Le saviez-vous⁉️

Le mot islandais pour Orque est « Háhyrningur » (qui se traduit par corne haute, en référence à leur grande nageoire dorsale).

La nageoire dorsale des orques, c’est la « quille » de l’orque. Elle lui permet de s’équilibrer, mais aussi de nager plus vite. Cet aileron est hydrodynamique et permet ainsi aux orques d'atteindre une vitesse de pointe de 65 km/h quand ils chassent leurs proies, alors que sa vitesse de croisière n'excède pas 15km/h.

Elle est faite de tissus conjonctifs sans muscle ni os, elle est flexible et sa forme serait « maniée » par l’environnement. Le milieu naturel et le milieu en captivité sont très différents, ce qui pourrait expliquer en partie cet affaissement.

Les orques sauvages passent plus de temps sous l’eau à la recherche de nourriture, alors que les orques captives passent la grande majorité de leur temps en surface, où se déroulent la plupart de leurs activités.

En surface, l’eau ne supporte plus la nageoire dorsale, alors qu’elle croît rapidement, et la gravité la fait courber.

Dans l’air, la nageoire dorsale est aussi exposée à de plus hautes températures, qui pourraient affaiblir le collagène de la nageoire.

La nageoire dorsale pourrait aussi s’affaisser sous l’effet d’une pression sanguine réduite, liée à une moins grande activité physique chez les orques en captivité. Après la poussée de croissance, le tissu conjonctif devient alors moins flexible et la nageoire garde cette forme pliée.Dans la nature, seul 1 % des orques ont leur nageoire dorsale courbée contre 80 % en captivité.

Note : Chez les mâles adultes, cette nageoire se dresse bien droite et peut atteindre 2 m de hauteur. Chez les femelles et les jeunes mâles, elle mesure moins d’un mètre, et elle falciforme (recourbée vers l'arrière). Derrière la nageoire dorsale, il y a une tache en forme de selle.

La forme de la nageoire dorsale et de cette tache, ainsi que les marques qu’elles portent, sont uniques à chaque spécimen d’orque.

UN DAUPHIN A ADOPTÉ UN BÉBÉ BALEINE, UNE PREMIÈRE

 Le baleineau n'a presque jamais quitté sa mère adoptive

 Entre 2014 et 2018, des chercheurs du Groupe d'étude des mammifères marins (GEMM) ont observé un cas unique d'adoption au sein d'un groupe de 30 dauphins, près de l'atoll géant de Rangiroa, en Polynésie. Un Grand dauphin femelle a adopté, en plus de son jeune dauphin biologique, une autre espèce identifiée comme un «baleineau à tête de melon».

Une étude consacrée à ce phénomène rarissime, publiée en juin dernier dans le journal Ethology, montre que cette adoption ne résulterait pas d'un kidnapping mais plutôt d'un réel enthousiasme partagé par la mère et l'adopté. Le baleineau est resté presque quatre ans avec sa mère adoptive, plus longtemps que sa «soeur», le jeune dauphin biologique, qui aurait mystérieusement disparu à l'âge d'un an et demi.

Durant tout ce temps, le Grand dauphin femelle a fait preuve de son dévouement à l'égard de son nouveau protégé en l'allaitant notamment à deux reprises. Selon la scientifique Kirsty MacLeod, à l'université de Lund en Suède, la naissance de son dauphin aurait déclenché des instincts maternels facilitant l'adoption. «C'était probablement un moment parfait pour cette jeune baleine de croiser la mère, qui était dans une période très réceptive pour créer des liens avec sa propre progéniture » explique t-elle à National Geo.

 Les chercheurs ont également noté la détermination du baleineau pour se faire accepter dans le groupe de dauphins. Il fréquentait par exemple régulièrement d'autres jeunes et sautait comme eux dans des vagues. Une belle histoire qui a pris fin en avril 2018, lorsqu'il a disparu après son sevrage. Les scientifiques qui espéraient pouvoir étudier son comportement avec le pod, une fois l'âge adulte atteint, ont donc dû se raviser.

Le dauphin est un animal exceptionnel. Il a un naturel joyeux et joueur. Il semble qu'il soit toujours heureux.... Pourquoi donc à t-il cette capacité à vivre dans le contentement ? Le dauphin est extrêmement intelligent. Il se laisse guider par son cœur ❤️ et de par son caractère amour. Il a dit-on sauvé des marins perdus en mer en les guidant jusqu'au port ! Le cœur !!!! Toujours le cœurla joie vient du cœur ❤️ Le bonheur vient du cœur ❤️ Rien sur cette planète ne peut être beau si ce n'est exprimé par le cœur ❤️ Protégeons notre cœur et accordons lui le droit de s'exprimer en l'écoutant ☺️ parfois nous l'entendons clairement.... Mais à d'autres moments plus délicats il chuchote et c'est alors le temps de s'arrêter pour faire silence afin de le percevoi

La baleine, fatiguée des baigneurs qui s'approchent trop, protège son petit en s’en prenant à eux à La Réunion

 Voir un animal aussi somptueux qu'une baleine en vrai est un moment émouvant. On sait qu'elles sont menacées et même tuées par certains pays. Mais il faut toujours se méfier des animaux sauvages et surtout les respecter comme la baleine Mereva l'a rappelé à des baigneurs à La Réunion.

Mereva est le doux nom d'une baleine qui s'est installée dans les eaux de l'île de La Réunion. Un animal formidable qui n'est pas seul car elle est accompagnée d'un petit baleineau. Seulement sa présence attire les curieux...

Nombreux sont ceux qui veulent plonger pour les voir de près, voire d'un peu trop près. Plusieurs organismes comme l’association Globice et le Centre d’étude et de découverte des tortues marines (CEDTM) avaient alerté des dangers de ces pratiques et du stress que cela peut produire chez l'animal.

La baleine Mereva, harcelée au quotidien, montrait d'évidents signes d'agacement. Les baigneurs ne suivent pas tous les recommandations, se mettent en danger et oublient un peu trop vite que cette maman veut protéger son petit. Dans la vidéo ci-dessous, on peut voir comment Mereva a montré clairement que ça suffisait. Elle n'a fait que défendre son baleineau et n'a pas hésité à s'en prendre aux envahisseurs.

Un comportement naturel qui donne à réfléchir sur les pratiques d'observation de la vie sauvage. Regarder et admirer les animaux est une chose mais il faut le faire en les respectant et en évitant de se mettre en danger. Être accompagné d'une personne formé pour cela est nécessaire et permet de vivre une belle expérience sans ennuyer ces magnifiques créatures.

La vidéo ci-dessous le rappelle et il est toujours bon de le rappeler ! Partagez donc sans modération. Même si cela fait envie de se baigner avec une baleine, ce n'est pas sans danger !

https://youtu.be/lLpAT0HxUww

La liberté existe toujours. 

J’aurai aimé un jour, comme certains le font, visiter ce monde qui me fascine, voir et amadouer les grands orques, l’un des maîtres de ce lieu. Faire la farandole avec des bancs de poissons, flotter entre deux eaux, comme un papillon, me sentir légère comme une bulle. Dans ce monde étrange, en trois dimensions, qui lui aussi fait partie, de notre belle planète bleue.

Les personnalités des orques se dévoilent orque sous la surface

Chez les orques, comme chez les chimpanzés ou encore les humains, tout est question de personnalité. Chaque individu diffère de son voisin par ses traits de caractère, joueur, facétieux, timide ou encore têtu. Il semblerait que la vie sociale particulièrement complexe de ces mammifères marins ait été un facteur déterminant dans l’évolution de ces personnalités complexes, à l’instar de ce que l’on observe chez les grands singes.

Les orques ont une espérance de vie de 90 ans en moyennes et entretiennent des liens très forts avec les autres membres de leur groupe. Les orques chassent ensemble, partagent leur nourriture, coopérèrent, et dialoguent entre eux de manière très élaborée. De plus ces animaux, apparentés aux dauphins et non aux baleines sont doués d’empathie et d’émotions.

Ainsi, les orques connaissent le chagrin et le deuil comme le montrent ces observations de femelles portant leurs rejetons décédés à la surface durant de longues périodes. Ce fut le cas de Tahlequah qui, avec l’aide des membres de son groupe, porta son nouveau-né décédé 17 jours à la surface au large des côtes de Vancouver l’été dernier.

Une émotion qui n’a pour l’instant été observée que chez les chimpanzés, les éléphants et les girafes. Ces résultats montrent également que la captivité peut affecter la personnalité des orques, en accroissant leur agressivité et déclenchant diverses névroses

Pour enrayer la disparition des orques au Canada, ces Youtubeurs francophones ont besoin de votre aide.

Plusieurs Youtubeurs francophones ont décidé de s’allier pour pointer du doigt ensemble l’avenir inquiétant des orques tel qu’il se dessine en l’état actuel des choses.

Leur mouvement #WeAreTheOrca espère bien éveiller les consciences. Ils s’appellent Léa Camilleri, Bruno Maltor, FabWildPix et Le Grand JD. Tous ont choisi de rejoindre la Française Morgane Trussardi, alias Little Gypsy, sur les îles de San Juan à l’ouest du Canada pour la soutenir dans une cause qui lui tient à cœur.

La disparition grandissante des orques qui peuplent normalement cette région. Les raisons sont multiples : la surpêche, la pollution sonore due au trafic de cargos dans l’eau, la contamination des poissons d’élevage, mais aussi quatre barrages inutilisés qui empêchent la remontée des saumons, leur nourriture. « La situation actuelle est dramatique » alerte Morgane Trussardi dans la vidéo présentant son projet. « Les orques, et les personnes qui ont envie de les protéger ont besoin de nous. »

Le mot « besoin » est certainement ici un euphémisme, puisque deux jours après l’enregistrement de cette vidéo la jeune femme apprenait le décès de Scarlett, un orque de 3 ans, la dernière a être née dans ces eaux, morte affamée. Un évènement dramatique qui en rappel un autre : le deuil de l’orque Tahlequah, aperçue transportant le corps sans vie de son nouveau-né, 17 jours durant, à l’été 2018. C’est d’abord cela qui a poussé ces Youtubeurs à agir. Une campagne de récolte de fonds a été lancée avec l’ouverture d’ une cagnotte en ligne.

L’argent récolté permettra de soutenir en partie les travaux de Alexandra Morton, une biologiste marine engagée à faire disparaître les fermes de saumons. L’autre partie sera utilisée par The Whale Museum dont la mission est de « promouvoir la protection et la conservation des baleines et de l’écosystème de la mer à travers l’éducation et la recherche. »

Voilà ou est leur vrai place ,dans cette splendeur qu'est la nature et l'océan,

Luttons contre les massacres et la captivité des cétacés !