L’automne

J’aime voir les feuilles des arbres se décolorer. Elles passent du jaune à l’orange foncé, puis le marron arrive pour enfin se détacher. Elles tombent et un souffle de vent. Pour elles, se transforme en ouragan. Elles dansent dans la ronde des grands et ceci une seule fois par an. Ensuite, j’admire les écureuils jouant au milieu des feuilles. Ils remplissent leurs joues de noix ,de glands ou de pois. Ils sautent de branches en branches tel un acrobate du dimanche .Ils virevoltent dans les airs sans jamais toucher terre. Les champs sont labourés et on peut voir se promener la biche et son bébé. Les derniers fruits trop mûrs tombent pour que la nature au printemps prochain reprenne son cycle si ancien. L’automne a de si merveilleux pour celui qui ouvre les yeuxqQue rien n’est jamais fini car c’est l’une des plus belles saisons .Celle ou la nature renouvelle ses générations.

Incohérences...

Tant de souffrance, d'incohérences, celles qui transpercent, par tant d'absence, tant de douleurs, violente le coeur, comme un printemps qui vit sans fleurs.

Incertitudes, qui se bousculent, au jour d' l'automne, en préambule, ce coeur qui pleure, au fil des heures, souffrant d'incertitudes douleurs, tremble et suffoque car il a peur

Comme une brume, tu viens me caresser la joue. Une voix douce me rassure et me murmure de tendres mots pour sauver mon coeur brisé. "Maman, je t'en supplie, sèche tes larmes, apaise tes folles pensées nocturnes et surtout n'oublie pas que dans mon petit corps fragile mon grand coeur bat pour toi.

À mes enfants, à ma raison de vivre

                                           L'échange...

Réseaux sociaux, Connexion internet, Wifi au plus haut, un monde qui devient bête, partage d'informations, mais perte de communication, utile aux enlèvements, mais vérité qui ment, échange de procéder, promotion de libellés , affichages de photos, et critiques dans le dos, Coluche n'était pas dans le troupeau, mais juste derrière pour le pousser, on croit que ça va bouger, juste parce qu'on a "publié " Un Sdf maltraité, Un anniversaire à souhaiter, levons les yeux vers l'humanité, pour une fois se connecter, Facebook, Twitter, seront là, chaque heure, mais ne tuons pas ces arbres en fleurs, qui vivent au fond de nos coeurs

Soyons fou, soyons poète. Si je devais comparer les mots, je les comparerais à des papillons. Ils s’envolent du crayon comme les papillons s’envolent de la fleur. Toute la beauté et la grâce réunies dans une seule chose. Ils se posent délicatement sur le papier blanc et par une certaine magie viennent virevolter au gré de ma main. Il est si doux d’écrire, de pouvoir transformer par la beauté des mots ses pensées, ses idées, sa tristesse, ses joies et ses peines. Je trouve belle cette comparaison du papillon et du crayon. La feuille de papier est telle la fleur, ou le crayon effleure la feuille tel le papillon caresse la fleur. Chaque pétale représentant une page. Si les gens prenaient le temps d’observer, d’écouter et de regarder qu’il serait beau le monde. Peu de personne voit la magie de la vie, peu de personne ont cette étincelle dans les yeux en voyant un papillon , en écoutant le chant d’un oiseau ou en regardant une fleur. J’aime m’allonger dans l’herbe et regarder les nuages, sentir le vent sur mon visage, respirer l’odeur de la terre, m’enivrer des parfums des fleurs. Toute l’innocence de la nature que l’homme perd de plus en plus. Suis-je une privilégiée de la vie ou un être simple ? Ou les deux peut-être ? Qu’il est bon de partir voguer au gré de ses pensées. Je ne me suis pas encore blasée par les choses qui m’entourent. Le jour où je le serais, je préférerais quitter ce monde. J’aimerais tellement pouvoir par l’écriture toucher le cœur des gens. Posséder ce don qui fait que lorsqu’on vous lit, la personne ressent vos peines, vos joies tout ce que vous mettez dans les mots. Nous avons tous notre jardin secret, nos désirs cachés, j’aurai souhaité être un poète, cet être qui, par la seule manière d’écrire, vous transperce le cœur, vous fait rêver ou réfléchir. Mais je ne suis pas un poète, le seul regret de ma vie je crois.

Le silence a cette vertu de laisser parler le regard, miroir de l'âme. On entend mieux les profondeurs quand on se tait.

BISOUS

J'ai découvert la machine à voyager dans le temps, la machine à téléportations. Elle est maintenant enfouie en moi, avec tout son potentiel. Je dois juste saisir certains trésors spécifiques entre mes mains et les regarder. De regarder et me concentrer. À chaque page que je tourne, il y a un monde de connaissances, un monde d’histoires et de découvertes. Chaque mot m’ouvre des horizons dont je ne me doutais pas. Et puis, l’arrangement des mots suscite en moi des surprises. Puis je pars, vers un ailleurs, dans une histoire, dans un autre pays, dans une autre dimension et j’oublie complètement le mot, et ma lecture, et le temps, pour, dans un enchaînement passionné, d’une page à l’autre, d’une découverte à une autre découverte, m’élever au plein cœur de ce qui me nourrit, la lecture de la vie.

Je veux juste quelqu'un pour jouer avec moi, me lancer dans l'air, quelques fois, on se roulera sur la toundra. Tu sais, la romance.

Assume ton destin. Derrière les soucis, le chagrin et la peur, tu découvriras alors l'extraordinaire bonheur qu'est la confiance en soi