Avant j'avais,mes yeux pour te regarder,mes oreilles pour t'écouter,mon nez pour te sentir,ma bouche pour te parler,
es mains pour te taquiner,t mon cœur pour t'aimer.

Maintenant j'a,mes yeux pour voir le vide que tu as laissé dans ma vie,mes oreilles pour entendre dire que tu es parti,mon nez pour sentir ton parfum que j'ai gardé,ma bouche pour murmurer tous ces "je t'aime" que tu n'entendras plus,mes main pour essuyer les larmes qui roulent sur mes joues,quand je prononce ces mots,
Et mon cœur qui t'aimera à tout jamais...

Si vous regardez dans mon coeur,vous trouverez une douleur,qui ne peut pas se guérir,qui n'arrive pas à partir.C'est une douleur du passé,qui est pourtant restée.J'aimerai l'enlever,l'arracher, la jeter,pour avoir une vie normale,pour ne plus avoir mal,pour ne plus avoir à cacher,toutes ces malheureuses pensées,qui contiennent de la peur,et bien trop de malheur,mais aussi et surtout du noir,qui reflète mon désespoir.

?

Je trouvais facile avant,de décrire mes sentiments.
Je trouvais les mots cherchés,pour dire ce que je ressentais.Aujourd'hui c'est différent,je ne suis plus comme avant.Parce que je t'ai connu,mes mots ne suffisent plus.Et je doit juste pour toi,chercher tout au ffond de moi,la plus parfaite expression,qui décrive mes frissons.
Plus loin que tout l'infini,je te suivrai ;
Plus fort que toute âme sur terre,je t'aimerai ;
Pendant des mois s'il le faut,J'attendrai que tu viennes ma chercher.
Mais sans ton cœur pour m'aimer,je périrai.

Sais-tu ce que veut dire avoir mal? Connais-tu le combat d'un coeur brisé?D'une mémoire qui n'oublie pas?De passer et repasser sans fin,ce qui vient de se passer.As-tu déjà poussé ce cri?Qui éclate de ton volcan de souffrance,arrive comme un tremblement de terre,déchirant tout ton être.Connais-tu le vide que ça laisse?Quand tout devient silence,que tu restes là, les yeux rougis,la tête vide et le corps fatigué.T'es-tu déjà demandé? Apres avoir autant pleuré,si quelqu'un dans ce monde saura un jour te rendre le sourire.

Malheureusement un jour ,tu es parti loin de moi,et de moi s'est emparée la terreur, la peur et la douleur de ne plus voir aucun de tes jours,de ne plus voir aucun de nos jours,et, ma vie est devenue noire,noire et sans vie,sans vie et sans sens,avec moi dépourvue de toi.Je suis devenue comme un papillon à qui on a arraché les ailes,et depuis que cela est arrivé,la vie ne coule plus dans mes veines,mon sang s'est figé,depuis ce jour où tu es parti loin de mon coeur 

Elle est là, elle nous attend.Et contre elle on est impuissant.On ne peut pas s'en sauvé,ni s'en échapper.Elle vient et nous enlève ceux qu'on aime sans prévenir,et qu'on ne sais jamais quand ,car on ne la vois pas venir.Pourtant la mort ne devrait pas nous étonner,puisqu'on sait qu'elle va un jour venir nous chercher.Alors pourquoi la craint-on, pourquoi en avoir peur,parce qu'elle nous apporte le chagrin et le malheur.Seul espoir, croire que tous ceux qu'elle nous a enlevés,on va un jour les rejoindre et enfin les retrouver.

Je perce le ciel d’un regard et replonge dans mes pensées, mes tourments sans fin.Les délices d’autrefois me semblent pareils à ces rives lointaines et inaccessibles.Quand le corps ne veut plus,la vie ne devient plus qu’un long supplice et dans le fond,je me demande pour quoi, pour qui je tiens.Je n’ai qu’un seul désir c’est fuir ces souffrances si solitaires.Ma vie n’est qu’amertume,et je ne fais plus rien d’autre qu’attendre et redouter,je ne fais plus rien d’autre que maudire,mais à qui je m’adresse, qui m’entendra ?Il n’y a plus personne, juste moi,moi dans ma cage et mes tourments.Je perce le ciel de mon regard et je te supplie de venir me chercher.Soudain le soleil luit, le vent caresse ma joue,un sourire se dessine sur mes lèvres,je te devine,tum’a entendu je le sais,tu me demande de patienter,bientôt tu viendra me chercher.Soulagé, je ferme les yeux,et je m’endors profondément en pensant a toi.

Parfois je m'assied au bord de la fenêtre et je t'imagine,me parlant,racontant tout et n'importe quoi.3 moisse sont écoulés depuis que tu as du me laisser,pourtant aujourd'hui encore je pense à toi,
a ce que nous aurions pu vivre.J'essaye de me dire que de là-haut tu veilles sur moi,en attendant le jour béni ou tu sera prêt à m'accueillir.Puis je me lève, je retourne me coucher,j'attends le lever du soleil,qui tarde, qui tarde, comme ton retour. 

Je fuis dans le brouillard en espérant m'y perdre,il n'est pas un jour où je ne songe aux aiguilles que j'ai dans le coeur.Je sais en revanche que je souffre, que j'ai mal, que je souhaiterais pouvoir m'arrêter.Je rêve de te sentir à nouveau près de moi.Si seulement je trouvais le moyen de quitter ce cercle, de te rejoindre moi-même.J'aimerais pouvoir mourir,ce serait plus doux que devoir supporter la douleur de ta perteJ'enfonce un poignard dans mon coeur à mesure que tu pars, que tu t'éloignes.Si seulement tu pouvais encore me voir, plonger ton regard dans mon coeur,tu saurais ma sincérité, la force de mon amour pour toi.Mes yeux percent l'obscurité,crient la douleur et la colère