Tant de questions parfois s’agitent Dilapidant toute âme humaine Ces interrogations suscitent Tant de mal-être et de migraine Il suffirait juste une fois De pouvoir tuer les questions Une bombe, une arme, un bout de bois Pour les assommer pour de bon Mais qui peut dire quelle est cette arme Qui cessera ce tourbillon Qui arrêtera ce vacarme Dans les esprits en perdition

La tristesse automnale Un coucher de soleil, une atmosphère glaciale, Hélas est arrivée la saison automnale. La pauvre lueur du soir apparaît tristement Et déjà l’on entend de faibles gémissements, Faibles oui, mais exprimant un fort sentiment, Une impression d’être victime des évènements… L’homme se noie dans un profond désespoir Comme s’il était le prisonnier du noir… Mais où sont donc cachées les clés du ciel Qui ouvrent enfin les portes du soleil ? La faune, la flore sont nature,alors pourquoi tout est si triste aujourd’hui…

Loups vers vous je me tourne Loups vers vous je vais, Loups vers vous je me confie, Loups je me sens bien pres de vous, Quelque soit le temps, Quelques soit la saison Loups vos regards envoutants, Votre souffle tel une brise du vent, Loups vous adorez a tout jamais

le loup majestueux

les loups

le loup

Plus longtemps que nous, les Indiens ont gardé un mode de vie semblable à celui du loup, c’est-à-dire en clans nomades vivant de chasse, de pêche et de cueillette. A vrai dire, c'est pour l'éternité que les Indiens ont juré fidélité à un système proche de la nature. En plus d'être durable pour eux-mêmes, celui-ci respecte aussi bien la Terre et ses ressources que chacun des êtres vivants et assure à la nature toute entière une survie saine et complète. L'Indien remplit humblement le rôle qui est le sien, celui de grand prédateur, au même titre que le loup, son frère. C'est pourquoi le loup est toujours resté un ami et un « maître des chasses » aussi respecté que la nature qu’il chérit. Mais cette belle complicité et son équilibre de vie ont été brisés ensemble au cours de la colonisation. Aujourd'hui encore, c'est dans cette douleur que le loup et l'Indien sont le plus souvent réunis.

Le soir,au clair d un ciel de lune aux abois,ou la terreur du noir s'allie a l'éclat des étoiles,le hurlement d'un loup s'eveille en moi comme un cri de douleur poussé par la nuit.