Si adieu est mon dernier mot, Je te donne les vents de terre pour sécher ton coeur si beau, et tes larmes brûlant ta chair .Si je t'aime, endort mes lèvres .Je te donne ces vents d'océan pour écumer mon sanctuaire de voiles hissées des haubans .Si ta tristesse blêmit tes nuits, je te donne le zéphyr du matin pour que tu sois la rose de vie que l'aube lave de son chagrin .Si ma voix manque à tes jours, Je te donne les alizés des îles porteurs des oiseaux d'amour ,enchantant ton coeur fragile

Mais qu'elle est cette île mystérieuse qui se fait jour dans la nuit, se levant a l'aurore pâle de la lune impérieuse,du brouillard surgit sa terre en évent ; Est-elle ce paradis des âmes rêveuses qui s'endorment les larmes aux yeux .Mais qu'elle est cette fleur odorante qui s'est déposée sur cette île du ciel ,que ces vents au carrefour des étoiles sèchent vos maux refroidis des hivers. Au revoir Dame Lune

Tombe la pluie sur les trottoirs. Elle ira se diluer dans les mers et se fondre dans les flots salés ,sur une frange d'écume amère, et le ciel ouvrira ses yeux bleus aux tons camaieux du bonheur. Un visage sur la toile des cieux qui s'éveille au jardin du ♥ ;

Et la lune divague comme une fleur qui zigzague sur le marais des pleurs ; Jouir de la nature véritable sous son manteau si pur .Errer ça et là de pas friables que les chemins apurent ; Et la lune vagabonde, lorsque les cygnes vaporeux ondulent sur l'onde dans leurs jeux amoureux ; Savourer le silence des ombres. Noyer ses yeux éblouis      des pluies de l'horizon qui sombre,sous la lame d'un éclair de vie ; Et la lune déambule sur les fils du ♥ telle une funambule. Muse aux cieux rêveurs ;

Elle a gardé sa délicate jeunesse .Celle versée au premier chagrin d'un amour de tendres, caresses qui s'éteint un jour sans demain ; Cette larme qui emplit notre vie de douceurs et de vague à l'âme ,laisse aux rives de nos yeux gris ce sourire rajeuni dans sa trame

La femme endormie dans l'aube du matin Aace teint pâle d'ombellules d'angélique .Cette fraicheur ravie d'un bouquet de romarin fleurant de ses pétales un parfum romantique ,

L'Automne dans un effleurement embue le miroir des eaux ,l'haleine      encore douce du vent érige la langueur du roseau .Sillonne le grand cygne blanc sous la pâleur d'un prélude de soleil qui froisse         de ses rais mollissant l'onde engourdi de sommeil .Tout semble             étrangement dormir. Seul un écho dans les arbres susurre aux branches de se dévêti et le bruit la feuille qui glisse et se déhanche .L'automne dans un attouchement fait vibrer le ♥ en hiver ,tendre Sous la caresse du vent,ardent par le feu des clairières

Parfum des embruns l'homme s'est appuyé entre les sables bruns et les obscurs rochers .Chercher cette lumière sur l'océan en feux         qu'une lune en poussière a embelli de bleu. Sous son âme posée      sur la grève se tressent des corps entrelacés par une vague de caresse ,caprice d'un souffle marin.Heureux de s'assouvir a le gifler aux airs salins de quelques souvenirs

J'aimerai être le Vent... Et souffler sur la Terre... Afin de réduire en poussière la Haine et la Misère... J'aimerai être une fleur et pousser sur la terre pour souffler un doux parfum de paix... D'amour... Et de bonheur ... J'aimerai être un petit oiseau... et survoler la terre... En laissant sans son sillage une mélodie d'amour... Et si l'amour était dans les âmes et dans Les cœurs...♥ Alors notre monde serait meilleur

Une flopée de flocons blancs dans le gris d'un ciel assoupi déambule aux flots des vents et se colle aux terres durcies ; En ce jardin de fond en comble blanc d'un hiver et ses parures. Un cèdre bleu ,fier qu'on émonde pointe sa tête nue des froidures ; Aucun pas par ce blanc dessous n'a froissé cette blanche dentelle . Les oiseaux ont froids        dans les forêts sans toit ; Il fait si froid je suis gelé .Absence de toi ; Il fait si froid que de vouloir être la rose qui repose  . Je donnerai Au temps une pause .Le temps ... D'être la fleur de ton printemps .