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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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fond ecran paysages

astre

Publié à 17:47 par fandeloup
astre

Je suis en train de dorloter un astre qui luit, Ça suffit à me rendre happy,



sable

Publié à 14:44 par fandeloup Tags : vie
sable

Dans les tempêtes de la vie, dans les tourbillons de sable, petite ou grande vague, je me laisse glisser et porter avec confiance



feu

Publié à 09:01 par fandeloup Tags : oiseaux sur vie
feu

Il y a des spectacles qui désolent le cœur en fragments de larmes... des scènes que l’on voudrait oublier, mais qui reviennent et qui hantent. Ici avant ta naissance, se tenaient des arbres plusieurs fois centenaires dont la cime fleurtait avec le soleil, Des pins qui s’étendaient sur l’infini parterre de mousses et de fougères et des eucalyptus qui aimantaient mes poumons à leur essence à chacune de mes respirations. Il y avait des pincées d’écureuils espiègles qui s’enroulaient, qui s’envolaient de branches en branches, des cerfs majestueux qui dès les premières lueurs de l’aube entonnaient leurs brames pour rejoindre les chants millénaires des oiseaux gardiens des plus grands arbres. La vie débordait au dessus du réseau des racines enchevêtrées. Elle répandait sans aucune avarice un oxygène frais, parfumé... si bon à respirer que personne ne sait plus s’y tromper lorsqu’il l’a gouté.

Que reste-il à présent que les hommes ont été négligents ?

Le feu a léché les pierres de sa langue noire, laissant derrière lui une odeur âpre que même le vent ne peut reprendre. Il a dévoré les âmes de tous ses habitants, les maisons, les souvenirs... il a tout emporté, même l’espoir. La forêt s’est évaporée en fumée dans une nuée de papillons gris affolés... elle s’est réduite en cendres par delà toutes les vallées.

Qu’ai-je pu faire pour empêcher l’impensable ? Rien !



cascades

Publié à 16:57 par fandeloup
cascades

IL FAIT CHAUD ? L'Ain a plein de cascades à vous faire découvrir... ça "tombe" bien !



turbulences

Publié à 13:23 par fandeloup Tags : plat bleu
turbulences

C’est étrange comment se sont les turbulences qui sont les plus belles et comment un ciel bleu puisse être plat et pesant.



Antarctique

Publié à 16:19 par fandeloup Tags : heureux place mer fond sur photos nature hiver
Antarctique

L'Antarctique fond plus rapidement qu'on ne le pensait

Bien que l'effet de la fonte des glaces sur l'élévation du niveau de la mer ne soit pas clair, une nouvelle enquête devrait aider les scientifiques à mieux comprendre les effets du changement climatique sur le continent. De Michael Greshko En Antarctique, il devient difficile de déterminer quand la terre commence ou cède la place à l'eau gelée.

Un réseau étonnamment vaste de voies navigables traverse les plateaux de glace de l'Antarctique, les pans de glace se détachant des côtes du continent. Ces flux saisonniers, provenant pour partie du cycle naturel de l'eau en Antarctique, traversent le continent depuis des décennies. Depuis plusieurs années, les scientifiques les ont systématiquement étudiés et les dernières mesures sont inquiétantes : les flux sont désormais plus denses et étendus que ce que beaucoup de scientifiques avaient imaginé.

Dans certains cas, ces fluctuations atteignent une échelle difficile à appréhender. La plate-forme de glace Amery, sur la côte est de l'Antarctique, draine des flots ininterrompus sur plus de 120 kilomètres, alimentant des piscines naturelles à la surface de la banquise qui peuvent s'étendre sur plus de 80 kilomètres. Avec la fonte rapide des glaces, on pourrait remplir l'équivalent de 400 terrains de football chaque jour.

Ces données, publiées mercredi dans la revue Nature, donnent des informations vitales sur la fonte des glaces en Antarctique. Mais il est trop tôt pour dire si ces systèmes de réservoirs d'eau, qui sont près de 700 au total, aident ou handicapent le blanc équilibre de l'Antarctique - un enjeu réel, compte tenu du rôle potentiel de ces eaux nouvelles dans l'élévation du niveau de la mer. Le détachement d'une plate-forme de glace n'affecte pas directement l'élévation du niveau de la mer : par définition, une plate-forme de glace flotte déjà sur l'eau.

Mais le climatologue de l'Université de Massachusetts-Amherst, Rob DeConto, note que certaines plate-formes de glace agissent comme des contreforts, ce qui entrave l'écoulement de la glace dans la mer et le nivellement des terres arctiques. La perte de ces plate-formes de glace accélère donc le nivellement de la glace et des terres, ouvrant en quelque sorte le robinet qui augmente le niveau de la mer.

"C'est un peu comme laisser le videur d'un bar ou d'une salle de concert laisser passer des foules entières", ajoute le co-auteur de l'étude, Robin Bell, un glaciologue à l'Observatoire Lamont-Doherty Earth de l'Université de Columbia. "Les plate-formes de glaces sont en quelque sorte les portiers de l'Antarctique : retirez-les et une plus grande quantité de glace se retrouvera dans l'océan". L'eau de fusion peut constituer une menace pour la stabilité des plate-formes, en les alourdissant et en élargissant leurs crevasses internes.

Par exemple dans les jours précédant l'effondrement soudain de la plate-forme de glace Larsen B en 2002, des étangs d'eau avaient recouvert sa surface. Un autre pan de cette même plateforme, Larsen C, pourrait céder dans quelques semaines ou quelques mois. Dans l'une des deux études récemment publiées, Bell et son co-auteur, Jonathan Kingslake, mettent en exergue que le drainage à grande échelle pourrait intensifier la menace que représente l'eau de fonte, car il permet à cette eau de se déplacer plus efficacement, surtout si le changement climatique se maintient et que les températures continuent d'augmenter. "Cela peut devenir important, car la quantité d'eau de fusion qui se forme dans un seul endroit n'est pas seulement le résultat de la fonte des glaces.

Cela résulte également du déplacement des eaux sur de longues distances », explique Kingslake, qui est également glaciologue à l'Observatoire de Lamont-Doherty. D'un autre côté, la seconde étude de Bell and Kingslake suggère que ces réseaux d'écoulement d'eau pourraient aider à la stabilisation d'au moins une plate-forme, en drainant efficacement l'eau de fonte hors de la surface de la dite plate-forme. La prudente étude de Bell sur la plate-forme Nansen, un pan de glace s'étendant sur plus de 1 118 km² qui se jette dans la mer de Ross de l'Antarctique, montre que la plateforme évacue l'eau de fonte stagnant en surface jusqu'à l'océan et ce depuis au moins le siècle dernier. Les canaux de dérivation fusionnent finalement, emportant l'eau de fonte dans l'océan par une le biais d'une cascade d'environ 130 mètres de large.

A Bell ajoute que ce type d'études sur le continent n'a été possible que grâce au recueil de données pendant plus d'une décennie, grâce à l'imagerie satellitaire et aux photos prises par des avions militaires. Pour son étude de la plate-forme de glace de Nansen, Bell a même consulté des revues centenaires du Northern Party, un contingent de la fameuse expédition Terra Nova de Sir Robert Scott qui ne s'est pas aventurée sur le pôle Sud.

"Ils ont pris beaucoup de mesures mais ils ont été bloqués et ont dû passer l'hiver dans une grotte ; c'est tout ce dont [les gens] se rappellent d'eux", dit Bell. "Pouvoir utiliser les faits qu'ils ont rapporté et leur donner du crédit pour ce qu'ils ont fait me rend très heureux."

Mais Bell et Kingslake, avec des experts extérieurs, soulignent que l'Antarctique reste méconnu dans son ensemble. C'est un lieu hostile, défavorable aux scientifiques et aux instruments scientifiques. "Nous sommes dans une situation où nous avons une nappe de glace qui a le potentiel d'ajouter environ 54 mètres au niveau de la mer, et nous ne connaissons ni la topographie du plancher océanique, ni l'épaisseur de la glace ", déclare Helen Fricker, une glaciologue de l'Établissement d'océanographie Scripps qui a étudié les fluctuations des eaux de la plate-forme Amery.

"Arriver à tout cartographier est une tâche monumentale.” "Nous essayons de comprendre cet immense continent, mais nous n'avons qu'une poignée d'outils... et nous faisons de notre mieux", ajoute-t-elle. Un avion de la mission IceBridge de la NASA présente de plus en plus de glace dans les eaux au large des côtes ouest de l'Antarctique.



vague

Publié à 16:35 par fandeloup Tags : vie
vague

Comme une vague violente peut effacer la trace des pas.... La vie peut elle aussi nous faire violence. Restons confiant !



s'asseoir

Publié à 17:12 par fandeloup
s'asseoir

S'asseoir et relire l'Insoutenable légèreté de l'Etre ...



couleurs

Publié à 10:26 par fandeloup Tags : monde
couleurs

Un peu de couleurs dans un monde parfois si sombre



éclipse

Publié à 10:39 par fandeloup Tags : photo pouvoir france sur nuit
éclipse

Le 27 juillet nous pourrons observer la plus longue éclipse de Lune du 21e siècle

Le 27 juillet, lorsqu'elle passera dans l'ombre de la Terre, la Lune prendra une teinte cuivrée.

 La prochaine pleine lune aura lieu dans la nuit du 27 au 28 juillet. Une éclipse de Lune se produira également. Elle va durer 103 minutes. Dans la nuit du vendredi 27 juillet au samedi 28 juillet aura lieu la plus longue éclipse de Lune du 21e siècle (2001–2100) selon le site Time and Date.

Cette nuit-là, la Lune sera dans l’ombre de la Terre pendant environ 103 minutes (1 heure 42 minutes et 57 secondes exactement). Et cette éclipse sera visible de la France.

Voici ce qu’il faut savoir. Que verra-t-on ?

Une éclipse lunaire provient toujours au moment de la pleine lune, lorsque le Soleil, la Terre et la Lune sont alignés. Mais en raison de l’inclinaison de l’orbite lunaire, il ne se produit pas une éclipse à chaque pleine lune. Toutefois, chaque année, il y a au moins une ou deux éclipses lunaires.

Celle du 27 juillet sera la seconde de l’année 2018. La précédente remonte au 31 janvier dernier et avait duré près de 1h16. Mais elle n’était pas visible depuis la France. La rédaction vous conseille Insectes, serpents, crevettes …

Comment donner son nom à une nouvelle espèce animale ?

Le futur télescope géant pour mieux comprendre l’univers va créer 50 emplois à Poitiers Celle du 27 juillet sera totale, la deuxième d’une série de trois, se produisant à environ 6 mois d’intervalle. Concrètement, la Lune prendra des teintes cuivrées, comme le montre l’animation ci-dessous.

De plus elle passera par le centre de l’ombre de la Terre, ce qui en fait une éclipse totale centrale. La dernière remonte au 15 juin 2011.

Pourquoi est-elle si longue ?

La vitesse de la Lune à travers l’ombre est de l’ordre du kilomètre par seconde. Mais la distance relative de la Lune par rapport à la Terre joue sur la durée d’une éclipse. En l’occurrence, lorsqu’elle est proche de son apogée (c’est-à-dire le point le plus éloigné par rapport à la Terre sur son orbite) sa vitesse orbitale est plus lente.

Ce sera le cas le 27 juillet, c’est pourquoi nous assisteront à la plus longue éclipse lunaire du siècle. Mais il y a déjà eu plus long. Sur la période allant de 1 000 av. J.-C. à 3 000 ap. J.-C. la plus longue a duré 1 heure 47 minutes et 14 secondes.

C’était le 31 mai 318. À noter également que si l’éclipse totale va durer près de 103 minutes, la durée totale entre le premier et le dernier contact de la Lune avec l’ombre est beaucoup plus longue. Le phénomène durera en réalité de 6h13mn48s. Même si la partie la plus notable devrait quant à elle durer 3h54mn32s.

Bref, cela laisse le temps de lever la tête. Où et quand sera-t-elle visible ? Toute la question est de savoir qui verra quoi. L’Afrique centrale, orientale et l’Asie centrale pourront assister à l’intégralité de l’éclipse. En Europe, elle sera observable en première partie de nuit, entre le coucher du soleil et minuit. Plus exactement, depuis la France, si nous manquerons la phase la moins marquante du phénomène (l’éclipse pénombrale), nous devrions pouvoir observer l’essentiel du spectacle : l’éclipse partielle et totale. Au moins en partie.

Dans le Sud-Ouest, nous devrions rater le début de l’éclipse partielle car le Soleil ne sera pas encore couché. Il se peut aussi que certains manquent le tout début de l’éclipse totale. Mais si le temps le permet, nous pourrons assister à la majeure partie du spectacle et nous rattraper avec la deuxième phase de l’éclipse partielle. Il faudra lever les yeux dès le coucher du Soleil car l’éclipse totale commence vers 21h30 (le Soleil devrait se coucher 7 minutes plus tard). Et l’éclipse totale sera à son maximum vers 22h20 (à quelques minutes près selon les endroits).

Tout sera ensuite terminé aux alentours de 1h30 du matin. Pour savoir exactement ce que vous pouvez voir et à quelle heure selon l’endroit où vous vous trouvez, le site Time and Date peut faire le calcul pour vous. Cliquez ici ou directement sur l’image ci-dessous.

 Enfin, dans la mesure où il s’agit d’une éclipse de Lune, pas besoin de prendre de précautions particulières, l’œil nu suffit. Et pour les plus aguerris, la planète Mars sera très proche de la Lune cette nuit-là et devrait elle aussi être visible.



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