant de débusquer le poisson dans la boue qui tapit le fond des rivières.
Parmi eux, le dauphin rose, vivant dans les eaux de l'Amazonie est considéré comme l'une des plus intelligentes.
L'Araguaia pourrait être son proche parent; seul le nombre de dents, une taille -plus petite- et leur ADN diffèrent.
Leur séparation ayant eu lieu il y a plus de 2 millions d'années. "C'est tout à fait inattendu, conclue le Dr Tomas Hrbek, l'un des scientifiques auteurs de cette découverte. Dans cette zone, il y a des nombreux mammifères.
Ce qu'il y a, c'est que personne n'avait jamais vraiment regardé"...
Le plastique c'est fantastique! Certainement mais à quel prix ? Aujourd'hui la pollution marine est telle que nos océans sont envahis d'une véritable soupe de microplastiques qui se concentrent au gré des courants marins[1]. Bien qu'invisible en surface, cette pollution marine se matérialise également par la mort de centaines de milliers d'oiseaux, de tortues et de cétacés comme en témoigne ce nouvel échouage d'une impressionnante baleine, dont l'estomac était rempli de plastique !
C'est le quotidien argentin Clarin qui rapporte la triste nouvelle : le 11 novembre 2013, une baleine de 14 m de long pour près de 50 tonnes a été découverte, échouée sur une plage de la côte néerlandaise de Helling (Pays-Bas).
D'après la photo, il s'agirait d'un cachalot (Physeter macrocephalus) une espèce chassée pendant des siècles pour son spermaceti : une substance semi-liquide et cireuse utilisée dans la fabrication des bougies,du savon, des cosmétiques, d'huile moteur, de lubrifiants, d'huile pour lampe, de crayons, pour imperméabiliser le cuir, protéger de la rouille et dans de nombreux composés pharmaceutiques.
Depuis 1981, le cachalot, dont les populations ont été décimées, est protégé, inscrit sur l'annexe I de la CITES et considéré comme "vulnérable" sur la liste Rouge de l'UICN.
Il n'empêche : il est maintenant victime des filets dérivants, de la pollution chimique et des plastiques. 20 kg de plastique découverts dans son estomac !
Afin de mieux comprendre l'origine de sa mort, le cétacé a subi une autopsie qui a mis à jour 59 morceaux de plastique pour un poids total de 20 kg de matières plastiques !
Et ce ne sont pas des sacs plastiques qui constituent la majeure partie de cette effroyable découverte mais des morceaux constitutifs des serres agricoles utilisées aux Pays-Bas pour cultiver notamment des tomates.
Cet échouage rappelle fortement celui d'un petit cachalot, très affaibli (seulement 4,5 tonnes pour 10 mètres de long) sur les côtes d'Andalousie en mars 2012 où 17 kg de déchets plastiques provenant des serres d'Almeria et de Grenade avaient été découverts dans son estomac.
Renaud de Stephanis, membre de la station biologique de Doñana expliquait alors que les intestins du cétacé contenaient "une dizaine de mètres de cordes en plastique, des bâches servant à couvrir l'extérieur [30 mètres carrés en tout] et du plastique utilisé à l'intérieur et même deux pots de fleurs".
Ces deux cas rejoignent quatre autres similaires : des cachalots ont été retrouvés morts parce qu'ils avaient avalé trop de plastique, confondus avec des proies comme des méduses.
Source : http://www.notre-planete.info/actualites/3864-baleine-echouage-plastique (© www.notre-planete.info)
La US Navy annonce que des centaines de dauphins et de baleines vont mourir suite à des tests de bombe et de sonar entre 2014 et 2019
En fait, selon des prévisions élaborées par les services de la marine américaine, des milliers de cétacés seront tués ou blessés au cours d'importantes manoeuvres militaires prévues de 2014 à 2019.
Les morts liées aux exercices de l'armée seront surtout causées par l'utilisation d'explosifs, mais certaines pourraient aussi être dues à des tests de sonar ou à des collisions avec des navires.
Les chercheurs savent depuis des années que les sonars militaires et les collisions avec des bateaux provoquent des blessures et une mortalité importantes chez les cétacés.
Les autorités militaires des États-Unis estiment en outre que les différents tests provoqueront plus de 13 000 blessures graves pendant cette période de cinq ans, ainsi que 3,6 millions de blessures de moindre gravité.
Le comportement de millions d'animaux risque aussi d'être perturbé. Le groupe environnemental Natural Resources Defence Council croit toutefois que la marine sous-estime l'impact de ses activités sur les animaux marins.
Le groupe cite par exemple une étude scientifique publiée le mois dernier qui démontre que l'utilisation du sonar interfère avec l'alimentation du rorqual bleu, ce qui pourrait nuire non seulement à la santé d'individus, mais aussi à celle des populations de cétacés à fanons. Pour les militaires, ces exercices sont essentiels.
L'amiral Kevin Slates a ainsi répondu vendredi que la marine a recours à des simulations là où c'est possible, mais qu'elle doit aussi se livrer à de véritables exercices.
Les manoeuvres seront menées au large de la côte Est des États-Unis, dans le golfe du Mexique, dans le sud de la Californie et à Hawaï. Or, on retrouve des espèces de cétacés menacées de disparition dans toutes ces zones.
Cette nouvelle menace militaire vient d'ailleurs s'ajouter à toute une série d'obstacles auxquels les baleines et les dauphins sont confrontés, comme la pollution marine, la navigation accrue et les bouleversements climatiques.
Outre les sonars de l'armée, ceux utilisés par les pétrolières représentent aussi une menace. Ainsi, dans le golfe du Saint-Laurent, l'exploration pourrait menacer le rétablissement et même la survie de certaines espèces de cétacés, mais aussi les espèces de poissons comme la morue de même que la tortue luth.
Toutes ces espèces sont considérées comme en péril au sens de la loi.
Le voici, le dauphin miraculé de l'île de Ré. D'autres photos du sauvetage dans notre article. http://bit.ly/JuekMC
Cela s'est passé en fin de matinée sur la plage du Bois-Plage, sur l'île de Ré. Un dauphin qui s'était échoué blessé, a pu être sauvé puis guidé vers le large.
Le cétacé, d'une longueur de 2 mètres et pesant une centaine de kilos, a été découvert par des promeneurs en fin de matinée. Ils ont aussitôt alerté le Centre de Recherche sur les Mammifères Marins (CRMM).
"L'animal souffrait de quelques coupures dûes à son échouage sur les cailloux" précise Olivier Van Canneyt, ingénieur de recherche au CRMM "mais il était vigoureux".
Il a donc été décidé de renflouer l'animal pour le rendre à son élément naturel. Mais l'opération n'a pas été possible au Bois-Plage car la mer était trop forte.
Le dauphin a donc été placé à bord d'un pneumatique tracté par le véhicule des pompiers et emmené par la route jusqu'à Rivedoux. Il a alors été remis à l'eau et guidé jusqu'au milieu du Pertuis d'Antioche.
Sur le littoral, les échouages d'animaux sont très fréquents mais ils sont souvent morts; dans 5% des cas seulement, ils sont vivants.
Vagabonder à la surface des océans est souvent source de sérénité et, parfois, permet de tutoyer ses rêves. S'y immerger, c'est s'ouvrir à son observation et à sa compréhension
Oui, la mer est purtout. Je l'aime! Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son souffle est et sain. C'est l'immense désert où l'animal n'est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés ...
Une mémoire de dauphin
Les dauphins sont capables de reconnaître un congénère après 20 ans de séparation, montre une étude publiée mercredi, qui attribue à ce mammifère marin la plus longue mémoire sociale jamais enregistrée chez un animal.
Les éléphants ont bien la réputation de ne jamais oublier un des leurs, mais elle repose à ce jour uniquement sur «des preuves anecdotiques», souligne l'auteur de l'étude, Jason Bruck (Université de Chicago, Etats-Unis).
Ses travaux portent sur la reconnaissance à long terme par les dauphins de leur signature personnelle, un sifflement caractéristique qui fait en quelque sorte office de nom et qui rend chaque individu immédiatement identifiable par ses semblables.
Le biologiste a cherché à savoir si le dauphin gardait en mémoire la signature d'un congénère dont il est séparé de longue date. Son étude a porté sur 43 dauphins hébergés dans 6 parcs zoologiques ou aquatiques différents, dont le zoo de Brookfield, près de Chicago.
Ces six structures ont la particularité d'avoir échangé des animaux entre eux, tout en gardant la trace précise de leur histoire. L'expérience a ensuite consisté à faire entendre aux dauphins l'enregistrement de sifflements de leurs congénères.
Elle a montré qu'ils réagissaient davantage à l'écoute de sifflements familiers, c'est-à-dire ceux de dauphins avec lesquels ils avaient été en contact, même des années auparavant. «Lorsqu'ils entendent un dauphin qu'ils connaissent, ils s'approchent souvent rapidement du haut-parleur», a expliqué Jason Bruck. «Parfois ils tournent autour, sifflent, essaient d'obtenir une réponse», a-t-il ajouté.
Il cite le cas d'Allie et Bailey, âgées respectivement de 2 et 4 ans lorsqu'elles ont vécu ensemble au Dolphin Connection, dans l'archipel des Keys, en Floride. Allie vit aujourd'hui au zoo de Brookfield et Bailey au Dolphin Quest aux Bermudes. 20 ans et six mois après leur dernier contact, Bailey reconnaît toujours l'enregistrement d'Allie.
Selon le chercheur, dont les résultats sont publiés dans la revue Proceedings B de la Royal Society britannique, le dauphin montre un niveau de reconnaissance «très comparable à la mémoire sociale de l'homme».
Ce type de reconnaissance peut même être plus durable chez le dauphin que chez l'homme, souligne-t-il, car le sifflement du dauphin reste stable sur plusieurs décennies, alors qu'un visage humain change au fil du temps.
On ne sait cependant pas bien pourquoi les dauphins ont une aussi longue mémoire sociale. Dans la nature, ils ont une espérance de vie moyenne de 20 ans, mais certains individus vivent jusqu'à 45 ans, voire davantage.