La vie change tellement, le temps passe tellement trop vite. On à même pas le temps d'apprécier les choses que la vie nous donne, les plus beaux moments passe à la vitesse de l'éclair tandis que les moins beaux prennent du temps à avancer, C'est injuste

je pleure de joie

je pleure de tristesse

je suis qu'une femme

je suis qu'un être sensible

je pense au joie

je pense au peine

je pleure pour lui

je pleure par amour

je suis sensible

je suis une femme au cœur

les larmes qui coule me mette à nue les larmes qui coule s'exprime du cœur les larmes bat la musique de la joie et de la tristesse au rythmes du cœur le cœur se bat pour ce protéger et ce sont des larmes qui en coules

Mon ♥ est tristesse, et les pleurs m'appellent. Je regarde ma vie vers l'infini ,Et je ne vois rien que du chagrin ,Les larmes me coulent telle une rivière sans fin, Et j'essaie de refouler mon chagrin, Qui s'installe peut a peut dans mon♥ et mon âme ,Et ce duo fait un triste tableau, Digne d'un grand peintre comme Picasso. Mais je refoule mes larmes ,et la gorges me serre ,Et la tristesse m'envahie à nouveau. Pleurer et peut-être la solution, Car apres les pleurs ,viens le sourire, Qui nous emmène enfin vers la tranquillité de l'esprit, Car sourire est bien souvent se forcer, Et peut-être la solution pour enfin revivre

Parfois j'aimerai être que le reflet de moi-même... Plus de douleur, de sentiments, de tristesse... Ne représenter qu'une image...

Ne change pas ta nature ... . Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c'est ce que les autres pensent de toi... et ce que les autres pensent de toi...c'est leur problème.

Vous me demandez si « ça va » Alors que mon cœur rouge éclate Et que ses éclats écarlates Éclaboussent de sang grenat Ce « moi » que vous ne voyez pas ? Vous me demandez si « ça va », Quand mon esprit se bat sans cesse Pour lutter contre sa détresse Sans être vainqueur aux combats, Tout ce temps qui ne passe pas… Vous me demandez si « ça va », Quand mes yeux ne voient plus la vie Et que fuit de moi toute envie Quand je respire et ne vis pas Vous me demandez si « ça va » ? Vous me demandez si « ça va », .  Alors que tout n’est que souffrance Et infinie désespérance Derrière cette face là Qui vous répond : « Oui, oui, ça va ! »

Je fais comme si tout était normal mais derrière mes sourires, mon regard, j'ai mal Et je doute sans cesse, me délaisse, me déteste j'ai besoin de me tester je suis prête à risquer le peu qu'il me reste... Je briserai mes pensées, pour torturer mon âme Je me servirai, de ma haine comme une arme J'ai brisé celle que j'étais pour faire saigner mes larmes. J'ai fait de ma peine une nouvelle arme... Je fais comme si tout était normal mais derrière mes sourires, mon regard, j'ai mal.