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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
J' irais cueillir ce soir , au jardin des secrets mes rêves les plus beaux au sommeil de mon coeur. Dans l' ivresse des silences qui caressent ma peau! J' y entends un écho qui ne sonne jamais faux.
Il se peut que l'origine des sirènes se trouve dans les récits des navigateurs, qui les confondaient avec des animaux rares, comme les lamantins ou les Dugongs. Dans une logique Évémériste, la longue queue des lamantins, leurs mamelles, qui évoquent des seins, ainsi que leurs cris plaintifs sont rapprochés de l'apparence physique et des chants que la tradition prête aux sirènes. Il semble probable que Christophe Colomb ait pris des mammifères marins de ce type pour des sirènes. D'autres descriptions mettent en scène des sirènes à tête et à buste de femme, avec une queue de poisson : ce sont les nymphes de la mer, filles du dieu de la mer Phorcys. Elles seraient alors aperçues à la surface de l'eau ou bien, assises sur un rocher, elles peigneraient leurs longs cheveux et tiendraient un miroir dans leur main. Selon certaines interprétations, les sirènes d'Homère n’étaient autre chose que des courtisanes qui demeuraient sur les bords de la mer de Sicile et qui séduisaient les marins.
Toi, dont les yeux sont triste ce soir... Ne reste pas... seul(e) à pleurer... Toi, qui ne connais plus l'espoir... Viens...je suis seule aussi... Je vais t'écouter... Prend congé...de tout ce qui te fait souffrir... Ne crains rien...chèr(e) ami(e)... Repose ton âme... Je te donne mon sourire... Au delà de tes larmes... La vie a encore son charme... Je te comprend...ce soir... Même le bonheur...te fait peur... Mais...ne perds pas espoir... Prends quelques heures... Tu verras ton existence... Retrouver ses couleurs... Ne laisse plus ton coeur souffrir... Je te donne mon sourire... Ensemble... On va voyager dans le passé... Pour ne côtoyer... Que les plus beaux souvenirs... Ceux, qu'on ne devrait jamais oublier... Et, pour ceux qui t'on fait souffrir... Je te donne mon sourire... Descend en ton intérieur... Caresse doucement ton coeur... Sois bon(ne) avec toi-même... N'aies pas peur... Essaie de te dire...Je t'aime... Ne te laisse plus démolir... Je te donne mon sourire... Regarde devant toi... Touche la beauté de tes sentiments... Ne laisse personne détruire tes pas... Tu as assez souffert maintenant... Retrouve le goût de vivre... Je te donne mon sourire... La souffrance t'a fait grandir... Tout comme moi... Elle a embellie ton âme... Tu te sens plus humaine... Depuis que tu as laissé tomber tes chaînes... C'est à toi maintenant... De me donner ton sourire... Si tu savais...comme j'en ai besoin... Pour moins souffrir
Écoute le bruit des oiseaux, s'élevant dans le ciel. Lève tes yeux vers ce monde rempli d'ailes. Regarde ces âmes se promener vers l'éternel. Tout est beau, magnifique, irréel. Regarde ce monde pourrit mais montrant La face la plus belle; et son chant Envoûte notre âme depuis la nuit des temps. Ne soit pas timide, soit un combattant. Sens l'odeur des fleurs, des saisons Qui illuminent ta vie, recouvert de haillons. Libère toi, mon enfant de ces chaînons. Cueille cette rose dont son pied est le goudron. Crie mon bébé, crie ta volonté De sauver ce monde cassé, Par l'hypocrisie de ces gens décidé A nous tuer, envoles-toi dans la voie lactée. Touche la haine des Hommes.Admire Ces bêtes s'entre-tuer, ces armes sont des vipères. Elles brûlent tes doigts, Enfant de lumière Recouvre ce monde si funèbre. Mon Enfant, maintenant tout est sublime. Dans ton imaginaire, verse des larmes. Ta tristesse envahie ton coeur, ce poème Est sans doute, pour la Terre, un requiem
Depuis que je suis loin de toi Je suis comme loin de moi Et je pense à toi tout bas Tu es à des années lumieres de moi Je suis à des années de toi C'est ça être là-bas. La différence C'est ce silence Oui, j'ai le mal de toi Même si je ne le dis pas
Dans le puits des mots, Dans le miroir de l'eau, J'ai vu naitre une fleur, Dans le jardin de mon cœur, J'ai fermé mes yeux Et j'ai habité les cieux, J'ai allumé une bougie, Pour voir son visage,au milieu de la nuit. A travers le chant d'un bel oiseau, Qui habite prés d'un grand ruisseau, J'ai vu grandir une fleur, Dans le jardin de mon cœur, Dans la joie et loin de la peur, J'ai ouvert mes yeux Et j'ai quitté les cieux, J'ai allumé un feu, Pour voir grandir mon vœux, Sur la terre de la merveilleuse réalité, Ö amitié! Ö beauté! Tu es ma plus belle vérité!
Vent qui souffle, temps qui souffre, Je m'essouffle, Je m'engouffre, Dans un tunnel de solitude, Dans un trou d'incertitude. Souffle l'envie de s'évader Souffre l'épine qui vient à tomber, Au bord de l'eau un lit de pin, Autour du vent je prend un bain, Bain de fraicheur, un brin d'ennui, Loin des profondeur, un loin de vie. Vent qui souffle sur ma main, Amène mon ange en mon saint, Temps qui souffre soit tempérant, Il reviendra trés vite le beau temps !
Comme une feuille qui s'envole, Je m'évapore, je quitte le sol, Je vogue au loin me laisse emporter, Vers un destin qui vague acharné... Comme un pétale de rose, un petit bouton, Je vis en prose, je saigne ma possession, Je vide l'esprit, les sentiments, pour voler, Le vide est prit, au fond, je me sens léger... Comme une personne qui se laisse aller, Je voudrais me sentir comme achevé, Si loin d'ici, retrouver une autre vie, Si prêt d'ici, me sentir comme accompli... Comme j'ai entendu dire quelque ressentiment, Et oui, je sais, je suis comme tempête et vent, Je survole les dangers et les affrontements, Plus de questions à se poser, sans me poser !
Je voudrais te dire les secrets de mon coeur et poser juste un doigt sur tes lèvres. Je voudrais te dire aussi que tes sourires m’emportent vers les plus doux délices. Vers des paysages insoupçonnés que j’ai découvert grâce à toi et à ton amour. Le goût de nos désirs résonne en moi comme si j’étais sous une cascade de plaisirs.
Tout autour de son corps, la coquille de fer Protège ses émois auprès de tout compère. Son image est blindée sous cette carapace ; Elle peut déprimer sans aucune menace… Tout au fond de son corps, la coquille de pierre Pour « oublier » les maux, le coeur de ses prières. Ses pensées sont glacées, ses sentiments gelés En léthargie totale, pour mieux se protéger… Mais juste une fissure brise là les coquilles Tuant les carapaces, loin de toute béquille. Les larmes en éruption coulent en effusion, Et l’angoisse apparaît, faussant les illusions… Tel un pauvre mollusque, perdu sans sa coquille, L’agonie est bien là, loin d’un soleil qui brille. La chute des coquilles étant dévastatrice, Elle veut reconstruire ses armures protectrices…