Les mots, de toute évidence, font beaucoup plus mal que les brutalités physiques. Ce sont les coups de l'âme... ils blessent en profondeur!

Mettez vos pensées en ordre par la réflexion, la plume à la main. Appropriez vous la puissance de la plume. Lisez, lisez, lisez chaque jour la plume à la main.

Ne laisse pas une mauvaise periode te faire croire que tu as une mauvaise vie, Il faut toujours y croire, ne jamais perdre espoir, le bonheur revient toujours

Vous êtes né(e) unique. Ne devenez pas une copie.

Lorsque vous avez une fois vu la lueur de bonheur sur le visage 'une personne aimée, on sait qu'il ne peut pas y avoir d'autre vocation pour un homme que d'éveiller la lumière sur les visages qui l'entourent

Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie

Si vous êtes découragé, abattu, ou déprimé, posez-vous une de ces quatre questions :

Quand avez-vous arrêté de danser?

Quand avez-vous arrêté de chanter?

Quand avez-vous cessé d'être enchanté par les histoires?

Quand avez-vous arrêté de trouver le réconfort dans le doux territoire du silence?

Car lorsque nous avons arrêté de danser, de chanter, d'être enchanté par les histoires, ou de trouver un réconfort dans le silence, c'est là que nous avons l'expérience de la perte de l'âme. La danse, le chant, les contes et le silence sont quatre baumes de guérison universels.

Quand vous discutez les uns avec les autres, ne laissez pas vos cœurs s'éloigner. Ne dites pas les mots qui vous éloignent davantage, ou bien viendra un jour où la distance sera si grande que vous ne trouverez plus le chemin du retour.

Les personnes les plus fortes dans ce monde sont souvent celles qui ont combattu seules.

Je suis l’ombre, je suis la lumière .Tantôt fulgurante, tantôt éphémère .Je me dépose langoureusement à même la chair,laissant des parfums soyeux et amers. Je me glisse dans vos pensées comme les cauchemars bien placés,sautant d’un neurone à l’autre,déposant ainsi ma noble cause. Je me faufile dans vos veines mettant des parfums de verveine aromatisant l’ensemble de vos sens,et vous hypnotisant avec aisance .Je suis l’ombre, je suis la lumière,les sensations qui animent votre être entre paradis, entre les ténèbres .Je suis le verbe conjugué de votre être. J’aime m’enfuir dans votre cœur,le saignant avec tendresse et vigueur,me couchant à l’ombre de vos envies .Je titille le moindre de vos désirs. J’aime m’imprégner de vos odeurs. Je suis l’ombre, je suis la lumière attisant vos moindres sentiments austères .Donnant des pulsions à vos actions. Remplissant le vide de doux frissons