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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Donner, c'est la plus belle des choses, .*.*.*.*.*.*.*.*.Donner ce qu'on a de meilleur en soi, .*.*.*.Donner son rire, .*.*.*.*.*.*.*Sa joie de vivre, sa gaieté, .*.*.*.*.Son dynamisme, .*.*.*.*.*.*.*.*.*.Sa gentillesse, .*.*.*.*.*.Sa tendresse, .*.*.*.*.*.*.*.Sa douceur, son écoute, .*.*.*.Sa compréhension.
Tu peux verser une larme parce qu'il est partit, ou tu peux sourire parce qu'il a vécu... ...Tu peux fermer les yeux et prier pour qu'il ou qu'elle revienne ,ou tu peux ouvrir les yeux et t'apercevoir tout ce qu'il ou qu'elle t'a laissée. Ton cœur peut être vide parce que tu ne peux plus le ou la voir ,ou tu peux être comblé de l'amour que vous avez partagés... Tu peux tourner le dos à demain et vivre hier, ou tu peux être heureux ou(se) pour demain grâce à hier... Tu peux te souvenir de lui ou elle et uniquement parce qu'il ou qu'elle est partit ,ou tu peux chérir sa mémoire et le ou la faire revivre... Tu peux pleurer et te refermer, te vider et tourner le dos, ou tu peux faire ce qu'il ou qu'elle aurait souhaité : sourire, ouvrir les yeux, aimer et avancer.
C'est comme ça chez moi. La bonne humeur est reine. Les sourires y sont rois malgrès la vie et ses peines .C'est vrai y'a des coups bas. Des tabous et des gènes .Des malentendus par ci par là .Et du passé surgissent des haines
Ces bouts de chemins fourrés de lassitude et martelés de plâtres. Ces arbres au bras fragilement dressés, et étrangement verdâtres. Ces nuages qui broutent le bleu du ciel et ces abeilles qui ne fabriquent plus de miel. Cette chanson que le vent me compose et cette amertume qui veut que je me décompose en petites particules de poésie et de prose. En fait, ce n’est que l’encre qui me propose de ne penser qu’au poids qui s’entrepose sur mes frêles épaules et qui annonce: L’arrivée des cavaliers de l’arthrose.
J'aime les mots, et les mots, peut-être, m'aiment, parce que mutuellement nous nous dessinons et nous parons d'apres ornements, parfois épineux, parfois doux comme la peau . Parce qu'ils dessinent des formes aux infinies violences, parce qu'ils rétablissent ce pacte intransigeant avec l'esprit, parce qu'ils sont des anges généreux. Je ne cesserai jamais de me soumettre à leur régence. Jamais le monde ne nous paraît si beau que lorsque nous parvenons à faire des mots son miroir. Dans la nuit, lire le mot "lumière" est une lumière. L'obscurité, parfois, éblouit. Le souvenir de l'eau qui coule et se déverse dans un lit ombreux, même au milieu d'une pièce close, me ferme les yeux d'une indolence humide : eau, eau, eau. La parole, elle, en revanche, s'inscrit plus profondément dans la chair, pénètre comme un virus dans le sang, nous infecte et nous détruit lentement en nous acculant au désespoir. Il n'y a pas de sauvetage du pouvoir de la parole."
Et c'est vraisemblablement ce qui explique que l'amour soit chaque fois une source de déception. Nous nous y abandonnons, avec l'espoir qu'il nous fasse atteindre la plénitude, nous raffermisse, nous accorde enfin cette stabilité que nous poursuivons sans cesse. Puis nous découvrons qu'il s'agit au contraire d'une dangereuse épreuve, parce que profondément paradoxale : alors que nous cherchions des certitudes chez l'autre, nous ne rencontrons que des doutes, aussi bien quant à l'objet de notre flamme qu'envers nous-mêmes.