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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Une douce leçon de patience.
Un taxi à New York a écrit :
Je suis arrivé à l'adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué
« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée.
Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher. Après une longue pause, la porte s'ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940. À côté d'elle il y avait une petite valise en nylon. L'appartement semblait comme si personne n'avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps. Il n’y avait pas d'horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.
« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu'à la voiture? » dit-elle.
J'ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme. Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir. Elle n'arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse.
« Ce n'est rien », je lui ai dit « J'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. »
« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle.
Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m'a donné une adresse, puis demanda:
« Pouvez-vous passer par le centre-ville? »
« Ce n'est pas le plus court chemin », répondis-je.
« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressé. Je me rends au centre de soins palliatifs. »
J'ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient.
« Je n'ai pas de famille » reprit-elle d'une voix douce. « Le docteur dit que je n'en ai plus pour très longtemps. »
J'ai discrètement arrêté le compteur. « Quelle route voudriez-vous que je prenne? » Demandai-je.
Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m'a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d'ascenseur. Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d'un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille. Parfois, elle me demandait de ralentir en face d'un bâtiment particulier ou dans un coin et s'asseyait le regard perdu dans l'obscurité, sans rien dire. Lorsque le soleil commença à rejoindre l'horizon, elle dit soudain:
« Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant ».
Nous avons roulé en silence à l'adresse qu'elle m'avait donnée. C'était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée. Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée. J'ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.
« Combien vous dois-je? » M’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.
« Rien » lui dis-je
« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.
« Il y aura d'autres passagers, » ai-je répondu.
Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.
« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »
Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d'une vie qui se termine. Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J'ai conduit sans but perdu dans mes pensées. Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ? Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie. Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»
Hommage à tous les activistes de la protection animale du monde entier.
-Souvent juger, mais très rarement compris. Les activistes de la cause animale sont des personnes avec un grand cœur, très sensibles dans l’âme, ils vouent leur existence aux êtres fragiles et sensibles qui n’ont pas autant de droit et de liberté qu’eux. Le but de leur vie est de tout faire pour permettre aux animaux de vivre heureux et libre comme eux.
-Dans cette société qui conditionne les hommes à se croire supérieur aux autres espèces, il est très honorable de se savoir égal et de se battre pour ceux qui ne sont même pas considérés comme des êtres vivants à part entière.
-Le matin, l’après midi, le soir, la nuit, pendant qu’ils se lavent, qu’ils déjeunent, qu’ils vivent leur vie, qu’ils regardent la télé, et même pendant leur sommeil, les activistes de la cause animale sont sans cesse habités par des images horribles. Des images qui les empêchent d’être heureux à 100% et de vivre comme tous le monde. Ces même images qui leur ont ouverts leur conscience et leur ont permit de s’éveiller. Ces images sont entrées dans leur esprit, l’ont éveillé, et y sont à présent ancrées. Ces images sont celles de vaches dans les abattoirs qu’on pends par les pattes et qu’on égorge à la chaine comme dans une véritable usine à viande, de chiens dépecés vivants pour leur fourrure afin de pouvoir habiller les pauvres d’esprit qui compensent leur pauvreté par des valeurs extérieurs, mais qui celles-ci ne font que nourrir et prouver leur pauvreté intérieur, d’animaux abandonnés, à la merci de tous les dangers, sur des autoroutes pleines de voiture qui risquent à tout moment de les percuter et de leur enlever la vie, ou de leur compliquer d’avantage en les blessant, du petit veau qui vient de naître et qui est déjà arracher à sa mère afin de pouvoir prendre le lait de celle-ci, de l’agneau sacrifié pour un dieu qui demande le respect et l’amour entre toutes les créatures de l’univers, du petit singe arraché à sa mère au beau milieu de sa forêt pour finir dans un laboratoire avec des tas d’appareils fixés à ses membres. Toutes ces images d’horreur, et tant d’autres, sont sans cesse dans l’esprit de ces activistes. Ils mangent avec, dorment avec, vivent avec. Ils se battent pour la vie et le bien-être des animaux, mais la morts et la souffrance de ces derniers les accompagnes 24h/24 - 7j/7. Chez certains, ces images les consumes à tel point que parfois, ils finissent par se donner la mort. Nous n’avons pas le droit de juger une personne qui écoute son cœur, surtout quand nous même nous sommes sourds au nôtre. Ces activistes nous apprennent que nous n’avons pas besoin de parler pour se comprendre, en écoutant sont cœur comme ils le font, nous sommes même capable de communiquer entre toutes les espèces. Un activiste se bat pour l’amour et la paix entre toutes les espèces dans le monde, mais la haine et la guerre que les autres font, hantent son esprit. Beaucoup se moquent de ces personnes au grand cœur, de leur sensibilité, de leurs actions, mais ils feraient mieux de les copier au lieu de se moquer. Car leur souffrance est constante, et il est courageux de se battre contre la souffrance d’autrui alors que nous souffrons nous même pour eux.
-Il y a toutes sortes d’activiste. Il y a ceux qui ne font que signer des pétitions derrière un écran et partager des annonces d’adoptions ainsi que des images fortes accompagnées de messages percutants, il y a ceux qui donnent un peu de leur temps dans les refuges pour s’occuper des pauvres loulous en les sortant et en leur donnant de l’amour, il y a ceux qui participent aux événements, tel que les manifestations, les journées de sensibilisations, et il y a ces activistes, que certains nomment « extrémistes ». Ce sont ces activistes qui donnent leur vie pour leur cause, ceux qui prennent des risques, ceux qui n’ont pas peur de faires des choses illégales qui pourraient leur couter leur liberté, ceux qui n’ont pas froid aux yeux et qui n’hésitent pas à agir dés que leur cœur leur en donne l’ordre. Certains les prennent pour des fous, mais moi je dirais qu’ils sont simplement des êtres hypersensibles pourvus de courage que beaucoup d’autre n’ont pas. Les activistes extrémistes ne sont ni fous, ni débiles, ils écoutent simplement leur cœur. Ils ne se demandent jamais s’ils peuvent le faire, mais simplement s’ils doivent le faire. Ils ne méritent aucun jugement, simplement nos louanges. Rien n’est plus noble que de donner ou de risquer sa vie pour sauver celle d’un être plus faible que soit. -Quelque soit l’activiste, quelque soit ses actions, ses sacrifices, nous n’avons pas le droit de le juger pour ce qu’il fait, ni pour ce qu’il ne fait pas. Le peu que certains font c’est déjà beaucoup.
-A notre époque où le monde est plus proche de l’enfer que du paradis, il est courageux d’y vouloir apporter sa lumière. Malheureusement certains n’y sont pas réceptifs. Car certains ne possèdent pas les yeux du cœur.
-Certains ont beau tout tenter pour les empêcher de changer les choses, n’oubliez jamais qu’une idée est plus forte qu’une armée. Et à ceux qui se moquent de la cause que ces activistes défendent, sachez que derrière chaque corps animal torturés, il y a des milliers d'âmes de vrais " humains " qui souffrent. Car un seul animal torturé fait de la peine à des milliards d’êtres humains. Se moquer de la souffrance animale c’est aussi se moquer de la souffrance humaine. -Nous ne seront jamais heureux, car toute notre vie nous souffrirons pour eux.
-ces activistes ont compris avant tous le monde, que ce n’était pas les animaux qui étaient inférieurs à l’homme, mais que c’était l’homme qui se croyait supérieur aux animaux.
-L’amour est leur religion, la liberté est leur devoir.
-ils sont la semence d’un nouveau monde, et leur lumière jaillira jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune ombre. une pensée pour tous ceux qui se battent contre le monde corrompu, contre la mort et la souffrance, contre l’injustice, mais aussi et surtout, contre eux même ?
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années, on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal. Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l'âme.
DECES –
A l'âge de 48 ans, l'animateur et producteur télé est décédé des suites d'un cancer de l'estomac... Son état avait été jugé très critique par l’un de ses proches ces dernières semaines. Jean-Luc Delarue est décédé jeudi soir.
L’animateur, qui a connu la notoriété avec l’émission «Ça se discute» dans les années 1990, souffrait d’un cancer de l’estomac. Il avait révélé publiquement qu’il était atteint de cette maladie en décembre 2011 au cours d’une conférence de presse. Un mois plus tôt, il avait été hospitalisé en raison d’une occlusion intestinale. Avant ses problèmes de santé et plusieurs frasques, l’animateur a connu une belle carrière à la télévision.
Jean-Luc Delarue a fait ses premiers pas sur TV6 en 1986 avec l’émission «Une page de pub».
L’année suivante, il entre à Europe1 puis, quelques années plus tard, à Canal+.
En 1991, il anime «La grande famille», une émission quotidienne qu’il dirige pendant trois ans.
En 1994, il rejoint France 2 et crée simultanément sa socité Réservoir Prod, qui produit «Ça se discute». L’émission sera un succès pendant quinze ans. «Ça se discute» est récompensée par un Sept d’or en 2000.
En 1998, Jean-Luc Delarue produit et présente sa deuxième émission de société, «Jour après jour», toujours sur France 2. Elle reçoit également un Sept d’or, trois ans plus tard.
La marque de fabrique de l’animateur? Son aisance avec les invités et sa diction rapide. «Reservoir Prod» lance ensuite de nombreux programmes sur plusieurs chaînes («C’est mon choix» et «Tous égaux» sur France 3, «Vis ma vie» sur TF1). En 2006, l’animateur lance «Toute une histoire», diffusée en début d’après-midi sur France 2.
La vie est comme un bon livre. Plus on avance, plus on comprend se qui se passe.
La sincérité est une ouverture de ♥. On la trouve en fort peu de gens, et celle que l'on voit d'ordinaire n'est qu'une fine dissimulation pour attirer la confiance des autres.
Surnom Donna Summer
Nom LaDonna Adrian Gaines
Naissance 31 décembre 1948 Boston, Massachusetts États-Unis
Décès 17 mai 2012 (à 63 ans)
Activité principale Chanteuse Actrice
Genre musical Disco Pop Rock Funk Soul Gospel R&B Dance
Instruments Piano
Années d'activité 1971- 2012
Le risque d’aimer, c’est d’aimer autant les défauts que les qualités, ils sont indissociables
Ce n'est pas forcément en perdant une personne que l'on aime que l'on se rend compte de son importance. Si une personne est importante pour nous, on le sait tout les jours en l'aidant ou en s'amusant avec elle. On aime une personne parce qu'être avec elle nous rend heureux. Il n'y a besoin de rien de plus que sa présence pour savoir qu'elle compte pour nous