Les crayons de la vie comme des vagues en furries ,dessinent en touches silencieuses des prunelles de verres ,dans les grands trous béants. Masques qui brisent les enigmes invisible, embarcadere dans l'essence du regard ,peinture du vivant ...

Tais-toi ma pensée, silence dans ma tête Je ne veux plus chercher, raisonner, espérer. Je suis arrivée à ce point de départ sans fête Pour un chemin plus long, hasardeux,plus secret. Je ne sais plus que dire que faire , je suis vide Je m'échappe dans une nuit de pôle, nuit morbide, Mais je ne sens rien, ne ressens rien, ne suis rien , Rien qu'un fétu de paille secoué par la brise Une petite babiole gelée par la bise Je réduis, je fonds, je disparais, aérien Je ne suis plus qu'un point , un point si petit ... Que bientôt il ne reste plus rien .. Ai-je un jour existé; Etait-ce ça la vie ? ...

Le feu représente les passions, l'enthousiasme et les amours. C'est aussi l'esprit, la connaissance intuitive. Si le feu est un incendie, c'est le feu macrocosmique. Si le feu est souterrain, c'est la sagesse humaine. Si le feu est céleste, c'est la sagesse divine. Si le feu est terrestre, c'est la conscience ou l'intellect. Les feux follets peuvent symboliser les âmes errantes.

Prenez le temps comme il vient, le vent comme il souflle, la femme comme elle est

Mais je n'ose pas remuer. Je n'ose pas souffrir...J'ai peur d'effaroucher les souvenirs qui viennent se poser devant moi, comme des oiseaux...

Le vent vous a emmené jusqu'au pays de la bourgogne..Entre rêve et réalité..Mon refuge féerique, là où mes inspirations prennent formes..Là où je me sens moi même en harmonie avec la nature et où je retrouve cette magie qui me ressource et ainsi je redécouvre la douce sérénité d'instants volés au temps enchanté.

Sur ce sentiment inconnu dont l’ennui, la douceur m’obsède, j’hésite à apposer le nom, le beau nom grave de la tristesse. C’est un sentiment si complet, si égoïste que j’en ai presque honte alors que la tristesse m’a toujours paru honorable. Je ne la connaissait pas, elle, mais l’ennui, le regret, plus rarement le remords. Aujourd’hui, quelque chose se replie sur moi comme une soie, énervante et douce, et me sépare des autres.

Tous les individus sont à sa recherche. Certains disent qu’il est éphémère, qu’à peine arrivé il s’éclipse sans laisser de traces. D’autre affirment que l’on se rend compte de sa présence seulement quand il n’est plus là. On ne le reconnaît pas. Il apparaît sous différentes formes, selon chacun. Il arbore beaucoup de masques. Il peut se cacher sous un visage, un amour, une promesse, une réussite. On peut passer à coté de lui, sans parvenir à l’atteindre. On peut aussi faire semblant de l’avoir. C’est un but pour certain, une récompense pour d’autre. Malheureusement, il n’est pas contagieux. Il ne s’achète pas non plus. On entend souvent parler de lui.

BONHEUR Un mot devenu à la mode.

Dans un espace infini, les légendes des mondes oubliés ouvrent les portes au féerique et au mystique. Evadez-vous dans mon monde imaginaire empreint de poésie et de rêve.

Rappelez vous que vous êtes nécessaires. Personne n'est supérieur et personne n'est inférieur. Personne n'est plus haut et personne n'est plus bas. Tout se compléte