Le plus beau cadeau à donner à quelqu’un est ton temps, ton attention et ton amour

L'humain est un prédateur.

Il y'a quelques soirs je suis le long d'un funeste couloir. Je suis plongée dans le noir. Je suis au cœur d'un monde malfaisant. Pleins de gens malveillants . Je suis dans le brouillard a la recherche d'espoir . Je vois alors une image d'un le miroir. Le reflet d'une ombre noire . Ces images viennent me hanter réveillant en moi les blessures du passé . Mais dans ce monde rien ne demeure. J'ouvre alors les yeux et tous mes cauchemars meurent

Sur le clavier nos doigts glissent ... nos écrits nous unissent Nous sommes tellement proches par les mots peut importe que ce soit virtuel ... Le bonheur est sans fin... il est dans nos cœurs Le soleil même imaginaire éclaire notre route... On écoute bien sagement en silence des rires voilés au loin ... On prends le temps d'écouter ... d'analyser. On tait certains mots et dans ce silence. On retrouve notre paix intérieure en rêvant... que tout est beau et sans fin et que le temps ne s'arrêtera jamais...

Quand on est heureux, on apprécie la musique. Mais quand on est triste, on comprend les paroles

S'évader en écrivant tout ce que tu ressens sur une feuille, avec ton crayon à la main. Pendant des heures et des heures, parce que à la fois ça te fait du bien. Appuyer dessus tellement fort, parce que ce que tu écris ne se reproduira plus jamais. Vouloir casser cette mine, parce que ça te fait bien trop mal. Au fond, écrire c'est hurler en silence ce qu'on voudrait bien dire à haute voix, ce qu'on voudrait crier au monde entier. Tu trouves tellement les mots, que tu ne t'arrête même plus. Tes pages se remplissent petit à petit, avec des phrases et des mots qui racontent la moitié de ta vie. Parfois les larmes montent aux yeux, mais elles ne coulent pas. Quand tu finis tes phrases, tu les relis sans cesse et tu te dis que la vie change, même les gens avec lesquelles tu as grandi. Les personnes que tu aimes le plus, parfois partent sans même que tu es le temps de leur dire au revoir, qu'ils sont déjà de l'autre coter de la route. Ce n'est pas pour autant que tu les oublies, bien au contraire. Les gens ne se rendent pas compte que, justement c'est en partant que tu penses encore plus à eux. D'autres t'oublient du jour au lendemain. C'est toujours difficile de s'en remettre, quand une personne chère à tes yeux décide de tirer un trait sur toi, de t'oublier et de passé à autre chose. Même si la vie continue, tu te poses toujours de nombreuses questions à l'intérieur de toi, et tu avances avec un énorme vide au fond de ton cœur, et cela pour toujours. Tu te demandes s'ils pensent à toi comme toi tu penses à eux.

Derrière le sourire… Qu’est ce qui se cache derrière ce sourire qui en dit long, sans jamais rien dire. Peut-être un secret caché qu’elle à peine à dévoiler. Il montre à qui veut bien le voir la face cachée du miroir. A y regarder de plus près on y devine la lassitude qu’elle à peine à masquer, car bien trop souvent hébétée. Ce sourire est un masque qu’elle affiche de guerre lasse. Bien plus facile à porter que le masque de la pitié. Pourtant elle sait que c’est un leurre pour ne pas laisser voir ses pleurs. Dans ce monde qui l’entoure elle ne se retrouve plus,elle a perdu ses repères. Elle a beau dire, elle a beau faire,tout autour d’elle est misère. Un jour elle retrouvera ce sourire. Elle aura cessée ses soupirs. 

Un livre est voyant ou il n'est rien. Son travail est d'allumer la lumière dans les palais de nos cerveaux déserts

La légèreté ,elle est partout, dans l'insolente fraicheur des pluies d'été, sur les ailes d'un livre abandonné au bas du lit, dans la rumeur des cloches des offices, une rumeur enfantine et vibrante, dans un prénom mille et mille fois murmuré comme on mâche un brin d'herbe, dans la fée d'une lumière au détour d'un virage sur les routes serpentines du Jura, dans la pauvreté tâtonnante,dans la cérémonie de fermer lentement les volets le soir, dans la fine touche du bleu, bleu pâle, bleu-violet, sur les paupières d'un nouveau-né, dans la douceur d'ouvrir une lettre attendue, en différant une seconde l'instant de la lire, dans le bruit des châtaignes explosant sur le sol et dans la maladresse d'un chien glissant sur un étang gelé, j'arrête là ; La légèreté , vous voyez bien, elle est partout donnée ; et si en même temps elle est rare, d'une rareté incroyable, c'est qu'il nous manque l'art de la recevoir, simplement recevoir ce qui nous est partout donné

On met des années à se construire une carapace... Certes elle nous protège mais elle nous emprisonne aussi. Il faudra bien, tôt ou tard, trouver le moyen d'en sortir afin de se dégager de nos blocages et de libérer l'élan vital en nous.