Un oui, un non, un oui, un non, Voilà dans ma tête ce tourbillon, Sans cesse, les pensées s’affolent et ci et là, Je ne peux jamais répondre à un pourquoi… « Je ne sais pas », voilà mes mots, Ne pas savoir, hésiter, voici mes maux… Mon esprit est doute, flou et plein, Trop plein de pensées de tout, de rien… Difficiles sont les décisions, Atroces sont les questions… Oui, les questions tourbillonnent dans ma tête Comme le vent en pleine tempête… Je n’ai point de réponses à tout cela, Peut-être qu’un jour, elles seront là…

Peut-on oublier l’être que l’on a tant aimé? Celui pour qui l’on avait donné sa vie. Peut-on oublier les moments de bonheur,et tous ces instants à rêver.Tous ces moments partagés, l’absence, le désir, l’amour et la peur. Peut-on oublier les instants de souffrance les semaines ravagées, les coeurs brûlés, le silence, les nuits de solitude, de prière et de rêve,et voir aujourd’hui une histoire qui s’achève.Peut-on oublier tout l’amour éprouvé,les sensations de se sentir aimée les doutes et les hasards de l’avenir incertain,et tous les désespoirs, les haines et le chagrin… Je n’oublierai jamais les plaisirs découverts, les sentiments nouveaux et nos complicités

rose

Avec majesté, l'aube s'empare du ciel Par ce spectacle, tout mon être est captivé Le cercle solaire impose sa royauté .En fumée givrante, s'évapore le gel. Des feuilles mortes valsent sur un air venteux Pochardé, le blé titube d'ivresse. Cette douceur éthérée excite une liesse Qui me parfume d'un élixir amoureux. Ton image se dessine dans les nuées de la voûte céleste, mon regard se grise rêvant sur ses effets moirés, il s’hypnotise,l’univers épouse nos auras magnifées.

Le feu faiblit et s'éteint, le dernier feu..Ciel ! Il n'est plus que braises rougeoyantes... Le dernier ! Elle se retrouve seule et emprisonnée,dans ce bastion de la solitude éternelle,et sa seule pensée pour geôlier cruel. La solitude : Etre en exil des autres, assiégée en son intérieur, mise aux fers par un tout simple décret du malheur, traîner la chaîne cliquetante

Ceux qui s'aiment comme nous s'embrasent du fond des yeux, dans leurs songes les plus fous ils brûlent de mille feux. Ceux qui rêvent comme nous ont le coeur dans les nuages, ils s'évadent des tabous s'élevent dans leurs mirages. Ceux qui volent comme nous ont les clés du paradis, des étoiles ils se jouent des anges ils sont amis. …

Demain est toujours un autre jour qui nous suit pas à pas dans les décombres de la nuit ses rêves immobiles sous l'oreiller poursuivis dans le plein des silences qui charrient à distance les feux de l'âme cette distance que l'oeil inonde pour nettoyer les passions refoulées dans les abîmes d'un poeme qui ne veut pas se taire un poeme à la mesure du coeur aiguisé par la lenteur des heures à bout de cris

Magie de ton regard, magnétique pouvoir qui me fait soudain chavirer. Regard de braise ou de velours provocant, réservé ou malicieux, exprimant tristesse, colère ou amour qui me fait frissonner un peu. Regard inquiet qui m'interpelle ,regard brillant qui étincelle. Impressionnant ou transparent ,plein de tendresse ou d'amour qui m'émeut et me fait fondre.

Alors que je n'ai qu'une envie,c'est être avec toi, me retrouver dans tes bras. Je ne peux rien faire ,même pas te dire je t'aime, et même si je veux t'oublier je n'y arrive pas, tu es toujours dans mes pensées,je ne pense qu'à toi.

Au soleil rêveur et caressant du levant, sous un ciel bleu au vol d'élégance d'oiseaux, les premiers rayons d'or se pâment sur les eaux, en arabesques gracieuses s'enlaçant. Le vent câlin effleure le petit étang,encore somnolant en baisers de tendresse, Joyeux le pétale rose nacré caresse,du joli nénuphar amoureux s'éveillant. Puis une libellule rieuse improvise .Sa danse aérienne en voltige d'amour, bercée par le chant des cigales au petit jour. Dans un air doux embaumé d'odeurs de cerise.