La mer est imprévisible et sauvage Et lorsque vient l’orage On ne peut l’approcher Les vagues sont déchainées La mer est sans limite et fantastique C’est une énigme magnifique Le reflet du soleil à la surface m’éblouit La mer est une beauté éternelle Elle est magnifique et rebelle On ne peut la dompter Tantôt elle est calme,Tantôt agitée !

J’aimerais etre une sirène Que l’eau se confonde a mes larmes de peine Nager dans cette grande étendue d’eau Et savoir qu’il y a un autre monde là haut

Malgré les jours et les nuits, tu vis encore en moi. Lorsque s'en vient le soir, j'ai froid de ne plus te voir Alors s'en va l'espoir et je crois la vie dérisoire.Le verbe s'échappe de ma bouche Tu pousses en moi comme un cri Qui me blesse et me touche Et coulent les larmes de la nostalgie Malgré les jours et les mois, tu vis encore en moi.

Je t'aies trop attendu ,Mais tu n'est pas venu .Je crois presque que je tes perdu. Je sais que tu viendras ,Je te sens tout prés de moi .Le vent qui souffle dans mes cheveux, Ce vent qui viens des cieux, Chaque désire, chaque voeux. Ce vent qui est si doux, me fais penser a toi. Ce vent crées ,par chaque battement d'ailes des papillons ,Ce vent qui est la juste pour moi , Je vie pour lui....

Grand amour, souvent semble, rien ne bouge maintenant,ni toi ,ni moi et la nuit s'en va ,jusqu'à l'aube, seule une lueur de lampe a pâli, quand nous nous sommes quittés sans bruit

Pourquoi mes larmes ne cessent de couler, Et la colombe veut elle toujours s'envoler? Où est la sérénité que l'on me souhaite, Et cette joie qui pourrait hanté ma tête? Qui peut me dire ce que je voudrais entendre .Mais encore faudrait il aussi me comprendre! Comment vivre toujours avec éternel sourire ,Quand on à le coeur qui ne cesse de souffrir? Je ne souffre pas d'une maladie cruelle ,Je ne souffre que d'une pure et perpetuelle Remise en question sur moi ,et ce qui m'entoure, Ma vie prends soudain un drole de détour ,Tout me devient dure à gerer, à controler .Comme la colombe je voudrais m'envoler;

Perdue dans mes rêveries Je vie ce monde idéal Plus de tracasseries Ni de moments fatals Je flotte comme une étoile Illuminée par la lune Je revêts ce léger voile Aussi coloré que les dunes Je sens la brise des cieux M'envahir et m'ennivrée Je laisse un flot nébuleux Me protéger et m'entourer Que j'aimerai rester ainsi Et pouvoir rêver à volonté Me laisser parfois aussi Au loin,trés loin m'emporté.

Je suis ce que je ne suis pas Ici ,mais je ne suis pas là. Eparpillée dans mes rêves ,Noyée d'angoisses sans trève ,Mal de tout ce qui m'entoure. Pourtant entourée d'amour ,Mais pas celui que j'attends. Voilà où sont mes tourments *Je suis ce que je ne suis pas Ici ,mais je suis ne suis pas là, Le masque me colle à la peau ,La déprime qui remonte haut,Mes amis qui me poussent, Ma famille que je repousse. Mon coeur pleure et j'ai peur Peur de plus avoir les bonheurs *Je suis ce que je ne suis pas Ici , mais je ne suis pas là, J'oublie de vivre et respire ,Je laisse mon coeur souffrir, Car en moi, tant de choses Me rendent encore si morose! Je ne suis pas moi tout simplement .Je suis quelqu'un qui souffre doucement

Marchant seule sur cette plage déserte, J’écoute le chant des vagues en détresse. Elles sont remplies des soucis perdus, De ceux qui leur confient leur âme déchue. Elles m’apportent les joies, les peines, et leurs rêves, Ainsi que tout ce que leur cœur espère. Je me penche soudain pour lui tendre la main, Et d’une caresse sur mes pieds, Elles me livrent leurs profondes pensées. Je ressens l’effluve de ces sentiments, Qui envahit mon corps de tremblements ! Je la laisse doucement quitter le sable encore chaud, Sans avoir prononcé le moindre mot.

J'ai besoin de toi comme l'ombre a besoin du jour