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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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animaux dauphins..orques.

tristesse

Publié à 07:55 par fandeloup Tags : vie photo papillon image
tristesse

Magnifique photo de l'orque Hugo avec un papillon ❤️ Hugo était le compagnon de lolita au Miami Seaquarium. Hugo s'est malheureusement suicidé en 1980 en frappant à plusieurs reprises sa tête contre les parois de son bassin. Cette image rappelle à quel point toute vie est si précieuse. Nous volons leur liberté pour notre divertissement et j'espère qu'en partageant ceci nous pouvons inciter les gens à boycotter les delphinariums ... il n'y a pas de divertissement dans la liberté volée.

tristesse

Publié à 10:33 par fandeloup Tags : rouge vie moi monde chez mer sur mort cadre animaux animal enfant livre
tristesse

Comme nous, les baleines pleurent la mort de leurs proches

Selon une nouvelle étude, sept espèces parmi les mammifères marins ont été aperçues s'accrochant au corps sans vie de leurs proches.

Une maman orque transporte son nouveau-né sans vie. Plusieurs espèces de baleines présentent des signes de deuil.

Futées et bien souvent sociables, les baleines tissent des liens étroits entre elles. Il ne fait désormais plus aucun doute sur le fait que ces liens vont au-delà de la mort. Selon une nouvelle étude, plus de six espèces du mammifère marin ont été aperçues agrippées au corps inerte de l'un de leurs congénères.

La cause la plus probable du refus des animaux à se séparer des cadavres ?

Le chagrin. « Ils sont en deuil », explique Melissa Reggente, co-auteure de l'étude et biologiste à l'Université de Milano-Bicocca en Italie.

« Ils souffrent et sont anxieux. Ils ont conscience que quelque chose ne tourne pas rond. »

Les scientifiques ont découvert un nombre croissant d'espèces, des girafes aux chimpanzés, dont le comportement indique qu'elles sont frappées par la tristesse. Les éléphants, par exemple, font des allers-retours auprès du corps d'un congénère décédé. Ces découvertes alimentent le débat d'expert : les animaux ressentent-ils des émotions et, si tel est le cas, le traitement que l'être humain leur réserve ne devrait-il pas évoluer ? Selon Barbara King, professeur émérite d'anthropologie à l'Université William & Mary de Williamsburg en Virginie et auteure du livre How Animals Grieve, la douleur des animaux peut être définie comme une détresse émotionnelle associée à une perturbation du comportement habituel.

VEILLE PERPÉTUELLE

Dans le cadre de cette étude, Melissa Reggente et ses collègues ont réuni des rapports (pour la plupart inédits) décrivant le comportement affligé chez sept espèces de baleines, allant du grand cachalot au relativement petit dauphin à long bec. D'après l'étude, publiée récemment dans le Journal of Mammalogy, les sept espèces ont toutes été vues en train de tenir compagnie à leurs défunts dans les océans du monde entier.

« Nous avons découvert que ce comportement est très fréquent et très répandu à travers le monde », déclare la biologiste. Par exemple, des scientifiques à bord d'un bateau en mer Rouge ont pu observer un grand dauphin de l'océan Indien pousser dans l'eau la dépouille en décomposition d'un dauphin plus petit. Lorsque les chercheurs ont capturé l'animal inerte au lasso et l'ont tiré jusqu'au rivage pour l'enterrer, le dauphin adulte a continué de nager auprès du corps, l'effleurant de temps à d'autre, jusqu'à ce que les eaux ne soient plus assez profondes. Longtemps après l'enlèvement de la dépouille, l'adulte est resté à proximité des côtes.

« Nous ne connaissons pas exactement le lien qui unissait les deux dauphins, mais il est probable qu'il s'agisse d'une mère et de son enfant, ou de parents proches », affirme Melissa Reggente. Ce qui est certain, c'est que ce type de comportement a d'énormes conséquences. Une baleine qui veille sur son acolyte sans vie est une baleine qui ne mange pas et ne consolide pas ses alliances avec ses congénères.

LE DEUIL DES ÊTRES AIMÉS

Les scientifiques disposent parfois d'indices sur les liens entre l'animal endeuillé et le mort. Près de l'île de San Juan, dans l'État de Washington, une femelle orque du nom de L72 a été vue en train de porter dans sa bouche un nouveau-né sans vie. L72 présentait des signes indiquant qu'elle avait récemment mis bas et les chercheurs qui la surveillaient savaient qu'assez de temps s'était écoulé depuis son dernier petit pour qu'elle soit en mesure d'en avoir un nouveau. « Elle s'efforçait de garder son petit à la surface en permanence et le maintenait en équilibre sur sa tête », explique le co-auteur de l'étude Robin Baird, du Cascadia Research Collective à Olympia, dans l'État de Washington, qui a assisté aux efforts de la mère.

Il affirme qu'une mère orque et sa progéniture peuvent passer toute leur vie ensemble. Selon lui, lorsque l'un des deux meurt « les animaux traversent une période où ils ressentent le même type d'émotions que vous et moi ressentons lors de la perte d'un être cher ».

L'étude a également dévoilé des cas de baleines transportant leurs petits inertes dans leur bouche, les poussant à travers les eaux et les effleurant de leurs nageoires. Dans l'un des cas, des globicéphales du Pacifique ont formé un cercle protecteur autour d'un adulte et de son petit décédé au nord de l'océan Atlantique. Dans la mer Rouge, un dauphin à long bec a poussé le corps d'un jeune animal vers un bateau. Lorsque les occupants du navire ont tiré la carcasse à bord, le groupe tout entier de dauphins situé à proximité a encerclé le bateau et nagé à ses côtés.

« Nous ignorons les raisons d'un tel acte », admet Melissa Reggente.

PROFOND CHAGRIN

L'anthropologue King confirme que de tels événements sont la preuve d'un deuil de la part des baleines. « Bien évidemment, il arrive que nous assistions parfois à de la curiosité, à un désir d'exploration ou à un comportement maternel qui ne peuvent tout simplement pas être "désactivés" », explique-t-elle par e-mail. « Mais il est évident que nous pouvons également voir la tristesse des animaux dans l'énergie qu'ils dépensent à transporter ou garder hors de l'eau leurs petits sans vie, à toucher leurs corps de façon répétée, à nager en phalange autour de l'individu affecté. »

écouter

Publié à 11:41 par fandeloup Tags : sur air mer
écouter

Ecoutez le glissement de l'eau c'est merveilleux ,c'est intriguant, on se sent grand, cette envie de surfer la vague ,contempler la mer, voir le ciel s'épanouir devant ses merveilles ,voguer sur l'océan ,voir les fonds marin, approcher les dauphins ,s'inspirer vraiment ,affronter le néant, respirer l'air du temps, admirer la brise au vent qui effleure vos visages ,un parfum envoûtant à savourer ,à présent un instant magique à prendre ....Simplement

orques

Publié à 17:28 par fandeloup Tags : sur animaux nature belle bonne bébé
orques

Des orques libérés de leur prison de glace ! 

Bonne nouvelle nous parvient du côté de l’Est de la Russie, près de l’île de Sakhaline, au nord du Japon. Quatre orques, dont un bébé, piégés dans les glaces du Pacifique, ont été libérés par des secouristes ce mardi.

Ces derniers ont réussi à briser la glace pour libérer un passage, ce qui a permis aux trois premiers animaux de s'échapper. Le dernier orque, d’une longueur de six mètres, a été retenu plus longtemps dans les eaux avant d’être finalement délivré ce mercredi !

Ces grands mammifères marins fréquentent toutes les mers et océans du globe, mais ont une préférence pour les eaux côtières tempérées froides. Dans ces zones, les vents amènent parfois vers les berges des quantités de glace qui peuvent surprendre ces grands cétacés et les retenir prisonniers…

Si les orques peuvent le plus souvent compter sur l’action de la nature pour les sauver, ils ont cette fois pu être aidés par les hommes ! Une belle action qui mérite d’être soulignée !

orques et requins

Publié à 16:26 par fandeloup Tags : google sur cadre vie
orques et requins

En Polynésie, orques et requins s’attaquent aux baleineaux

 Depuis leur arrivée en Polynésie en juin dernier, les baleines à bosse profitent des eaux translucides et cristallines de la région pour donner naissance à leurs petits et s'accoupler.

Si le cadre est idyllique, le passage en Polynésie n’est pas de tout repos pour les baleines, qui doivent veiller à chaque instant à la protection de leurs petits. En cette période de l’année, elles ont alors tendance à se rapprocher des récifs, et à nager dans les baies lagons pour éloigner les baleineaux de leurs nombreux prédateurs…

L’association Mata Tohara a rapporté l’observation de leurs pires ennemies dans les eaux polynésiennes : Les orques. L’une d’entre elles s’attaquant à un baleineau a d’ailleurs déjà été observée au large de Moorea, début septembre. Ces super-prédateurs, connus pour mettre en place des stratégies cruellement ingénieuses pour isoler leur proie et en venir à bout, n’hésitent pas à charger les baleines et à arracher les petits à leur mère.

A cela s’ajoutent les requins qui peuvent profiter d’un baleineau un peu loin de sa mère pour s’attaquer à lui. Sans oublier la baleine à bosse mâle, qui, en pourchassant la femelle en cette période de reproduction, peut mettre en péril la vie des petits. Autant de pressions naturelles qui pèsent déjà sur les jeunes baleineaux !

 

fidélité

Publié à 11:09 par fandeloup
fidélité

La fidélité est une sorte de salle d’attente entre deux trains de plaisir.

océan

Publié à 16:54 par fandeloup
océan

Le chant de l'océan , berce mes rêves...

libre

Publié à 17:28 par fandeloup Tags : heureux
libre

Ne laisse personne te mettre sous son controle , tu es libre comme le vent et heureux comme les dauphins dans l'océan. Souviens toi !

orques

Publié à 09:06 par fandeloup Tags : france photo voyages monde chez société nature animaux animal sur bande éléments
orques

En Russie, une meute d'orques traque une baleine Ces rares images ont été saisies par un drone au large de la péninsule du Kamchatka, en Russie. 

Au-delà de ce phénomène extrêmement rare auquel il est peu fréquent d'assister, ils ont pu enregistrer à l'aide d'un microphone sous-marin les cris singuliers que poussent ces mammifères carnivores suite à une chasse fructueuse. Les scientifiques ont également utilisé un drone afin d'obtenir une vue aérienne exceptionnelle de l'attaque.

« Les orques ont poursuivi la baleine pendant un long moment, le drone survolait les eaux lorsque cette dernière a commencé à rendre les armes ; bien que fatiguée, de l'eau jaillissait toujours de son évent », explique Inessa Yuryeva, coordinatrice pour Team Trip, une collaboration entre Far Eastern Russian Orca Project et l'agence de voyaKosatka Cruises.

Mikhail Korostelev, l'auteur de la vidéo, est le fondateur de Team Trip, une organisation de tourisme d'aventure qui contribue au financement de la recherche sur les orques, rarement couverte par les instituts scientifiques russes. « Tout le monde à bord du bateau était enthousiaste. Bien sûr, assister à la souffrance de la baleine nous a fait de la peine, mais cela fait partie de la loi de la nature et le fait d'observer de si près le spectacle insolite de cette chasse d'orques a quelque chose de magnifique », a déclaré Inessa Yuryeva.

Parmi les cétacés, les orques sont les seuls prédateurs universels en capacité de subsister à la fois grâce aux poissons et à d'autres mammifères, dont des dauphins et des baleines. Généralement, les orques résidentes (en d'autres termes, celles qui vivent au même endroit toute l'année) se nourrissent de poissons et de calmars, alors que les orques nomades, plus rares, jettent leur dévolu sur de plus grosses proies. Il y a environ 800 orques piscivores au Kamchatka, pour près de 200 seulement dans l'ensemble de l'Extrême-Orient russe. Ces deux types d'orques ne se reproduisent pas entre elles et ont des organisations sociales différentes.

Les gigantesques mammifères en transit sont en outre dotés d'une plus grande intelligence, nécessaire à la chasse d'autres mammifères marins. Les orques avides de mammifères sont également à l'origine du surnom redoutable attribué à l'espèce en anglais, killer whale (littéralement, « orque meurtrière »).

« LA PARTIE LA PLUS SAVOUREUSE »

Lorsqu'elles chassent un grand mammifère, les familles d'orques nomades, qui comprennent jusqu'à cinq individus, collaborent en le poursuivant et en pesant de tout leur poids sur ce dernier jusqu'à ce qu'il se noie. Selon Tatiana Ivkovich, biologiste au sein du Far East Orca Project qui a assisté à la rencontre, le groupe d'orques présent sur la vidéo était composé de deux familles, parmi lesquelles des adultes et des petits. L'approche de la chasse collaborative vaut aux orques le surnom anglais de "killer whales", littéralement "les orques tueuses".

« Tuer une baleine n'est pas une mince affaire et demande énormément d'énergie ; elles y parviennent en coopérant. La baleine est suffisamment grosse pour nourrir l'ensemble du groupe. » Les orques se sont d'abord attaquées à la langue de la baleine de Minke, « la partie la plus savoureuse », selon Tatiana Ivkovich.

« Toutefois, ces orques ont dévoré d'autres parties de la baleine. Ils l'ont déchiquetée pendant un certain temps et n'ont laissé qu'une nageoire dorsale comme seule trace de leur passage. » Afin d'identifier les orques solitaires, les scientifiques tiennent compte de la nageoire dorsale de l'animal, sur laquelle ils attachent une pièce à l'arrière, dont la taille et la forme diffèrent d'un animal à l'autre. D'après la biologiste, les scientifiques n'avait jamais aperçu ce banc d'orques auparavant. « Il s'agit très probablement de notre première rencontre. »

L'APPEL DES ORQUES

Les orques émettent des appels, des sifflements, des claquements ; ces derniers permettent l'écholocalisation, soit l'utilisation de sonars intégrés afin de détecter les éléments de leur environnement. Les groupes d'orques possèdent leur propre dialecte, transmis de génération en génération et qui permet aux animaux de garder la trace des membres de leur famille. L'étude de ces sons donne aux chercheurs la possibilité d'analyser la structure de leur famille et de leur société, l'une des plus complexes chez les mammifères.

Cependant, en raison de techniques de chasse secrètes, les orques nomades ne se montrent pas très bavardes. « Les orques friandes de mammifères sont la plupart du temps silencieuses et n'émettent des signaux qu'après avoir chassé. Leur comportement acoustique est par conséquent moins étudié que celui de leurs homologues piscivores », explique Tatiana Ivkovich.

Pour le plus grand bonheur des scientifiques, les orques qui ont dévoré la baleine de Minke ont émis des sons et pratiqué l'écholocalisation pendant au moins deux heures (Écoutez les cris des orques suite à leur chasse fructueuse). L'équipe envisage une analyse approfondie de la bande-son mais les premiers résultats indiquent que ces orques nomades sont aussi bavardes qu'un banc d'orques résidentes.

humour

Publié à 16:32 par fandeloup Tags : photos nature animaux sur
humour

Le dauphin essaie de dévorer sa proie. Mais ce qu’elle décide ensuite de faire pour y échapper est hilarant!

 Jodie Lowe est une photographe spécialiste de la faune et la flore. Et ses modèles préférés, ce sont les animaux marins. Dauphins, baleines, orques… Elle peut passer des heures à photographier ces specimens impressionnants et majestueux.

Un jour, alors qu’elle se rend à Hastings River à Port Macquarie, en Australie, Jodie est témoin d’une scène plutôt cocasse qu’elle s’empresse d'immortaliser. Alors qu’elle pense d’abord apercevoir un simple dauphin, elle se rend vite compte que celui-ci n’est pas seul.

Sur son dos se trouve une pieuvre ! Tandis que le dauphin l’a prise en chasse avec la ferme intention d’en faire son repas, elle a trouvé une solution assez astucieuse pour ne pas se faire avoir : s’accrocher au dos de son prédateur.

Voir le dauphin se faire ainsi narguer par sa victime est très amusant. Malheureusement pour la pieuvre, la fête sera de courte durée, puisque le dauphin réussit finalement à n'en faire qu'une bouchée.

Les photos restent en tout cas incroyables et impressionnantes ! La nature ne cessera jamais de nous étonner.