Le cheval fringant S'emballe dans le vent, Sous les regards émerveillés Des enfants souriants ,Il hennit, il pioche ,À l'approche De cet enfant, Indifférent et curieux ,De savoir ce que cette bête pense vraiment. Sous son charme et sa tendresse ,Se cache une telle robustesse ,Mais aussi de la finesse ,Devant sa grâce et sa beauté ,L'enfant obnubilé Par ses grands yeux cajoleurs ,Est tout heureux, heureux D'avoir enfin trouvé Un ami, sur qui l'on peut compter

A la pêche il faut savoir être patient ,Car il faut surtout toujours attendre Que le poisson mordent inconscient, Que tout bonnement il se fasse prendre .

A la pêche on peut aussi se détendre ,Profiter de se doux moment, heureux Par cette nature qui nous engendre ,Tant de douceur qui rend si joyeux .

A la pêche on donne parfois des appâts artificiels, Et parfois aussi l’on donne des appâts réels ,Cela donne du plaisir aux pêcheurs chevronnés De devoir choisir, ainsi l’appât qui sera adapté .

Certains pêcheurs aiment longtemps aussi marcher ,Pour avoir le plaisir de trouver le fameux poisson Qui mordra, se qui rendra fier le pêcheur enjoué ,Et apportera encore plus dans son cœur cette passion

Vivre une nuit a soi, Dire les mots Tout bas, Voir À tout croire ,Et veiller A ne plus tomber. Sans toi Je meurs, J’ai peur, Je survis. Un cri Je lance Dans un désert, Le chemin Se perd Et se balance. Sans destin ?Mes nuits, Assombri? Mes envies De jours Finis? En éclat De maux Incompris. Une terre Pour s’envoler ,A rêver Tout bas,avec toi

Hé oui il pleut ,alors restons a la maison

Le rôle d'un ami, c'est de se trouver à votre côté quand vous êtes dans l'erreur, puisque tout le monde sera à côté de vous quand vous aurez raison.

Il n'y a aucune recette pour devenir une mère parfaite, mais il y a mille et une façons d'être une bonne mère

J'aimerais retourner à l'époque , où mon seul problème était de savoir de quel couleur j'allais colorier mon dessin

L'avenir nous tourmente, le passé nous retient, c'est pour ça que le présent nous échappe

De l'autre côté des nuages Était un nouveau paysage Sur l'asphalte, là, un virage Inattendu puis un village Rivé au-dessus d'une plage Danses et tam-tam pour tout âge Accompagnent divers messages Fêtes et vivres en partage Rites, chants, les masques d'usage Invitent l'homme de passage Qui se glisse dans leur sillage Unis au charme des adages

Je me croyais plongé dans un sommeil profond ; J’étais dans un pays où luit, puis brûle l’amour, Où sourires et pleurs effleurent le plafond. C’était la joie, c’était la guerre et de l’humour. De tous côtés s’élevaient des chansons d’oiseaux Harmonisées des sons si émouvants des eaux Des pittoresques lacs et des jolies rivières Qui reflétaient du précieux sous-sol la lumière.