JE VOULAIS TE DIRE
Tout ce que je n'ai pas su te dire quand tu étais là.
Te chanter la plus belle chanson.Te réciter les plus beaux poèmes.Te serrer si fort contre moi!
JE VOULAIS TE DIRE
Quel merveilleux homme tu étais.Te dire que tu es toujours là.Au fond de mon cœur.
JE VOULAIS TE DIRE
Que mille souvenirs bercent ma mémoire.Que ton visage, ton sourire,je les revois sans cesse.
Que tes paroles, tes mots, ta voixJe les entends toujours.Te dire que si tu nous as quittés,moi je ne te quitterai jamais.
JE VOULAIS TE DIRE
Que des larmes perlent à mes paupières.Que mon cœur est serré à l'extrême.Et que lorsque je lève les yeux au ciel,je ne vois que toi
JE VOUDRAIS TELLEMENT TE REVOIR
Un seul instant, une seule seconde,pour te dire tout. Pour te dire rien.Pour te dire combien je t'aime encore et si fort.

Lorsqu'un être qui nous est cher se transforme en être de lumière,on ne veut pas accepter la vérité,même si on passe des heures à pleurer.On a beau hurler,on a beau en vouloir à la mort,cette personne nous a quitté,
et ça ne sert à rien de lui en vouloir,car il n'a pas demander a partir.Mon coeur a cessé de battre en même temps que le tien.Tu ne pouvais plus combattre,et moi je me suis retrouvée avec rien.La douleur a maintenant envahie mon corps.Je t'aime et t'aimerai toujours.

Regardant ta photo sur mon bureau,ton regard encore allumé à la vie,avant qu'il ne trouve dans le noir,ce qui ta emmené loin d'ici.Tu a laissé un grand vide derrière toi,tout tes objets personnels et autres,les beaux souvenirs quand tu sourit,ca suffit plus, tu n'est plus la.Tu ne peut maintenant qu'exister,que dans mon  cœur blessé,par ton absence qui aujourd'hui,rappelle mon amour pour toi.Je me sent tout à coup seule au monde,même avec la souffrance et la douleur,qui depuis ce jour m'inonde,et détruit mon coeur.Regardant une dernière fois ta photo,tes yeux perdus dans le vide, nul mot ne peut sortir de ma gorge, pleurant ton absence qui a détruit le temps.De là haut on ta déjà rappelé,on ta armé de deux belles ailes,pour rejoindre les étoiles du ciel.Ce jour là un ange était né,il s'est mis à voler si haut,là où le monde est si beau,là où il fait encore si chaud,parti sur le premier bateau,des couleurs honorent ton âme éternelle,les couleur de ta ville,les couleurs de ton stade,le gf38.Elles sont d'une telle richesse sans pareil,qu'elles éblouissent notre beau soleil,et caressent celle d'un arc en ciel.Je tarde de te revoir car je t'aime 

Qu'est-ce qu'il y a au bout du chemin,lorsqu'enfin nous sommes arrivés à la fin.Où nous tirons un trait à notre longue histoire,juste avant de nous perdre dans le noir.
Et si c'était une autre porte qui nous attendait,un autre bout de vie qu'on nous imposait,ou une récompense depuis longtemps recherchée,une minuscule parcelle de paradis inventé.Et si c'était comme dans nos rêves les plus chers,ceux qui nous ont mené aux confins de la terre,au sommet des tours des plus beaux châteaux,
et sur les blancs rivages des pays chauds.Mais si c'était réellement la fin.Une aventure sans aucun lendemain.
Aucune réponse, tant de suppositions.Fermons simplement les yeux et espérons retrouver les etres que l'on aime

Et puis moi, j'écris chaque instant.Je te rends constamment hommage,pour que tu restes encore vivant.Je ne peux pas tourner la page durant mon existence, tu me manques tant.J'attendrai le moment où nous nous reverrons,en attendant je vis et te garde vivant,même si coulent les larmes au rythme des saisons

C'est vers d'autres cieux, que ton âme est partie Telle une colombe, elle s'est envolée Pour rejoindre ce qu'on appelle le paradis Depuis ce jour, mes yeux ne cessent de pleurer Ton sourire et ta joie, manquent à ma vie Tu étais celui qui m'aidait à avancer Je repense à toi chaque jour, de l'aube au crépuscule Etendue dans l'herbe baignée par l'ombre du soir Regardant briller l'éclat du firmament Je repense avec désespoir A tes yeux doux comme une libellule Qui faisaient chavirer mon coeur

Evidemment il y a tes photos,ces mots d'amour qui laissent un goût amer.Privé de toi,c'est comme privé de tout.Et cet adieu qui ne tient pas debout.Quelqu'un est là pour se souvenir de tout,apprendre à vivre sans toi,je n y arrive pas.
Et lorsque tombe le soir,les souvenirs hantent ma mémoire
La nuit est trop longue sans toi,je garde en moi l'étrange sensation qu'elle est passagère cette séparation.Qu'un jour ou l'autre on se retrouvera,comme autrefois ici ou au-delà.Les murs deviennent prison,la vie n'est plus rien sans toi.

Ne t'inquéte pas mon ange,tu es toujours avec moi, jusque dans mes rêves.Ton visage est présent dans ma tête et mes pensées.
Je ne cesse de penser à toi,de penser à ton regard,a ton sourire qui me hante jour et nuit,a ces jours que je passe sans toi.
A ces secondes que je passe loin de toi,a mon coeur qui ne cesse de battre pour toi,a cet instant où l'on se retrouvera toi et moi...

Quand tous tes rêves se meurent,que ton sourire fait place aux pleurs et que ta vie perd toutes ses couleurs,tout ton flot de souvenirs ne te fait que souffrir,au point de vouloir mourir.
Tu ne trouves aucune solution,en plus de perdre toute tes passions,voilà ce que fait la dépression.
Je ne cesse de penser à toi,je ne peux m'arrêter de pleurer,
Il n'y a rien de plus égoïste en soi, mais la mort est une chose dure à surmonter.

Je suis désarmée et triste,lasse et pessimiste.Tant de larmes déchirent mon coeur,ayant perdu tant de bonheur.Je connais des moments très durs,ou parfois la vie est trop rude.Tant de douleur à surmonter.Pourquoi cette fatalité ?Je me sens seule et délaissée,la lumière s'en est allée,oubliée dans un coin si sombre,je vois traîner quelques ombres.Comme je souffre.Mon coeur, mon corps s'essouffle.Pourquoi allez jusqu'au bout.Après tout je reçois tant de coups.