Enchaînée dans mes propres pensées, Et prisonnière de mes souvenirs,  Je ne fais que souffrir

Je ne peux plus écrire, je veux oublier

Je ne peux plus souffrir, je ne veux plus aimer

J'offre des fleurs, je reçois des pierres

Je donne tout mon cœur, je récolte des chimères

Je veux du bonheur, je n'ai que des songes

Je veux de la douceur, je n'ai que des mensonges

Je ne peux plus sourire, je ne veux plus pleurer

Je livre mes secrets, je n'ai que l'habitude

Je partage mes peines, je n'ai que la solitude

Je veux de la tendresse, j'ai l'indifférence

Je veux des baisers, j'obtiens le silence

Je ne dois plus t'aimer, je dois m'en aller

Je ne dois plus t'admirer, tu vas me manquer

Je ne dois plus attendre, j'ai bien trop de peine

Je dois fermer mon cœur, me rayer moi-même

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Rien n'est aussi important que donner et de profiter de l'amour de nos êtres chers : car un jour, on les perds ! Rien n'est plus beau que d’offrir son manteau à celui qui a froid et de voir sa joie ,Rien de plus heureux que de regarder les jeux d'un enfant, puis de le serrer contre son ♥C'est cela le bonheur.

Dans "amOur" il y a un "A", pOur te dire que j'ai envie d'être près de tOi. ♥

Dans "amOur" il y a un "M", pOur te dire que je t'aime ♥

Dans "amOur" il y a un "O", pOur te dire que je te trOuve beau. ♥

Dans "amOur" il y a un "U", pOur te dire qu'avec mOi tu n'as pas perdu ♥

Dans "amOur" il y a un "R", pOur te dire que je suis sincère ♥

Ce qu’il me reste à pleurer… Comme des vagues d’été Déferlent des profondeurs Et emportent tout, tels des voleurs. Ce qu’il me reste à donner : Joie, amour, baisers, Je vous le distribue Ne gardant que mes mains nues. Ce qu’il me reste à vivre, Ce qu’il me reste à sourire, Je le cherche sans fin Au fond d’un océan noir appelé destin. Lorsque le soleil se lèvera à l’horizon Brûlant le ciel de son immense tison, Je regarderais mes mains et mon visage, Meurtri et seul après l’orage.

Je ne peux retrouver les chemins anciens, ceux, heureux, ou s'est clos mon destin. Je ne puis revenir en arrière, retrouver tes bras ... Je ne peux rien : ni revivre hier ,ni espérer demain .Tout est mort comme pierre. Je laisse mon corps tomber en avant : on appelle cela vivre ! Etrange sort, c'est comme se noyer dans le vide de l'océan

Le temps s'étire formant un désir inconstant Le temps fleuve roule ses flots éclaboussant en éclats d'argent les rives du silence où se forment mes mots Le temps de revenir le temps du désir le temps de la folie d'être là, et pourtant ici Le temps jamais ne s'achève Toujours il forme d'autres rêves où l'écriture devient à la fois mon astre et mon chemin.

Pluie intérieure

Des larmes ou de la pluie S’abat au-dedans de moi, Tempête intérieure, sans joie, Cent feux, sang fruit, sans bruit… Les blessures de la vie Détruisent nos joies fragiles, Cassent nos corps d’argile, Laissant le cœur sans envie, Les larmes et le sang Coulent également, Au-dedans et au dehors De mon corps. Avoir envie de donner, Et par ceux qu’on aime être blessé, La griffure là où on a été caressé, Fermer les poings, pas le cœur, et continuer…

Lentement.... Comme un océan... Le rythme du flux et du reflux, du souvenir de ce qui n'est plus... Lentement perdre pied, Ne plus savoir où est la réalité ,Préferer le rêve à la vie, Car le premier offre ce que l'on a envie : Lentement, rêver... De pouvoir le retrouver

Je ne veux plus de cette lumiére, Je ne veux plus voir la terre, Je suis mieux dans le sombre, Je prefere voir les ombres. J'ai l'impression de tous vous confondre. Vous ne posez qu'une seule question ; "Mais que faire d'elle maintenant?" Et pourquoi pas me laisser en paix? Ce n'est que comme sa que je me retablirai, Mon ♥a été brisé, Laisser le se recomposer.