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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Chasse À Locquignol, un grand cerf tué au nord de la forêt « par erreur »
Il y a deux semaines, un grand cerf a été tué par les tirs de chasseurs au nord de la forêt de Mormal. L’adjudicataire du lot est en infraction par rapport au plan de chasse de l’ONF.
Un grand cerf a été tué par erreur au nord de la forêt, la société de chasse en infraction selon l’ONF.
Un grand cerf a bien été prélevé au nord de la forêt de Mormal il y a environ deux semaines. Selon l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), un bracelet ayant été délivré et posé sur l’animal, il ne s’agit pas d’infraction par rapport au plan de chasse préfectoral.
En revanche, pour l’Office national des forêts (ONF), l’infraction a bien été constatée. Si la préfecture donne bien une autorisation de prélèvements de cervidés (biches, faons, et grands cerfs), l’ONF a depuis peu décidé de sévir en imposant en concertation avec les sociétés de chasse et adjudicataires des lots, des critères plus draconiens.
« Sur tout le massif de Mormal, nous autorisons les prélèvements de deux grands cerfs, uniquement sur deux lots au sud de la forêt », concède Benoît Lengrand, responsable territorial. En clair, si la société de chasse du lot en question, au nord, avait bien un bracelet pour prélever un cerf mâle, elle n’avait pas l’autorisation de prélever un grand cerf.
« Ce grand cerf n’est pas le seul au nord de la forêt. La plus grande population se trouve au sud », affirme Benoît Lengrand.
Selon l’agent ONF, la société de chasse « nous a prévenus le jour même de l’infraction. Il s’agit d’une erreur de tir. Cela arrive. Un grand cerf se distingue par trois pointes au bout des bois ».
L’ONF a donc constaté l’infraction, et dressé un procès-verbal auprès de l’adjudicataire du lot. Aucune chance donc que le tireur soit condamné à regarder « Bambi », le grand classique de Walt Disney, contrairement à un braconnier multirécidiviste des États-Unis...
L'être humain perd sa santé à gagner de l'argent et par la suite, il perd son argent à se refaire une santé. Il pense au futur, au point d'oublier le présent, de sorte qu'il ne vit ni dans le présent, ni dans le futur. Finalement, il vit comme s'il n'allait jamais mourir et il meurt comme s'il n'avait jamais vécu.
L'instinct c'est inné c'est savoir que les décisions prises sont les bonnes . C'est lui qui nous guide dans les solutions les meilleures pour se sortir d'une situation difficile
Les grizzlis du parc de Yellowstone resteront finalement une espèce protégée
Pas moins de 700 grizzlis vont être de nouveau protégés dans le parc de Yellowstone, aux Etats-Unis, grâce à la décision d’un magistrat de l’Etat du Montana. De Arnaud Sacleux Un grizzli se promène dans le parc national de Yellowstone
Le juge fédéral Dana Christensen a décidé de rétablir les normes fédérales de protection des grizzlis en les réinscrivant sur la liste des espèces menacées. La levée des mesures, qui avait pourtant été approuvée par tous les employés du parc, concernait 700 ours.
DES DÉCISIONS CONTROVERSÉES ET CONTESTÉES
En ligne de mire, le Fish and Wildlife Service, organisme fédéral responsable de la préservation de la faune aux Etats-Unis, dépendant de l'administration Trump. Ou plutôt, sa décision datant de juin 2017 de retirer le grizzli de la liste des espèces menacées. Une décision jugée « arbitraire et fantasque » par le juge fédéral Dana Christensen. Dans une ordonnance partagée le 24 septembre 2018, le magistrat doute que les fonctionnaires fédéraux aient suffisamment pris en compte la faculté de l’espèce à se maintenir sur le long terme. Ce dossier recouvre selon lui une dimension éthique mais aussi politique : « oui ou non, le Fish and Wildlife Service a-t-il outrepassé son autorité légale en retirant de la liste des espèces menacées le grizzli de Yellowstone ? » Pour le juge Christensen, oui.
Bonnie Rice, représentante de l’ONG Sierra Club, est elle aussi de cet avis et affirme que cette décision serait « bien trop prématurée et pourrait anéantir plusieurs décennies de protection des grizzlis de la région de Yellowstone ». « Nous sommes heureux que le tribunal ait pris le parti de la science » a-t-elle réagi.
UN SUJET QUI DIVISE
L’an dernier déjà, la cour fédérale du Montana avait été saisie par plusieurs tribus d’Amérindiens, comme les Cheyennes du Nord et les Crow, opposées à la levée des mesures qui protégeaient jusque-là les grizzlis. Cet été, les États du Wyoming et de l’Idaho, à qui avait été confiée la gestion des populations de grizzlis, étaient sur le point d’autoriser les chasseurs à abattre 23 ours afin de réguler leur population. Une décision qui avait fait réagir de nombreuses habitants de l’Etat. Brian Nesvik, garde-chasse en chef du Wyoming Game and Fish Department, reconnaît d’ailleurs avoir été surpris par la mobilisation rapide et record qu’a suscitée cette décision. Pour lui, il était plus question pour les habitants d’empêcher la chasse aux ours que d’empêcher le contrôle de leur population. Pourtant, « la chasse de 23 d’entre eux [ours] n’aurait pas mis en danger leur espèce ».
Le juge Dana Christensen avait lui-aussi réagi, en prolongeant l’injonction qui arrivait à son terme et qui empêchait ce type de chasse. Les dernières activités cynégétiques visant les ours aux États-Unis en dehors de l’Alaska remontent à 1991, et le sujet alimente depuis des débats passionnés dans le Wyoming et les États voisins.
Une photographe sensibilise sur les animaux morts accidentés sur la route
Comme ce renard, de nombreux animaux sont victimes de la route qu'ils traversent…
Peinée d’apercevoir des cadavres le long de la route départementale entre Foix et Saint-Girons (09) qu’elle emprunte régulièrement, une photographe ariégeoise passionnée d’animaux a décidé de les prendre en photo… pour appeler les automobilistes à davantage de prudence. Un message relayé par 30millionsdamis.fr.
« Je souffrais trop de passer sans rien pouvoir faire ! » Cela fait 6 mois que Raphaëlle Kaufmann, jeune photographe de bientôt 26 ans, passe tous les jours par la D117, une route limitée à 80 km/h, qui traverse le parc naturel des Pyrénées ariégeoises.
« C’est une route très fréquentée par les voitures et les camions puisqu’elle relie Foix à Saint-Girons, explique l’Ariégeoise. Régulièrement, je voyais des animaux morts sur le bord de la route ou en plein milieu. Il m’est arrivé d’en déplacer mais je me sentais impuissante face à ce constat. C’est alors que j’ai décidé de les prendre en photo. Ce n’est pas pour culpabiliser les automobilistes, c’est pour sensibiliser. Il n’est pas si difficile de faire plus attention au volant. »
« Incapable de fermer les yeux devant la souffrance animale »
Renards, chats, hérissons, blaireaux ou autres oiseaux… Les clichés de ces animaux victimes de la circulation sur cette route montrent parfaitement la violence d’une cohabitation difficile entre la faune et les automobilistes.
« Je suis incapable de fermer les yeux devant la souffrance animale, souligne la jeune femme. C’est pour ça que je recueille des animaux, c’est plus fort que moi. C’est aussi pour ça que j’ai pris ces photos. Pour faire quelque chose, même une toute petite chose… »
La route du malheur… et du bonheur
La photographe a une relation particulière avec les bêtes, elle qui a perdu sa jument dans un accident quand elle avait 17 ans.
« Je pense que ce qui me touche ce sont les animaux abîmés par l’Homme, évoque-t-elle. L’un de mes chats a disparu pendant trois semaines et a parcouru plusieurs kilomètres sur cette même route. On l’a heureusement retrouvé. Il y a peu, j’ai récupéré un chien sur le bord de cette même D117. Il s’était enfui de chez lui. On a pu le rendre à ses maîtres.»
Depuis, Raphaëlle et son compagnon ont eu le bonheur de recueillir un nouvel animal qui – coïncidence ? – semble lui aussi avoir un sombre lien avec cette départementale :
« Laïka, 3 ans, est apparue chez nous à l’aube, en février [2018], raconte la photographe. Elle était en bonne santé et aboyait sans discontinuer vers la route devant chez nous, cette fameuse départementale. Elle appelait quelqu’un. Je me suis imaginé ses maîtres la laissant là pensant ‘Tiens, un parc naturel, ils doivent aimer les animaux…’
Nous ne savons pas grand-chose d’autre de son histoire, mais nous l’aimons. Et nous avons l’intention de l’emmener avec nous parcourir le Canada, en van. Et le tout malgré son caractère… et ses 35 kilos. »
Un périple que 30millionsdamis.fr suivra avec intérêt !
Pour protéger et préserver la biodiversité, l'ASPAS - Association pour la protection des animaux sauvages - soutenue par la Fondation 30 Millions d'Amis - projette d'acquérir 500ha dans la Drôme pour y créer une réserve naturelle interdite aux chasseurs.
500 hectares dédiés à la vie sauvage dans le Vercors
Les animaux peuplant le territoire de cette future réserve naturelle pourront vivre à l'abri des chasseurs.
L’association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS), partenaire de la Fondation 30 Millions d’Amis, a initié l’acquisition d’un terrain de près de 500 hectares dans la Drôme (26) afin d’y créer une réserve naturelle et faire barrage aux chasseurs. Le projet est d’ampleur et pourrait offrir une véritable bouffée d’air frais à la biodiversité dans un contexte où celle-ci souffre de plus en plus.
« Vercors Vie Sauvage », nom donné à l’initiative pilotée par l’ASPAS, s’étendrait sur pas moins de 490 hectares dans le Vercors drômois et offrirait un espace extraordinaire idéal pour protéger les espèces. Un lieu idéal pour la protection de la biodiversité
« C’est un lieu idéal, se réjouit Madline Reynaud, présidente de l’Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS). Il s’agit probablement de la plus belle opportunité depuis une dizaine d’années. Nous avons eu la chance de tomber sur cette annonce puis nous avons gratté… »
L’association, partenaire de la Fondation 30 Millions d’Amis, ouvre depuis 2010 des terrains afin de les transformer en réserves naturelles. Il y en a actuellement quatre : les réserves du Grand Barry et de Chateauneuf-du-Rhône (26), du Trégor en Côtes-d’Armor (22), et des Ranquas, dans l’Hérault. Une alternative aux parcs naturels régionaux ou nationaux qui n’ont pas les faveurs de l’association :
« C’est beau dans les paroles mais, dans les faits, cela ne protège pas la nature, regrette Madline Reynaud. Il n’y en a que très peu en France. Et la chasse ou la culture y sont souvent permises. »
Une zone totalement exempte de chasse Si le projet réussit, cela offrirait une véritable protection à la biodiversité. Madline Reynaud, présidente de l'ASPAS. Si le projet arrive à son terme, le symbole serait particulièrement fort puisque 250 hectares – soit la moitié de la zone en question – sont utilisés par les chasseurs.
Ces derniers feraient d’ailleurs des pieds et des mains pour empêcher l’opération. « Il s’agit d’une zone de chasse privée en enclos, explique la présidente de l’ASPAS.
Si le projet réussit, cela offrirait une véritable protection à la biodiversité. » Les animaux peuplant le territoire sont nombreux. Entre les cerfs, les aigles, les vautours fauves, les sangliers, les renards… Mais aussi le loup qui est de passage dans les lieux.
Un million d’euros à réunir avant le 30 novembre Pour parvenir à ses fins, l’association a jusqu’au 30 novembre pour récolter les 2,2 millions d’euros nécessaires. Elle a donc fait appel à des mécènes et à la générosité de donateurs via un site de financement participatif. 1,2 million d’euros ont d’ores et déjà été obtenus. La Fondation 30 Millions d’Amis soutient financièrement l’ASPAS chaque année depuis 2004.
Découvrez les écureuils de Geert Weggen, photographe animalier suédois. Il vit dans le petit village de Bispgården situé au milieu de la Suède où l'hiver dure généralement cinq mois. Il tue le temps en immortalisant des écureuils dans des mises en scène créées de toute pièce au prix d'heures d'observation. Il définit lui-même son style comme du « réalisme magique », en raison des situations empreintes de conte de fées et de fantaisie dans lesquelles les écureuils sont photographiés. Son style peut également se décrire par « le vivant en nature morte », parce qu'il fait des mises en scène et attend que la vie (un animal) y surgisse.
Quand une image vaut plus de mille mots.
Parmi les nombreuses choses que l'on dit sur les ours, sur leur dangerosité présumée, entre le flash menaçant des gros titres : " L'ours est arrivé ! Deportatelo !!!", ravagé par ce vacarme assourdissant qui sème la peur dans chaque contrada, il reste toujours la possibilité, accordée à chacun, de se faire sa propre opinion en regardant un document visuel qui n'est pas utilisé comme d'habitude.
Un garçon rencontre une ourse dans les montagnes trentine et décide de tout reprendre. Depuis l'obscurité de la forêt, il y a une ourse avec deux oursons à la suite. Ne me demandez pas pourquoi, mais j'éprouve une grande tendresse. C'est elle, le bouc émissaire dont tout le monde parle. C'est elle : le monstre imbriqué dans le trentin tel qu'il est peint par les médias locaux, c'est l'cannibale, le différent, le confident qui deviendra nuisible. Et pourtant, mon cœur se resserre. Je me demande combien de temps ils vivront. S'ils se font tuer par une anesthésie, ils sont empoisonnés, emprisonnés, poussés par un ravin, en un mot : Décimés.
Je me demande s'ils ne sont pas l'emblème de ce monde dans lequel j'ai toujours cru, un monde qui se fonde sur la cohabitation, qui ne chevauche pas les peurs pour une poignée de voix, qui respecte la nature, qui pense et s'émeut. Je vois dans cet ours ma mère, mon enfance, et je me retrouve enfant quand je me promenais encore à quatre pattes derrière elle. L'ours passe à côté du garçon. Avec tout ce qu'ils ont écrit, si seulement elle pouvait lire les journaux, elle se serait enfuie. Et pourtant non, vous croyez encore - ironie du sort - que l'être humain est bon. Un ours s'aperçoit du garçon et se lève sur ses pattes, le groupe accélère le pas, mais ne s'enfuit pas.
L'ours est loin maintenant, il s'arrête un instant, les oursons sont à côté d'elle, se retourne et lance un regard débonnaire au garçon avant de partir, comme s'il voulait le saluer une dernière fois. Il y a toute l'histoire de notre planète dans ce regard, aucun réalisateur de documentaires n'aurait pu saisir un moment aussi chargé de sens.
Ce n'est qu'une question de temps, mais tout va changer, les guerres internationales et les conflits sociaux jouent à la porte de la maison et un futur sombre nous attend. Je ne sais pas pour vous, mais je combattrai les ennemis des ours, la ligue en tête (et la liste est longue), pour l'idée du monde dans lequel j'ai toujours cru. Comment declamavano les gladiateurs et les légionnaires Romains avant de descendre au combat ou dans l'arène : "Usuqe à de", jusqu'au bout et jusqu'à la fin. Et si ce monde meurt, je mourrai avec lui. Je suis le soldat daniza, Le dernier roi des ours.
Une prime au mérite pour les chasseurs qui tueront le plus de renards en Charente-Maritime
La Fédération des chasseurs du département crée la polémique en créant le challenge du « meilleur chasseur de renard de l’année ».
En Charente-Maritime, la fédération des chasseurs entend « récompenser » ses adhérents qui s’impliqueront dans la lutte contre les prédateurs. Celle-ci vient de créer une « prime au mérite » et le « challenge » de « meilleur chasseur de renard de l’année ».
« Les chasseurs qui rapporteront individuellement au moins 35 queues de renard » se verront rembourser leur permis de chasse, écrit-elle à ses membres dans un courrier consulté par « le Parisien » - « Aujourd’hui en France ».
La fédération, qui revendique 19 000 chasseurs, offrira 500 € de bon d’achat au chasseur « ayant rapporté le plus de queues de renard […] chez un équipementier partenaire ». «Totalement irresponsable», selon une association écologiste Derrière cette « prime » — et des mesures allant de la création de points d’eau à la plantation de haies — se profile « un plan en faveur du petit gibier ». « Le renard est un prédateur, nous souhaitons le réguler.
Et réguler, ça n’est pas exterminer », avance son président, Christophe Bouyer, embarrassé par la fuite de ce courrier, devenu une mauvaise publicité. Selon la fédération, « de nombreuses études » démontreraient l’impact négatif des renards. « Faux », rétorque Patrick Picaud, président de l’association écologiste Nature Environnement 17, qui dénonce une initiative « totalement irresponsable. Les chasseurs se disent premiers protecteurs de la nature… Cette intolérance est inadmissible. »
Et voilà l'automne a posé son long corps de frimas et sa grise chevelure qui donne à nos cieux des allures de ptit vieux. Au revoir l'été ne nous oublie pas et reviens vite