C'est comme une nuit sans fin après le plus beau des jours. Une peine de ♥, c'est apprendre la douleur. C'est comme un ciel sans étoiles, un regard qui se voile. C'est mettre à la fin d'un chapître de sa vie, des pointillés et tristement penser au passé. C'est se dire que tout est fini, que plus jamais n'existera la magie, celle qui laisse penser qu'en amour tout est possible. Même l'impossible. Toi, qui dans un coin cache ta douleur .Toi qui ne dort plus et qui pleure. Garde courage. Il y a toujours un moment ou cesse l'orage. Ou dans sa vie, on peut remettre des couleurs pour réapprendre le bonheur. Pour chasser les idées noires ,il faut garder espoir. Garde en toi tes richesses. La vie te réserve bien des promesses.

Est-ce une forme de magie lorsque reviennent des morceaux de vie ? De lointains souvenirs si doux qu'on se demande pourquoi ça fait souffrir. Nostalgie des temps anciens ,l'impression parfois qu'il n'en reste plus rien. Et pourtant, il suffit d'une image, d'une odeur pour qu'à nouveau s'emballe le ♥. Les larmes brûlent alors mes paupières quand affluent les beaux souvenirs d'hier. Je sais qu'il ne reviendront plus. Dans le passé, ils sont perdus. J'ai encore bien du chemin à parcourir pour après m'être retournée, apprendre à sourire.

Parce qu'il y a comme ça des soirs, où dansent les idées noires, parce qu'il y a des moments où on a plus envie ,et qu'on a même du mal à croire en la vie, parce que je sais plus où j'en suis, au jour d'aujourd'hui, parce qu'il y a des regards qui boulversent, des paroles qui blessent, parce que j'sais plus, parce que j'peux plus, je me sens vidée de mes mots, vidée de tout, alors je me glisse dans un trou comme une souris et j'attends...

Il y a la distance qui nous enfouis au fond d'un temps bien trop gris ..Deux ♥ ♥ qui hurlent sans bruit comme deux fantômes dans la nuit ..Il y a notre amour qui luit ,comme un soleil de minuit ..Nous mettant dans l'abri de nos pensées alanguies ..Il y a cette absence infinie ,quand ton retour l'aura tarie ,je t'accueillerai dans ma vie et nous serons au paradis

La nuit ,quand les rêves s'ouvrent ,j'imagine ton regard comme les yeux d'un ange posés sur moi ,caressant mon sommeil ..J'entends ta voix comme dans cette première nuit ,où me croyant endormie ,tu murmurais "Je t'aime ma vahiné" ..Les soupirs des ténèbres me bercent dans une atmosphère ouateuse ,et quand le jour se lève sur ma ville les étoiles s'endorment dans mon ♥.. Et je me réveille les yeux plein d'amour...

Je viens de m'éveiller d'un long sommeil pesant où trop de cauchemars tamisaient la lumière de mon âme anxieuse et qui, toujours requiert ce repos que m'accorde l'instant bienfaisant. Assise au bord de la rivière de mes yeux j'effeuille le bouquet de soucis et de mes pensées .Au gré des flots, elles mènent une lutte insensée et se meurent dans un soupir silencieux. Elles emportent avec elles leur parfum de douleur. Je caresse cet instant qui me prend la main .Hier n'est plus, il est déjà demain. Me reste la rosée du malheur.

Temps, tu passes, inexorable, Tu passes … Je ne cherche ni à te retenir, ni à t'accabler, Je te laisse glisser doucement en moi. Trêve d'un moment, esprit vide et âme comblée. Heures immobiles, tu m'inquiètes. Temps, que fais-tu ? Impatience ou ennui, qui guette L'angoisse d'une pensée vécue ?

N'est-ce pas une tristesse que de s'éloigner involontairement, sans savoir pourquoi, d'êtres qui nous furent chers et, en tout cas, furent mêlés presque familièrement à notre existence pendant quelques années ou quelques mois ? Il y a réellement dans les sympathies des courants comme il y en a dans les fleuves, qui attirent, repoussent, joignent et séparent les affections, les intelligences, les destinées, sans que nul n’en soit responsable. Ne vous arrive-t-il pas, de ne plus jamais voir des passants de votre première jeunesse, et même de ne plus songer à eux que par hasard ? N'en est-il pas ainsi pour chacun de nous, sans que nul ne puisse nous accuser ni d'inconstance, ni d'ingratitude ? Et, au contraire, parmi ces passants que nous trouvons sur notre route, il en est un, choisi par le sort, qui doit laisser dans notre vie une trace, ineffaçable, une profonde empreinte ...

Tu as laissé des bouts de toi au bout de mes doigts, la musique de ta voix fait écho à mon pas ,et ton parfum sillage chaque parcelle de mon ?

Me laissant loin de toi, de tristes jours m'ont exilée. Je revoie tes yeux en voyant le soir sourire les étoiles ,dont la clarté irradie la nuit, quand elle étend ses voiles. Quand parmi l'air câlin s'effeuillent des musiques, mon ♥ bien douloureux bercé de mélodies ,oublie dans la beauté l'effroi des jours tragiques. Si la mort est le but, pourquoi de si belles roses, tant de cruauté et d'épines mouillées de nos pleurs ? Le dernier chemin sera-t-il un gazon semé de fleurs ? . Les mois passent !... Je souffre encore. Pourquoi ? C'est parce que je t'aime et suis bien loin de toi !